Le soleil impitoyable dardait ses rayons brûlants en cette chaude journée de Juillet, rendant latmosphère irrespirable dans la voiture conduite par Camille. A ses côtés, sa copine Mylène souffrait elle aussi de la canicule.

  Soudain, elles avisèrent sur le bas-côté un champ dabricots qui retint immédiatement leur attention. Vaste et placé au bord de cette route peu fréquentée, il offrait également lavantage dêtre désert pour lheure.

   Exactement ce quil nous faut. décréta la brune et fine Camille.

  Elle sengagea sur une petite piste de terre en bordure du champ et stoppa son véhicule. Les deux jeunes filles descendirent de voiture et sortirent leurs paniers dosier du coffre. Elles commencèrent à se goinfrer des fruits juteux arrivés à maturité. Leur goût sucré et fruité leur imprégnait les papilles tandis que lair brassé par une légère bise séchait la sueur qui leur coulait sur les bras et le visage.

  Une fois rassasiées, elles commencèrent à remplir leurs paniers quand retentit une exclamation furieuse :

   Eh, vous ! Je vous y prends, espèces de voleuses ! Il ny a pas assez de marchands le long des routes?!

Le propriétaire du champ venait de les surprendre et ne semblait pas disposé à se laisser piller, comme en attestaient son visage congestionné et sa voix vibrante de colère.

Camille et Mylène se retrouvèrent toutes bêtes avec leurs paniers, ne pouvant nier lobjet de leur présence en ce lieu.

   Nous navons rien fait de grave, on a juste saisit loccasion quand on sest arrêtées au bord de votre champ.dit Camille.

   Avec des paniers comme ça dans la bagnole ? Vous vous foutez de moi ? Et si vous ne vous êtes pas arrêtées pour marauder, cétait pourquoi faire ?

Prise dune inspiration subite, Camille répondit après une brève hésitation :

   C’est-à-dire quavec ma copine, on cherchait un endroit discret pour se faire du bien. Nous avons remarqué ce champ inoccupé, alors

Lhomme comprenait parfaitement ses sous-entendus. Il semblait même envisager la suite avec un sens de linitiative certain, comme en témoignait la lueur lubrique qui venait de sallumer dans son regard. Linconnu détaillait sans gêne les deux corps sveltes et juvéniles que le hasard venait de mettre à sa disposition.

   Si ce nest que ça, vous pouvez continuer, ne vous gênez pas pour moi.

   Mais cest que cest assez intimecommença Camille.

   Ne vous inquiétez pas, jai une copine. Je ne suis pas en manque et je connais la musique. Et si vous ne vous exécutez pas, je pourrais croire que vous mavez raconté des histoires. Alors, allez-y, il ny a pas de lézards.

  Camille comprenait quelle ne faisait quaggraver une situation qui lui échappait. Elle commença à se dévêtir lentement, trop au goût du cultivateur.

   Allez, active un peu, tu ne vas pas y passer la journée.

Mylène ressentait un certain trouble à voir sa copine se déshabiller. Elle qui était pourtant une hétéro convaincue ne pouvait détacher son regard de ce corps mat de jeune hispanique. Camille hésita brièvement au moment de baisser le slip mais elle séxecuta, rassurée par la bonhommie de linconnu tout en étant troublée par lattitude équivoque de Mylène.

   Joli-apprécia lhomme-tu as vraiment un corps à damner un saint, ma belle. Mais je crois que vos joyeusetés se font à deux, non ?

Ce disant, son regard se posa sur la blonde et blanche Mylène.

   Je, c’est-à-dire que je ne sais pas si

   Moi, je sais. Je sais que tu as envie de ta copine. Si tu te voyais la reluquer. Allez, mets -toi à poil et fait- toi plaisir. Après tout, vous êtes bien venues là pour ça, non ?

Sans plus de manières, Mylène retira ses vêtements, livrant son corps mince de jeune adulte au regard fiévreux de linconnu.

   Voilà qui va me plaire, je le sens bien ce coup-là.

  Les deux filles se serrèrent lune contre lautre et commencèrent à se couvrir mutuellement de carresses.Les mains allaient et venaient sur les hanches et le dos de chacune des jeunes femmes, électrisant leurs corps dagréables frissons.

   Vous pouvez vous embrasser, ne vous gênez pas pour moi.

Camille prit linitiative décraser ses lèvres sur celles de son amie, laquelle entrouvrit la bouche pour lui laisser le passage. Lappendice se déployait dans la cavité chaude et humide de salive, caressant lintérieur des joues et cherchant à jouer avec la langue plaquée contre le plancher de la bouche.

   Pas mal, mais jai limpression que ta copine est un peu à la traîne. Tu devrais passer à la vitesse supérieure.

  Camille entraîna Mylène au sol et lallongea sur la terre sèche parsemée ça et là de touffes dherbes. Elle lui écarta les jambes et enfouie le visage dans lintimité de la blonde. Après avoir écarté les lèvres pâles du sexe, elle entreprit de titiller le clitoris dune langue pointue et salivante, faisant reluire la perle de plaisir dans son écrin de chairs plissées encadré de poils blonds.

Mylène commençait à manifester son plaisir par des ondulations du bassin accompagnées de soupirs ténus. Ils néchappaient toutefois pas au spectateur de la scène dont lérotisme commençait sérieusement à faire effet sur son anatomie intime.

   Attend, jai quelque chose de mieux pour elle.

Joignant le geste à la parole, il exhiba aux yeux de Camille un sexe pleinement déployé.

   Pousse-toi et admire le travail.

Lhomme sallongea sur le corps offert et senfonça dun coup, sans ménagement, laissant échapper un petit cri de douleur à sa partenaire.

   Désolé ma belle, mais dans ces cas-là, pas facile de se contenir.

  Tandis quil lui pistonnait le vagin en essayant de contrôler la force et la brusquerie de ses mouvements, il se mit à téter les seins de Mylène. Les globes étaient bien développés et agréables à la vue et au toucher. Leurs formes harmonieuses et la douceur de leur contact ne pouvaient que ravir quiconque avait la chance de les manipuler.

Se sentant sur le point darriver à la jouissance, il sarrêta soudain.

   Si jenvoie la purée maintenant, je ne pourrais pas rebander pour ta copine. On va procéder autrement.Mets-toi à quatre pattes.

   Vous nallez pas me sodomiser, au moins ? Je ne veux pas, je vous préviens.

   Tinquiètes, cest pas dans mes intentions. Dailleurs jaime voir les jolies filles quand je les nique.

Puis, sadressant à Camille.

   Viens nous rejoindre, toi. Mets-toi à côté de ta copine.

Son ordre exécuté, il se délecta du tableau vivant quil avait sous les yeux. Deux postérieurs joliment dessinés. Deux culs de jolies filles quil allait prendre en levrette à volonté.

  Il commença par Camille qui sentit lengin de lhomme pénétrer ses chaires moites et brûlantes. Le fourreau de chair serrait de près le sexe de lhomme qui profitait pleinement de la situation. Il avait posé ses larges mains sur les hanches de la fille et la tenait fermement tandis quil la pistonnait avec puissance, dilatant le conduit naturel dans lequel il senfonçait sans ménagements.

Après un temps plus ou moins long, il se retira de Camille et enfila Mylène de nouveau, profitant de loccasion pour pétrir les seins de sa partenaire.

   Rien de telle quune fille à gros nibards pour baiser. Les pétrir, les malaxer pendant quon la prend en levrette, cest vraiment génial !dit linconnu.

Il continuait à donner de grands coups de reins, ahanant sous leffort et la chaleur ambiante.

   Je sens que ça vient !

Un instant plus tard, lhomme se vidait de son sperme dans le sexe de Mylène. La sensation de la semence qui sécoulait dans son intimité lamena à jouissance également.

Excellent, cest super de se vider les couilles dans une si jolie fille. Si seulement cétait comme ça tous les jours, ce serait trop beau. Jespère que vous êtes satisfaites de votre côté mes beautés.

Lhomme se releva, épousseta ses vêtements et pris congé non sans lancer :

   Et bien sûr, vous pouvez charger la voiture autant que vous voulez, cest moi qui offre !

  Les deux copines le prirent au mot et remplirent entièrement la voiture avant de quitter les lieux.

Le chemin du retour se fit dans une ambiance étrange. Surtout pour Mylène. Lexpérience lui avait fait prendre conscience de tendances enfouies au plus profond de son être. Elle ne pouvait sempêcher de regarder les jambes bronzées de Camille à la dérobée. Elle fini par poser sa main sur une des cuisses bien galbées, attendant une réaction de sa copine. La main allait et venait sur la peau nue, caressant et palpant amoureusement la chair frémissante.

  Camille se contenta de lui sourire et appuya sur laccélérateur. Elle aussi avait maintenant hâte de rentrer au plus vite. Non seulement pour goûter au produit de leur cueillette mais également pour déguster un autre genre dabricot, meilleur encore que ceux qui embaumaient latmosphère brûlante de la voiture.

FIN

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