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Jeune fille..aux paires… – Chapitre 1




Le temps était glacial….. j’étais seule, sur ce quai de gare à attendre mon train… emmitouflée dans mon long manteau… j’avais avec moi une simple valise, et je m’apprêtais à quitter ma campagne natale afin de me rendre dans la région parisienne… loin de chez moi…

Laissez-moi me présenter : Je m’appelle Sandra et j’ai à peine 18 ans… je mesure environ 1m65, cheveux longs et bruns. Je suis assez fine de corpulence, mais je souffre d’un complexe non négligeable : ma poitrine. Je fais un bon 95c, ce qui est assez inhabituel pour une fille de mon âge. J’ai toujours souffert d’avoir une telle poitrine. En effet, cela avait gâché mes relations amoureuses avec les garçons de mon âge. Ces derniers n’étaient intéressés que par mes seins. Ils ne voulaient sortir avec moi, que pour avoir le plaisir de les toucher, les malaxer ou les sucer… ou bien encore glisser leur verge entre mes deux globes et enduire mes seins de leur liqueur masculine. Et je dois avouer que je ne supportais plus d’être réduite à un simple fantasme sexuel. Je n’éprouvais aucune jouissance sexuelle lors de ces rapports. Tout cela m’avait ruiné mon apprentissage dans ce domaine… à mon grand regret.

J’étais fille unique et je devais commencer mes études de médecine à Paris. Hélas, mes parents n’avaient pas les moyens financiers de me payer un logement. J’ai donc dû me résoudre à loger dans une famille comme jeune fille au pair durant mon année scolaire. Mon choix s’était porté sur une famille bourgeoise vivant en banlieue parisienne. J’étais logée, nourrie et blanchie… en échange, je devais simplement faire un peu de ménage et donner quelques cours de mathématiques au fil de la famille. Il y avait d’abord Marie, la mère, puis Paul, l’époux. Ils avaient deux enfants : Hélène et Jean. Et voilà que je prenais le train afin de me rendre chez eux et faire connaissance avec ma nouvelle famille, pour quelques mois…

Arrivée à ma gare de destination, je décidais de prendre un taxi afin de me rendre directement dans ma famille d’accueil. Au bout de trente minutes de trajet, mon taxi me déposa devant une demeure bourgeoise, située dans une rue tranquille, au bout d’une impasse. Il s’agissait d’une maison de deux étages, dissimulée derrière une haie de sapins. Je franchis le haut portail forgé et je suivis un chemin de terre jusqu’à l’entrée principale de cette superbe villa.

J’étais très nerveuse à l’idée de faire la connaissance de cette nouvelle famille, et mon cur battait la chamade au moment où j’actionnais la sonnette de la porte. Au bout de quelques secondes, j’entendis des bruits de pas de l’autre côté de l’entrée… des sons qui venaient probablement de talons aiguilles. L’imposante porte en bois s’ouvrit devant moi, et je découvris Marie. C’était une femme magnifique et très plantureuse. Elle était à peine plus grande que moi, a la corpulence très élancée. Ses cheveux étaient coupés court et au carré, elle avait un visage très fin et les yeux d’un vert profond. On devinait sous son chemisier blanc une poitrine opulente, mais qui semblait ferme pour une femme de son âge. Elle devait avoir 45 ans, et elle portait une jupe qui lui arrivait aux genoux et qui faisait deviner des jambes assez fines, mais très bien galbées. Elle l’accueillit avec un grand sourire :

Bonjour Sandra ! Je suis tellement contente de faire enfin votre connaissance. J’étais très impatiente de vous accueillir chez nous !

Elle se pressa contre moi afin de me faire la bise. Elle me prit dans ses bras et je sentais immédiatement sa poitrine se coller contre la mienne. Je frémis lorsque ses seins se sont frottés contre les miens, je sentais ses tétons se durcir au contact des miens. Mais cela ne semblait lui procurer aucune gêne. Au moment où elle déposait ses lèvres sur ma joue, je sentais son parfum tellement enivrant, et sa peau semblait si douce…

Elle m’invitait alors à la suivre afin de rencontrer le reste de la famille. Nous fûmes aussitôt rejoints par Paul, son mari, et leurs deux enfants, Hélène et Jean. Paul était un homme assez bien charpenté, de corpulence assez musclée. Cheveux bruns et très courts, il avait de beaux yeux bleus… aucun doute qu’il devait avoir beaucoup de succès auprès de la gent féminine ! Hélène, la fille, était à peine plus petite que moi, elle avait de longs cheveux bouclés. Elle était très fine, avec une minuscule poitrine, ce qui contrastait beaucoup avec la mienne. Elle portait un minishort en jeans qui lui moulait parfait bien son petit derrière rebondi. Elle portait enfin un t-shirt moulant qui ne laissait aucun doute sur le fait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Enfin, Jean. Tout comme son père, c’était un jeune homme très athlétique, cheveux blonds, avec des épaules larges et un buste solide. Lui aussi devait avoir du succès auprès des filles de son âge…..

Après une courte présentation auprès de toutes ces personnes, Marie m’invitait à monter à l’étage où se trouvaient les chambres à coucher. Nous passâmes d’abord devant les chambres respectives des enfants, puis devant la chambre parentale. Ma chambre se trouvait au fond du couloir, juste à côté de celles des parents. Une salle de bains w.c. se trouvait également à ce même étage. Arrivée dans ma chambre, je rangeais mes habits dans l’armoire de ma chambre. Par la fenêtre, j’apercevais l’immense jardin derrière la maison, sur lequel une magnifique piscine trônait. Une fois mon rangement terminé, je descendais au salon rejoindre la petite famille pour le repas du soir. Nous fîmes plus ample connaissance, au cours d’un repas copieux et dans une ambiance très détendue.

A l’issue du repas, je pris congé auprès de mes hôtes afin d’aller me coucher. J’étais très fatiguée après cette longue journée, et même si mes cours ne devaient débuter que dans deux jours, je souhaitais profiter du temps qu’il me restait pour me reposer. Je montais donc dans ma chambre à l’étage. Je me déshabillais, et revêtis mon pyjama deux pièces avant de me mettre au lit.

Vers minuit, une subite envie d’aller aux toilettes me réveillait. Je me levais alors, et je sortis de la chambre pour me rendre jusqu’aux toilettes. Je me déplaçais dans la pénombre, évitant d’allumer la lumière et réveiller ainsi tout le monde. Puis, alors que je regagnais ma chambre, je passais devant celle des parents, et j’entendis de drôles de bruits qui passaient par l’entrebâillement de la porte. Je crus distinguer le son d’une voix de femme, comme de longs râles… intriguée par ces bruits, je m’approchais doucement de la porte, en tentant de voir d’où ces bruits pouvaient venir… et là… ce fut le choc…

Bien que la lumière de la chambre soit tamisée, on pouvait clairement voir ce qu’il s’y passait. Je fus stupéfaite de la scène qui se jouait devant moi : Marie et Paul étaient entièrement nus sur leur lit. Paul était allongé sur le dos. Marie était à quatre pattes, à ses côtés. Elle se cambrait au maximum et léchait avec précaution le sexe de Paul, en pleine érection. Sa bite était d’une longueur impressionnante, on distinguait parfaitement bien les veines qui parcouraient le long de ce pieu puissant, avec a son sommet un énorme gland violacé et enflé par le désir. Marie semblait prendre un certain plaisir à lécher ce bâton de chair. Sa langue tournait tout autour de la bite de son mari. Elle s’attardait sur le gland en y donnant des légers coups de langue. Puis d’un coup, elle avala entier le sexe tendu, en pompant celui-ci à s’en creuser les joues. Tout en lui prodiguant une magnifique fellation, elle massait délicatement les testicules de son homme, gonflés par le désir.

Alors que Marie s’activait sur le membre de son époux, ce dernier en profitait pour lui caresser la chatte à l’aide de sa main. Je pouvais voir Paul introduisant deux doigts dans la fente de sa femme. Cette dernière ondulait du bassin, accompagnant les caresses appuyées de Paul…à chaque fois que ce dernier lui enfonçait un doigt au fond de son puits d’amour, Marie poussait un râle de plaisir tout en gardant la bite bien raide de son mari au fond de sa gorge… elle suçait cette queue avec tant de plaisirs, qu’elle en bavait… on voyait sa salive couler le long de la tige rigide, jusqu’aux testicules. J’entendais Paul qui appréciait la caresse buccale de sa femme…

Oooooh… tu suces comme une vraie salope ! Vas-y ! Pompe bien ma queue petite chienne ! Bouffe-moi la bite petite pute !!

A la vue de cette scène, je sentais mon bas-ventre se réveiller… je ne pouvais détacher les yeux de ce spectacle lubrique. Je sentais que ma petite chatte mouillait déjà et mes tétons pointaient de façon outrageante… j’avais une furieuse envie de me caresser en les voyant baiser comme ça… puis Marie se redressa et se mit à chevaucher son homme. Elle prit appui sur la poitrine velue de Paul, et je vis son adorable cul s’empaler sur le pieu de son époux. La bite de Paul s’engouffra dans la chatte de Marie dans un bruit de succion. Marie remuait son cul dans tous les sens afin d’enfoncer cette grosse bite au plus profond d’elle. A chaque fois aller-retour le long de cette queue, j’entendais Marie jouir de plaisir :"défonce-moi salaud ! Baise-moi encore plus fort… ouuuuuuuuuii… ta bite est tellement grosse… j’ai la chatte en feu !…… je suis ta pute mon chérie ! Fais-moi jouir comme ta salope !"

A ces mots, je ne pus m’empêcher de me caresser ma chatte d’une main, et de l’autre, me caresser les seins sous mon pyjama… j’étais excitée comme jamais je ne l’avais été… j’aurais tant voulu être à la place de Marie… je mouillais mon bas de pyjama de plus en plus…

Puis Marie se retourna, tout en gardant la queue de Paul bien au chaud, au fond de sa chair humide. Elle me faisait face maintenant en prenant appui sur les cuisses de son homme… elle continuait à remuer son cul sur cette bite… je voyais ses adorables seins ballotter de droite à gauche sous les coups de pistons de Paul. Marie en bavait de plaisir… les yeux mis clos, elle haletait telle une chienne en chaleur, le visage déformé par la jouissance. On voyait des gouttes de sueur perler entre ses deux nichons … cette salope se régalait de ces coups de bite… et je commençais à me masturber en regardant Marie prendre son pied…

Mais tout d’un coup, Marie ouvrit les yeux, et m’aperçut par l’entrebâillement de la porte. Alors que je me tenais devant elle, à quelques mètres d’eux, j’avais encore les deux doigts de ma main qui fouillait ma chatte gluante de plaisir, et l’autre main qui pinçait sauvagement l’un des tétons…

Lorsque nos regards se croisèrent, je fus tétanisée par la peur… craignant que Marie ne se mette en colère, en me voyant me caresser devant leurs ébats… mais bien au contraire, elle continuait à se faire ramoner sa chatte par le bâton brûlant de Paul… elle me fixa des yeux, avec un regard lubrique… elle se redressa sur le pieu qui l’a pénétrait… elle porta deux de ses doigts dans sa bouche, mimant une fellation. De son autre main, elle se malaxait les seins… et je crus deviner un sourire vicieux qu’elle semblait m’adresser. Elle faisait glisser sa langue le long de ses doigts, tout en pinçant ses tétons durcis par le plaisir, elle me fit même un clin d’il… Elle ondulait de plus en plus, afin de s’enfoncer cette queue au plus profond d’elle… je n’osais plus bouger… subjuguée par ce spectacle si excitant… puis j’entendis Paul crier à sa femme :"putain ! Je vais jouir !!!"

Subitement, Marie se retira de sa position en libérant cette belle queue de sa chatte… elle se remit à quatre pattes à côté de son homme et elle avalait cette grosse bite comme une affamée… alors qu’elle branlait la bite de Paul, elle posa sa langue sur le gland, afin de recueillir la semence de celui-ci… puis, dans un cri de soulagement, Paul éjacula avec force, libérant des jets de sperme, directement dans la bouche de sa femme. Marie n’en loupait aucune goutte. Elle avalait chaque goutte de sperme avec une certaine délectation. Puis, soigneusement, elle avalait entièrement la queue flasque de Paul pour bien la nettoyer….. elle me regardait avec un regard rempli de vice tout en léchant cette bite souillée… j’en tremblais de plaisir…

Je repris mes esprits, et j’eus la force de détourner mon regard de cette orgie pour regagner ma chambre…

Encore tout excitée par le spectacle auquel je venais d’assister, je me mis au lit, finissant de me branler avec frénésie, m’imaginant rejoindre ce couple de vicieux…

Je n’avais jamais été excitée à un tel point. J’avais la chatte en feu, et mes nichons étaient tellement sensibles sous l’effet du désir…

Je finis par m’endormir, assommé par la jouissance et le plaisir que j’avais ressenti…

Et je me demandais de quelle façon allait se passer le petit-déjeuner du lendemain matin, face à Marie, après l’avoir vue sous son aspect le plus lubrique qui soit…

A ce moment-là, je ne me doutais pas encore que j’étais à l’aube d’une aventure de débauche et de plaisirs que je n’imaginais pas… cette famille allait m’initier aux plaisirs les plus tabous et les plus interdits…

A suivre… si vous le voulez bien…

J’attends vos commentaires avec impatience…

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