Alors que la tête de ma sur se penchait très lentement en direction du sexe offert de notre mère, je ne pus qu’obéir à l’ordre délicieux que ma sur venait de me donner.
Je m’approchais en admirant le fessier de ma sur, dessiné et moulé dans la robe courte. Son cul est tout simplement merveilleux. Rond, rebondi et assez musclé. Paradoxalement, alors que l’instant ne s’y prête pas, je me fais la réflexion selon laquelle ma sur doit me cacher pas mal de choses. Je ne sais pas si elle fait un quelconque sport pour s’entretenir de la sorte. Mais en la regardant, la réponse me semble pourtant assez évidente.
Le soupir d’aise de ma mère me sort de mes pensées, et je constate avec délice que ma sur vient de pousser doucement les jambes de maman en les écartant encore un peu plus, histoire de se donner la place nécessaire pour être à l’aise lorsqu’elle va enfin sucer sa chatte déjà humide d’excitation.
En me postant juste à côté de ma sur, je me mets à genoux. Je fixe du regard cette langue qui sort avec lenteur entre les lèvres carmin de ma petite sur, et qui s’avance vers le sexe offert de notre mère. Elle n’est qu’à quelques centimètres de son but.
Cette image va rester gravée à jamais dans ma mémoire. C’est d’un érotisme ravageur. J’aurais voulu avoir mon appareil photo en main pour pouvoir immortaliser ce moment qui ne peut ressembler qu’à l’Eden.
En reculant de quelques centimètres sur mes genoux, j’ai une vue plus dégagée de la scène qui s’offre à moi.
Je regarde ma sur, dont les seins pendent sous son corps. Ils semblent vouloir s’échapper de son décolleté. Ses seins ronds, lourds sont une merveille à contempler. Et lorsque la langue de ma sur touche enfin la chatte de notre mère, un soupir de plaisir s’échappe de sa bouche.
OOOoooooh… Caroline. Vas-y ma chérie… Je n’en peux plus.
Elle passe alors une main derrière la tête de sa fille et lui donne le rythme qui lui permettra d’atteindre rapidement l’orgasme monstrueux auquel notre mère aspire à présent.
Le mouvement ordonné par notre mère me ramène alors aux seins de ma sur qui bougent en cadence avec ce mouvement initié par notre mère.
Mon Dieu. Que ses seins sont merveilleux. Ils bougent, pointent sous le tissu de la robe qui doit à présent faire office de stimulateur et permettre à ma sur d’en ressentir les effets dans sa délicieuse poitrine.
Je ne peux m’empêcher de lui dire
Mmmmmhhhhh… Caroline. Tes seins sont fabuleux, surtout dans cette position et ce mouvement.
En s’arrêtant de lécher notre mère, elle me dit
Merci. Je suis heureuse que cela t’excite, Alexis. J’aime mes seins et je sais leur effet sur les hommes. Regarde-les, ils sont là pour cela. Mais n’oublie pas maman, regarde-moi aussi la sucer.
Oui mon chéri, me dit-elle alors dans un souffle, profite du spectacle puisque c’est ce qui t’excite.
Ma mère rapproche alors la tête de ma sur de sa chatte et celle-ci reprend de lui passer la langue entre ses lèvres ouvertes.
Je remarque que sa technique est parfaite.
Elle monte du vagin vers le clitoris puis redescend en s’arrêtant une seconde devant l’orifice ouvert pour récolter ce qui en sort. JE constate effectivement, comme me l’avait promis ma sur, que ma mère mouille beaucoup.
Ma mère, alors qu’elle se fait lécher, n’en demeure pas passive. Ses seins sont sortis de sa robe et de sa main libre, elle les prend l’un après l’autre dans sa main, caressant le galbe de sa poitrine, passant ses doigts autour de ses tétons qui pointent de plus en plus, mais sans jamais les toucher.
Ce spectacle est également ravageur pour mon entrejambe.
Ma queue est tellement gonflée que le gland sort de mon sous-vêtement, encore emprisonnée par mon pantalon de toile qui, pourtant, ne cache plus grand-chose de mon état d’excitation avancé.
Je ne le libère pourtant toujours pas, car je sais que la moindre pression risque de me faire juter.
Les seins de ma sur qui bougent, ses tétons érigés, ceux de ma mère, la langue de ma sur qui va-et-vient dans la chatte de notre mère et ses soupirs de contentement… Je ne pense pas qu’il puisse y avoir un homme sur terre qui n’éjaculerait pas immédiatement devant mes deux déesses.
Je me lève alors et m’éloigne de ce spectacle quelques secondes, juste le temps de prendre une chaise et de l’installer à la place que j’occupais précédemment.
Ma mère, ouvrant les yeux en entendant le bruit de la chaise posée sur le carrelage, me sourit en fixant ma queue qu’elle devine prête à éclater.
Puis, refermant les yeux, elle ouvre la bouche pour laisser s’échapper un son reconnaissable
OOoh… Caroline, c’est si booooooon… Encore, encore… je vais jouir.
Ma sur fait alors pénétrer sa langue dans le vagin qui l’a vue naitre, récolte la cyprine de notre mère puis remonte aspirer son clitoris. D’une main, elle en profite pour caresser sa poitrine qui balance toujours sous son corps.
Ma queue va exploser.
Je n’y tiens plus et je la libère de son carcan de tissu.
Elle n’a jamais été aussi énorme. Elle pointe vers le ciel, encore partiellement éclairé par le soleil couchant, tel un pic prêt à l’emploi.
Mmmmmhhh… Ta queue est très belle, mon fils ! dit alors ma mère. Qu’attends-tu pour lui donner satisfaction ? OOOhhhhh… Plus fort Caroline, suce-moi fort. Vas-y, ma chérie.
Maman, si je la touche, je jouis. Vous n’imaginez pas à quel point vous m’excitez toutes les deux. J’en ai mal jusqu’aux couilles.
Aaaaaahhhh… Caroline… plus fort, plus fort…! Tu aimes le spectacle alors, me demande-t-elle en expirant le peu d’air qu’il lui reste dans les poumons. Cela t’excite de voir deux femmes se lécher. Tu aimes regarder maman et ta sur t’exciter ? C’est conforme à ce que tu espérais ? Oooooh… oui… je vais jouir… Encore Caroline, encore…
Maman, c’est pire que tout. C’est grandiose, c’est… inimaginable. Vous m’excitez trop…
Aaaaahhhh… ouiiiiiiiiii.
Ma mère jouit instantanément suite à notre échange et lorsque ma sur lui fait pénétrer deux doigts dans la chatte, cela semble l’achever définitivement. Son cri de jouissance est long, doux, empreint d’amour et de reconnaissance pour celle qui vient de lui donner un orgasme visiblement foudroyant.
Un petit jet de cyprine s’échappe de sa chatte alors que ma sur retire ses doigts gluants du vagin maternel, tout en laissant un dernier baiser sur le clitoris saillant et humide.
En se relevant, ma sur me regarde et passe sa langue sur ses lèvres encore remplies des sécrétions de sa partenaire de plaisir.
Quelle vicieuse, tout de même ! Car en plus, elle prend ses seins en mains et les soupèse en me regardant.
C’est vrai qu’ils te plaisent, Alexis ?
Tu rigoles ? Tes seins sont magnifiques, petite sur.
Je suis si heureuse de te plaire, me lance-t-elle en riant.
Notre mère sort alors de sa léthargie à ce moment, et se relevant, réajuste sa robe sur son corps merveilleux. Elle se dresse dans toute sa féminité, juchée sur ses talons et prend sa fille dans ses bras. Leurs poitrines s’écrasent l’une contre l’autre et elles s’embrassent. La langue de ma sur frottant celle de ma mère, hors de leurs bouches.
Mmmmhhh… Merci ma chérie. J’en avais besoin. C’était terriblement terrifiant de jouir ainsi.
De rien, maman. Tu sais que c’est quand tu veux. Mais je dois avouer que cette fois, ta jouissance a été impressionnante.
C’est probablement les circonstances, dit-elle en souriant et en faisant un clin d’il presque imperceptible à ma sur.
Une petite alarme s’allume dans mon cerveau à ce moment, mais je n’y prête aucune attention. Ma mère a pris les seins de sa fille dans ses mains et lui caresse la poitrine amoureusement.
Il me semble que c’est ton tour à présent ? Qu’en dis-tu ma chérie ?
J’espère bien. Tu m’as excitée comme une puce.
Et joignant le geste à la parole, ma sur entraîne ma mère vers le salon.
J’ai envie de plus, maman. Prends-moi dans le grand salon.
En souriant, ma mère suit ma sur.
J’ai l’impression de ne plus exister.
Dois-je les laisser seules, dans leur bulle et leur plaisir ?
Elles viennent de me donner de quoi alimenter mes nuits solitaires pour un long moment.
Mais une pointe de déception est tout de même présente.
Se retournant, ma mère me demande
Alors Alexis ? Tu ne viens pas ? Tu n’imagines tout de même pas que c’est terminé ? Et en plus, tu n’as pas encore joui. Pas question de rater cela.
Fou de joie, je les rattrape alors que ma sur est déjà assise dans le fauteuil, jambes écartées, une main sur sa chatte déjà bien prête pour son premier round.
À mon tour de jouir, maman. Alexis, viens plus près. Tu n’en as pas terminé avec ton rôle de petit voyeur. C’est à moi de m’exhiber et de te faire bander, mon salaud ! déclare ma sur.
Je reste face à elle alors que ma mère prend un coussin sur lequel elle se met à genoux. Sa robe remonte et me permet de revoir le bas de son cul magnifique. Elle passe ses mains sur ses seins en retournant sa tête et me fixant directement en sortant sa langue de ses lèvres.
Ma mère et ma sur sont vraiment deux salopes de compétition.
C’est la réflexion qui me vient à l’esprit à ce moment précis. Elles ne semblent avoir aucun tabou. Et je ne serais, à l’instant, pas surpris que ces deux-là ne se contentent que de léchages et de caresses. Je suis certain qu’elles baisent ensemble et vont bien plus loin que ce que je vois ce soir.
Ma sur sort ses seins de sa robe et les tend dans ma direction en les pressant entre ses mains.
Viens regarder, Alexis. Mes seins pointent. Ils savent que tu es dans les parages et cela m’excite encore plus. Viens nous regarder jouir et viens t’exciter. Regarde, regarde-les… Tu les aimes, alors profites-en !
Comment ne pas obéir à un ordre pareil ? Je ne suis qu’un homme après tout et la chair n’est-elle pas faible ?
Ma mère écarte un peu plus les jambes de ma sur et, ne s’embarrassant pas de fioritures, place directement sa langue et ses lèvres sur son clitoris.
Elle aspire celui-ci d’un coup, ce qui a pour effet de permettre à ma sur de se cambrer en une fraction de seconde, faisant par la même occasion ressortir encore plus ses seins volumineux, qu’elle presse entre ses mains et qui sont toujours pointés dans ma direction.
Je ne pensais pas que mon sexe pourrait encore grandir, mais cette image sera la seconde de la soirée qui restera gravée dans ma mémoire.
Ma mère suçant ma sur, celle-ci cambrée au point que son dos ne touche plus le fauteuil, jambes écartées et seins pressés à pleines mains.
Ma queue n’en peut plus, je la saisis à pleine main et entame enfin un léger va-et-vient. Pas trop puissant, même si j’en crève d’envie, car je sais que je jouirais en quelques secondes. Je veux me repaître jusqu’à plus soif de ce qui m’est offert en cette soirée de juillet.
Oooooohhhh… salope ! Tu y vas fort dès le début ! dit ma sur à son bourreau.
Je n’en reviens pas du langage de ma sur et je m’attends à une remontrance de notre mère qui déteste la vulgarité. Mais elle me scotche encore une fois en répondant, tout en riant avec ma sur.
Arrête de te plaindre, je sais que tu aimes, petite garce. Tu aimes quand je te fais cela et que je suis une vraie salope avec toi ! Alors silence, arrête de râler et jouis. Jouis fort. Tu sais que j’aime quand tu éclates dans ma bouche.
Alors, fais-moi jour, maman.
Je dois faire un effort surhumain pour ne pas décharger suite à cet échange.
Putain, elles sont trop cochonnes. Je n’en reviens pas. Dire que je pensais les connaître sur le bout des doigts, je fais l’amère expérience de la duplicité féminine. Bonne leçon pour ma pomme. En quelques jours, je viens d’en prendre quelques-unes. Tous mes repères viennent de voler en éclats. Je vais avoir du boulot devant moi pour les reconstruire.
Mais le spectacle auquel j’assiste va aussi me servir de leçon. Je sais que mes deux femmes seront là à présent pour me guider si je le leur demande. Alors, autant en profiter.
Ma mère lèche la chatte gonflée d’excitation de ma sur qui se tend sous ses coups de langue. Elle presse ses seins l’un contre l’autre en étirant ses tétons érigés et soupirant comme une affamée devant un festin de roi. Ma mère fait coulisser trois doigts dans sa chatte ouverte et aspire son clitoris entre ses lèvres. Elles n’en sont pas à leur coup d’essai. Elles m’avaient prévenu, mais là, j’en ai la preuve par deux.
Ces deux femmes sont complices jusque dans le sexe. Et c’est merveilleux de les regarder.
Aaaaahhh… ouiiiiiiii… plus fort. Suce ma chatte, maman ! Suce ma chatte ! Prends là. Pousse plus fort. Tes doiiiiiiigts… aaaahhhh… je jouiiiiiis.
Ma sur éclate dans un cri qu’elle ne retient pas. Les murs doivent encore s’en souvenir.
Sa chatte éjecte à son tour un long jet de cyprine et ses jambes tremblent sous l’effet de l’orgasme. Elle tire sur les siens au point que l’on dirait qu’ils vont éclater.
Ma mère récolte ce qu’elle peut de la mouille de ma sur en se caressant à son tour ses seins. Elle en veut encore visiblement.
Je n’ai, de mon côté, toujours pas joui. Je ne touche plus ma queue depuis quelques instants, car j’ai peur de sonner la fin de la récréation en éjaculant. Je n’ai, de ma vie, jamais ressenti une telle excitation. J’en ai mal dans tout le corps. Tous mes muscles sont tendus à l’extrême de leur possibilité. Que dire de mon sexe et de mes testicules qui sont tendus à un tel point que la douleur en est insupportable. Je sais comment l’atténuer, mais je m’y refuse. L’excitation ressentie est un sentiment trop incroyable pour y consentir.
De nouveau perdu dans mes pensées, je ne remarque pas que ma mère est à côté de moi et que ma sur est derrière elle, lui tenant les seins dans ses mains et la caressant voluptueusement. Je vais me rendre compte à cet instant qu’elles affichent, toutes deux, un sourire sardonique.
Ce n’est que lorsque ma mère me parle à nouveau que je reviens sur terre et comprend dans quelle pièce je viens de jouer.
Alors, Alexis ? Toujours envie de retourner vers ton idiote de fiancée ?