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Les joies de la campagne – Chapitre 1




Mon mari venait d’être muté dans une petite ville de province. Nous étions marié depuis 3 ans (j’en avais 25 à l’époque) et pour le suivre j’avais quitté mon travail pour le suivre. Il avait été mon premier amour et c’est lui qui m’avait dépucelée. Pour tout dire notre vie sexuelle ne m’avait jamais vraiment satisfaite mais je m’y étais habituée.

Je finis par être engagée par le boulanger pour aller livrer le pain dans le village voisin et les fermes environnantes. Au bout de 3 semaines je commençais à bien connaître les clients ; un matin j’arrivais dans la ferme de monsieur Guibert, un vieux garçon de 45 ans qui vivait avec son père.

Je toquai à la porte et entrai dans la cuisine. Monsieur Guibert était là et me regardait d’un drôle d’air ; sur la table il y avait un litre de vin bien entamé.

’ Bonjour monsieur, je vous pose votre pain sur la table comme d’habitude? ’ je n’avais pas fini ma phrase qu’il se jeta sur moi me coinçant contre la table par derrière. Il saisit mes seins à travers mon pull et se mit à les malaxer. J’essayais de me débattre mais en vain : il était trop costaud pour moi.

’ Arrêtez, mais qu’est-ce que vous faites,

— t’en as bien une idée ma salope !

— non arrêtez, non ! ’

Mes cris ne faisaient que l’exciter davantage et il me retourna pour que je me retrouve face à lui. En une seconde il réussit à m’enlever mon pull. Il dégagea mes seins de mon soutien-gorge et se mit à les malaxer et à les pincer brutalement puis il se pencha pour les sucer avidement. Une de se mains passa sous ma jupe et entra dans ma culotte. Il commença à titiller mon clitoris. A ma grande honte je commençais à apprécier malgré moi ce qu’il me faisait et à mouiller, et il s’en rendit compte.

’ Ah ben on dirait que t’aimes ça ma cochonne, on va pouvoir passer aux choses sérieuses ’

D’un geste il enleva ma culotte, remonta ma jupe et m’assit sur la table. Il m’embrassa tout en ouvrant son pantalon. Il en sortit une queue bien bandée que je ne pus m’empêcher d’admirer : elle devait bien mesurer 23 cm et avait un gros gland .

’ depuis le temps que j’ai envie de te la mettre ma petite salope, tu vas voir qu’on sait y faire à la campagne ! Je parie que ton mari n’en a pas une si grosse? ’

(Il avait raison !) Il présenta son engin à l’entrée de ma chatte et me pénétra sans ménagement puis il commença à me besogner.

’ tu la sens bien hein, ça te plaît ma salope ’

Je ne pouvais m’empêcher de gémir à chaque coup de butoir car c’était vrai j’aimais sentir pour la première fois une si grosse queue dans mon vagin et je dois dire que la situation m’excitait : me faire baiser brutalement par un étranger, ses grossièretés, ses gestes brusques? Ma chatte était d’ailleurs toute dégoulinante de mouille et sa bite n’avait aucun mal à aller et venir si bien que j’eus un premier orgasme. Jamais je n’avais ressenti cela avec mon mari.

’ Eh ben dis donc je ne m’étais pas trompé tu es une vraie salope, elle t’as fait jouir ma bite et tu mouilles comme une fontaine. Attends j’en ai pas fini avec toi ! ’ il me fis descendre de la table et mettre à 4 pattes par terre. Là il me pénétra de nouveau ; il attrapa mes hanches et se mit à me limer encore plus vigoureusement. Quand il se retira je n’eus aucune idée de ce qu’il allait faire. J’étais très innocente et ne connaissais pas la sodomie. Aussi je n’eus pas le temps de protester quand il se mit à lécher mon anus et à le mouiller de sa salive, je dois même dire que j’appréciais quand il me mit un doigt dans le cul, mais je n’imaginais pas ce qui allait suivre.

Il présenta son gourdin bien lubrifié par ma mouille et posa son gros gland sur ma rosette et commença à pousser : alors je compris mais je ne pus réagir. Mon sphincter s’ouvrit sous la pression et c’est dans la douleur que son gland d’abord puis sa queue entière pénétra mon petit trou ; il poussa un grognement de plaisir et commença à bouger tout en branlant mon clitoris. Ses mouvements s’amplifièrent, il prenait soin de bien me la mettre jusqu’à la garde.

’ Tu la sens bien ma queue dans ton petit cul de salope, depuis la première fois que je t’ai vu j’ai eu envie de t’enculer ’ cela commençait à me plaire malgré la douleur ; ses va et vient étaient de plus en plus rapide, et il grognait de plus en plus visiblement il aimait malmener mon petit cul avec son gros pieu. Je finis par jouir une 2? fois, d’emblée convertie à la sodomie . mais lui était toujours en pleine forme. Il se retira et s’allongea sur le sol .

’ allez viens chevaucher ton étalon ’

J’obéis et plaçai sa queue à l’entrée de ma chatte et je m’empalai dessus en gémissant. Je bougeais mon cul et me soulevais à un bon rythme

’ allez plus vite salope ’dit-il en me mettant une claque sur les fesses .

J’accélérai, je sentais son gourdin coulisser dans mon con détrempé. Il me pétrissait les seins et je jouis encore une fois quand il envoya son jus au fond de ma chatte : pas moins de 5 longs et chauds jets de sperme !

’ ahhhhh ! Je me suis bien vidé les couilles et t’en as bien profité ma cochonne, ça t’as plu de te faire mettre par un paysan pas vrai ? ’

Après cela je me rhabillais et reprit ma tournée pensant déjà à ce qui allait se passer le lendemain?

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