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Bonjour Ténériffe – Chapitre 2




Après une longue nuit de plaisir qui a encore resserré nos liens, nous partons ce matin pour visiter la petite ville d’Icod de los Vinos et son arbre millénaire. Comme dans toutes les îles, un service de bus relie les différents sites. C’est moins cher, plus amusant, plus authentique et permet de découvrir à un autre rythme les paysages de l’île. Alternances de bananeraies, de barrancos (ravins), de petites villes endormies, de points de vue somptueux et de routes parfois étroites.

Depuis Puerto de la Cruz nous mettons moins d’une heure pour arriver à la gare routière du bourg.

Il fait bon et comme Axel n’a pas du tout été malade car le trajet était relativement rectiligne la majeure partie du temps nous pouvons bien en profiter !

Il nous faut marcher un peu pour atteindre la partie ancienne et donc intéressante de la cité mais ensuite c’est ravissant ; vieux balcons ouvragés, fleurs, arbres fruitiers inusités dans notre région, murs blanchis à la chaux… Nous marchons en amoureux et arrivons finalement sur le site. Il s’agit d’un petit ravin mais assez large qui a été aménagé avec des jardins en terrasse, une reconstitution des grottes guanches (les premiers habitants des îles ; bien évidemment contraints à l’assimilation sous peine de destructions plus rapide) avec quelques mannequins. C’est ludique et assez intéressant. Ensuite vient le point d’orgue, un arbre immensément large, au diamètre imposant et qui est un dragonnier, espèce endémique des Canaries, parée de mille vertus par les indigènes. Je ne sais s’il a effectivement mille ans, mais c’est très ancien et pour des amoureux de la nature comme nous, fort intéressant (les autres passez votre chemin !)

Nous nous asseyons sur les bancs autour et profitons de la vue (pour ceux qui cherchent les plans gratuits vous pouvez aussi regarder de la place centrale du village mais sans visiter les jardins dans ce cas, parenthèse routard refermée).

Nous ressortons par l’inévitable boutique et aboutissons sur la place du village où nous faisons notre pause pique-nique en savourant vue, climat et ambiance traditionnelle de petit village. C’est dépaysant et donne vraiment envie de s’attarder.

D’autres touristes ont eu la même idée et on peut entendre du russe, de l’allemand, de l’anglais, mais peu de français. Le temps s’étire, je suis bien.

Il nous faut néanmoins repartir si nous voulons encore profiter de la journée. Aussi, retour vers les bus puis ensuite l’hôtel par la route côtière.

Une fois revenus, nous prenons une petite détente dans les jardins aménagés sous les piaillements des… oui canaris et des petits oiseaux multicolores qui sont partout. Nous compulsons les brochures de l’office du tourisme et les comparons avec notre petit guide afin de préparer les prochains jours.

Un tour en ville pour sentir les embruns comme le vent s’est un peu levé et pour profiter de la vue. En parlant de vue, je vois parfois Axel regarder des représentantes féminines de notre espèce, attiré par un look ou des tenues courtes disons, mais son petit sourire avant qu’il ne me regarde à nouveau me confirme ce qu’il me dit toujours ; pour lui, aucune autre ne peut se comparer à moi. Oh, je le sais flatteur, mais mon instinct, mon intuition me le confirment et me rassurent. Et puis, il sait que j’ai un stock d’acide, de chaux vive et une hache bien aiguisée dans le garage !

Mais laissons les anecdotes de couple de côté pour en revenir à notre sortie. Je suis en short court et débardeur serré, alors je le sens aussi se tendre quand d’autres mâles passent et me scrutent Ah ces hommes ! Vite faisons retour à la caverne.

Je lui souris et il me répond de même, inconscient de mes pensées. Il se demandait si je l’aimais encore, mais comment pourrais-je ne pas aimer celui qui me comprend si bien et me suit (précède parfois) dans mes envies !

Je pense à nos derniers jeux à trois. C’est fort plaisant, très jouissif mais sans lui, je me sentirais, disons amputée de sensations.

Comme s’il l’avait senti, il me tire vers lui, me serre et m’embrasse.

Finalement, nous revenons à notre chambre et décidons de profiter à nouveau des installations du sous-sol et surtout des douches parfumées.; Avec évidemment l’envie de nous y amuser.

Nous descendons et une fois dévêtus et dans le bassin, évoquons la journée passée.

Au bout d’un moment, Axel m’indique que la jeune femme si observatrice dhier est de nouveau revenue. Je la regarde et encore une fois, c’est un petit jeu de regard qui se met en place. Il dure et reprend au gré de nos longueurs. Mais, cette fois j’ai envie de m’amuser un peu plus…

Je souris à mon mari qui, d’un câlin dans le cou me montre sa confiance et son amour.

Nous faisons ensuite quelques brasses et, après un aller-retour ou deux, je stoppe à hauteur de la dame et engage la conversation sous prétexte de renseignements. Elle me répond en allemand et j’apprends rapidement que c’est son dernier jour de vacances et qu’elle est une cliente assidue de l’hôtel et des installations. Elle se nomme Sibylle et je nous présente à tour de rôle.

Vu la profondeur de l’eau, nos poitrines sont bien visibles et comme elle, je la regarde fixement de temps en temps. Je la scrute, la laisse voir que je mate bien puis reprends la discussion…

Je me sens excitée, j’ai envie de l’exciter. Dans ma tête je me dis que tout va vite, mais en même temps je n’ai plus envie de me freiner, de… ah oui, rater le train du plaisir.

Axel a raison, Sibylle pose régulièrement et comme malgré elle le regard sur ma poitrine. J’adore cette sensation, je me sens maîtresse de la situation. La voir rougir, voir les gouttes de sueur sur son front, ses narines qui palpitent et sa poitrine qui se soulève me donne envie d’elle. Je n’avais jamais eu de relations saphiques avant les Canaries mais là en plus, c’est l’excitation, l’envie de diriger qui me démange. Ah, j’adore ce sentiment, l’excitation physique et intellectuelle…

Un autre qui adore, c’est Axel qui s’est rapproché de moi et nous regarde avec un petit sourire en coin.

J’ignore ce qui a fait flasher cette femme alors que nous venons à peine d’arriver mais en discutant j’apprends qu’elle est divorcée depuis quelques années, sans enfants, s’est pas mal consacrée à sa carrière dans l’administration et je comprends qu’elle a accumulé toute une frustration sexuelle. En dirigeant habilement (j’ai le droit c’est moi qui écris !) la conversation pendant que nous barbotons toujours, elle avoue que je ressemble énormément à une amie de faculté perdue de vue depuis longtemps. Dit avec un petit air rêveur et tendu, je ne suis pas longue à comprendre qu’elle a dû avoir ou rêver d’une aventure lesbienne. Mes jambes effleurent les siennes comme par mégarde et à chaque action, elle devient plus nerveuse.

Axel passe à la vitesse supérieure et la regardant lui dit dans sa langue et en me désignant " Elle est belle hein, moi je la trouve excitante, "

Sibylle rougit encore plus et tente vaguement un mouvement mais je lui coupe la route et lui dis que moi aussi je la trouve excitante, qu’elle me trouble.

Sous l’eau, je tends alors la main, lui effleure le ventre avec un petit sourire. Elle frémit, pousse malgré elle son ventre en avant et passe sa langue sur ses lèvres dans un réflexe.

J’’en profite pour lui dire que sa petite langue m’excite, qu’elle m’excite. Tout va vite, mais je ne veux pas qu’elle se referme, se retrouve prise dans sa gangue de femme sérieuse.

Elle lâche un " Du bist so Geil " qui signifie " tu es si excitante" qui me fait intellectuellement exploser car c’est comme une reddition.

De loin, on voit trois personnes qui discutent tranquillement en barbotant un peu ; de près je frôle ses seins avec les miens, comme involontairement… Ce qui est tout sauf le cas,. Je veux la voir pointes tendues, envahie par le désir.

Ce petit jeu est plaisant (je crois avoir dit que j’étais assez cérébral non ?) mais j’y mets fin en proposant de prendre une douche car Axel m’a fait comprendre qu’il allait devenir très tendu, trop pour sortir incognito de l’eau ; même s’il n’y a quasi personne, restons discrets.

Sibylle nous accompagne, comme hypnotisée ; comme si des années de frustrations étaient jetées par-dessus bord.

Axel qui nous précède, choisis la douche ambiance Pins et nous entrons tous les trois. La pièce est petite mais bien assez grande pour trois.

Une fois la porte fermée derrière nous, elle nous regarde un peu anxieuse et je la récompense de nous avoir suivis en l’attirant doucement contre moi avant de l’embrasser très lentement, suavement, sensuellement, longuement…

L’odeur de pins, de forêt landaise est discrète mais présente et renforce cette sensation de liberté, d’être seuls au monde.

Elle résiste à peine, et au fur et à mesure de notre baiser, je la sens s’abandonner totalement. Elle devait être complètement en manque d’amour et trop triste ou seule pour livrer bataille.

Notre baiser devient intense, nos dents s’entrechoquent un peu et ce sont de grands coups de langue baveuse qui s’échangent. Ses yeux sont clos, mais moi je vois Axel qui me sourit, il s’est un peu écarté et profite du spectacle. Il rallume de temps en temps la douche pour qu’il fasse bien chaud, nous sentons quelques gouttes sur nous, c’est comme des embruns à cause de l’odeur.

Je continue à embrasser Sibylle que je sens devenir de plus en plus molle, faible dans mes bras ; vaincue par ses sensations si fortes et si nouvelles pour elle. Surtout, que nos mains explorent nos corps ! Elle a posé ses mains sur le bas de mon dos mais je les ai prises et posées sur mes fesses qu’elle serre maintenant fortement comme si elle avait peur que je m’en aille et qu’elle se réveille seule. Mes mains, elles, ne restant pas inactives et parcourent ses courbes, elle me laisse faire ce que je veux et j’en profite pour lui caresser les fesses, les cuisses, les cheveux…

Je me recule et elle ouvre aussitôt les yeux, me regarde haletante, vivante image de l’affamée d’amour.

Je recueille de la salive qui a coulé sur mon menton et lui offre mes deux doigts, juste devant sa bouche. Elle les happe immédiatement, goulûment, et cette fois, ose me regarder ; les yeux brillants, le regard chaviré, portée par l’envie et le plaisir. Je la sens, la vois avide de me plaire, de me donner ce que je veux, de m’obéir quoi. La responsabilité est importante mais aussi grisante et j’aime ça.

Axel est venu m’enserrer, me tient aux hanches : juste histoire me faire sentir son contentement, sa complicité.

Je me recule à nouveau, plus en retrait cette fois et d’une voix sourde lui dit juste :

— Branle-toi !

Elle a un léger sursaut mais, quasi immédiatement, devant mon regard qui ne la lâche pas, commence à se caresser. Dos collé au mur, elle fait glisser sa main droite sur sa chatte blonde et se touche profondément tant elle doit être trempée. Elle baisse un peu le regard mais je lui dis tout de suite de me regarder.

Elle se touche, je vois bien son index et son majeur plonger dans son puits d’amour puis ressortir, caresser son clitoris et replonger. Son buisson est fourni mais sa blondeur permet de bien mater et nous n’en perdons pas une miette. Je la commande à nouveau.

— Stop, ouvre la bouche

Son corps est tendu, ses seins durs, avec des pointes qui sont comme de petits cailloux roses, elle ne bouge plus et attend. Je m’avance, la regarde, suce à nouveau deux doigts et puis les plonge dans sa chatte, elle est dégoulinante, cherche la pénétration. Je fais quelques allers retours dans sa chaleur et quand je la sens vibrer, ressors mes doigts et les présente gluants devant sa bouche toujours ouverte.

— Suce

Elle s’exécute immédiatement, aspire mes doigts avec un regard halluciné, en sueur.

Je suis excitée, moi aussi je coule, c’est une sensation extraordinaire et j’en profite totalement.

Je retire légèrement mes doigts, qu’un fil de salive relie à sa bouche qui tente encore de les happer.

— Stop. Branle-toi de nouveau

Vite, elle se masturbe, gémit, son corps tremblote, elle est à moitié affalée contre le mur. Je m’avance et lui tire doucement les pointes des seins, j’ai l’impression de tenir des billes d’acier tellement ses tétons elles sont dures. Elle halète de plus en plus vite.

Je la sens monter encore et je l’arrête à nouveau.

— Lèche-moi.

Elle se jette quasiment à mes pieds et lape à grands coups ma chatte, mes lèvres, mon bouton. Je manque partir tellement c’est bon. Je me maîtrise je ne sais comment et me sens couler comme pas permis. Le bruit qu’elle fait est d’une obscénité et d’une sensualité incroyable ; Axel me tient la main que je lui serre à la broyer. C’est énorme.

Je la repousse contre le mur, je mets mes mains en appui, les fesses en arrière et aussitôt, Axel me pénètre. Sa queue est dure, énorme et il me remplit quasiment d’une seule poussée, ses mains pressent mes seins pendant qu’il me donne de grands coups de reins. En même temps, je sens Sibylle me lécher le clito comme une folle. Je me sens comme prêtresse d’un culte païen à qui ses adorateurs rendent hommage.

Je sens qu’Axel est dans une phase dans laquelle il peut rester dur très longtemps, tendu uniquement vers mon plaisir, concentré sur ma jouissance.

— Faites-moi jouir

Elle lèche, il me prend fort la chatte, je me sens… Oh putain, c’est… C’est énorme. Je jouis en criant ; défaillant à moitié.

Je me redresse, la queue de mon mec toujours fichée dans mon vagin, regarde la femme à genoux, son visage est luisant de mes sécrétions, elle a un air totalement hagard d’adoration intense et je pourrais lui demander ce que je veux.

Je fais comprendre d’un geste à Axel de se retirer, ce qu’il fait doucement, laissant un vide dans ma chatte gonflée ; me penche vers Sibylle et lui lèche le visage à grands coups, pour finalement savourer avec elle mes plaisirs.

Je la sens remonter à nouveau, au bord de l’extase elle aussi et, glisse mes mains vers son entrejambe pour la branler profondément. Cette salope est inondée et c’est un bonheur de la branler, elle se visse sur mes doigts, cherche la pénétration. Elle n’arrive plus à m’embrasser, ne pense plus qu’à aspirer de l’air. Mon autre main vient se poser sur ses fesses, elle s’accroche à moi, soutenue de côté par Axel pendant que je la masturbe. Je plonge mon autre index dans son anus humide, et la branle en cadence. Deux-trois secondes et elle jouit dans un long cri, tremblotante de tout son corps

Axel la soutient pendant qu’elle s’écroule au sol, vaincue par cet énorme orgasme.

J’ai moi-même une nouvelle jouissance un peu moins intense néanmoins en la voyant prendre son pied.

Elle reprend (et moi aussi dailleurs) doucement son souffle et puis, au bout de quelques minutes et sur mon instance s’assoit sur le sol. Axel avait coupé l’eau depuis un moment mais l’atmosphère est toujours aussi brûlante.

Je positionne Axel devant elle, sa queue face au visage de Sibylle et me place derrière lui, collée contre lui. Jempoigne sa queue tendue et j’ordonne à ma servante des plaisirs

— Ouvre la bouche et sors la langue !

Elle obéit tout de suite et je branle la grosse queue vers elle, je m’amuse à toucher le bout de la langue de temps en temps avec le bout de sa bite, je suis la prêtresse, j’ai le droit, le devoir sacré du sexe avec moi.

Je fais aller et venir ma main sur sa queue humide, c’est bien plus intense encore que lors de notre première escapade dans les dunes. Je le branle vite, je le sens se crisper, il va jouir. Je crie, j’ordonne

— N’avale pas ! Garde tout !

Ces mots déclenchent la jouissance d’Axel. Son sperme jaillit, un gros jet blanc qui atterrit directement dans la bouche et sur la langue de ma servante qui me regarde avec dévotion. Son regard ne me quitte pas, même quand deux autres jets de foutre atterrissent sur sa bouche et sa joue.

Un dernier échoue sur son menton et le haut de ses seins, sur sa peau bronzée cela fait comme des perles brillantes et laiteuses.

Axel se tient à moi, un peu flageolant, l’extase a été forte. Je contemple Sibylle et son visage extatique et décoré. Des gouttes de sperme s’échappent de sa langue tendue et retombent sur ses seins lourds. Elle est belle, incarnation de l’esclave amoureuse.

Je recueille le sperme qui macule sa joue, le repousse sur sa langue tendue et poursuit mes commandements :

— Ferme la bouche.

Elle rentre sa langue, ferme sa bouche, respire fort par le nez. J’enduis ses seins avec le sperme qui a coulé dessus sans la quitter du regard, titillant ses tétons durcis puis me rapproche d’elle, de son regard qui espère et l’embrasse délicatement, partageant avec elle l’offrande masculine.

C’est absolument pervers mais explosif au niveau des sensations et, à l’issue de notre baiser ; la sentant au bout des sensations, je me recule, la regarde au bord du précipice et commande :

— Jouis.

Totalement vaincue, poussée au bout du plaisir, elle part encore une fois dans un orgasme puissant qui la laisse affalée sous la douche.

Nous la soutenons, la lavons, poupée de chiffon épuisée qui n’a que la force de nous sourire. Nous la séchons et l’emmenons ensuite s’allonger sur une des chaises longues où nous reprenons des forces. Un long moment de détente s’ensuit puis enfin Sibylle prend la parole

— Je n’ai jamais eu autant de plaisir. Tu m’as emmenée loin… Je… Je suis prête à tout avec toi… Enfin avec vous. Mes vacances sont terminées mais dans une apothéose que je n’imaginais pas. J’avais déjà préparé tous mes bagages et maintenant le bus va bientôt m’emmener à l’aéroport.

— Dans combien de temps ?

— Dans deux heures.

— Dans ce cas, ton apothéose n’est pas encore terminée…

To be continued

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