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Aude soumise – Chapitre 6




Nous roulons depuis quelques minutes déjà dans les rues bien encombrées de Paris. Depuis notre sortie du parking, c’est une véritable tempête dans mon cerveau ! Je crois que cette mise en scène me fait prendre conscience réellement de la situation et dans quelle aventure je suis engagée. Peut-être est-ce voulu par Serge, peut-être un dernier test pour voir si je suis prête. Les accélérations de la voiture, le contact des sièges en cuir sur le latex de ma combinaison, tout cela est bien réel. Je me calme, je lâche totalement prise, il est trop tard maintenant pour reculer et puis je suis tellement impatiente de vivre ces moments, être une autre tout en étant moi !

Nous sommes arrêtés dans la circulation quand Serge prend enfin la parole.

— Nous serons bientôt sortis de Paris ma soumise. Nous allons rouler un moment encore, environ 80 km, j’ai une petite maison de campagne en grande banlieue. Profites-en pour te détendre mais reste allongée jusqu’à ce que nous soyons à destination. Tu as bien compris ?

— Oui maître j’ai bien compris.

— C’est parfait. Et maintenant, je ne veux plus t’entendre jusqu’à ce que je t’autorise à nouveau à parler.

Ces dernières paroles claquent comme un coup de fouet. Ce n’est pas un souhait, c’est un ordre. Je ne bronche pas, une chaleur envahit le bas de mon ventre, je me rends compte que je suis totalement « accro » à ce type de relation.

Effectivement, Serge accélère maintenant franchement, nous devons être sur l’autoroute. La cagoule m’aveugle, j’ai bien tenté au début de deviner, en essayant de lire les mouvements de la voiture, dans quelle direction nous nous dirigions mais c’est peine perdue

Je me cale sur la banquette arrière, déplie un peu mes jambes et me relaxe complètement.

Je ne saurai dire combien de temps je me suis assoupie mais le claquement de la porte de la voiture me réveille en sursaut. Serge est descendu du véhicule. J’entends le grincement caractéristique d’un portail qui s’ouvre, Serge remonte et la voiture s’engage sur une allée avant de s’immobiliser quelques mètres plus loin. Il descend à nouveau, referme le portail puis j’entends ses bruits de pas sur les gravillons. Il dépasse la voiture sans s’occuper de moi. Je reste un instant seule, peut-être une quinzaine de minutes puis une des portes arrières s’ouvre enfin.

— Assieds-toi et donne-moi ta main, je vais t’aider à sortir et te guider jusqu’à l’intérieur de la maison. Je vais aussi porter ton sac.

Je m’exécute, surtout ne pas dire un mot Serge me tient la main et me fait avancer d’un bon pas.

— Attention il y a une marche, voilà tu es dans l’entrée.

La porte se referme derrière moi, il fait frais, il y a une légère odeur de maison inhabitée et de bois brûlé que j’associe à la présence probable d’une cheminée.

Mon maître me guide à nouveau et nous avançons sur une dizaine de mètre.

— Bien, j’ai quelques détails à régler, je veux que tu restes sagement ici.

Il saisit mes deux mains et me passe des menottes.

— Tu es superbe ma soumise !

Il passe sa main sur mes fesses moulées dans la combinaison en latex puis s’éloigne. Je l’entends entrer et sortir deux fois et utiliser un escalier qui doit être en bois. En voulant me détendre je réalise que les menottes sont reliées en leur centre par une chaine qui se dirige vers le plafond de la pièce. Je suis sa prisonnière, j’attends avec impatience son retour, toujours aveuglée par cette maudite cagoule.

Au bout de quelques minutes, je ne perçois plus de bruit mais je devine la présence de Serge tout près de moi

— Aude, je vais nous préparer un repas pour ce soir. Quand nous passerons à table, je retirerai ta cagoule et tu pourras parler. Tu pourras même me poser toutes les questions que tu voudras. J’y répondrai autant que possible sans détours Pour t’aider à patienter je vais t’offrir un petit moment de détente personnel ma soumise.

Serge passe alors sa main entre mes cuisses et instinctivement je les écarte pour lui offrir le passage. Il ouvre alors la fermeture éclair libérant mon entre-jambe du haut du pubis jusqu’au sommet de la raie de mes fesses. Il écarte un peu plus mes cuisses avec ses mains.

— J’adore ton corps ma belle, je vois que cette mise en scène ne te laisse pas indifférente. Ta chatte est déjà bien humide. Laisse-toi faire, je vais te poser un vibromasseur culotte

Je sens alors un plug s’enfoncer délicatement dans ma chatte. Il est assez gros et je pousse un soupir quand il est totalement à sa place. Je ne sais pas à ce moment ce qu’est un vibromasseur culotte mais je sens qu’une partie de cet instrument vient en plus couvrir l’avant de mon sexe en appuyant assez fortement sur le clitoris. Serge referme alors la fermeture éclair sur l’avant pour maintenir le tout en place en prenant soin de laisser l’arrière ouvert. J’ai les fesses à l’air.

— Parfait dit-il, encore un ou deux ajustements

J’entends alors un cliquetis et la chaîne reliée aux menottes tire mes mains vers le haut jusqu’à ce que je sois presque suspendue. La tension est forte, je dois soulever un peu mes talons

— Pour cette séance, je vais te poser un casque audio par-dessus la cagoule pour t’isoler des bruits de la maison.

Serge m’équipe d’un casque qui couvre totalement mes oreilles, je suis aveugle Je perçois un son dans les écouteurs, cela ressemble au bruit d’un battement de cur dont l’intensité va croissante. Je ne sais plus ce que fait Serge et je reste ainsi suspendue quelques minutes quand soudain le vibromasseur se met en route assez intensément, délivrant ses pulsations dans mon vagin et sur mon clitoris. J’en ai le souffle coupé. Une chaleur envahit mon ventre, je sens mon clitoris durcir contre le vibromasseur. Je pousse des petits cris et mon vagin se lubrifie presque instantanément. Je tire sur la chaîne mais je ne peux pas vraiment bouger Les pulsations du vibromasseur semblent accompagner le son du casque, j’ai l’impression de devenir folle. Je sens le plaisir monter, mes jambes se mettent à trembler et soudain sans prévenir j’ai un orgasme, violent et intense qui me laisse suspendue à la chaîne car mes jambes ne me portent plus. Les vibrations du vibromasseur augmentent alors et la montée d’un nouvel orgasme se fait sentir, presque insupportable.

Je me tors sur place et jouis à nouveau.

Les vibrations se calment pendant un instant puis s’arrêtent

Je reste ainsi suspendue un long moment, plus ou moins sur mes pieds, avec ce son dans ma tête. Je souffle ainsi un instant, essayant de reprendre mes esprits A nouveau les vibrations reprennent, doucement puis avec une augmentation progressive de l’intensité. Tout mon corps se tend, mes jambes tremblent, le plaisir monte différemment, il vient de plus loin mais je sais que l’explosion de ce nouvel orgasme va me terrasser.

A ce moment je sens la main de serge entre mes fesses par la fermeture de la combinaison ouverte sur l’arrière. Il les écarte et je sens son sexe venir presser l’entrée de mon anus bien lubrifié. Il me pénètre lentement mais continuellement en me tenant par la taille. Une fois en moi il me donne des coups de rein nerveux

Je pers la tête, le bruit des battements de cur dans ma tête, cet énorme vibro qui occupe toute ma chatte, cette forte stimulation sur mon clitoris et maintenant Serge qui me sodomise.

Je suis soumise oui, je commence à gouter à ce plaisir d’être l’objet des volontés d’un autre.

L’orgasme arrive, d’une violence inouïe, il s’écoule le long de mes cuisses dans la combinaison, mes jambes me lâchent à nouveau et Serge me ceinture pour rester au fond de moi et venir à son tour.

Mon corps est pris de tremblements incontrôlables, finalement la chaîne supporte mon corps car je ne peux presque plus tenir debout. Serge se retire de mon anus, rezippe d’un geste la fermeture éclair et me donne une claque sur une de mes fesses ce qui me fait pousser un cri de surprise. Mon maître m’enlève le casque, fait redescendre la chaîne, me retire les menottes puis me prends par la main.

— Bien ! Viens, laisse-toi guider.

Il me tire derrière lui et au bout de quelques mètres il ouvre une porte et je devine que nous entrons dans une autre pièce.

— Tu es dans la salle de bain Aude. Quand je serai sorti tu pourras retirer la combinaison et la cagoule. Je veux que tu prennes une bonne douche. Tu trouveras ensuite sur une table de quoi t’habiller pour le repas. Quand tu es prête je veux que tu me rejoignes à table dans la cuisine située au bout du couloir en sortant de la salle de bain. Tu pourras alors parler

Serge me lâche la main et sans en dire plus quitte la salle de bain en refermant la porte derrière lui. Je suis seule. Mon premier réflexe est de retirer cette cagoule que je porte depuis pas mal de temps maintenant. Un vrai soulagement.

Je suis dans une salle de bain assez grande, un peu ancienne. Une douche moderne est installée, il y a un lavabo à l’opposé, une cuvette de WC ainsi qu’une grande table qui ressemble à une table de massage. Serge a préparé pour moi un simple peignoir et le même collier en cuir que celui qu’il m’a fait porter l’autre jour chez moi. Je suis soulagée, ce sera un peu plus confortable après la douche que de devoir enfiler à nouveau la combinaison en latex bien souillée maintenant. J’ai d’ailleurs beaucoup de difficultés à la retirer mais je me retrouve enfin nue et me glisse rapidement sous la douche après un rapide passage sur la cuvette des WC.

Je fais vite pour ne pas faire attendre Serge, de mon anus s’écoule encore son sperme chaud. Je fais au mieux et me lave également les cheveux trop longtemps restés plaqués sous la cagoule. Pour finir j’enfile le peignoir et fixe autour de mon cou le collier en cuir avec l’anneau sur l’arrière. Je prends une grande respiration, sors de la salle de bain et avance à petits pas jusqu’à la cuisine.

— Te voilà Aude, assieds-toi, je t’ai préparé une assiette et je dois te parler. Ensuite, tu pourras me poser toutes les questions que tu voudras.

Je prends place en silence et Serge s’installe face à moi.

— Aude j’espère que tu as apprécié mon accueil, j’ai essayé de te surprendre. Je t’ai demandé d’enfiler ce simple peignoir parce que nous aurons une petite séance technique indispensable avant de commencer ton éducation pendant les jours qui viennent. J’attends de toi que tu me soi soumise, je veux dire totalement soumise, que tu m’appartiennes intégralement et sans poser de questions. A ce sujet, tu vas pouvoir exceptionnellement me poser toutes les questions que tu veux dans un instant. Après cela, une nouvelle vie commencera vraiment pour toi. Attention cependant, je n’irai pas au-delà des questions posées, sois précise et attentive à mes réponses. Tout le reste sera pour moi synonyme d’acceptation de ta part ou du moins que cela ne te pose pas de problème particulier. Voilà, as-tu tout bien compris ?

— Oui maître j’ai compris.

— Très bien, alors je t’écoute !

— Maître, où sommes-nous ?

— Je possède une maison de campagne à l’extérieur de Paris que j’essaie de retaper à l’occasion. C’est surtout pour moi un endroit qui me permet de m’isoler et qui m’autorise à te recevoir facilement.

— Maître, il y a ou il y a eu d’autres femmes que moi ici ?

— En ce moment tu es la seule et oui il y en a eu d’autres.

— Beaucoup maître ? Que sont-elles devenues ?

— Je savais que tu me poserais cette question. Il y en a eu six autres, quatre n’ont pas tenu la distance ou n’étaient pas prêtes. Les deux autres sont allées au bout de leur dressage et je les ai libérées. Je leur parle au téléphone quelquefois, le lien est toujours présent mais il était temps pour moi d’offrir une nouvelle vie à une autre. Cette autre c’est toi Aude.

Je reste un moment sans voix, tout se mélange dans ma tête. Une question jaillit sans que je réfléchisse trop.

— Maître, vous avez dit que vous me vouliez totalement soumise. Qu’attendez-vous de moi précisément ? Quelles seront les limites ?

Serge jusqu’alors souriant se redresse sur sa chaise et prend un ton grave.

— Il n’y aura pas de souffrance physique en dehors des punitions injustifiées je te l’ai dit. Pour les limites, Aude, je te renvoie la question Donne-moi tes limites maintenant !

Mon cur bat à tout rompre dans ma poitrine, je suis prise de court.

— Maître, s’il n’y a pas de souffrances infligées, je crois n’en avoir aucune.

— Tu es donc prête à m’appartenir totalement, je pourrai disposer de toi comme bon me semble ? Tu sais, celles qui ont échoué avaient listé toute une série d’interdits sur la chaise où tu es assise.

— Oui je comprends maître, mais j’ai envie de réussir et de vous faire confiance pour m’aider à y parvenir. Je n’ai rien en tête de particulier. Est-ce que je vais le regretter ? Je dois dire que je ne sais pas et au point où nous en sommes autant le vivre à fond.

— C’est parfait.

— Maître, comment se passeront les journées avec vous ?

— Bonne question ma soumise. Je suis ton maître, je vais donc te guider et prendre soin de toi sur le chemin de la soumission. Il n’y a pas de planning particulier mais je sais grader le rythme de mes interventions pour t’emmener progressivement à évoluer. Pour répondre à ta question, il y aura des moments de soumission qu’on pourrait placer dans la vie de tous les jours, des moments plus intimes, beaucoup plus intimes et surprenants et des moments de travail dans la salle de soumission. Par principe, tu accepteras aussi le vocabulaire très cru que je pourrai employer avec toi. Il y aura des moments plus doux aussi

— La salle de soumission maître ??

— Oui Aude, j’ai équipé une salle de cette maison pour travailler plus spécifiquement certains points avec mes soumises. C’est un lieu agréable où nous irons plus loin, où tu testeras les limites, celles que tu n’as apparemment pas. J’y ai installé des équipements, des outils et toutes sortes de choses que tu découvriras dès demain. En général ces séances se font dans l’après-midi et aussi quelquefois le soir ou la nuit. Ah oui, nous sortirons aussi peut-être.

— Bien maître j’accepte ! Mais si je dois être totalement soumise pourquoi un mot de sécurité alors ? Pourquoi ce mot « safran » ?

— Oui effectivement. Ce mot de sécurité te permet de stopper une séance si tu ressens une douleur injustifiée, une gêne intense ou si tu souhaites exceptionnellement me faire part d’un quelconque malaise. C’est une sauvegarde pour toi-même si avec l’expérience je connais bien les limites et surtout ce qu’il est nécessaire de faire pour les dépasser.

Tout en discutant, nous avons grignoté le contenu de nos assiettes. Il y a un moment de silence.

— Aude, as-tu d’autres questions ? Désires-tu un café pour terminer ton repas ?

— Oui maître merci. D’autres questions, j’en aurai sans doute pleins rapidement

— Non Aude, il sera trop tard, pas de retour en arrière sauf si tu demandes de tout arrêter auquel cas je te reconduirai sur Paris au moment de ton choix. Il y aura aussi cette possibilité.

— Bien maître c’est clair. Je n’ai plus de questions alors.

Serge me sert mon café et s’absente un instant en se rendant à la salle de bain. De retour il avale d’un trait sa tasse de café et se plante devant moi.

— Bien ma soumise. La nuit vient de tomber mais il nous reste un peu de travail. Quelque chose de très technique mais je l’avoue j’adore ce moment. Ton dressage commence réellement maintenant ! On y va ?

— Oui maître, je suis à votre disposition

Serge saisit alors une laisse qu’il accroche à mon collier puis tire dessus pour me faire lever.

— Debout chienne, ton maître va te passer à l’inspection.

Je me lève et Serge me tire par la laisse en direction de la salle de bain

A suivre

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