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Vacance inoubliable – Chapitre 6




Chapitre VI

De retour à la maison, je me change et, perturbé par ma mésaventure, je décide de me plonger dans un bouquin. La mère de James m’accompagne dans la lecture, nous sommes devant la maison. L’après-midi se termine tranquillement ; au loin un vélo approche. Je n’y prête pas trop d’attention et continue ma lecture. Le vélo ralentit et passe devant nous.

    ─ Bonjour !

Je reconnais immédiatement cette voix : c’est la fille qui m’avait surpris avec Evans.

    ─ Bonjour, répondit la mère de James.

    ─ Bonjour, fis-je sans lever la tête.

La cycliste pose un pied à terre et commence à discuter de la pluie et du beau temps avec la mère de James. Toujours le nez dans mon livre que je ne lis plus guère, je sens qu’elle m’observe.

    ─ Oh ! Vous avez pris un coup de soleil, vous êtes tout rouge, me dit-elle.

    ─ Probablement, répondis-je, sans décoller le nez dans mon livre.

Elle remonte sur son vélo et nous souhaite une bonne soirée.

Comment a-t-elle fait pour me retrouver ? C’est incompréhensible !

Le soir arrive et je fatigue James comme je sais très bien le faire. Il s’endort comme un bébé ainsi que la maison. Je descends, sors dans la cour et file derrière le bâtiment. J’enlève mon pyjama et je cherche mes compagnons de jeu. Il n’y a toujours personne au bout de dix minutes ; dépité, je me rhabille et retourne me coucher.

Kimi me rejoint juste avant que je pénètre dans la maison. Nous nous abritons d’éventuels regards, avec la ferme intention de conjurer la malchance de l’après-midi.

À peine ai-je le temps d’ôter le bas de mon pyjama que Kimi me renifle les fesses avec insistance, cherchant à tout prix à me coller sa langue brûlante : j’avais pris soin de garder le sperme de James en moi, sûr que cela plairait à Kimi.

Il est maintenant habitué et comprend immédiatement qu’il va pouvoir me prendre. Moins calme qu’Evans, Kimi est un chien impatient à qui il faut rapidement donner ce qu’il veut. En position, il commence déjà à faire des va-et-vient dans le vide.

J’ai un peu de mal à l’orienter, mais finis par arriver à mes fins et rapidement sa belle queue me pénètre, sans ménagement. Les coups frénétiques m’excitent énormément ; je le laisse se défouler en moi. Il se calme enfin, comblé je suppose.

Je sens la dilatation et les à-coups me le confirment. Quelques minutes plus tard nous nous séparons. Dommage qu’Evans ne soit pas là. Je reste en position, des fois que l’envie lui reprenne après sa toilette. J’expulse le sperme de moi en attendant ma toilette. C’est enfin mon tour : sa langue vient faire des miracles. Il n’essaye pas de remonter ; c’est terminé pour cette nuit. Je me caresse pour que chacun de nous ait son plaisir, je jouis et Kimi, comme son compère, nettoie tout parfaitement.

    Le lendemain, après le déjeuner, James me demande avec un sourire si je pense aller promener Evans.

    ─ Non, pas cette après-midi !

Pourtant, j’en ai envie, mais avec l’aventure de la veille, c’est foutu. Les parents nous demandent si un tour ville nous tente. Nous acceptons, cela nous change de l’ordinaire. Déambulant dans les rues, nous rencontrons le parrain de James, également en vacance dans le coin.

Les parents de James l’invitent à dîner le soir. Une fois les courses faites, nous rentrons.

Le diner est sympa, entre rires et anecdotes, nous passons un bon moment. Vers 22 heures, je dis à James que je vais faire un tour à vélo pour prendre l’air, mais c’est plus l’envie de sexe qui me motive, après l’abstinence de cette après-midi.

Personne dehors, j’appelle Evans pour qu’il me suive ; je m’arrête largement avant mon coin tranquille. Personne ! Là, nous sommes enfin seuls.

Pendant le trajet, j’imagine déjà Evans sur moi ; je mouille mon slip. Le jour commence à tomber, parfait pour masquer nos ébats. Evans, lui aussi excité, s’énerve un peu. Je me mets les fesses à l’air : à peine en position, il vient sur moi, je le guide, zou, il rentre :

    ─ Bon chien, occupe-toi bien de moi !

Les va-et-vient sont trop bien. Il se fige, son sexe gonfle en moi… hum… il n’a pas encore éjaculé.

C’est alors que la fille qui m’avait surpris la dernière fois sort de derrière un bosquet à côté de nous :

    ─ Tu n’as pas pu résister, n’est pas ? Je suis venue cette après-midi, mais ne te voyant pas, je pensais que tu ne viendrais pas. C’était vraiment par hasard que je suis passé devant la maison, et par chance tu étais là ! Je me disais que tu profiterais sans doute de la soirée pour te rattraper : j’ai bien fait de venir. Alors, tu restes collé combien de temps, dis-moi ?

Agacé, je ne réponds pas.

    ─ Je me fous qu’il te prenne le cul, si tu aimes tant mieux, moi c’est le chien qui m’intéresse, alors décontracte-toi et répond-moi. Apprécie ton moment de petite chienne.

    ─ Nous restons collés de 10 à 15 minutes.

    ─ Tu vois quand tu veux. Je ne vais pas te demander si c’est bien, vu ta régularité avec laquelle tu viens ici, je me doute que cela doit être un bon coup.

Elle se penche et regarde mon sexe.

    ─ C’est moi qui lui fais peur ? On ne la voit pas beaucoup… Je peux ?

Aussitôt elle le saisit et me décalotte. Elle me masturbe ; mon sexe gonfle dans ses mains chaudes. C’est génial !

  ─ Ah ! Elle est beaucoup plus belle comme cela. Tu es puceau, j’imagine.

    ─ Oui.

    ─ Enfin, tu ne l’es plus de l’anus, à en juger par sa facilité à te faire pénétrer. Tu dois vraiment aimer cela ! C’est moi qui te stresse et qui t’empêche de prendre ton pied ? Attends…

Elle sourit et enlève son tee-shirt, libérant ses seins. Ils sont gros et lourds, magnifiques. Elle s’aperçoit que je ne reste pas indifférent et quitte aussi son short. Elle a le bassin large, avec de belles courbes. La culotte tombe à son tour, découvrant son minou. C’est la première fois que je vois une femme nue.

    ─ Tu es plus détendu là ! Enfin, pas de partout, apparemment, plaisanta-t-elle. Toi, tu n’as jamais vu une chatte ! Je m’appelle Sophie et toi ?

Je n’ai pas le temps de répondre qu’Evans et moi nous décollons. Je suis encore à quatre pattes et Sophie vient voir.

    ─ Tu as bien pris ! Combien de temps faut-il pour qu’il recommence ?

    ─ C’est assez rapide, attend un peu !

    ─ As-tu déjà léché un minou ?

    ─ Non !

Elle s’installe face à moi.

  ─ Vas-y, lèche-moi ! Je suis trempée de t’avoir regardé te faire prendre. Cela m’excite terriblement depuis ces quelques jours, je ne peux plus tenir.

Je m’approche de son sexe, hésitant.

  ─ Elle ne va pas te manger, c’est plutôt à toi de la bouffer, me dit-elle en riant.

Evans vient la voir, renifle ses gros seins et donne un coup de langue. Elle sursaute légèrement, me repousse, présentant sa vulve trempée au chien qui, après inspection, lèche méticuleusement ce minou offert à sa langue experte.

Sophie, instantanément réceptive, se met à gémir. Je la regarde, lui caresse sa belle poitrine. Sa peau est douce et ses seins gonflés de désir. Elle jouit et repousse délicatement Evans en fermant ses cuisses.

    ─ Peut-il me prendre tout de suite ?

    ─ Oui, je pense !

    ─ Aide-moi et donne-lui ma chatte pour l’instant.

Sophie s’installe à quatre pattes ; Evans la contourne et commence à chercher. J’attrape son fourreau et le guide vers l’ouverture de son vagin. À peine le bout du sexe entré, il donne un grand coup de reins, engouffrant sa queue dans la chatte de Sophie. Elle est tant excitée que quelques va-et-vient suffisent à la faire jouir à nouveau. Evans s’immobilise.

    ─ Tu vas voir, c’est le meilleur moment. Le sexe d’Evans va gonfler et remplir ton vagin.

    ─ waouh ! Quelle queue ! Je le sens éjaculer en moi, c’est chaud, c’est… hum.

Excité, j’en profite pour présenter mon sexe à Sophie. Elle ne se fait pas prier et me suce aussitôt. Elle tète mon gland et je jouis rapidement. Elle n’a pas le temps d’avaler qu’elle jouit à nouveau. Mon sperme coule sur son menton, elle est comblée, mieux que je n’aurais pu le faire. Dès que Sophie et Evans se séparent, sa chatte ruisselle.

    ─ Attends, Evans va s’occuper de toi.

Lors de sa toilette j’ai bien cru qu’un nouvel orgasme allait arriver, mais non, juste des sensations. Il est 23 heures, il est temps de partir. Elle se rhabille, récupère son vélo non loin de là. Une partie de notre route est commune, nous échangeons nos impressions.

Après ces moments intimes passés ensemble, je discute librement avec elle. Sophie trouve cette pénétration géante et me confie qu’elle n’avait jamais autant joui, ni aussi intensément. Je lui avoue que je jouis, moi aussi plus fort, quand Evans me prend. Je lui confie également que je fais tout pour qu’Evans me pénètre au moins une fois par jour. Je ne lui parle pas de Kimi qui est un cran au-dessus.

Nos routes se séparent. Rendez-vous est pris pour le lendemain après-midi.

Je rentre tranquillement et, arrivant à la maison, tout le monde discute encore. Je m’assieds devant la maison, James sort quelques minutes après.

    ─ Ah ! Tu es là !

    ─ Oui depuis un petit moment.

    ─Tu as fait un tour avec Evans ? Tu t’es bien rattrapé de cette après-midi ?

    ─ Oui, j’en ai profité pour me maintenir en forme, omettant volontairement de lui parler de Sophie

    ─ J’ai très envie de ton petit cul !

Après le départ du parrain, à peine ai-je pénétré dans la chambre que James baisse mon short et mon slip.

    ─ Doucement, tes parents vont nous entendre !

Il est tellement excité qu’il me prend debout, mes mains contre le mur. Il me tient fermement par les hanches et enfonce sa queue au plus profond de moi, ses couilles claquent à chaque fois qu’il me fourre.

    ─ Doucement, ils vont nous entendre !

    ─ Tu aimes ça ma petite salope, que je t’encule !

    ─ Tu le fais si bien ! Applique-toi, enfonce la moi bien profond…

Mes propos l’excitent tellement qu’il éjacule en moi aussitôt, la pénétration n’est pas longue.

Je sors pour m’essuyer dans la salle de bains. A mon retour, James dort déjà, me laissant sur le carreau : j’ai encore envie, moi. Une escapade nocturne me tente. Avec un peu de chance Kimi sera là, mais le courage me manque et la soirée a quand même été top.

Le lendemain n’est pas un jour comme les autres. Enfin presque ! Je me réjouis à l’idée d’emmener Evans et Kimi avec moi pour notre balade de l’après-midi, pensant que cela plaira à Sophie. Personne ne sait encore que j’ai été la chienne de Kimi et je décide de lui faire découvrir son pénis plus long et plus gros.

Je suis excité et mon sexe mouille déjà. James n’est pas encore réveillé, je m’approche de sa queue et décide de commencer à la sucer comme m’a fait Sophie la veille. Sa queue est molle, je l’engouffre entièrement dans ma bouche. Puis je lui tète le gland : il ouvre les yeux. Sa queue devient dure : elle est prête.

    ─ Hum, tu ne perds pas de temps !

    ─Encule-moi avec ta belle bite, lui glissé-je à l’oreille.

Je me positionne sur le côté, écartant une fesse. Il mouille son gland avec de la salive et le présente à l’entrée. L’anus cède tout de suite et James me fourre comme un dieu.

  ─ Vide-toi les couilles dans mon cul, je suis en manque.

Je n’ai pas fini ma phrase qu’il se cale au fond de moi pour jouir

  ─ Salope !

  ─ Je sais !

Après le petit-déjeuner, je ne suis plus très sûr de vouloir emmener Kimi avec moi cette après-midi. C’est mon petit bonus pour la nuit… Je verrai plus tard.

En début d’après-midi, James souhaite nous accompagner, Evans et moi, pour notre ballade coquine. Cela n’arrange pas mes affaires : James n’est pas au courant du déroulement de la veille et je ne me vois pas me présenter avec lui sans l’accord préalable de Sophie.

J’ai surtout peur que James me remplace, sa queue étant plus grosse et plus grande que la mienne je ne suis pas en mesure de lutter, niveau taille. Pour du sexe, elle prendra sans doute le mieux loti. En tout cas, c’est clairement ce que je ferais. Sophie, pour sûr, choisira la meilleure queue.

Avouant que je préfère être seul pour cela, il le prend plutôt mal.

    ─ Je t’expliquerai plus tard, ce n’est pas toi qui es en cause.

Je prends mon vélo et appelle Evans qui me rejoint sans tarder. Cette petite discussion m’a quelque peu agacé, mais mon excitation reprend rapidement le dessus.

Arrivé le premier sur place, je préfère attendre Sophie pour me déshabiller. Evans, un peu impatient, commençait à s’énerver lorsqu’elle arrive.

    ─ Tu n’as pas encore les fesses à l’air ?

Elle s’approche de moi, baisse mon short et me demande de me mettre à quatre pattes rapidement. Evans me contourne et me monte dessus. Elle me regarde ajuster la queue du chien qui me pénètre frénétiquement. C’est tout simplement géant.

Sophie enlève juste le bas de son maillot ; elle est déjà trempée. Rapidement Evans me verrouille. L’anus bien dilaté, j’attends maintenant notre séparation. Enfin surtout Sophie.

C’est fait : Evans est à nouveau disponible mais malheureusement pas très réceptif au sexe de Sophie pourtant elle aussi en chaleur.

    ─ J’aurais mieux fait de passer la première, dit-elle, agacée.

Quelques minutes plus tard Evans montre enfin de l’intérêt pour le minou de Sophie qui s’installe à quatre pattes. Evans vient la couvrir. Il commence à exercer des va-et-vient mais abandonne rapidement pour la lécher. Elle jouit mais je vois bien qu’elle avait espéré mieux. Je suis confus.

    ─ Je dois rentrer, dit-elle en se rhabillant.

    ─ Viendras-tu demain ?

    ─ Non pas demain. Mercredi peut-être…

Sur la route du retour, elle fait un peu la gueule. Elle ne me répond pas quand je lui dis que ce n’était pas grave. Chacun prend sa route, sans que je ne lui parle de James. Je suis contrarié : C’est décidément une mauvaise journée pour tout le monde.

James lit devant la maison, lui aussi fait la tête. Je le rejoins avec la ferme intention de dissiper le malentendu. Je glisse ma main le long de sa cuisse, passe sous le maillot et lui masse les testicules. Rapidement sa queue grossit et ne tient plus dans cet espace réduit. Je sors le monstre de sa cachette et, à genoux devant lui, je le masturbe. Il reste imperturbable, le nez plongé dans son livre.

Passage au niveau supérieur : je gobe son gland brûlant et m’active à me faire pardonner. Il lâche enfin son livre, me prend la tête pour approfondir le sujet. Mais, n’ayant pas la capacité d’absorber tout le membre, je résiste.

    ─ James, allons dans le bâtiment à l’étage

    ─ Tu vas voir ce que je vais te mettre dans ton cul de salope.

À l’étage, j’ai une vue sur les alentours. Rapidement nu, je me penche et pousse légèrement sur mon anus. Un léger bruit en sort, indiquant que je suis ouvert. Il m’empoigne et m’empale. Surexcité, il me défonce le cul avec entrain. Je cherche un point pour me tenir : une poutre me permet de mieux gérer ses assauts. Je songe qu’après ça, le top serait que Kimi vienne m’enculer. Mais j’hésite, James n’étant pas au courant de mon nouveau partenaire.

James finit par jouir et se fige. Une idée me vient pour provoquer la chose.

    ─ Déjà ? Mais j’ai encore envie, moi. Continue !

    ─ Pas pour le moment.

    ─ Où est Kimi ?

    ─ Pourquoi ?

    ─ J’ai envie qu’il passe après toi.

    ─ Comment cela ? Tu t’es fait monter par Kimi.

    ─ Euh oui une fois ou deux.

James me demande à quelle occasion et je finis par lui avouer que la première fois que Kimi m’a pris, c’était dans la salle, le matin où lui et ses parents faisaient les courses. Je lui confie que, ce matin-là, je m’étais également offert à Evans. Je lui parle aussi de mon escapade nocturne, pendant son sommeil, derrière le bâtiment, au même endroit où nous étions avec Philippe. Evans nous a rejoints et m’a également pris, j’ai adoré !

James me demande combien de fois en tout, je suis tellement grisé par mes confidences que je finis par lui avouer que dès que l’occasion se présente, je n’hésite pas à le solliciter, que j’adore sentir mon cul dilaté par sa bite longue et grosse.

    ─ Je veux voir cela, attends !

James enfile son maillot et descend. Là, je suis en totale effervescence. L’idée qu’il cherche Kimi m’excite ; je scrute l’extérieur depuis l’étage et après plusieurs minutes d’attente, je vois Kimi s’approcher du bâtiment. Je l’appelle : il accélère le pas pour me rejoindre. Je n’attends pas que James soit là et m’installe à quatre pattes.

Rapidement parvenu à l’étage, il est immédiatement excité. Il me sent les fesses, sa grande langue chaude me parcourt, récupérant le sperme de James au passage. Rapidement, il essaye de me monter : l’avantage avec Kimi, c’est qu’il est haut sur pattes : il arrive pratiquement au même niveau que mes fesses et de mon intimité.

Je me centre, son sexe tapant sur une fesse. Je me décale juste un peu et sa queue me glisse jusqu’en haut de la raie des fesses.

Je sais que le prochain coup de reins de Kimi touchera son but. Je ferme les yeux et le sens descendre entre mes fesses. Je pousse sur mon anus pour le forcer à s’ouvrir, ce qu’il fait sans difficulté. Sa bite me remonte la raie, bute à l’entrée et s’engouffre entièrement en moi.

Kimi enchaîne les va-et-vient, et quand James nous rejoint, il ne peut que constater que nous sommes déjà accouplés.

    ─ Tu te fais déjà fourrer… Tu aurais quand même pu attendre que j’arrive, ma salope !

    ─ Il fallait que je le calme, maintenant il est gérable il n’ira pas bien loin !

  ─ J’imagine qu’il te défonce bien ? Je ne réponds pas, me contentant de sourire. Ensuite nous restons cul à cul et son sexe prend délicieusement toute la place. Je sens de légers à-coups : il fait le plein sous les yeux de James.

    ─ Tu t’es même tapé Kimi, incroyable !

    ─ C’est les vacances ! Quelle façon de passer le temps agréable et excitante ! Je me fais juste du bien…

    ─ Ce soir tu as l’intention d’aller faire un tour derrière ?

    ─ Je ne sais pas, il y n’a qu’une fois où Evans et Kimi étaient là ensemble. Mais oui, pourquoi pas.

    ─ Par contre, je viens si tu décides d’y aller.

Je suis soulagé que la brouille entre nous soit dissipée. Pour ce qui est de Sophie, l’instant ne s’y prête pas et je décide de reporter le sujet à un autre jour.

Après le diner nous discutons tous ensemble de la pluie et du beau temps. Il se fait tard et tout le monde s’en va au lit. Dans notre chambre, contrairement à son habitude, James ne se jette pas sur mes fesses et nous attendons que tout le monde dorme pour aller dehors ! Je m’endors mais James me réveille pour me prévenir quand il est enfin temps. Nous descendons discrètement.

  ─ Tu vas pouvoir t’amuser effectivement, Evans et Kimi sont là !

James avait déjà tout prévu. Au milieu de la cour, j’ôte mon pyjama ; Evans et Kimi s’empressent de venir me renifler le sexe et les fesses. Je suis obligé de courir et de les esquiver pour arriver derrière le bâtiment, James me suis à quelques pas.

A l’abri des regards indiscrets, je me laisse faire : Evans vient tout de suite me lécher le sexe que je m’empresse de décalotter. Kimi cherche instamment à me renifler les fesses. Lui n’a qu’un objectif : me prendre le plus rapidement possible.

Je ne peux pas décalotter et en même temps écarter mes fesses. Je finis par m’agenouiller rapidement : le premier derrière moi sera le premier servi. Kimi, plus grand, prend le dessus et pousse Evans sur le côté. James regarde Kimi qui entreprend de me monter et m’empale quasi instantanément. James me présente sa queue :

    ─ Je vais t’optimiser, ma petite chienne !

Les deux mains rivées au sol, je suce goulûment James. Evans se joint à moi et lui lèche les parties qui ne sont pas dans ma bouche ainsi que ses couilles. Si je pouvais me toucher à cet instant, je crois que je jouirais tout de suite.

James ne tient que peu de temps et jouit rapidement. J’avale ce que je peux. James retire son sexe et le présente à Evans qui le lèche. Kimi s’occupe toujours de moi, nous restons collés et la dilatation est délicieuse. Dix minutes plus tard, Kimi se retire de moi, laissant un trou béant qu’Evans s’empressa de me lécher. Je me mets une claque sur la fesse pour inciter Evans à monter à son tour.

Il commence à s’exciter sur ma cuisse, mais comprend rapidement qu’il n’aboutira pas à grand-chose ainsi. Il se place enfin derrière moi, son sexe à peine sorti du fourreau trouve mon anus sans mal. Evans me pénètre à son tour, me fourre généreusement pendant que James regarde. Je ferme les yeux pour mieux apprécier le moment.

James s’approche, prend mon sexe, commence à me traire doucement, tenant ma queue fermement entre son pouce et l’index. Il glisse du bout de mon gland jusqu’à la moitié de ma queue, Evans dans mon cul et James qui me trait, je lui jouis dans la main rapidement. Il récupère le lait que ma queue a craché. Il entreprend un massage de mes couilles et de mon sexe avec mon lait, un vrai régal.

Avant de rentrer, je m’accroupis pour essayer d’expulser le plus de sperme de moi, Kimi s’approche et commence à me lécher le sexe, récupérant mon sperme pris dans mes poils, je le laisse faire. Il parvient à glisser sa langue jusqu’à mon anus, récupérant au passage toutes les semences qui en coulent.

De nouveau excité, il tente de me grimper dessus. Je réussis à me dégager et m’installe de nouveau à quatre pattes. Rapidement je sens sa queue bouillante glisser entre mes fesses et s’engouffrer en moi au bout de deux trois tentatives. James sourit.

    ─ Tu me rejoins à la maison dès que tu seras disponible évidemment.

    ─ Oui.

Je pense, comme parfois dans ses assauts précédents, qu’il arrêtera au bout de quelques secondes. Eh bien non ! Il continue de me fourrer généreusement. Je patiente, les fesses bien remplies. Quand nous nous séparons, je reste en position et tente de finir ce que j’avais entrepris : expulser la semence récoltée. Evans vient me lécher les fesses et engage une toilette intime. Je reste sans bouger, tant la chose est agréable. Un instant, je pense qu’il va essayer de me monter, mais finalement ce n’est pas pour cette fois.

Je prends mes affaires et retourne à la maison. Dès mon retour dans la chambre, James veut m’enculer ; dans notre escapade nocturne, il est le seul à ne pas m’avoir sodomisé. Je m’allonge sur le dos pour lui offrir une pénétration profonde. Je n’ai pas encore les jambes en l’air que mon anus fait « pop ». Je suis bien ouvert : mes deux partenaires ont bien uvré.

J’en prends de nouveau plein le cul, je devine que cela sera rapide mais l’essentiel est qu’il se vide bien les couilles en moi. Pendant qu’il me besogne, je me demande combien de fois je me suis fait prendre depuis le début de ces vacances. Mon cul, lui, n’est pas en vacances, sollicité tous les jours pour mon plus grand plaisir.

Le lendemain matin, j’ai un coup de cafard : les vacances touchent bientôt à leur fin. C’en sera donc bientôt terminé de tous ces jeux. Mais je ne suis pas encore parti ! Je déjeune et file dehors ; Le temps est parfait : beau et chaud. Quelle barbe de porter des vêtements par ce temps-là ! La meilleure tenue, c’est d’être nu… Bref je dois me faire une raison.

Mes deux compères jouent dehors. Ils me rejoignent et quelques coups de nez à mon entre-jambes me rappellent qu’ils se souviennent de nos occupations nocturnes. Mais, les esquivant, ils comprennent que ce n’est pas le moment et continuent donc de jouer.

Les parents nous proposent d’aller à la plage. Nous voilà donc partis : quarante bornes, ce n’est pas le bout du monde.

Une belle plage avec des dunes avec seulement quelques personnes, tel est le cadre de notre baignade. James et moi effectuons des longueurs, nous éloignant des parents. Arrivés suffisamment loin, je décide d’enlever mon maillot. Personne ne peut me voir. Je nage tranquillement, complément nu ; nous nous rapprochons du bord juste suffisamment pour avoir pied ; seules nos têtes dépassent. Sachant que je suis nu, James sent sa libido se réveiller. Je tâte son maillot et effectivement il bande, le coquin. Rapidement je suis dans le même état, cependant, ici rien n’est possible.

Nous nous éloignons encore un peu plus des regards mais sans réelle chance de conclure. Trop excités, nous continuons de nager pour faire redescendre l’excitation.

D’un seul coup, je sens quelque chose toucher mon sexe en érection. Tout de suite, je me redresse et regarde autour de moi. Un homme avec un masque fait surface.

    ─ Tu lui fais prendre le frais ?

Je souris ainsi que James.

  ─ Je t’ai vu lui caresser le maillot, tu as envie de quelque chose ?

Je regarde James sourire. Pour moi, c’est signe que cela ne le dérange pas.

    ─ Que proposez-vous ?

  ─ Tes fesses donnent envie qu’on s’occupe d’elles !

  ─ Envie de m’enculer ?

  ─ Eh bien, toi tu n’y vas pas par quatre chemins. Oui effectivement !

  ─ Alors allons dans les dunes…

A suivre…

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