J’ai dix-huit ans mais j’avoue que j’ai été puceau jusqu’à cet anniversaire, ce qui paraîtra tôt pour certain et
tard pour d’autres. Je fais partie de la catégorie des autres.
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée alors que j’étais encore puceau, j’était célibataire et ressentait vraiment le besoin de coucher avec quelqu’un, c’était devenu une obligation!
J’avais ce jour-là rendez-vous avec le directeur d’une banque de la Côte d’Azur – où je vis – qui désirait embaucher un jeune homme voulant se faire de l’argent pour l’été qui aurait pour but de faire toutes les petites
corvées, classement, envoi de lettres importantes…
J’avais avec dix minutes d’avance devant la banque et garait ma moto en l’accrochant à un cadenas.
J’entrai ensuite dans la banque et traversais la grande ’pièce’ pour me rendre jusqu’à un ascenseur où j’appuyai dur le bouton du deuxième étage comme on m’avait dit de le faire lorsque j’avais téléphoné.
J’arrivai dans une salle où des photos de toutes sortes étaient accrochées et où une secrétaire parlait au
téléphone derrière son guichet, elle me fit signe de patienter.
J’en profitai pour me détailler la jeune femme et ce que j’y vis ne me déçu pas, elle devait faire dans les un mètre soixante quinze et n’avait pas un gramme de graisse, j’imagine que son poids ne devait pas la déranger…
Ses longs cheveux blonds tombaient sur des épaules incroyablement belles et – et là ça devient intéressant – elle portait une chemise très serrée dont on voyait apparaître les formes de la poitrine. Et quelle poitrine ! Elle
avait des seins énormes, le genre nibards parfaits pour une branlette espagnole. Et elle avait une bouche insensée, des lèvres magnifiques. Je pensais à ce moment qu’elle pourrait ’en’ rentrer au moins deux en même
temps.
Elle raccrocha et me sourit:
— Vous devez être Ben ?
J’approuvai de la tête.
— Madame X vous attend dans son bureau, vous pouvez entrer !
Madame ? Je pensais que c’était un homme !
— Oui. !
Je la regardai une dernière fois puis pénétrait dans le bureau
J’y vis quelque chose d’une beauté incroyable, deux brunes à la poitrine généreuse en maillot étaient face à
face, celle derrière le bureau devait être la directrice, pourtant je ne lui donnais pas plus de trente
ans, l’autre femme devait avoir mon âge.
Elles se levèrent en même temps, elles portaient toutes les deux des maillots noirs qui semblaient prêts à exploser tellement leurs seins étaient gros.
— Vous êtes David ? La directrice venait de parler.
Oh putain quelle bouche à pipes !
Oui !
J’étais incapable d’ajouter quoi que ce soit alors qu’une bosse commençait à germer aux alentours de ma ceinture.
Elle s’approcha de moi.
— Estelle X, je suis la directrice de la banque !
L’autre femme se leva ; elle aussi.
— J’espère que vous n’êtes pas dérangé par notre tenue ? Il fait si chaud cet été !
— Non, non !
Je n’arrivais pas à détacher mes yeux du bikini de la plus jeune. Elles durent s’en rendre compte.
— He bien tu as l’air d’aimer notre tenue…
J’étais comme muet, sachant qu’elles allaient me virer. Mais au lieu de ça, la plus jeune s’approcha d’Estelle et l’embrassa avec fougue. Mon sexe doubla de volume.
— Et ça tu aimes ? Demanda-t-elle.
Je ne répondit pas. Elles se mirent à rire et je pensais qu’elles se foutaient de moi jusqu’à ce qu’Estelle s’approche de moi et retire son soutien-gorge. Son amie s’en approcha et se mit à les caresser pour finir
par les lécher. Pendant qu’elle continuait, Estelle, elle, déboutonna ma chemise et me la retira.
— Mais c’est que tu es musclé !
Elle fit glisser sa langue le long de ses lèvres. Les abdos et pompes quotidiennes portaient leurs fruits. Tout en gémissant un peu à cause des tripotages de sa partenaire, elle fit glisser ses doigts le long de mon
ventre et jeta un oeil sur le pantalon qui me faisait mal tant mon sexe avait grossi et grandi.
— Pourquoi ne l’enlèves-tu pas ?
Comment refuser ? Je détachais ma ceinture et baissais mon pantalon, mon caleçon avait triplé de volume. L’autre cessa de lécher Estelle et se tourna vers moi tout en retirant son maillot de haut, quels seins, ils
étaient énormes !
— Occupe-toi de lui ! Lui dit Estelle.
Alors elle se mit à genoux la tête face au caleçon et fit me retira celui-ci, quelle salope ! Elle posa ses lèvres pulpeuses sur ma bite et commença à la lécher pendant qu’Estelle se déshabillait complètement. Elle
faisait de longs va et viens et enfonçait mon engin au fond de sa bouche. Je ne pouvais m’empêcher de gémir.
— Oh oui !
Jamais on ne m’avait léché aussi bien, c’était une vraie experte. Pendant ce temps Estelle se doigtait en nous regardant avec pas moins de trois doigts, sa chatte était monstrueusement espacée. Elle avait du se
faire prendre des dizaines et des dizaines de fois !
Et l’autre continuait d’engloutir ma bite.
Estelle finit par revenir vers nous et m’embrassa en collant sa chatte contre le visage de la partenaire qui fut forcée de me lécher.
— Laisse-moi tranquille ! J’ai envie de profiter d’une bite. Y’en a marre de ta chatte.
Estelle haussa les sourcils et la gifla, elle la leva alors en la tirant par les cheveux et lui cria :
— Ah tu veux des bites ? Tu vas en avoir !
Elle approcha de son bureau et tira un tiroir d’où elle sortit QUATRE godes encore plus gros que ma bite. Elle s’approcha de la fille et lui en tendit trois.
— Tiens-les-moi !
— Oh non STP ! J’ai mal quand tu fais ça !
— TU voulais des bites !
Elle enfonça un gode dans la chatte de la fille et elle gémit. Elle prit ensuite le second et lui enfonça dans le cul. En sandwich!
Elle attrapa les deux derniers et les enfonça dans la chatte et dans le cul, incroyable. La file gémit et se mordit la lèvre, elle avait deux godes dans chaque trou !
— A nous deux maintenant !
Elle enfonça ma bite dans sa chatte et commença tandis que son amie, ne tenant plus, jouissait d’un coup !
A suivre…
Ben