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Week-end entre amis qui dérape – Chapitre 2




La matinée devait être bien avancée quand un mouvement dans mon lit m’éveilla à demi. La nuit avait été courte et j’avais eu du mal à trouver le sommeil ainsi qu’à faire redescendre l’adrénaline après mes exploits de la veille. Quelqu’un se faufilait sous mes draps. J’enfouis ma tête sous l’oreiller espérant gagner quelques minutes de sommeil supplémentaires et feignis ne rien remarquer. Allongée sur le côté, je laissais Florent, enfin je supposais que c’était lui, se blottir tout contre moi, ne laissant plus un seul millimètre d’espace entre nos deux corps.

Sans aucun préambule, il releva d’un geste sec ma nuisette jusqu’à la taille. Toujours sans culotte, je sentis avec délectation sa trique sur mon cul. Il écarta mes fesses de ses deux mains et introduisit brutalement sa queue dans mon cul sans autre formalité ! Surprise, la douleur me fit vaciller un instant. Il avait forcé le passage avec son gros engin sans même prendre la peine de me préparer ! Je compris qu’il n’y aurait pas de préliminaires ce matin et qu’il était animé d’une envie furieuse et impatiente de baiser.

Il se retira immédiatement et s’amusa à introduire uniquement son gland dans mon anus avant de le ressortir. Il répéta l’opération plusieurs fois sans me pénétrer totalement ce qui eut pour effet de faire grimper mon excitation à son paroxysme dans un délai très court et à m’amener à le supplier de me fourrer profondément. Il abandonna finalement mon cul bombé et enfila ma chatte d’un coup sec. Sa bite endurcie commença des aller-retours énergiques entre mes cuisses humides et je ne pus m’empêcher d’onduler du bassin pour augmenter l’intensité et la profondeur des pénétrations.

Avec une envie manifeste de me torturer, il se retira de nouveau. Il agrippa mon bassin et me releva sans ménagement pour me positionner en levrette. Je relevais ma croupe au maximum et écartais largement les lèvres de ma chatte à l’aide de mes doigts, afin de faciliter le passage à sa grosse queue. Il ne revenait toujours pas. N’y tenant plus, je me prodiguais des caresses en attendant qu’il se décide à me prendre de nouveau. Il choisit cet instant pour me saisir brutalement les poignets, me privant de mes caresses, et les ramener l’un contre l’autre dans le bas de mon dos comme s’il allait me ligoter. Pas de corde. Pas de menottes. La force de sa main suffit à me maintenir fermement les bras. Je devais avoir l’air bien chienne, en levrette, la croupe bien ouverte pour l’accueillir et les bras maintenus dans mon dos. Il me pénétra enfin de nouveau et je m’abandonnais avec délectation à ses coups de bassin vigoureux.

Il me susurra des propos salaces :

Ma petite pute, je vais d’abord m’occuper de ta chatte et ensuite je vais te défoncer ton joli petit cul!

Il me fallut un petit instant pour réaliser que la voix n’était pas celle de Florent. Un autre pour tenter de me dégager.

J’essayai de libérer mes mains pour me défaire de cette étreinte. Sans succès… Il continuait de faire claquer son bassin contre mon cul, tout en haletant de plaisir et gémissant bruyamment.

Michael arrête !

Pourquoi ma salope, tu aimes tellement ça. C’était pas bon hier quand je t’ai prise sur la table ?

Si. Mais ce matin, j’en ai pas envie.

Je comprends pas. T’étais chaude comme la braise y a deux minutes !

Il reprit son va-et-vient de plus belle, ignorant mes protestations. Je ne savais moi-même pas pourquoi je tenais tant à me réserver pour Florent. Et au point où j’en étais, j’aurais pu profiter de cette agréable façon d’être réveillée. Mais la raison fût la plus forte.

Lâche moi Michael je t’ai dit !

Il se retira avec déception, frustré, la queue toute gonflée. Je roulais sur le côté en riant et lui mis un coup d’oreiller sur la tête pour détendre l’atmosphère. Il s’écroula sur moi et s’ensuivit une petite lutte sur le lit au cours de laquelle il en profita pour me caresser et m’embrasser, espérant certainement me faire changer d’avis.

Bonne joueuse, je descendis vers son membre que je pris dans ma bouche pour le consoler. Il rejeta sa tête à l’arrière en gémissant bruyamment, espérant que je soulage et vide ses bourses bien remplies par une bonne pipe bien serrée. Après quelques va-et-vient énergiques dans ma bouche légèrement ouverte pour augmenter la pression de mes lèvres sur sa queue, je l’abandonnais sur le lit sans le terminer.

Petite allumeuse, je finirai par l’avoir ton cul ! Promit-il en rigolant

Dans tes rêves ! Salut !

Je descendis dans la cuisine sans prendre la peine de revêtir autre chose que ma nuisette. A ce stade des opérations, plus de place à la pudeur. Florent et Emilie était déjà en mode petit déjeuner. Le café embaumait toute la pièce et il y avait des croissants tout chauds. Flo évita mon regard et me gratifia d’un bonjour à peine audible. Emilie quant à elle souffrait d’une énorme gueule de bois. Ce qui ne l’empêcha pas de s’extasier sur la soirée de la veille. Contrairement à ce que je pensais, elle avait bien remarqué mes prouesses avec Michael et Seb.

Waouh, tu t’es trop lâchée hier ! Incroyable ! Alors comment c’était ?

Je m’abstins de lui répondre tout en me concentrant sur mon jus d’orange. Elle insista et je lui promis de partager mes impressions lorsque nous serions toutes les deux.

Sébastien nous rejoint, aussitôt suivi par Michael qui avait apparemment réussi à calmer ses ardeurs. La tension était tout de même électrique dans la pièce et je n’osais imaginer le spectacle que je devais donner, les cheveux en bataille, entièrement nue sous ma nuisette légère et transparente, les lèvres rosies et gonflée d’avoir sans arrêt sucé depuis la veille. Sans compter que ces mâles devaient inconsciemment sentir les phéromones que je dégageais ainsi que l’odeur de la mouille abondante de ce matin, mélangée au sperme de la veille, qui se trouvait toujours entre mes cuisses.

Emilie, malgré l’arrivée des garçons et ma promesse de tout lui raconter, continua néanmoins ses commentaires :

T’as trop de la chance Joanna. S’il n’y avait pas Florent, je rêverais de vivre une expérience comme la tienne.

Les garçons comprirent évidemment sur quoi portait la conversation.

Je me porte volontaire si tu veux proposa Sébastien

Florent leur décocha un regard noir à tous les deux, ce qui ménerva passablement car il aurait dû n’en avoir rien à faire ! Jétais terriblement jalouse et Florent terriblement distant, froid et réservé. Impossible de savoir sil gardait ses distances à cause de la présence dEmilie ou sil se détournait tout simplement de moi, son désir à présent assouvi. Je filai sans rien avoir avalé.

— Je vous laisse. Je file sous la douche. On se retrouve à la piscine.

Trois quart d’heure plus tard, je descendais dans un joli bikini noir relativement échancré, fraîchement épilée. Je mis mes lunettes et mallongeai sur un transat pour une petite sieste. Toute la bande était là, en train de lézarder au bord de la piscine. Il faisait un temps magnifique et nous étions détendus.

Sébastien suggéra:

— Et si jinvitais des copines ce soir ? Cest pas que je me sens seul entre vous quatre mais bon. Jaime pas faire la cinquième roue du carrosse.

Les garçons étaient évidemment partants mais Emilie protesta :

— Bof non, on est bien tous les cinq. Jai pas envie de me retrouver avec des pétasses qui vont tourner autour de Flo.

Michael eut laudace daffirmer :

— Mais non, tinquiètes pas ! Tu sais bien que Flo, cest la fidélité incarnée. Il te trompera jamais avec une pétasse !

Je ne sus pas si je devais me sentir visée au mot pétasse, quant à Flo, il devint tout pâle.

Je décidai de mettre de la crème solaire histoire de faire diversion. Michael se porta immédiatement volontaire pour m’aider. Il commença par m’enduire les épaules de crème puis m’invita à m’allonger sur le dos. Il me massa le décolleté plus que nécessaire puis passa langoureusement ses mains pleines de crème à travers le haut de mon maillot pour me caresser les seins. A mon regard surpris, il prétexta :

On sait jamais, ton maillot pourrait se décaler en nageant. Et tu pourrais avoir envie d’enlever le haut pour bronzer uniformément. Il faut bien protéger ta peau.

Le tissu fin de mon maillot ne masquait rien de mes tétons qui avaient durcis et Michael se mordait la lèvre inférieure d’envie. Ses mains glissèrent ensuite sur mon ventre plat et descendirent toujours plus bas, ne se privant pas d’effleurer mon clitoris à travers la culotte de mon maillot au cours de la trajectoire jusqu’à mes jambes. Il fit quelque va-et-vient très loin à l’intérieur de mes cuisses et me frotta la chatte sans vergogne, indifférent au spectacle que l’on devait donner. Je le laissai faire, bien décidée à donner une bonne leçon à Florent qui me snobait depuis le petit déjeuner.

Michael me fit signe de passer sur le ventre et commença par me malaxer les mollets avant de remonter lentement jusqu’aux cuisses. Il tira sur ma culotte pour l’enfoncer dans mon cul, en string improvisé, avant de me passer longuement de la crème sur les fesses. Il s’installa ensuite à califourchon sur mon bassin pour me passer la crème plus facilement sur le dos. Son boxer serré ne devait rien dissimuler de sa trique géante et de ses couilles bien pleines, que je sentais d’ailleurs rebondir sur mes fesses à chacun de ses mouvements.

La température grimpant anormalement vite, je décidai de plonger dans la piscine histoire de me rafraîchir. Michael trouva l’idée excellente et sauta également dans l’eau. Il me rejoint en quelques brassées et tenta de me faire couler. Petite bataille d’eau. Mains de plus en plus baladeuses. Je décidai de calmer le jeu et nageai jusqu’à l’autre rive. Bien sûr , il me suivit à la trace. Il m’emprisonna, un bras de chaque côté de mon corps, en me plaquant contre le rebord de la piscine. Sa bouche fut sur la mienne en une seconde et nos langues se mélangèrent.

Michael libéra sa bite de son boxer de bain abritée dans l’eau des regards indiscrets et entreprit de se frayer un passage dans ma chatte en tirant ma culotte sur le côté au niveau de l’entrejambe. Hagard, la respiration saccadée, je voyais bien qu’il n’en pouvait plus et qu’il devait avoir mal à la bite de frustration. Le jeu commençait à aller trop loin. Je décidai de profiter de sa confusion pour me dégager de son étreinte avant de sortir prestement de l’eau.

Je regardais pour la première fois dans la direction de Florent. Si ses yeux avaient pu lancer des éclairs, il m’aurait foudroyée sur place. Il était tout simplement furieux.

J’avais soif. Direction la cuisine pour aller chercher le rosé. Je m’éloignai d’un pas guilleret, un immense sourire de contentement sur les lèvres. J’avais atteint ma cible ! J’étais en train de me servir un verre quand Florent débarqua sur le pas de la porte.

A quoi tu joues bordel !

Je pris un air innocent, feignant de ne pas comprendre à quoi il faisait référence.

Quoi, comment ça ?

Ne fais pas l’innocente ! Je te préviens… Arrête ce jeu tout de suite !

Quel jeu ? Ou sinon quoi ?

Arrête de me pousser à bout Joanna, sinon tu vas le regretter !

Rien à foutre. Je ne joues à aucun jeu. Tu prends tes désirs pour des réalités et tu ne peux rien me faire !

Il m’attrapa le coude violemment et me tira hors de la cuisine. Il me traîna jusqu’aux toilettes et me poussa à l’intérieur sans ménagement avant d’abaisser le couvercle des WC et me forcer à m’asseoir dessus. Il pensa à verrouiller la porte.

T’en as rien à foutre ? Ah bon ! C’est ce qu’on va voir. Tu crois que je ne vois pas clair dans ton petit jeu ?

Je ne vois pas de quel jeu tu parles et j’en ai rien à foutre de toi !

Debout devant moi, il me prit la main de force qu’il plaqua sur son sexe par dessus son short de bain. Il se frotta longuement avec ma main que je tentai de dégager vainement. De l’autre main, il dénoua les nuds de mon haut de maillot, sur ma nuque et sur mes omoplates. Le tissu minuscule glissa vers le sol avant que je n’aie le temps de réagir.

A la vue de ma poitrine généreuse nue, il respira bruyamment. Il sortit sa bite de son short et se branla, toujours avec l’aide de ma main. Je mourrais d’envie de participer mais la fierté me défendait de céder. Je boudais. Il bomba de ses mains mes seins qui étaient encore lubrifiés par la crème solaire et glissa son sexe dans le passage étroit qu’il avait ainsi constitué. Il prenait un plaisir intense à glisser dans mon décolleté et je crevais d’appétit pour sa bite qui avait pris de bonnes proportions.

Abandonnant mes seins, il me saisit par la gorge et me releva la tête. Il dirigea sa queue vers mon visage et tenta de se frayer un chemin entre mes lèvres scellées. Je tentai de détourner la tête mais il me tenait fermement. Il tapota son gland sur ma bouche résolument fermée.

Allez Joanna, suce moi. T’en meures d’envie.

Jamais ! Tu rêves.

Je me faisais violence pour résister. Moi têtue, fière et altière, hors de question de céder et de donner raison à sa ridicule démonstration. Pendant qu’il faisait des cercles avec sa bite sur mes lèvres serrées, je sentais mes résolutions fondre comme neige au soleil. L’occasion d’un moment avec lui ne se représenterait peut-être pas de sitôt. Je réalisais que j’avais aussi un peu exagéré et décidai de me faire pardonner.

J’ouvris la bouche soudain docile. Il fût littéralement surpris de sentir la salive s’écouler sur son membre. Heureux, il plongea profondément dans ma gorge tout en me maintenant fermement la tête.

Vorace, je dégustais sa queue délicieuse, tantôt lapant le gland du bout de la langue, tantôt enfournant son membre profondément. Je jouais sur la pression avec mes lèvres, parfois légère, parfois accentuée. Quand à ses bourses pleines, je les aspirais dans ma bouche avec délectation tout en branlant sa queue bien bandée.

Han… Gémit-il. Attends Joanna, tu vas me faire cracher.

Je m’éloignais un peu, le temps de le laisser reprendre le contrôle. Il me releva et s’assit à ma place. Il retira ma culotte et m’invita à m’asseoir sur son érection. Je grimpai à califourchon sur sa trique, qu’il voulut m’aider à insérer dans ma chatte. Je dégageais ses bras. C’est moi qui allais le baiser à présent. Je le poussais violemment en arrière pour qu’il reste passif. J’enfilais sa queue avec délice entre mes cuisses moites. Elle entra comme dans du beurre. Je me mis à onduler le bassin d’avant en arrière. C’était bon. Un régal.Ça glissait tout seul.

Elle est trop bonne ta bite Florent.

Mon appétit pour son sexe l’excita comme un cheval, il empoigna mes hanches pour m’aider à mieux coulisser sur sa queue et s’enfoncer encore plus profondément dans mes entrailles.

Tu vas me faire jouir ma salope.

Attends, crache pas, j’ai envie de t’avaler.

Il réussit à me bourrer encore un peu pour me conduire jusqu’à l’orgasme. Un petit cri m’échappa lorsque je sentis l’intense vague de chaleur dans mon ventre. Néanmoins, je ne perdis pas une seconde et m’agenouillai pour remplacer ma chatte par ma bouche. J’aspirai ma mouille abondante sur sa queue. Il gémit intensément avant de tout lâcher. Un premier jet de sperme chaud vint éclabousser mon palais. Sa queue se contracta fortement puis un second jet beaucoup plus épais s’écoula sur ma langue. Le goût était fort et âpre. C’était bon. Je n’avalais pas tout de suite et ouvris la bouche pour lui montrer le liquide blanchâtre sur ma langue. Je pris le temps de garder son goût dans ma bouche quelques instants. Je léchai pour finir les dernières gouttes blanchâtres sur sa bite qui retomba soulagée.

Il me caressa les cheveux :

T’es trop bonne toi, c’est de la folie! T’es un sacré coup je te jure !

Nous prîmes quelques instant pour nous remettre de nos émotions avant de sortir des toilettes prêts à affronter le monde. Evidemment les autres avaient dû s’inquiéter de notre disparition peu discrète. En particulier une personne. Qui se trouvait justement devant les toilettes, rouge de colère, à taper rageusement du pied.

— Comment vous avez pu me faire ça à moi ? Hurla Emilie. Toi Joanna, tu n’es qu’une sale putain et toi Florent, t’es le pire des connards !! SEBASTIEEEN conduis moi à la gare tout de suite !!! C’est bon, je me casse, vous allez pouvoir la faire votre soirée avec vos pétasses. Et toi Florent, tu pourras la baiser par devant, par derrière et autant que tu le voudras, cette salope de fausse copine !!!!!! JE ME CASSE !!!

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