Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe mobiles Premières histoires de sexe

La cinquantenaire a des belles jambe – Chapitre 1




L’appartement était spacieux, meublé et très chic. Madame G, je la nommerai Carole, était une femme d’une cinquantaine d’années, belle femme blonde très bien foutue. Elle était vêtue d’une jupe tombant au-dessus des genoux et d’un petit chemisier blanc laissant transparaître de petits seins que je trouvais mignons. Brigitte était le stéréotype même de la bourgeoise salope qui exciterait n’importe quel homme un peu vicieux.

— Je vous en prie nous allons discuter des formalités. Me dit-elle tout en me désignant le canapé dans l’angle de la pièce.

Je m’installais tandis que Carole prit position sur un pouf en face de moi. Ses jambes se croisèrent et attirèrent mon attention car ses jambes fines étaient superbes.

Sa jupe était remontée sur le haut des cuisses et je pus entrapercevoir sa petite culotte en dentelle rouge. Mon regard se releva et croisa le sien ; un petit silence d’une ou deux petites secondes se fit. Durant cette seconde, j’ai pu détailler son visage. Ses lèvres recouvertes de rose étaient fines, ses cheveux coiffés avec un chignon lui donnaient un air de maîtresse d’école.

— Je suis sûr qu’elle m’a vu la reluquer.

Cette situation me gêna et je dus reprendre mes esprits. Finalement elle reprit:

— Donc voilà un exemplaire pour vous… Je vous laisse le lire.

Elle se pencha en avant en faisant glisser les feuillets dévoilant son décolleté plongeant sur ses petits seins.

Mes yeux se figèrent encore et mon regard recroisa le sien, son visage, assez dur n’exprimait aucun sentiment. Décidément, elle va me prendre pour un vicieux (ce que je suis après tout)…

Penché sur les documents, je feuilletais ce dernier. Madame me faisait face, toujours assise les jambes croisées. Il ne faut pas que je les regarde, il ne faut pas que je les regarde pensais-je, sachant que mon excitation augmentait et que mon pénis commençait à se réveiller commençant à se voir sur mon pantalon.

Je devinais dans mon champ de vision ses jolies gambettes, ce trésor qui m’excitait terriblement. Par deux fois, j’ai discrètement maté relevant légèrement le regard.

Elle décroisa une seconde fois ses jambes, plus lentement, dévoilant sa culotte que je vis clairement puis se verrouillant. Tout se chamboulait dans ma tête, peut-être le faisait-elle exprès ?

Je toussai un peu pour me calmer et feindre ma gêne. J’avais une soudaine envie de lui lécher les cuisses et remonter ma bouche jusqu’à sa chatte.

Cette vision m’excita et mon sexe qui continuait à gonfler dans mon pantalon me le fit remarquer.

Après plusieurs minutes, je terminais ma pseudo lecture des papiers car en fait je n’ai rien lu. Trop excité à essayer d’espionner discrètement son entre-jambes.

Je pris le stylo, et paragraphai les docs et les reposaient sur la table. Un sourire en coin elle me dit:

— Voila ça c’est fait.

Elle décroisa ses jambes et se releva, récupéra les papiers.

— On va ouvrir le champagne !

Elle me tourna le dos me montrant ses fesses légèrement dodues et se dirigea vers la cuisine.

Ses talons résonnaient à chaque pas. Elle revint avec la bouteille que j’ouvris et déversais dans les coupes.

Nos deux verres s’entrechoquèrent et nous bûmes les premières gorgées

— Vous savez, je vous ai vu me regarder

Je devins tout rouge.

— N’ayez pas peur, c’est très flatteur pour moi.

— C’est vrai madame, je vous trouve très belles, et j’avoue j’adore les belles jambes.

Elle s’installa près de moi, légèrement de côté, allongea sa jambe gauche sur mes cuisses, laissant assez d’espace entre les deux pour m’apercevoir qu’elle avait retiré sa culotte dans la cuisine laissant apparaître une chatte légèrement poilue mais déjà toute mouillée.

Mes mains commencèrent à caresser de bas en haut puis plus haut jusqu’à frôler ses poils pubiens, sa tête était penchée vers l’arrière, sa respiration s’accélérait. Mon sexe bandait dur.

Je levais sa jambe et apportai son mollet à ma bouche, je l’embrassais et le léchais à travers ses bas, mes mains continuaient de lui masser le haut des cuisses et mes doigts frôlait constamment sa fente dégoulinante de mouille. Elle avait l’entre cuisses entièrement humides et je continuais à lui malaxer, lécher, sucer, mordiller, ses magnifiques cannes.

De ma main gauche je sortis mon sexe bandant et commença à me branler doucement. Brigitte se releva brusquement et me monta dessus, amenant sa chatte à hauteur de ma bouche et me plaqua son vagin baveux sur mon visage. Sa mouille m’inonda le visage et ma langue commença à fouiller vigoureusement son trou. Trop excité pour me branler, je l’ai tenu fermement par les fesses au-dessus de ma bouche. Elle gesticulait sur mon visage, de plus en plus vite, un de mes doigts lui était maintenant rentré dans le cul et je continuais de lui bouffer sa chatte grande ouverte tout en me régalant de son jus.

Elle répétait sans cesse

— Vas-y bouffe-moi la chatte ma petite salope…

Soudain elle fit comme une convulsion et je sentis un liquide chaud recouvrir mon visage, je me délectais de ce nectar.

Cette salope s’est servie de mon visage comme un sex-toy et j’ai aimé ça… Essoufflée, elle se retira, se mit près de moi, empoigna ma bite et commença à me branler.

Toujours une jambe à caresser à m’a portée il ne me fallut pas longtemps pour jouir tellement j’étais excité. Mon sperme gicla en plusieurs jets épais et tomba sur ses bas noirs. Me regardant droit dans les yeux, elle lécha ses mains pleines de sperme tandis que je reprenais mes esprits… Puis elle se redressa, arrangea sa tenue et me dit comme si rien ne s’était passé:

— Va falloir y aller, mon mari va bientôt rentrer mais je vous revois bientôt pour la suite du dossier…

Related posts

Justine Sexe Opéra – Chapitre 1

historiesexe

Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 25

historiesexe

La femme parfaite – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .