LUI
La belle nana que voilà, jen ferais bien mon quatre heures. Cest ce que je me disais en la voyant, belle comme en cur, dans sa petite robe à carreaux. Il me semble quelle me regarde. Vas-y lève là, tu ne le regretteras pas une instant.
ELLE.
Que veut ce type, il me toise depuis un moment. Je lui plais sans doute, mais de là à me dévorer il y a un pas que je naimerais pas quil franchisse. Daccord il ne me déplaît pas, seul son regard me gêne un peu. Je suis certaine quil voudrait me baiser.
LUI
Plus je la vois plus jai envie delle. Quelle poitrine, quelles fesses. Je vois ses yeux luisants, elle a envie de tirer un coup sans se lavouer. Jaimerai la lui mettre partout, jen suis capable, je bande longtemps.
ELLE
Oui, son regard est insistant et pourtant plus je le regarde moins il me fait peur. Je nai jamais peur dun homme, jen ai pas mal connu, je les ai tous baisés avec succès pour moi, quand à eux, bof, je men fous.
LUI
Dabord je la prendrais par devant, son con doit être bien humide, et ensuite je lenculerais : il me semble quelle doit aimer la sodomie, comme moi jaime la faire.
ELLE
Si je cède, je sais quil voudra me faire jouir, il y arrivera : je commence à avoir envie de sa queue qui doit me plaire. Jespère quil bande longtemps. Jaimerais lavoir un moment dans la bouche, il y a longtemps que je nai pas sucé de bite. A savoir si son jus est bon ?
LUI
Oui, mais, lenculer avant ou après. Elles sont toutes les même il faut leur obéir, la plus part veulent baiser avant. Pourquoi ne pas se sucer ?
ELLE
Il ne sait pas que je vais lui dire oui, je le laisse mariner un peu dans son jus : il sera plus mur pour me faire jouir. Surtout que je le veux trois fois : dans la bouche, le con et le cul. Il faut quil tienne le coup, sinon je serais obligée de me branler. Jaimerais bien le voir quand lui se branle. Comment il tient sa queue pour faire gicler son sperme Du sperme dans ma bouche, jen veux maintenant.
LUI
Je vais aller lui parler, lui dire simplement la vérité : jai envie de toi. Quest-ce que je risque : un râteau et alors, ce ne serait pas le premier ni le dernier. Mais si elle accepte je serais satisfait, surtout si elle voit que je bande.
ELLE
Pourquoi il ne vient pas plus près : je pourrais voir sil a une belle bite et même sil bande simplement comme jaime. Mais sil vient contre moi, il va membrasser. Je répondrais à sa bouche et à sa langue. Tiens il ne fume pas, une bonne note : le baiser dun fumeur est désagréable dans la bouche. Ailleurs je ne sais pas, je ne crois pas quune langue gêne quand elle est sur mon abricot.
LUI
Jespère quelle aime les 69 comme moi. Hum de la cyprine sur ma langue !!! Et ma queue dans sa bouche : elle doit bien sucer.
ELLE
Pourquoi il nest pas près de moi ?
LES VOYAGEURS EN DIRECTION DE MARSEILLE MONTPELLIER EN VOITURE QUAI NUMERO 5. EN VOITURE.
ELLE
Tiens il monte dans le même wagon que moi.
LUI
Elle va comme moi à Montpellier. Pourvu que..
ELLE
Quelle chance nous avons des sièges voisins.
LUI
Je vous en prie asseyez-vous près de moi.
ELLE
Avec plaisir.
LUI
Le train part, voulez vous un café ?
ELLE
Avec plaisir, Monsieur ?
LUI
Jean-Pierre
ELLE
Moi cest Maria.
Ils se lèvent ensemble pour aller vers le bar. En route Maria veux passer par les WC. Il lattend patiemment quand elle ressort elle lentraine à lintérieur en linvitant. Lexigüité favorise les rapprochements. Leurs lèvres font ce quelles devaient : un long baiser prélude la suite. Cest Jean-Pierre qui ne perd pas de temps : il lève le bas de la robe, Maria le laisse faire. La main monte vers la chatte offerte et mouillée depuis un moment. Il la branle jusquà la jouissance de la demoiselle qui ne se démonte pas pour sortir la bite et le branler.
Pendant la masturbation il garde assez de self-control pour lentement mettre à nu le corps de la fille. Il lappuie contre le petit lavabo, lui fait bien écarter les jambes pour mettre sa queue dans son nid. En quelques mouvements Maria pousse un léger cri en jouissant.
Il la fait se retourner pour lenculer. Elle a envie de lavoir dans le cul. Elle sait bien ouvrir son anus pour être sodomisée. Cest rapidement entré. Leurs mouvements conjugués leurs donnent un large aperçu de leur plaisir. Elle se laisse aller à jouir plusieurs fois avec la queue dans le ventre. Quand la décharge arrive, elle jouit encore une fois.
Quand elle voit que la queue de Jean-Pierre est toujours dure, elle la lave au robinet du lavabo pour le sucer, pas comme un roudoudou, comme une bite : elle le lèche largement depuis les couilles jusquau gland. Elle aime bien faire cette chose : il lui semble posséder complètement lhomme. Lui se laisse aller au plaisir qui monte, monte jusquà éclater dans le bouche de lamante à son grand plaisir.
Larrivée est pour bientôt. Cette fois cest Jean-Pierre qui a encore envie. Maria le pousse devant elle ? Les toilettes ont ça de bien dans les TGV, ils sont relativement libres.
Maria met nu son compagnon, reste la robe à mi taille. Elle donne sa chatte à la bite toujours dure. Cest elle qui mène la danse. Elle enfile elle-même la queue dans sa figue. Elle la laisse plantée, malgré ses orgasmes à répétition dans lattende de celui de lamant.
Arrivés, après un baiser ils se séparent sans seulement savoir qui ils étaient, sans espoir de se revoir un jour sauf accident imprévisible.