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Première rencontre avec Clémentine – Chapitre 1




I

Clémentine et moi avons fait connaissance sur un site Internet de chat. Cette jeune fille de tout juste 18 ans souhaitait faire la rencontre d’un homme plus âgé, plus mature pour découvrir de nouvelles expériences, mais aussi il faut bien le dire pour s’assurer un confort financier. Elle était encore au lycée mais les études l’ennuyaient. Son ambition dans la vie, me disait-elle lors de nos échanges, est de profiter de chaque instant en ayant le minimum de contrainte et toujours de prendre du plaisir. Elle recherchait un homme sur qui elle pourrait s’appuyer, auprès de qui elle pourrait s’abandonner. C’est une fille qui sait ce qu’elle veut, extrêmement intelligente. Après avoir appris à nous connaître et passer quelques moments à échanger, c’est elle qui me demanda à ce que l’on se rencontre, nous n’habitions pas si loin.

— Es tu sûre de vouloir rencontrer un homme de mon âge. Je suis bien trop vieux pour toi, j’ai 45 ans et je pourrais être ton père.

— Au contraire, me répondit-elle, je trouve cela parfaitement excitant. Tu as à peut près l’âge de mon père et rien que de l’’imaginer, cela me met dans tous mes états. Et toi cela te fait quoi à l’idée de rencontrer une lycéenne ?

— Tu sais Clémentine je suis un homme. J’aime beaucoup les jeunes filles, leur spontanéité, leur fraîcheur, leur naïveté. Mais toi en plus de tout cela tu es déjà une fille réfléchie et intelligente.

Nous convînmes de nous voir sur Montpellier en nous donnant rendez vous devant la statut des Trois Grâces sur la place de la Comédie. L’après midi était magnifique, et c’est dans une atmosphère d’une douce chaleur qu’elle arriva. J’étais venu en avance et je la vis, sublime, se détacher de la foule. Une superbe brune, ses cheveux détachés tombant sous les épaules. De taille moyenne, 1,65m environ, c’est une fille plutôt fine. Ses yeux d’un bleu légèrement délavé, protégés par une grande paire de lunette, se posèrent sur les miens. Elle portait un robe bleu marine sans manches tombant juste au-dessus de ses genoux. Elle me sourit de ses belles lèvres rouges en se campant devant moi. Plus rien d’autre n’existait que sa beauté.

— Je suis si heureuse de te voir en vrai, me dit-elle

— Tu es une véritable déesse, je n’en reviens pas, lui répondis-je en posant mes mains sur sa taille

Je la vis mordiller doucement sa lèvre inférieure, et sans échanger plus de mot je la ramenai vers moi. Elle glissa ses mains autour de mon cou et nos lèvres se plaquèrent l’une contre l’autre. En l’embrassant je sentis son corps se presser contre le mien. Ma main droite appuyant sur les bas de son dos et ma main gauche caressant délicatement ses fesses sous le doux tissu de sa robe. Ses mains à elle passaient derrière ma tête venant fouiller mes cheveux. Je passai ma langue sur la commissure de ses lèvres que je sentis s’entrouvrir doucement sous ce contact. Pour la première fois, je découvris ses lèvres tellement douces que je ne me lasse jamais de les embrasser encore aujourd’hui. Ne pouvant plus arrêter, ma langue glissa à l’intérieur de sa bouche, et je sentis son goût légèrement fruité envahir la mienne. Rapidement nos langues se mélangèrent, elle aimait et nous ne pouvions arrêter de nous embrasser. Ma main gauche se referma sur sa fesse de manière plus ferme et je sentis sa poitrine s’écraser contre mon torse. Elle gémit doucement et rouvrit les yeux lorsque nos lèvres se séparèrent.

J’attendais ce moment depuis si longtemps, et je vois que toi aussi si j’en crois l’effet que je te fais, lança t-elle pleine d’espièglerie.

Je n’avais en effet pu refréner une violente érection, qu’elle avait senti gonfler contre son ventre lorsque son corps était plaqué contre le mien.

Je ne peux rien te cacher mais je ne serais pas humain si tu ne m’avais fait aucun effet.

II

Nous marchâmes un petit moment main dans la main et nous arrêtâmes dans un pub irlandais pour pouvoir discuter plus tranquillement. Nous choisîmes une table isolée dans un coin plus sombre de la pièce. L’endroit était idéal suffisamment en retrait pour rester discret tout en étant malgré tout dans un lieu public. Après avoir commandé nos bières, nous avons commencé à échanger sur la nature de la relation que nous voulions avoir.

— Alors jeune fille, dis moi maintenant précisément ce que tu attends, et ce que tu recherches avec moi

— Comme je te le disais lorsque nous chations, je veux un homme qui s’occupe de moi, qui me prenne en main, qui me fasse découvrir des choses inattendues.

— C’est très intéressant Clémentine, je vois donc que tu cherches à être soumise, c’est bien ça ?

— Oui, dit elle en baissant les yeux sur son verre

— La soumission est basée avant tout sur le respect mutuel, ce doit être un partage ou chacun trouve son plaisir.

— C’est bien comme cela que je l’entends. C’est pour cela que je cherchais un homme mûr et expérimenté.

— Tu es une fille intelligente Clémentine. Pour cela, il faut apprendre à connaître les attentes de chacun et les limites. Qu’elles sont les tiennes jeune fille ?

Elle rougit et répondit sans me regarder

— Je n’en ai pas vraiment, je veux découvrir plein de choses que je ne connais même pas. Je ne veux pas trop de violence et pas de choses trop sales comme ce qui est scato.

— Très bien je vois que tu as déjà bien réfléchi. Il ne faut pas hésiter à dire lorsque cela ne va pas. La communication est primordiale. Dis-moi si tu aimes être insultée, humiliée ?

— Oui, ça m’exciterait beaucoup

— En public ?

— Je ne sais pas encore, peut être….

— Bien jeune fille, cela va passer par une période d’éducation. La base est que tu devras m’obéir, respecter mes consignes. Cela n’empêche pas bien sûr la communication si tu es mal à l’aise. Il faudra également que tu me respectes, en me vouvoyant et en m’appelant Monsieur. Cela est il clair ?

— Oui Monsieur c’est clair.

— Très bien jeune fille. Je vois que tu es dans de bonnes dispositions alors nous allons pouvoir commencer. Tu n ’as pas peur ?

— Non au contraire, je suis heureuse et excitée, me répondit-elle en plongeant son regard dans le mien.

III

J’étais moi aussi très excité et je la regardais assise juste à côté de moi, si jeune, si belle. Je posai ma main sur son genou en finissant ma bière. Je tirai doucement son genou vers moi pour écarter légèrement ses cuisses. Je sentis sa respiration se bloquer subrepticement et son regard plonger vers le bas pour voir ce que je faisais.

— Fais comme si de rien n’était, continue à boire ta bière en regardant la salle, lui dis-je.

Elle s’exécuta, et je glissai ma main sous le tissu de sa robe. Mes doigts vinrent caresser l’intérieur de ses cuisses. Elle s’appuya complètement sur le dossier de sa chaise, le verre à la bouche sans arriver vraiment à boire. Sa respiration produisait de la buée sur l’intérieur du verre. Je fis remonter ma main le long de l’intérieur de sa cuisse, mes doigts parcourant sa peau si douce. Plus je remontai, plus elle écartait ses cuisses sans que j’ai besoin de le lui demander. J’atteignis finalement son entre-jambe. Elle était si belle, jambes écartées, cambrée sur sa chaise et son verre à la main, les yeux déjà absents absorbés par un plaisir naissant. Mon pouce se posa sur son sexe, mes autres doigts à plat sur le bas de son ventre que je sentis se contracter à mon contact. J’appuyai mon pouce sur le haut de sa chatte et la caressai à travers son tanga en faisant de petits mouvements circulaires. Elle ne put réprimer de petits gémissements.

— Tu m’as l’air d’aimer ça ma petite Clémentine

— Oui Monsieur, c’est tellement bon

— Cela te plait, t’excite ?

— Oui, beaucoup

— Tu sais tu m’appartiens maintenant. Dis-moi que tu m’obéiras.

— Oui je suis à vous, je vous obéirai …hmmm

Doucement je glissai un doigt sous son tanga et je sentis immédiatement son humidité. Je le fis glisser le long de sa fente.

— On dirait bien que tu mouilles petite coquine

— Oui c’est à cause de ce que vous me faites

— Tu veux que je continue ?

— Oui s’il vous plaît ne vous arrêtez pas

— Je ne peux rien refuser à ma petite fille

Immédiatement je fis rentrer le bout de mon index à l’orée de sa chatte mouillée. Elle se mordit les lèvres et se replia sur elle même. Je retirai mon doigt en lui demandant de se redresser et le porta à sa bouche.

— Suce mon doigt ma chérie goutte ta mouille.

— Sans un mot elle aspira mon index et le suça en me regardant

— C’est bien tu es une bonne petite fille, et garde bien tes jambes ouvertes

— Mmmmm

— Tu aimes le goût de ta mouille ? Lui demandais-je après avoir retiré mon doigt de sa bouche

— Oui Monsieur, beaucoup

— Tu es une vraie salope Clémentine

— Oui Monsieur

— Dis-le moi

— Je suis une salope, votre salope

— C’est très bien ma petite

Je pris son jeune visage entre le pouce et l’index de ma main droite pour le ramener vers moi et l’embrasser avec passion. Sa bouche n’avait plus tout à fait le même goût, un mélange de bière et de ce qui devait être le goût de sa chatte. En l’embrassant je lui massai doucement le ventre et fis couler ma salive dans sa bouche. Puis je me levai et allai recommander deux bières pour remplacer celles que nous avions finies. Quand je revins je devinai que Clémentine avait encore les jambes écartées comme je le lui avais demandée. Elle avait l’air parfaitement heureuse. Je me rassis à ses côtés et déposa la bière devant elle. Elle en bu une bonne gorgée et se pencha vers moi avec des petites moustaches de mousse.

— Maintenant à cause de vous j’ai très envie de sexe, je me retiens pour ne pas me toucher. Me dit elle doucement

— Il va te falloir apprendre la patience Clémentine. Désormais c’est moi qui contrôle ton désir, qui le fait monter ou baisser, qui décide quand tu pourras jouir ou non. Nous sommes loin d’en avoir fini.

Elle me regarda avec curiosité, attendant la suite avec impatience.

— Je voudrais maintenant que tu retires ton tanga Clémentine

— Ici, maintenant ?

— Oui tout de suite, et tu me le donneras maintenant qu’il est bien imprégné de ta mouille

— Mais on risque de me remarquer, je n’ose pas

— Cela fait partie du jeu, à toi de le faire de manière discrète, ou pas en fonction de ce que tu veux. Je te demande juste de l’enlever ici et maintenant. L’endroit est retiré, tu dois pouvoir le faire sans te faire remarquer si c’est ce que tu souhaites.

Elle se mordit de nouveau les lèvres, baisse les yeux et pris encore une bonne rasade de bière comme pour se donner du courage.

— Oui d’accord très bien je vais le faire pour vous

— Bien Clémentine, tu apprends vite

Elle recula doucement sa chaise et resserra ses jambes. Elle porta ses mains sur le bord extérieur de ses cuisses et les fit remonter sous sa robe. Elle passa ses pouces sous l’élastique du tanga, souleva légèrement ses fesses et fit glisser son tanga à ses genoux. Malgré la lumière tamisée de l’endroit, je devinais qu’elle rougissait. Passé ses genoux elle le lâcha et le laissa glisser le long de ses jambes au sol. Je me penchai pour le ramasser et le pris entre mes mains comme une serviette. C’était un tanga noir, très élégant avec un peu de dentelle. Je le porta à mon nez et inspirai à l’endroit couvert de son jus de jeune fille.

— J’aime ton odeur ma petite

— Ah bon ? Merci..répondit-elle un peu gênée, avant de finir sa deuxième pinte de bière

Je fis glisser son tanga de mon nez vers ma bouche et lècha le tissu humide qui quelques secondes auparavant recouvrait sa petite chatte. Je découvris mieux son goût déjà bien marqué.

— Eh bien, je vois que Mademoiselle mouille fort sa culotte alors que nous n’avons encore presque rien fait…

— Oui Monsieur, je suis tellement excitée, j’en tremble

— Je ne sais pas ce que tes parents penseraient de toi, s’ils te savaient, sans culotte en train de mouiller dans un bar avec un homme de mon âge.

— Oh Monsieur j’ai si honte

— Tu veux que nous arrêtions pour aujourd’hui ?

— Non surtout pas…j’en veux encore s’il vous plaît

Je me penchai sur elle pour l’embrasser à nouveau. Elle s’abandonna sous mon baiser et insinua immédiatement sa langue dans ma bouche. Encore une fois, nos salives se mélangèrent.

— Très bien ma petite, j’aime les filles qui en redemandent. Comment te sens tu, sans ta petite culotte ?

Honteuse et excitée..c’est presque une torture tellement j’ai envie de toucher ma chatte

— Avant de toucher ta chatte, tu vas commencer par me la montrer. Tu vas remonter ta robe et poser tes fesses nues directement sur la chaise

Ses inhibitions commençaient à tomber, du fait de l’excitation, aidée d’un peu d’alcool. Elle ne protesta pas et rougit. Elle fit tout de même attention que personne ne regardait vers nous et se redressa doucement pour remonter sa robe au niveau de sa taille. Malgré la pénombre je distinguai bien sa petite chatte juste éclairée par une lumière orangée. Elle est toute lisse, comme beaucoup de filles de son âge. Je distinguai clairement sa fente qui perlait délicatement. Je posai juste mon index dessus et le retirai en emportant avec moi un filet de cyprine. Son corps était sous tension et je la sentis frémir juste avec ce léger contact. Il en faudrait peu pour la faire jouir dans l’état où elle était.

— Tu es une superbe salope Clémentine, je vois que tu aimes ça, tu mouilles comme une folle…Écarte bien tes cuisses ma belle que je vois bien ta belle chatte.

— Vous aimez ce que vous voyez ? me demanda t-elle en s’exécutant et en révélant le relief de ses lèvres intimes.

— Je fais plus qu’aimer…

Je pris sa main dans la mienne et vint la poser entre mes jambes sur mon sexe gonflé qui tendait mon jean.

— Tu sens comme je bande pour toi Clémentine ?

— Oui je le sens bien..

Et sans rien lui demander, je vis ses petites mains et ses doigts fins se refermer sur mon sexe et le caresser doucement. Elle prenait aussi quelques initiatives et ce n’était pas pour me déplaire.

— Tu aimes savoir que tu me fais bander ?

— Oui beaucoup Monsieur, je suis heureuse d’y arriver.

— C’est parce que tu es une formidable petite fille, déjà très douée.

Puis elle s’arrêta et me regarda avec une certaine gêne.

— Qui y’a t-il ? Quelque chose ne va pas ?

— Eh bien, avec toute cette bière et cette excitation…je crois que j’ai envie de pipi.

— Ohoh voilà qui est intéressant et inattendu, dis-je avec un large sourire.

— Pourquoi dites vous cela ?

— Parce que tu vas faire ton petit pipi ici devant moi.

— Mais non c’est impossible s’offusqua t-elle. Je ne peux pas faire ça, c’est dégoûtant.

— Tu ne te saliras Clémentine, ta robe est relevée et personne ne t’entendra avec la musique. Je te promets que tu vas atteindre un niveau d’excitation que tu n’as encore jamais connu…d’autant plus que tu dois m’obéir jeune fille.

— Eh bien oui je le sais bien Monsieur… mais vous êtes sûr ?

— Oui je suis sûr ma petite on va même recueillir ton nectar.

— Oh mon Dieu, je ne savais pas qu’on pouvait faire de pareilles choses.

— Tu voulais découvrir des choses non ? Derrière tes protestations tu en meurs d’envie, je le vois.

— Hmm je serais prête à tout, je suis tellement chaude, et j’ai tellement envie de pisser je ne vais plus pouvoir me retenir.

— Attends une seconde.

Je plaçai discrètement une pinte vide sous la table en face de sa chatte.

— Voilà ma chérie, écarte bien les cuisses, relâche-toi et laisse-toi aller pour pisser en essayant de viser un peu ce verre.

— Oui d’accord.

Elle s’avança sur sa chaise en écartant bien les jambes, la table la cachait bien et seul moi à ses côtés voyait sa manuvre. Puis subitement un premier jet de pisse partit vers le haut pour retomber devant le verre entre ses pieds. Elle l’accompagna d’un petit gémissement de plaisir. Enfin la pisse perla et coula un peu sur le haut de ses cuisses puis un jet régulier se forma. Il vint taper le haut de la table et s’écrasa au sol autour du verre qui pu se remplir un peu. Elle fermait les yeux en pissant tremblante de plaisir..sa beauté était telle que je dus me contrôler pour ne pas sortir mon sexe et la baiser violemment au milieu de ce bar. Lors que le flot de pisse commença à se tarir je vins plaquer ma main sur sa chatte pour la masturber doucement. Mon majeur la pénétra et je sentis un peu de sa pisse chaude couler le long de mon doigt et dans le creux de ma main. Je vins l’embrasser sauvagement pour contenir ses gémissements qu’elle ne pouvait plus retenir. Après quelques mouvements verticaux de mes doigts sur sa chatte et son clitoris, je sentis son corps se contracter et être pris de tremblements. Elle venait de jouir entre mes mains, en finissant juste de pisser. Toute ma main jusqu’à mon avant bras était trempé de son jus de chatte en chaleur. Par réflexe, elle referma ses cuisses trempées et frissonnantes sur ma main qu’elle serra fort. Elle passa sa main derrière ma tête pour prolonger le baiser. Puis je sentis ses muscles se relâcher et elle se laissa tomber en arrière sur sa chaise souriante et haletante comme si elle venait de courir. Je tirai sur robe pour qu’elle vienne à nouveau recouvrir ses belles cuisses.

— Alors ma petite fille, tu as aimé la manière dont je me suis occupé de toi.

— Je n’ai jamais connu un tel orgasme auparavant. C’était absolument formidable.

— Et pourtant ce n’est que le début ma chérie. Je suis sûr que maintenant tu en veux plus.

— Oh oui je veux que vous continuiez à vous occuper de moi.

— Grâce à moi tu n’es plus seulement une salope, tu es aussi une petite pisseuse.

— Oui je suis votre petite pisseuse salope et j’en suis fière.

— Tu es parfaite Clémentine, et en plus nous avons pu recueillir un peu de ton nectar.

Je ramassai à terre le verre qui trônait désormais au milieu d’une belle flaque de pisse. Il n’était pas beaucoup rempli mais cela suffirait, je ne l’avais pas trop mal positionné.

— Je suis sûr que tu n’as jamais goûté ta pisse ma petite Clémentine.

— Bien sûr que non, me répondit-elle ne sachant si je plaisantais ou pas.

— Il faut une première à tout, et il faut goûter pour savoir si on aime ou pas, c’est bien ce qu’ont dû t’apprendre tes parents ?

— Oui c’est bien ce qu’ils m’ont appris mais là je ne suis pas sûre…son sourire s’effaça de son beau petit visage.

— Fais moi confiance Clémentine, je sais ce qui est bon pour toi..et n’oublie pas que je t’ai fait jouir.

— Je veux bien essayer pour vous alors, dit elle sans assurance.

— Très bien, tu es très obéissante jeune fille, je n’aurai pas besoin de te punir.

Doucement elle leva le verre, et le porta au niveau de son nez. Elle inspira doucement et fit une petite grimace.

— Cela ne sent pas très bon me dit elle.

— Goûte ma belle pisseuse, fais-le pour moi.

Elle ne dit rien, mais porta le verre sur le bord de ses lèvres. Elle l’inclina doucement en arrière et je vis la pisse couler vers l’intérieur de sa bouche. Elle avala une gorgée et fit une légère moue.

— Alors, comment trouves tu le goût ? Demandais-je.

— C’est tout chaud et salé…ce n’est pas très bon mais pas répugnant.

— C’est bien ma petite fille, tu t’y habitueras et finiras par en réclamer toi même dans quelques temps.

— Peut-être pas à ce point-là, répondit-elle en esquissant un sourire timide.

— En attendant finis ton verre.

— Oui Monsieur tout de suite.

Sans plus hésiter elle vida ce qu’il restait dans le fond de son verre. Je pus suivre le parcours de sa pisse dans sa gorge en la voyant déglutir. Quand elle reposa le verre, j’étais content d’elle et extrêmement excité moi-même.

— Alors es tu heureuse de cette première expérience Clémentine ?

— Oui très Monsieur, vous êtes formidable, je ne pensais que l’on pouvait être excitée à ce point.

— Tu l’es encore en ce moment, même après avoir joui ?

— Un petit peu, avoua t-elle doucement en baissant la tête.

— Ma chérie tu es insatiable, j’adore. Je sais que l’heure tourne et que tes parents vont t’attendre mais j’ai encore besoin de toi une petite heure je n’en ai pas tout à fait fini avec toi.

— Pour une heure c’est bon, me répondit-elle avec un petit sourire. Il faut juste que je passe un coup de fil pour les prévenir.

— Fais donc ma petite.

Alors qu’elle commença à parler à ce que je devinais être son père je glissai ma main doucement sous sa robe. A mon contact elle posa ses yeux dans les miens, surprise mais écarta ses cuisses instantanément. De nouveau mon majeur vint glisser sur sa fente encore bien humide d’un mélange de pisse et de mouille. Pendant qu’elle expliquait à son papa qu’elle n’avait pas encore fini ses recherches à la médiathèque, mon doigt s’enfonça sans difficulté dans sa petite chatte. Non papa tout va bien, il fait juste un peu chaud, la climatisation ne fonctionne pas bien, expliquait-elle pendant que je la doigtai avec délicatesse. Elle finit par raccrocher et sans même reposer son téléphone, m’embrassa langoureusement.

Je décidais de ne pas la faire jouir à nouveau pour la laisser dans son état d’excitation et nous nous levèrent finalement. J’allai régler au comptoir , elle se tenant un pas derrière moi la tête baissée.

— Je vous souhaite une bonne fin d’après midi les amoureux, vous avez l’air de bien vous amuser tous les deux, lança t-il avec un petit sourire.

Clémentine devint pourpre, finalement nous n’avions peut être pas été si discret que cela !

IV

Dans la rue elle s’accrocha à mon bras, certaines personnes nous regardaient, interpellées par la différence d’âge j’imagine. Elle me souffla à l’oreille :

— Je suis morte de honte, le barman semble avoir tout vu.

— Je ne pense pas qu’il t’ait vu pisser sinon il n’aurait pas laissé faire..il nous a juste vu nous embrasser et nous tripoter un peu, rien de mal.

— J’ai encore tellement envie, je ne sais pas ce qu’il m’arrive.

— Tu es née pour connaître le plaisir du sexe Clémentine. Ton corps tout entier est un appel au désir. Comment te sens tu à marcher dans la rue en sachant que tu n’as rien sous ta robe ?

— C’est agréable, je sens le vent dans ma chatte !

Je passais ma main derrière ses fesses que je caressai pendant que nous marchions. Nous nous dirigeâmes vers ma voiture dans un parking sous terrain proche. J’étais garé en avant sur une place située entre deux murs. Je la fis monter côté passager en lui demandant de s’asseoir comme au pub, la robe relevée sur sa taille et les cuisses bien ouvertes. Je voyais bien sa chatte maintenant, ses lèvres légèrement ressorties par l’excitation, luisantes de mouille.

— J’aime beaucoup ce que je vois, lui dis-je.

— Merci, ma chatte vous appartient désormais.

Elle souriait et je voyais que son regard se posait sur la bosse qui se formait sur mon jean entre mes jambes.

— Je vois ce que tu regardes petite gourmande. Cette zone t’intéresse Clémentine ?

— Oui Monsieur, dit elle en baissant les yeux et en se passant inconsciemment la langue sur les lèvres.

-Si tu veux la voir, il te suffit de me le demander jeune fille.

-Pourrais-je voir votre sexe ? Dit-elle timidement après une courte hésitation.

-Mon sexe ? Je suis sûr que ton vocabulaire est plus riche que cela jeune fille.

-Pourrais-je voir votre bite Monsieur ? rectifia t-elle en rougissant.

-Voilà qui est mieux. Si tu veux la voir, il va falloir que tu travailles un peu. Montre moi comment tu t’y prends pour sortir la queue d’un homme.

Je la vis pincer les lèvres et réfléchir un court instant. Son regard posé sur ma bosse elle commença par me caresser de la manière dont je l’avais guidée au restaurant. Elle fit remonter sa main et défit la boucle de ma ceinture. Elle s’attaqua ensuite au gros bouton et dut utiliser ses deux mains pour en venir à bout de ses doigts fins. Je caressai ses cheveux en la voyant faire. Cette situation m’excitait beaucoup et je bandais fort dans mon boxer. Elle écarta ensuite chaque pan du haut du jean pour défaire un à un les petits boutons. Elle voyait mon boxer maintenant. Elle passa ses doigts sur le tissu, caressant mon membre. Ma queue pulsait à son contact, elle était fascinée. Elle prit le haut de mon boxer, passant ses doigts sous l’élastique et le tira vers le bas doucement. Il n’en fallut pas beaucoup pour que ma queue bandée jaillisse tel le diable de sa boîte. Je me cambrai légèrement pour faire glisser vers le bas mon jean et mon boxer et ainsi dégager complètement ma bite. Elle la regardait interdite, sans rien faire.

— Eh bien on dirait que tu n’as jamais vu de queue de ta vie, tu peux la toucher si tu veux.

Timidement elle caressa ma queue du bout de ses doigts, les faisant glisser le long de mon membre.

— Branle-moi un peu Clémentine que je vois comment tu fais.

— Oui Monsieur, je vais branler votre belle queue.

Elle enroula sa paume autour de mon sexe, mais sans refermer complètement ses doigts. Elle commença alors de lents va et vient de bas en haut. Elle se tourna vers moi, les yeux remplis d’excitation plongés dans les miens tandis qu’elle me branlait.

— Comment me trouvez vous Monsieur ? me lança t-elle.

— Tu es une parfaite petite branleuse.

Je la saisis derrière la tête et vint plaquer ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassâmes longuement pendant qu’elle me branlait. Je sentis sa main glisser à la base de ma queue et ses petits doigts venir tout délicatement masser mes couilles. Je gémis de plaisir.

— Hmm je vois que tu es presque une experte, c’était bien la peine de jouer les prudes tout à l’heure.

— Je ne suis pas une salope pour rien, me répondit-elle avec espièglerie dans un large sourire.

— Si tu es la salope que tu affirmes, tu dois aussi savoir t’en occuper avec ta jolie petite bouche bien chaude.

— Oui Monsieur, je vais vous montrer comment je suce.

— Je n’en doute pas, ta superbe petite bouche rouge est faite pour sucer des bites.

Je poussai sa tête en avant vers mon sexe dressé puis la laissa se débrouiller pour l’observer. Elle posa ses lèvres sur mon gland une première fois pour faire juste un baiser. Puis, elle le fit entrer entre ses lèvres et donna plusieurs petits coups de langue. Assurément je n’étais pas sa première queue à venir visiter sa bouche.

— Tu es une vraie pute Clémentine, continue comme ça.

Elle vint lécher ma bite de bas en haut tout doucement avec le bout de sa langue. A nouveau elle posa sa bouche sur mon gland et cette fois-ci fit glisser ses lèvres charnues vers le bas le long de ma queue. J’étais au paradis. Elle fit ainsi plusieurs aller-retour laissant une trace rouge sur ma bite. En me suçant, elle donnait de petits coups de langue et aspirait. Elle savait s’y prendre. Elle sortit sa tête pour respirer un peu et fit couler de sa salive sur ma bite. Elle me branla un peu avec sa main droite et remis sa bouche. Elle était métamorphosée, une petite pute à lunettes, experte en suçage de bites. Je commençais à faire de petits va et vient à mon tour dans sa bouche à son rythme.

— Je baise ta petite bouche de pute jeune fille, tu en es consciente ?

— Moui Monsieur, me répondit-elle, ses lunettes glissant sur son nez.

De ma main gauche j’agrippai ses cheveux et poussai chaque fois ma queue plus profondément dans sa bouche élastique. Plus je m’enfonçai, plus cette salope salivait sur ma bite, elle en arrivait même à avoir quelques larmes. Elle était penchée sur moi et ma main droite empoigna une de ses fesses et glissa derrière pour venir tâter sa chatte. Elle mouillait comme une folle et je n’eus aucune difficulté à lui insérer trois de mes doigts. Je la branlai, elle me suçait. Nous gémissions, ivres de plaisir.

Après quelques minutes, je sentis que je ne pourrais plus tenir longtemps.

— Hmm salope, tu vas me faire jouir. Écoute-moi bien, je vais décharger mes couilles dans ta bouche. Je veux que tu gardes tout bien en bouche, tu as bien compris ?

— Oui Monsieur, c’est très clair..allez-y venez dans ma bouche.

D’un mouvement brusque, je maintins ma bite bien enfoncée au fond de sa bouche en appuyant sa tête par l’arrière. Ne pouvant plus me retenir, je gémis en sentant mon sexe exploser entre ses joues. Je me contractai, mes couilles pulsèrent et plusieurs jets de sperme chaud giclèrent au fond de sa gorge. Sous la pression, Clémentine eut un mouvement de recul réflexe. Je la forçai avec ma main à garder ma bite en bouche. Rien ne sortit de sa bouche, et bientôt les jets de sperme s’arrêtèrent. Je me détendis et relâchai la pression que j’exerçai sur sa tête. Elle se redressa doucement, sa petite bouche pleine de sperme bien fermée. Il fallait la voir avec ses lunettes, son visage innocent de jeune fille, la chatte à l’air trempée…une vraie petite chienne en chaleur. Je lui demandai d’ouvrir la bouche, elle s’exécuta. Elle avait fait comme je lui avais demandé, elle avait bien gardé tout mon sperme dans sa bouche. Je lui passai ma main dans ses cheveux, la félicita pour la pipe qu’elle m’avait faite, et lui demandai d’avaler. Elle referma sa bouche et je la vis déglutir plusieurs fois avant de passer sa langue sur ses lèvres.

— Voilà Monsieur, j’ai avalé tout votre sperme chaud, je l’ai bien senti descendre dans ma gorge jusque dans mon ventre.

— Tu es douée Clémentine, tu as de l’avenir en tant que salope. Tu as aimé mon sperme ?

— Oui Monsieur, beaucoup. J’espère que vous m’en donnerez encore souvent à boire.

— Tu es heureuse de ta première rencontre avec moi ?

— Oui très, c’était formidable, je suis fière d’être votre salope et il me tarde que vous me fassiez encore découvrir plein d’autres choses.

— Tu as du potentiel, moi aussi je suis fier de toi. Nous allons bien nous amuser tous les 2. Maintenant tu as gagné une dernière récompense et après tu pourras rentrer chez tes parents pour finir ton week-end comme une petite fille modèle.

Elle me regarda avec curiosité. Sans rien dire de plus je fis glisser mes doigts sous le haut de sa robe et la baissa pour dégager sa poitrine que je n’avais pas encore vu. Je retirai rapidement son soutien gorge noir et découvris une belle paire de sein de taille moyenne, environ 85C. Ils étaient fermes, arrondis et pointaient légèrement vers le haut naturellement. Ses aréoles rosées ressortissaient bien sur sa peau claire, et ses tétons bandaient sous l’effet de l’excitation. Je les pinçais doucement entre mon pouce et mon index. Je les fis rouler, elle gémit. Je les tirai en avant et elle eut un mouvement de ses mains vers son entre-jambe. Je la retins par les poignées pour l’empêcher de se toucher. Pas encore. Elle écarta ses cuisses au plus qu’elle pouvait et se mis à onduler doucement sur son siège. Sa chatte appelait un sexe, elle n’en pouvait plus. Je me penchai sur elle et mordilla ses tétons très délicatement. Je les pinçai entre mes lèvres et me mis à les sucer en les aspirant. J’aurai pu la faire jouir comme ça, elle gémissait et respirait de plus en plus vite. Mais je voulais répondre à l’appel de sa chatte. Pas avec ma queue, pas cette fois-ci. En continuant à aspirer ses seins je plongeais à nouveau trois doigts de ma main gauche dans sa chatte béante. Ils entrèrent sans difficulté. Mon pouce vint s’appuyer sur son clitoris, décrivant de petits cercles. Je la baisais comme ça avec mes doigts. Avec son bassin elle faisait de petits mouvements d’avant en arrière. Elle était en chaleur. En tirant sur ses tétons avec ma bouche, j’accélérai fort dans sa chatte. Elle ne résista pas longtemps, sa respiration accéléra, poussa de petits cris quand son corps se cambra en arrière. Sa chatte explosa littéralement et en retirant mes doigts un puissant jet de mouille partit arroser le vide-poche de ma voiture. Mes doigts revinrent dans sa chatte et à nouveau elle gicla. Elle ne maîtrisait plus corps, emportée par le plaisir. Elle retomba lourdement sur le siège, essoufflée, rassasiée. Délicatement elle remit ses habits en place.

— Tu as été parfaite pour ta première leçon Clémentine.

— Merci Monsieur, j’ai passé un moment formidable. Il me tarde déjà la prochaine fois.

— Moi aussi, mais maintenant il est vraiment temps de rentrer chez toi. Sois vigilante jeune fille car n’oublie pas que tu n’as plus de culotte, et quand tu feras la bise à ton papa car ton haleine empeste le sperme.

— Hihi c’est vrai, je tâcherai de mâcher un chewing-gum en chemin.

— Comme tu as été une très bonne jeune fille je te donne cet argent, tiens prends.

— Ouah cent euros…mais pourquoi ?

— C’est ta récompense, pour avoir bien obéi, et puis je dois dédommager ton tanga.

— Oh merci Monsieur, vraiment.

— Et n’oublie que tu es ma petite pute maintenant Clémentine.

— Oui Monsieur, je suis votre pute.

— Tu me dois fidélité et obéissance, tu verras que tu vas encore découvrir plein de choses agréables et excitantes avec moi.

— Bien sûr Monsieur je vous appartiens désormais.

Nous nous embrassâmes une dernière fois et puis Clémentine quitta la voiture pour rentrer chez elle. Il me tardait de la revoir, et je pensai encore à cette belle après midi, le nez plongé dans son tanga pour me remémorer ses effluves.

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