Suite :
Le lundi suivant, ce fut avec plaisir que je croisai Florian dans les couloirs du lycée, de retour de sa période de stage. Vu le sourire quil me lança en me voyant, et sans se rendre compte quil y avait des gens autour de lui, il devait également être ravi.
Javais évidemment prévu de le voir le soir même à linternat et je métais entrainée au niveau de mon petit trou tout le weekend en prévision de cet instant. Trois jours et trois nuits dabstinence mavaient rendu sensible à la moindre excitation et dhumeur salope. Toute la journée, jai allumé mon entourage en poussant la provoc toujours un peu plus loin, pour mon plus grand plaisir et celui, jimagine, de ceux que jallumais. Je profitais également des derniers jours de beaux temps en cette fin septembre pour mettre mes robes légères, après quoi je devrais me promener en pantalons pendant des mois Quelle horreur !!
Aujourdhui, ce fut une robe blanche et transparente au moindre contrejour que je portais. Et ce ne fut pas des élèves que jai aguiché cette fois-ci mais un surveillant qui se plaignait des horaires à rallonge (cest lui qui assure les permanences à linternat avec moi) et qui a eu droit à des jeux de jambes particulièrement osés. Il est reparti calmé et javais réussi à garder un surveillant efficace et corvéable sans que ça coûte au lycée le moindre centime ! Imparable, la technique de lallumage !
Le fameux soir arriva, celui où Florian allait me défoncer le cul A linternat, tout se passa calmement même si jai remarqué que le surveillant de tout à lheure, qui dhabitude gère son propre étage, me coulait un peu trop aux fesses, surtout à partir du moment où je métais mise en tenue légère. Je suppose que je lai un peu trop excité et quil profitait de chaque opportunité pour me mater. Jaimais cette idée. Javais tort
Jai finalement réussi à la convaincre de soccuper, pour la nuit, de sa partie et de me laisser seule à cet étage. Il était 23h00.
A minuit, comme convenu, Florian tape légèrement à ma porte et entre à ma réponse. Il me découvre alors entièrement nue à quatre pattes sur mon lit, le cul tendu dans sa direction, entièrement offert.
— Comme promis lui dis-je en guise daccueil. Viens menculer !
— Putain, quest-ce que vous mavez manqué
Il se jette alors sur moi, ou plutôt sur mes fesses et commence à me bouffer la chatte, la tête enfoncée entre mes jambes. Il parait affamé et me donne de grands coups de langues sur un sexe qui mouille et gonfle rapidement. Il écarte fermement mes fesses pour me lécher lanus et enfonce sa langue dans mon vagin, comme pour boire ma mouille.
Il insiste également sur mon clito, retourné dans cette position, soit en le léchant, soit en le branlant et tire sur la petite peau qui le recouvre pour faire sortir le bouton. Ce petit salop me le lèche et le suce si fort que je suis obligée de le calmer tant le plaisir se mélange à la douleur. Il noublie pas également de me doigter la chatte à un, deux puis trois doigts, me dilatant comme je lai rarement été et senfonce également dans mon cul. Il y rentre entièrement son pouce tout en me broutant le minou. Je dois lavouer : cest délicieux !
— Approche-toi, je veux te sucer !
Il se place alors à côté de moi et me tend sa bite sans arrêter de me doigter. De mon côté, je le gobe et le suce avec avidité. Je suis folle dexcitation et essaie de lenfoncer dans ma gorge, au point de me donner envie de vomir. Je calme le jeu mais le suce tout de même goulûment.
Cette position instable évolue progressivement au fur et à mesure que Florian glisse sous moi pour me lécher et que je me recentre entre ses jambes pour le sucer. Nous finissons rapidement en 69, lui me léchant le clito et moi lui pompant le gland. Il fait alors quelques chose a priori danodin mais dinédit entre nous jusquà présent : il appuie sur ma tête dune main pour accompagner (au début) mon mouvement de fellation puis pour mimposer un rythme et une « profondeur ».
Cette action de « contrainte » me gêne un peu au début mais je me rends compte que japprécie le fait dêtre sous contrôle (relatif) et je le laisse me prendre par les cheveux pour me baiser la bouche. Je limite juste lamplitude pour quil ne me lenfonce pas dans le gosier La double action de fellation musclée et dun excellent cunnilingus me fait finalement jouir. Un orgasme délicieux qui déclenche une râle de plaisir dont jai eu du mal à contrôler le volume sonore. Lui-même ne jouit pas mais je sens ses couilles remonter et du liquide séminal suinter de son gland. Dailleurs, il me lève la tête pour arrêter la pipe. Il naurait sans doute pas tenu encore longtemps.
Nous nous redressons et je me place de mon propre chef à quatre pattes sur le lit. Il se place derrière moi et me pénètre doucement. Cest divin et je me rends compte que, tout de même, son gros sexe me fait plus deffet que celui plus modeste dAntoine.
Tout en me baisant, il me doigte le cul avec son pouce puis avec son majeur, quil enfonce entièrement. La sensation est excellente et je me surprends à avoir hâte quil mencule. Cet instant arrive dailleurs assez vite.
— Vous êtes prêtes ? me demande-t-il prudemment.
— Mmhh, oui vas-y, mets-là moi dans le cul !
Il se retire alors et présente son gland sur mon anus. Demblée je sens la différence de taille entre lui et les diamètres du sexe dAntoine et de mon vibro. Son gland pénètre avec difficulté mon anus et je lui demande un instant pour me détendre. Il cesse la pression, me laisse tranquille quelques secondes.
— Vas-y, essaie à nouveau, lui dis-je, peu sûre
Mais au lieu de présenter son sexe, il enfonce un doigt bien lubrifié puis, après consultation, un deuxième. Avec ses deux doigts en moi, il va et vient et me dilate lanus. Il est doux et prudent. Il est efficace.
Enfin il retire ses doigts et les remplace par son sexe qui, sans trop de difficulté, passe la barrière de mon anus. Il senfonce aussitôt de quelques centimètres, me faisant pousser un « Oooohhhh » de surprise, la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés.
Il progresse à coup dallers et retours modérés, se retire pour re-lubrifier son sexe et y retourne avec plus de facilité. Finalement, coups de hanches après coups de hanches, il mencule à fond me pénètre de part en part, sans que cela ne me fasse spécialement mal.
— Tu es rentré à fond ?
— Oui, cest excellent !!
— Mon dieu ce que tu es gros Vas-y mollo maintenant, hein ?
— Ne vous inquiétez-pas
De ces deux mains il mattrape les fesses et commence à menculer de tout son long. Jai à ce moment limpression dêtre la pire des salopes : se faire ramoner ainsi le cul par un de ses élèves et aimer ça ! Il mencule ainsi pendant de longues minutes, à la fois savoureuses et intenses car son diamètre imposant moblige à me concentrer. La sensation dans mon cul est en effet assez proche de quelque chose qui na rien de sexy ni dexcitant Mais jarrive à faire abstraction et prend beaucoup de plaisir durant cette sodomie. Au début en tout cas car la douleur me rappelle bientôt à lordre.
— Florian je commence à avoir. mal
— OK, on change un peu
Il se retire donc de mon cul délicatement et me maintient les fesses écartées quelques instants pour observer mon anus encore bien ouvert.
— Mon dieu que cest beau
— Quoi ? Mon trou du cul ?
— Oui le voir bien dilaté, comme ça, ça me rend dingue !
Soudain, il me retourne, mécarte les jambes et me pénètre brutalement en me limant immédiatement comme un fou. Il me défonce la chatte en me léchant et mordillant les seins.
— OH OUI FLORIAN !! Cest bon !!! vas-y !!
Le rythme quil mimpose est intense mais jouissif et je sens lorgasme monter rapidement.
— Continue, je ten prie !! Ooohh tarrête surtout pas !! Encore. Encore !!! AAAAHHHHH
Ses coups de boutoirs marrachent un nouvel orgasme, délicieux. Mais lui nen a pas fini. Mon orgasme nest pas dissipé quil reprend son ramonage intensif.
— Aaahhhh ! Ddoucement cest très sensible
Répondant à ma demande daccorder un répit à ma chatte, il se retire et senfonce dans mon cul en un grand et ample mouvement de bassin. Cette pénétration anale surprise marrache un petit cri de douleur qui ne le freine absolument pas, au contraire. Ainsi en missionnaire, il mencule avec fougue, menfonçant même deux doigts dans la chatte en même temps.
A sa tête, je sens quil est sur la dernière ligne droite et me dit dailleurs :
— Ca ça vient je peux venir sur vous ?
— Oui, jouis sur moi mon salop ! Recouvre-moi !
Je ne croyais pas si bien dire car sitôt sortit de mon cul, des flots de spermes sabattent sur moi ! Le premier jet est puissant et matteint directement au visage. Les autres échouent sur mon cou, mes seins, le plus gros du foutre sétalant sur mon ventre en créant une mini flaque Alors que des gouttes sécoulent encore de sa grosse bite, je mexclame :
— Bon dieu, quelle réserve !! Comment peux-tu jouir autant ?? Je suis recouverte
— Je me suis réservé pour vous pendant plusieurs jours Je voulais vous voir dans cet état !
— Recouverte par ton sperme ? Petit vicieux Tu aimes me voir souillée comme ça ?
— Jadore
— Et tu préfères ça ou quand javale ton foutre épais ?
— Les deux, mon capitaine
Je récolte alors une petite quantité de sperme sur mes seins avec un doigt et le porte à ma bouche pour lavaler.
— Encore me dit-il dun ton assez ferme.
Obéissante, je récupère encore du foutre sur mon ventre pour lavaler et répète lopération plusieurs fois pour satisfaire mon jeune amant. Puis, sentant une désagréable sensation de nausée monter, je me lèche les doigts pour signifier que je nai plus faim.
— Vous aimez le gout ?
— Je commence à my habituer Mais toi, ne ty habitue pas trop, je ne compte pas bouffer ton sperme à chaque fois !
— Je men doute
Je le vois alors se diriger vers ma salle bain.
— Tu Tu vas aux toilettes ?
— Oui, juste pour pisser mais je peux aller dans celles de linternat si vous préférez
— Non, cest juste que
— Vous voulez regarder ?
— Oui, sil te plaît !
Il se place devant les toilettes, siège relevé et me magenouille à côté de lui, le visage à hauteur de son sexe. Le jet de pisse qui sort me fascine immédiatement. De ma main gauche je tiens son sexe et dirige le jet, et de ma main droite et bien jessaie de résister à lenvie de toucher. De toucher de lurine dun autre. Le jet faibli et se réduit en simples gouttes. Je me rends compte que je branle légèrement Florian et que mon visage nest maintenant plus quà quelques centimètres de son sexe. Puis sans savoir pourquoi, je le prends dans ma bouche et lèche son gland et les dernières petites gouttes qui en sortent. Le gout est salé, un peu dégueu mais cest lexcitation qui a parler, par la morale. Bizarrement, je nai pas envie de recracher et avale cette gorgée de salive légèrement aromatisée.
Je regarde alors Florian qui mobserve avec un air amusé et troublé.
— Excuse-moi je ne sais pas pourquoi jai fait ça Jai juste voulu essayer comme une expérience, tu vois ?
— Ya pas de problème Vous êtes juste plus perverse que je pensais. Cest cool !
— Tu ne trouves pas ça choquant ?
— Non et maintenant que vous le demandez, je crois en fait que jadorerai vous pisser dessus !
— Beurk !! Ça cest dégelasse !
— Cest vrai mais un jour, vous verrez, cest vous que me le demanderez !
— Compte la dessus mon grand !
Après son départ et lui avoir donné mes consignes pour ne venir dans ma chambre quà ma demande (et éviter de croiser Antoine), je prends une douche réparatrice, tant pour mon aspect extérieur que pour mes orifices échauffés.
Pendant les semaines qui ont suivis, jai ainsi jonglé avec mes deux amants sans jamais quils se croisent une fois mais en réussissant toujours à me faire sauter le plus souvent possible. Antoine et Florian me baisaient chacun un soir sur deux, parfois les deux dans la même nuit lorsque javais encore « faim » après un premier coup. Je profitais aussi des mercredi après-midi pour me faire tringler en extérieur et des pseudos conneries de lun ou de lautre pour les sucer ou me faire lécher dans mon bureau.
Les pratiques se libéralisaient également et, doccasionnelles, les sodomies devinrent plus régulières. Au début, cest moi qui freinais leur ardeur à me défoncer le cul en leur faisant comprendre que le plaisir dune femme vient surtout de choses plus simples : pénétration vaginale, cunnilingus Des choses pour lesquelles ils samélioraient à vue dil pour mon plus grand bonheur. Mais avec lexpérience, je découvris aussi que la sodomie me plaisait de plus en plus (autant psychologiquement que physiquement) et je me surpris à leur demander à plusieurs occasions un petit ramonage anal.
Durant mes périodes de règles, je levais le pied et me contentait de les sucer à la sauvette. Mais les coquins ne pouvaient sen contenter : ces périodes, surtout si elles duraient trop longtemps à leur gout, devenaient loccasion pour eux de se concentrer sur mon cul et rien dautre. Ainsi, une fois par mois pendant trois ou quatre jours, je me faisais enculer dans tous les positions sans que mon vagin ne soit sollicité. Je pouvais me faire sodomiser à la sauvette contre un arbre le mercredi après-midi, le pantalon à peine baissé et recommencer le soir même dans les positions les plus acrobatiques. Mon cul était de plus en plus sollicité et de plus en plus élastique. En trois mois de relation soutenue, toute douleur avait disparue et, une fois excitée, mon anus noffrait pas plus de résistance que ma chatte.
Le pire là-dedans cest quau bout dun moment, ce ne sont même plus les garçons qui insistaient pour menculer tous les jours, cest moi qui narrivais pas à me contenter dune simple pipe et sous leffet de lexcitation, leur offrait mon cul. Et ce besoin physique ne se calmait jamais, si bien que les weekends chez moi, où jaurais pu vouloir reposer mes orifices, je les passais à me caresser ou me goder. Il fallait que je jouisse quotidiennement, que je me fasse pénétrer aussi souvent que possible. Jétais accro ! Accro et perverse car ma lubie pour la pisse ne disparaissait pas et cest Antoine que jai, à son tour, mater en train de se soulager. Lui, par contre, ne sest pas gêné pour me pisser dans la bouche alors que je voulais simplement lui donner un petit coup de langue. Jai évidemment recraché mais, là encore, jétais plus intriguée que choquée. Et je ne lui en ai même pas voulu. Antoine était plus pervers que Florian, je le constatais, mais jaimais ça.
De lextérieur, il est clair quun observateur avisé aurait vu les regards complices et les allées et venues. Mais je navais ressentis aucune suspicion dans mon entourage, les hommes me considérant de toute façon comme quelquun dextraverti et de courtisé au quotidien. Mes amants eux-mêmes ne soupçonnaient pas ma double relation et ne sétaient encore pas rendu compte de ma nymphomanie. Car on peut le dire, après avoir regardé les symptômes médicaux sur des bouquins et internet, cétait clair que jétais nymphomane !
Arrivèrent les vacances scolaires, celles de fin dannée, qui me privèrent de mes chers amants en même temps que mes tenues légères. Jen ai profité pour retourner dans ma famille et la compagnie de personnes que je navais pas vues depuis un moment me fit du bien. Durant plusieurs jours je nai même pas pensé au sexe. Mais la deuxième semaine fut plus difficile et je dus me masturber à de nombreuses reprises pour me calmer. Ma campagne natale et les repas chez les tantes et grands-parents noffrant que peu doccasions de rencontres, je suis restée fidèle à mes amants. Mais leur présence hantait mes rêves et mes fantasmes. Je les imaginais lun ou lautre en train de me baiser. Je fantasmais aussi sur le fait quils prennent à deux. Ensemble.
Lidée que deux hommes me baisent en même temps mexcitait terriblement et cela me surprenait car cétait quelque chose de très hard, réservé aux films pornos ou aux libertines. Seule une salope ou une professionnelle pouvait accepter cela ! Alors pourquoi cela mexcitait tant ?? Peut-être parce que jétais moi-même une grosse salope Mais comment faire avec Florian et Antoine alors quils croient être les « seuls » à me voir ? Y-a-t-il un risque de les perdre tous les deux sils sestiment trompés ?
Ces questions me tourmentaient encore le jour de la rentrée quand je les vis, indépendamment, et que jai mouillé mon string à la simple idée quils me baisent, non pas chacun de leur côté, mais ensemble.
A suivre…
