ÉVOLUTION
Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.
Chapitre 33 : Animal, c’est pas si mal…
Ensuite Alice ramène ses filles chez elles, parce que ces dernières ont la sagesse de vouloir commencer à réviser sérieusement leur bac dès aujourd’hui. Les épreuves vont en effet commencer le 16 juin, c’est-à-dire jeudi prochain, ce qui ne leur laisse pas énormément de temps pour le faire. Toutefois en partant, elles avaient l’air sereines, tout comme leur maman qui une fois qu’elle est revenue, me dit après m’avoir souri et s’être installée à côté de moi dans une chaise longue :
Il y a des pizzas et des plats touts préparés dans notre frigo, par conséquent, il ne leur reste plus qu’à bosser. Mais je ne suis pas inquiète à leur sujet, car Léo a quinze de moyenne générale, et Léa la surpasse puisqu’elle arrive à dix-sept. Par conséquent, ces épreuves ne devraient être pour elles qu’une question de stress à gérer.
Je lui réponds assez sérieusement :
J’espère quand même qu’elles ont conscience que si elles se loupent, ce ne sera pas un drame et qu’il leur suffira de recommencer l’année prochaine.
Je leur ai répété ça plusieurs fois, et si tu veux mon avis, la seule chose qui pourrait poser problème serait que l’une réussisse et l’autre pas. Surtout si c’est Léa qui a son bac, et qu’elle se retrouve toute seule en fac l’année prochaine, car ça risquerait d’être très dur pour elle. Tu ne les connais peut-être pas encore assez pour t’en être rendu compte, mais Léo malgré son côté effronté et indépendant est très protectrice vis-à-vis de sa sur, qui par conséquent a la chance que je n’ai pas eue étant donné que j’étais fille unique.
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Que la jumelle brune soit effrontée, j’ai eu l’occasion de m’en apercevoir, pourtant je ne fais pas de remarque à ce sujet, étant donné que comme je l’ai déjà dit, je considère que l’incident qui a eu lieu en fin de matinée est clos. Cependant Alice doit avoir suivi le même cheminement de pensée que moi, puisqu’elle me fait :
Ce qui s’est passé tout à l’heure avec Léo, lorsque j’étais dans la cuisine, j’espère que tu ne l’as pas mal pris.
Non, j’étais juste surpris, parce que je n’ai pas l’habitude de me faire draguer par des gamines.
Je n’ai jamais rien interdit à mes filles, ni de sortir le soir ni de ramener un petit copain à la maison, pourtant elles n’ont jamais fait ni l’un ni l’autre. Elles sont très sages et je pense qu’elles sont toujours pucelles, alors que beaucoup de filles de leur âge ont déjà vu le loup sortir du bois, et certaines depuis longtemps. Je ne sais pas si c’est parce que Léa à cause de son caractère freine Léo, ou tout simplement parce que leur relation est tellement fusionnelle qu’elles préfèrent rester ensemble. Toujours est-il, que je n’avais jamais vu ma fille se comporter de cette façon avec un homme, qu’il soit jeune ou mûr. Par conséquent, je pense qu’elle a tout simplement voulu tester son pouvoir de séduction.
Oui, ou alors tester ma fidélité envers sa maman chérie.
Cette idée fait sourire mon petit bout de femme, qui me demande aussitôt :
Tu penses qu’elle aurait voulu s’assurer que tu es un type honnête, afin de m’éviter des déceptions ?
Pourquoi pas ? Tu as l’air convaincue qu’elle ne s’intéresse pas aux hommes, même si je trouve ça un peu étrange pour une fille de son âge, et que vu sa beauté elle doit les attirer comme un pot de miel attire les mouches. Par conséquent, qu’elle ait tenté de me mettre à l’épreuve est l’explication la plus logique.
Tu as peut-être raison. Néanmoins, même si tu les as bien reluquées lorsqu’elles sont arrivées je ne suis pas trop inquiète à ce sujet, car rien dans ton attitude ne m’a fait penser à un loup voyant sortir des agnelles de la bergerie.
Pour tout te dire, j’essayais d’établir des comparaisons entre elles et la femme superbe dont je suis tombé amoureux, qui n’est autre que leur maman. Et j’en suis arrivé à la conclusion logique que si Léo te ressemble physiquement, Léa a pris tes traits de caractère.
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Cette constatation de ma part fait légèrement rougir Alice, cependant je suis prêt à parier que la gêne n’est pas cette fois en cause, mais que c’est dû à l’émotion causée par le compliment que je viens de lui faire. Ensuite, je lui dis pour la taquiner :
Tu es en retard pour ce qui est de m’envoyer le contenu de ta garde-robe, car je te rappelle que tu as perdu ce nouveau pari.
Cette fois, elle devient écarlate, ce qui ne l’empêche pas de répliquer :
Je n’ai rien oublié du tout, et j’ai mis une bonne dizaine de photos sur la clef USB que je t’ai ramenée. Seulement avant de te la donner, j’attendais de savoir qui de nous deux allait gagner. Car je t’avoue que si je n’ai pas été étonnée que Léo se mette à poils elle aussi lorsque je l’ai fait en revenant de chez nous, j’ai été très surprise que sa sur nous imite aussitôt. Et ce qui m’a bluffée, c’est lorsque j’ai constaté que ces petites coquines n’ont pas attendu que je leur dise que j’étais devenue une nudiste, pour se faire elles aussi dorer la pilule sans maillots de bain. Car je suppose que cela ne t’a pas non plus échappé ?
Non, je m’en suis également rendu compte. En même temps, tu m’as dit que votre terrasse est bien protégée. Par conséquent, je trouve le fait qu’elles se fassent bronzer toutes nues assez naturel, et cela a certainement beaucoup aidé Léa à franchir le cap aujourd’hui.
Visiblement, mon petit bout de femme n’avait pas du tout pensé à ça, puisqu’elle hausse à présent ses beaux sourcils. Puis une fois qu’elle a assimilé cette information, elle me demande sur un ton que je trouve très sensuel :
Dis-moi mon Amour, je suppose que les haut-parleurs qui sont accrochés aux quatre coins de ta piscine ne l’ont pas été uniquement pour que ton fils puisse organiser des boums lorsqu’il était adolescent ?
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Je réponds en devenant encore plus grivois qu’elle :
Même si ces enceintes ont été changées depuis, l’installation date d’avant la naissance d’Henry, car sa mère adorait se faire sodomiser en étant à quatre pattes sur le gazon.
Alice devient à nouveau toute rouge, tandis qu’elle continue à me questionner :
Et tu l’as fait avec beaucoup de tes compagnes ? Je veux dire baiser dans le jardin ?
Disons une bonne moitié, car si toutes étaient beaucoup moins prudes que toi lorsque je les ai rencontrées, très peu d’entre elles ont su évoluer comme tu l’as fait. Mais pour être franc, la plus cochonne était mon ex-femme Mathilde, même si elle mettait un point d’honneur à paraître très sage en société, au point de dénigrer certaines pratiques auxquelles elle m’a initié. Ce que je trouvais carrément hypocrite de sa part.
Comme se faire enculer ?
Non, cela je l’ai découvert avec ma première petite amie qui s’appelait Anaïs, la seule que j’aie vraiment aimée avant toi. Elle ne prenait pas la pilule, alors une fois le stade des baisers et des attouchements passé, nous en sommes venus tout naturellement à la sodomie, dans le but d’éviter qu’elle ne tombe enceinte. Mais pour en revenir à Mathilde, c’est elle qui m’a demandé de mettre une chaîne stéréo dans le cabanon, à peine la construction de la villa achevée. Et bien évidemment, elle m’a fait ensuite connaître la joie des galipettes en plein air.
Je me doute bien que si mon petit bout de femme a abordé le sujet, c’est parce qu’elle est tentée par cette expérience, qui sera pour elle un pas de plus vers la débauche. Cependant je la sens hésitante, et étant donné que je veux que la décision vienne d’elle seule, je ne fais rien de plus pour la motiver, car j’estime que l’exemple de la mère de mon unique enfant que je viens de lui donner est déjà amplement suffisant pour la faire réfléchir.
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Alors qu’Alice reste silencieuse, je me dis que faire l’amour dehors sans aucun mur pour la protéger va rester pour elle un fantasme pendant encore quelque temps. C’est pourquoi elle me surprend lorsqu’elle se lève brusquement, et qu’elle me demande :
Il y a quoi comme musique, dans ce cabanon ?
Je réponds après avoir souri :
Pas grand-chose en ce moment, mais je peux aller chercher un CD en haut. Il te suffit de me dire ce que tu as envie d’écouter.
Tu en as un de Frankie Goes To Hollywood ?
Bien entendu. Welcome To The Pleasuredome fait partie des grands classiques de ma jeunesse, et même si à l’époque je l’avais acheté en trente-trois tours, je l’ai maintenant en version numérique.
Alors va le chercher.
Je quitte aussitôt mon siège pour lui obéir, sans être certain que mon petit bout de femme osera vraiment passer à l’acte, même si nous n’avons pas fait l’amour depuis ce matin sur notre lit. Il ne me faut pas bien longtemps pour trouver l’album en question, que je n’ai pas écouté depuis bien longtemps, et lorsque je suis de retour sur la terrasse, je constate que ma compagne n’y est plus.
Elle est en effet allée se mettre à quatre pattes sur le gazon, en ayant laissé ses mules sur le carrelage qui borde la piscine. Sa lourde poitrine pend à présent librement sous son torse, et lorsque je m’approche d’elle, elle pousse un « Béééh » très bien imité, tout en faisant semblant de brouter l’herbe. Je sens immédiatement mon sexe de dresser, d’autant plus que cette brebis égarée est en train de se déplacer, pour me présenter sa croupe après m’avoir fait un sourire très coquin.
C’est pourquoi, n’ayant à présent plus aucun doute sur ses intentions, je vais sans tarder mettre de la musique, et lorsque je ressors du cabanon, j’entends Holly Johnson dire dans les haut-parleurs : « The world is my oyster », ce qui se traduit par « Le monde est mon huître ».
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Étant donné qu’Alice est en train d’exposer la sienne sans aucune équivoque, je décalotte mon gland, vu que mon membre est à présent bien raide. Ensuite, je me mets dans la même position qu’elle, et je vais la rejoindre, comme si j’étais un animal. Lorsque ma tête est toute proche de sa vulve, je me mets à lécher cette dernière en me contentant de donner de grands coups de langue gourmands.
Au départ, il me semble entendre mon petit bout de femme étouffer un rire, ce que je suppose même si dans cette position, je ne peux pas voir sa tête, par rapport au fait que son corps tout entier est parcouru de spasmes. Je ne doute pas un seul instant qu’elle trouve le nouveau jeu de rôle dans lequel elle nous a placés très amusant, même si la situation pourrait paraître très étrange aux yeux d’une personne qui nous verrait, puisque nous ne sommes plus en train de nous comporter comme des êtres humains. Néanmoins cela me prouve que ma compagne est parfaitement détendue, et que l’idée qu’elle va se faire prendre en extérieur n’a pas l’air de l’intimider le moins du monde, ce qui je trouve est une excellente chose.
La façon dont je m’occupe de son sexe, en le lapant comme le ferait une vache avec un bloc de sel, malgré le manque de technique ne tarde pourtant pas à faire son effet, puisque l’hilarité de mon amante a été remplacée par des soupirs de plus en plus profonds. Pour mon plus grand plaisir, sa vulve se met à suinter de mouille, dont je me régale, ce qui n’empêche pas celle à qui elle appartient de pousser de temps en temps un autre bêlement. Je remarque amusé qu’ils changent peu à peu d’intonations, comme si la brebis dans la peau de laquelle elle s’est mise devenait en chaleurs, et voulait le faire savoir à son mâle.
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Tandis que je continue à brouter Alice, « Welcome To The Pleasuredome » a remplacé la chanson précédente dans les enceintes, et je me dis non sans malice qu’elle a fait un choix musical très stimulant, même si la Symphonie Pastorale aurait été plus appropriée vu les circonstances.
Alors que je ne me lasse pas de passer encore et encore ma langue sur sa vulve, récoltant au fur et à mesure le divin nectar qu’elle produit, mon petit bout de femme me montre tout à coup son envie d’aller plus loin. Contrairement aux autres fois, je n’ai pas droit à une petite pique provocatrice de sa part, mais elle se met à cogner son genou contre le sol recouvert à cet endroit de gazon, en soulevant par la même occasion son mollet et son pied nu, tout en poussant des petits bêlements que je trouve à présent plaintifs.
Étant donné que je suis moi aussi décidé à rester dans le rôle du bélier, ou du bouc étant donné que cela n’est pas clairement défini, je redresse la tête et je commence à avancer. Lorsque mon torse bien buté contre ses fesses, ma femelle de circonstances abaisse son bassin pour me permettre d’aller plus loin, en pliant les jambes, et elle fait la même chose avec ses bras de manière à ce que je puisse entièrement la couvrir.
C’est donc en tâtonnant, enfin façon de parler, que mon gland cherche l’entrée de son vagin, et lorsqu’il l’a atteinte et qu’il ait appuyé contre la fente formée par ses petites lèvres collées l’une à l’autre, je pousse doucement pour m’introduire en elle. Lorsque je pénètre dans sa matrice, je la trouve chaude et humide à souhait, ce qui me montre que ma petite femelle est prête à me recevoir, par conséquent, je continue jusqu’à ce que mon sexe soit entièrement gainé.
Bien entendu, le plaisir que je ressens à ce moment-là est immense, et je souris lorsqu’au lieu du geignement attendu, ma partenaire pousse un petit béééh que je trouve on ne plus plus charmant.
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Mes avant-bras sont à présent bien à plat sur le sol de chaque côté de ceux d’Alice, et lorsque je place mes mains sur les siennes, nos doigts s’entrelacent aussitôt. Sa tête qu’elle a gardée levée pour regarder droit devant elle est juste à côté de la mienne, ce qui me permet de venir poser ma joue contre la sienne. Quant à son corps, si elle a au départ cambré ses reins de manière à favoriser le passage de ma queue, elle s’est à présent redressée, pour qu’un maximum de nos peaux soit au contact l’une de l’autre.
Bien entendu, cela ne ma facilite pas la tâche lorsque je me mets à bouger, dans le but de faire coulisser mon membre dans son vagin, étant donné que je suis obligé de me frotter à elle à chaque aller et retour. Mais je trouve ce contact permanent à la fois très stimulant et très tendre, même s’il m’oblige à rester lent, tandis que mon petit bout de femme ondule du bassin pour augmenter nos sensations.
Holly Johnson est cette fois en train de chanter « Relax », la chanson qui a fait connaître le groupe anglais au monde entier dans les années quatre-vingt, et je trouve cette musique à présent déplacée vu la situation dans laquelle nous nous trouvons, même si tous ceux qui parlent anglais savent qu’elle est très sexuelle.
Cela ne nous empêche pas ma partenaire et moi de nous nous aimer tendrement, dans un accouplement qui s’il est animal n’a pour autant rien de bestial. La montée de notre plaisir a été à la fois lente et inéluctable, et nous finissons par atteindre tous les deux la jouissance. Cela se traduit sans surprise pour elle par des spasmes de son vagin, qui sont accompagnés une fois n’est pas coutume d’un bêlement bien plus long que les autres, et qui remplace le gémissement auquel elle m’a habitué. Cependant, je trouve cette nouvelle manière d’exprimer sa jouissance tout autant mélodieuse. Par conséquent lorsque ma semence gicle en elle, j’essaie de l’imiter, mais de façon à la fois plus grave plus rauque et moins bien réussie, puis lorsque j’ai terminé de me vider, je bascule sur le côté en l’entraînant avec moi dans ma roulade, tandis que nous sommes tous les deux pris d’un fou-rire, qu’il nous faut plusieurs minutes pour arriver à contrôler.
À suivre…
