Après un délicieux moment de ce traitement, je propose à ma chérie que nous échangions nos places avec nos joueurs du moment.
Je sais que P nest pas particulièrement intéressée par léchange avec dautres hommes, mais je dois bien avouer que pour ma part, jai très envie de continuer et de jouer de ma langue sur les lèvres de celle qui vient de me prodiguer une délicieuse fellation. A ma grande surprise, mon amour nhésite pas un instant et initie même le mouvement. Nos comparses sasseyent sur le rebord et nous prenons donc place, P et moi, dans leau, la tête à hauteur de leurs sexes. Je vois P lécher la queue de G de bas en haut, comme elle sait si bien le faire, elle la tient dune main ferme pendant que sa langue va-et-vient sur cette tige bien dure. Puis elle gobe son gland quelle aspire. G a lair de prendre en grand plaisir, je le comprends, P est experte en la matière. Elle coulisse tantôt sa langue, tantôt ses lèvres le long de cette bite dressée, elle lavale quasiment entière et recommence de plus belle. G lui caresse les seins pendant quelle est à son affaire, tous deux ont lair de bien apprécier le moment présent, quel délice, quelle excitation.
Manifestement impatiente, L guide ma tête vers sa petite chatte en feu. Cest la première fois que je prodigue un cunni à une autre que ma chérie en sa présence, cest étrange, mais vraiment excitant. Je pose ma main droite sur le dos de ma chérie au moment où mes lèvres se posent sur le clitoris de L. Elle se penche légèrement en arrière pour me donner un meilleur accès à sa grotte du plaisir. Du bout de la langue, jécarte ses grandes lèvres puis ses petites pour enfin goûter au nectar de son désir. Je fais coulisser ma langue de bas en haut, jusque sur son clitoris, et lorsque je suis au bon endroit, je lenfonce en elle aussi profondément que possible. Les doigts de ma main gauche viennent rejoindre ma langue dans cette danse sexuelle et explorent lintimité de L pendant que ma langue se concentre sur le mont de Vénus ainsi que le bouton de plaisir de L. Je prends un grand plaisir à lui procurer ses caresses buccales et tactiles, mais je nen oublie pas pour autant P, mon amour, sur qui ma main droite se promène, sur ses fesses, et sur son sexe, gonflé de désir. Même dans leau, je la sens toute mouillée, excitée quelle par la situation et les récentes caresses de G sur elle. Si je mécoutais, je céderais à mon plus grand désir et je viendrais me glisser derrière ma chérie pour la pénétrer profondément et la sentir se serrer sur ma queue, presque certain quelle jouirait immédiatement. Mais je continue mon délicieux cunni tout en glissant mes mains sur elle, et mes doigts en elle de temps en temps.
G et L ne sont pas en reste, ils séchangent baisers et caresses tout en guidant nos temps de temps en temps ou en se crispant de plaisir sur nos épaules.
Au bout dun petit moment, je me penche vers P pour lembrasser à pleine bouche. Ce baiser à un goût particulier (je nai eu cette pensée que quelque temps après), le goût de la queue de G dans la bouche de ma chérie, et le goût de la chatte de L dans la mienne. Nous retournons ensuite à nos occupations buccales, avec délectation… Arrive ce moment que jattendais et redoutais à la fois.
L se penche sur mon oreille et me demande si nous souhaitons continuer au sec. Je lui dis alors de voir avec ma chérie. Je sais que P nest pas forcément prête à cette étape. Jusquici, nous navons jamais dépassé ce stade de jeu (et même un peu moins, je navais jamais léché une autre, bien que P, délicieux spectacle, avait déjà sucé une autre queue devant moi). Je relève donc la tête pendant que L questionne ma chérie sur son envie daller au sec (dans une pièce fermée). P arrête sa fellation et garde cette queue en bouche, les lèvres autour du gland gonflé. Je me glisse derrière mon amour pour me coller à elle, jadore sentir sa peau conter la mienne, ma queue se glisse bien au chaud entre ses fesses et, de mes mains sous leau, jécarte son sexe pour y enfoncer deux doigts et commencer un petit va-et-vient. Elle est toujours aussi excitée, je la sens appuyer son arrière-train sur moi encore plus fort.
Puis elle se redresse, et sapproche de mon oreille.
« Tu veux aller au sec avec eux ? »
« Jaimerais bien ma chérie, mais je sais que tu appréhendes peut-être un peu, dis-toi quon sarrête à nimporte quel moment, si tu te sens mal et noses pas le dire, notre petit signal suffira pour que je le fasse. Dans tous les cas, tu décides, dans un cas comme dans lautre, je serai content. Je taime mon amour ».
Elle membrasse à pleine bouche, me glisse je taime à loreille, se penche vers L, lembrasse à son tour en glissant ses mains sous leau pour la caresser, lui parle à loreille, mattrape la main et me dit : « tu viens, on y va ! ». Et nous nous levons tous les quatre pour aller au sec. Je ne sais pas si jai peur ou si je suis impatient, la seule chose dont je suis certain, cest que je nai jamais eu une telle érection…
Nous sommes donc tous les quatre sous la douche, mis à part leau qui coule, il ny a pas trop de bruit. La gêne, au moins pour P et moi est palpable. Cest une étape que nous franchissons ensemble, à la fois impatients et inquiets :
Allons-nous être à la hauteur, nallons-nous pas nous dégonfler (littéralement pour moi :p), allons-nous supporter les éventuels échanges quil pourrait y avoir derrière la porte de la pièce que nous allons refermer. La jalousie ne va-t-elle pas se réveiller ? Ou ce sera la peur qui arrivera avant ?
Cest autant de questions que nous nous posons tout en nous savonnant pour débarrasser autant que possible notre peau des produits chimiques du jacuzzi.
Je vois que P partage mes interrogations, je me penche alors vers elle, et lui répète à loreille quon stoppe quand elle veut, quelle nhésite pas à me donner notre signal, et que si ça se trouve ce sera moi qui stopperai avant elle. Je lembrasse en létreignant, puis L sort de la douche en nous invitant à la suivre.
Nous lui emboîtons le pas, et elle sengouffre dans une pièce libre, au hasard ou pas, peu importe, cest bien quelle se soit chargée de ce choix, notre état ne nous aurait certainement pas permis de nous décider. Nous entrons donc à la suite de L, P, moi puis G. La porte se ferme, G en tourne la clef… nous voilà tous les quatre, nus devant cette jolie pièce.
Léclairage est assez tamisé, comme partout dans le club, mais nous y voyons mieux que dans le jacuzzi, le matelas, blanc, devant nous est assez grand, il doit bien faire dans les trois mètres sur deux et est collé au mur du fond. Chaque mur comporte un miroir de façon à ce que chacun dentre nous puisse voir et être vu lors de nos proches ébats.
P et moi sommes un peu interdits depuis que nous sommes entrés, puis, je prends mon courage à deux mains afin de détendre la situation, je jette ma serviette sur le ventilateur qui est présent dans la pièce, puis me dirige sur le matelas, afin daller récupérer du sopalin et du produit désinfectant pour nettoyer le revêtement en sky du matelas.
« Je lave un peu, on sera plus à laise comme ça ».
Dans le miroir, je vois L qui empoigne le sexe de G, et attire P vers elle afin de lembrasser. Leurs mains se rejoignent sur cette queue manifestement bien dure. Ils sembrassent et se caressent tous les trois, P avec un peu plus de timidité cependant. Dès que jai terminé de nettoyer, je jette le sopalin et mallonge afin de contempler cette belle scène :
P et G qui masturbent tour à tour G tout en sembrassant, et G qui lèche et embrasse leurs poitrines pendant que ses mains explorent leurs fesses se glissant jusque sur leurs intimités, jen suis sûr, bien humides.
Je suis terriblement amoureux de P, mon amour, mais la voir ainsi se faire posséder par un autre couple et particulièrement un autre homme ne me dérange pas, étrangement. Jaime la voir prendre du plaisir, la voir oser passer un cap et surtout y prendre du plaisir (cest là le seul intérêt). Jaime la voir avoir envie de sexe pour le sexe, la voir soupirer de plaisir, gémir de désir puis enfin jouir que ce soit sous mes caresses ou celle de quelquun dautre, homme ou femme. Elle est si belle quand elle prend du plaisir, encore plus quau naturel, cest vous dire !
Le trio vient se coucher auprès de moi, sur le matelas, toujours affairés quils sont à leurs caresses. Je me colle derrière P, et lui empoigne un sein de ma main droite et me dirige vers sa petite chatte de ma main gauche. Jy rencontre la main de G, lindex complètement enfoncé en elle qui effectue de petits va-et-vient, je me caresse alors sur le clitoris de mon amour, et je sens à son sursaut que ma première caresse déclenche en elle une vague de plaisir. Cest bon… P se tourne vers moi au bout dun petit moment, sans un mot, mais son regard en dit long, elle me plaque les épaules sur le matelas et menjambe. Elle glisse sa fente bien humide le long de mon sexe bien dur, mais sans jamais sempaler sur ce dernier, elle fait monter mon plaisir, et surtout mon désir. Si les choses continuent ainsi, javoue que je ne sais pas comment je vais faire pour ne pas exploser avant la fin…
Pendant ce temps, L se met à sucer son compagnon langoureusement et je tends une main vers ses fesses et je glisse un doigt sur ses lèvres humides.
De toutes parts, les miroirs nous envoient des images de pure luxure, cest un délice ! Je ne saurais donner dautre définition au pur plaisir physique et sexuel.
G se rapproche de ma chérie et vient lembrasser, cette dernière empoigne son sexe à pleine main tout en se penchant pour le sucer. Son ardeur métonne et me ravit, je sais quelle est en train de prendre son pied, ce qui ne rend mes sensations que plus fortes. L vient sassoir sur mon visage, je monte mes mains sur sa poitrine tout en jouant avec ma langue sur ses lèvres et pour la pousser au plus profond delle. Dans la confusion de laction, P finit par sempaler sur mon gland dressé et le pousse tout au fond delle dans un soupir de soulagement. Je sens ses parois vaginales se resserrer sur moi, elle vient déjà de jouir, je suis aux anges, et je fais très attention à ne pas en faire de même, jai envie de profiter encore un petit moment de cet instant délicieux.
L a la même envie il me semble, lorsquelle voit cela, elle se penche vers ma chérie et lui glisse un « pas si vite, jai envie de jouer un peu aussi ».
P se redresse, sort mon sexe delle membrasse avant de laisser le champ libre à L. Nous voilà dans un doux 69, nous échangeons des caresses buccales. Jai une vue imprenable sur son sexe ouvert et gonflé de plaisir. Du bout de mes doigts je lécarte afin de permettre à ma langue daller encore plus loin en elle et de glisser le long de ses lèvres. Mon seul regret est de ne pouvoir atteindre aisément son petit bouton magique pour rendre ma caresse complète. Du bout de ma langue je sens ses contractions, et je vois son petit trou qui va et qui vient signe de ses spasmes de plaisir. Quant à elle, elle saffaire sur mon sexe, tantôt en le léchant, tantôt en le suçant, toujours délicatement toujours avec sensualité. Les miroirs me permettent dadmirer la scène sous tous les angles, de la voir, en plus de la sentir, me titiller lanus dans une délicieuse caresse. Nous continuons ainsi nos échanges sans que je sois en mesure de dire combien de temps.
Je vois, toujours sur les miroirs et du coin de lil, que ma chérie sest lancée dans la même position avec G. Ils y prennent tous les deux un plaisir manifeste, je tends une main pour lui attraper la cheville et que nos corps soient connectés. Cette scène, en plus de mes propres sensations, menivre littéralement. Je nai plus de notion de temps, pour moi, le monde se résume à nos quatre corps nus dans cette pièce fermée, pleine deffluves de plaisir bestial.
Perdu dans mon plaisir sans cesse croissant, je demande à L de ralentir pour ne pas que je jouisse trop tôt. Sil y a bien un domaine dans lequel jenvie les femmes, cest celui du plaisir physique, à condition davoir un bon amant, elles peuvent avoir plusieurs orgasmes à la suite et enchaîner les sommets dendorphines.
Elle relâche donc son étreinte, et continue cependant de jouer avec mon sexe en érection, le couvrant de petits bisous et de caresses, tout en maintenant sa chatte sur ma bouche. G étant manifestement plus endurant ou moins sensible que moi, P na pas besoin de cette précaution, elle sen donne à cur joie. Je vois la langue de son amant glisser sur elle et en elle, et de la pulpe de ses doigts, il glisse sur lentrée de sa grotte de plaisir pour y glisser de temps en temps deux longs doigts, manifestement experts tant ils déclenchent des sursauts de plaisir chez ma chérie.
P se redresse et me tend le bras pour que je me rapproche delle. Je prends congé pour venir, elle me serre contre elle, membrasse fort. Je retrouve le goût du baiser que nous avons échangé dans le jacuzzi avant de venir ici. Mais le plaisir reste le même de réunir mes lèvres et celle de P. Elle attrape ma queue, me masturbe, passe sa main dans mon dos et me glisse à loreille :
« Tu veux bien me donner un préservatif ? ».
Jen reste bouche bée devant sa prise dinitiative. Bouche bée, mais ravi.
« Bien sûr ma chérie, on est là pour samuser, alors amusons-nous ! Jen prends un aussi ? »
« Oh oui ! » me répondit-elle !
Je me penche alors vers le distributeur au coin de la pièce, attrape deux préservatifs, jen tends un à ma chérie, et un à L. Toutes deux le prennent avec un grand sourire.
