Défi de couple : le 2ème défi

Quelques jours plus tard, sur mon message il y avait un message de mon homme. En clair, un nouveau défi quArnault lavait appelé : SCHULLER le Retour !

Je devais accepter linvitation du vieux à revenir chez lui pour boire un verre et me laisser faire sans limitation de temps cette fois-ci.

Je navais pas de nouvelles du vieux voisin depuis mon passage chez lui pour relever le premier défi. Pourtant, chaque jour, dès que javais lesprit inoccupé, je revivais cette soirée passée chez lui dans le moindre détail et je me caressais en pensant à ce quil avait fait, à cette excitation, à ce plaisir purement physique mêlé de répulsion né de sa présence tout contre moi et de ses attouchements.

Chaque nuit, dans mes rêves, une main froide et agile aux longs doigts crochus explorait mon corps dénudé, écartelé et offert et je me réveillais trempée, la main enfouie entre mes cuisses serrées.

Chaque matin, au réveil, javais en tête la physionomie épouvantable du vieux, son visage dévasté, son odeur, sa laideur, le poids de son corps collé au mien, celui de sa main sur ma peau et je ne pouvais me défaire de ces pensées.

Que devais-je faire ? Relever ce défi ou pas ? Je dois être honnête, mon hésitation na pas duré très longtemps car le sentiment dexcitation qui me vrillait le ventre et lesprit la emporté très rapidement sur tout le reste.

Le lendemain matin, jai donc glissé un petit mot sous la porte de SCHULLER: « Cher voisin, mon mari me presse daccepter votre sympathique invitation pour vous remercier de votre serviabilité, si celle-ci tient toujours, bien évidemment. Je serai donc présente à la date que vous retiendrez. Votre dévouée ! Lisa H. »

Les dés étaient jetés !

Le soir même, un petit mot de sa main sous ma porte, en réponse : « Quelle merveilleuse nouvelle ! A demain soir, 20h. L. SCHULLER. »

A 20h, le lendemain, jétais devant la porte de son appartement, habillée comme il convient pour une telle soirée: élégante et sage en apparence avec un maquillage discret.

Je portais mes lunettes décaille et je ressemblais à une parfaite assistante de direction.

Jétais moins sage concernant les dessous et le parfum, conformément au souhait dArnault et au mien car je ne me sens bien que lorsque je porte des ensembles sexy.

Je frissonnais dappréhension car léchéance se précisait !

En me préparant pour la soirée et plus particulièrement en revêtant mes sous vêtements, javais ressenti une forme de fièvre inhabituelle.

Je mouillais, pour tout dire et pour le vérifier, je métais allongée sur mon lit, face à ce miroir, jambes très écartées et mes doigts avaient constaté ce phénomène avec beaucoup dapplication.

En me caressant, jai mesuré également à quel point cétait anormal, inquiétant de réagir ainsi. Comment pouvais-je, en effet, vivre un tel niveau dexcitation sexuelle à la perspective daller me fourrer à nouveau entre les pattes immondes de ce vieux crapaud?

Je savais que je ne pourrais plus compter sur une durée de jeu limitée, que je ne pourrais pas résister à ses exigences et que je devrais les accepter, le laisser faire ce quil veut.

Je mesurais pleinement que cette règle du jeu pouvait me mener loin, très loin et pourtant javais envie de relever ce défi.

Jusquoù osera-t-il aller, ce vieux crapaud ?

Là était la seule question car seule son envie daller plus loin ou ses éventuelles hésitations allaient sceller mon sort pendant toute cette soirée.

En retenant mon souffle, jai appuyé sur la sonnette et quelques instants après, il a ouvert sa porte. Il avait fait un effort de présentation et de toilette.

Il portait un veston et un pantalon correctement repassé mais cet ensemble ne camouflait pas son apparence physique et de nouveau, en le voyant sapprocher de moi, jai subi de plein fouet un choc viscéral et un frisson animal a parcouru mon corps.

Il a pris ma main pour me saluer et ne la plus quittée puis, comme lautre jour, il a appuyé sur ma hanche pour me guider et sa main froide posée sur mon corps me donnait la chair de poule.

Il a proposé de me faire visiter son appartement, plus petit que le nôtre et encombré de meubles vieillots, sans style, et détagères surchargées de livres.

Il ma ensuite laissée dans le salon, le temps de préparer la table basse pour lapéritif, et jen ai profité pour regarder les livres empilés sur lune des étagères.

Sil y avait des classiques, des biographies, des livres dhistoire, il y avait également des piles de mauvais polars, une collection de BD de gare, des SAS et une série intitulée « Brigade mondaine ».

Il est arrivé au moment ou javais pris en main lun de ces bouquins au titre évocateur : « Les Poupées chinoises » pour le feuilleter.

« Nhésitez pas et prenez tous les livres que vous voulez, vous me les rendrez lorsque vous les aurez lus. Entre voisins, il nya pas de problèmes et je sais pouvoir compter sur votre sérieux pour me les ramener en bon état. »Il sest approché de moi, tout contre moi, sur ma gauche. Jétais face à ses étagères.

« Prenez aussi celui-ci, par exemple. Celui-ci également ! Celui-là et celui-là aussi !»

Il a finalement placé dans un sac plastique plusieurs bouquins un peu trop poussiéreux dont trois au quatre BD de gare érotique. Adolescente, javais déjà lu ce genre de BD en cachette, dans le grenier, chez un de mes oncles maternels, avec beaucoup de curiosité.

« Venez, chère voisine, suivez-moi, jai dautres ouvrages susceptibles de vous intéresser. Bien sûr, ils ne conviendraient pas à une jeune fille, mais une jeune femme moderne comme vous peut en profiter sans complexe! »

Il a de nouveau placé sa main droite sur ma hanche pour me guider dans le couloir.

Tout en marchant, jessayais de contenir mes tremblements nerveux.

Des étagères couvraient entièrement lun des murs. Il ma indiqué un rayonnage. Sa main posée sur ma hanche est descendue un peu plus bas. Jai retenu mon souffle.

« Prenez votre temps ! Je vais servir le champagne ! »

Il sest éloigné pour saffairer au salon et jai les livres de ce rayonnage.

Des livres coquins, des albums de photos érotiques anciennes, des romans-photos pornos, beaucoup de BD sado maso etc.

Jai feuilleté certains de ces bouquins, rapidement, à mon grand plaisir, puis, dans mon dos, jai entendu le souffle du vieux.

Il revenait vers moi. Mon cur sest immédiatement emballé, le sang me battait aux tempes. Javais limpression dêtre une petite fille prise en faute.

« Alors, chère voisine, que pensez-vous de cette collection ? Prenez quelques uns de ces livres pour les lire chez vous, tranquillement ! Ce sera un plaisir pour moi que de vous les prêter ! »

Javais un livre en main. Il est venu tout contre moi et son souffle venait sur ma peau. Un livre ancien aux photos en noir et blanc sur la fessée, le bondage et dautres pratiques SM.

« Excellent choix ! Prenez aussi ceux là ! »

Il a sorti plusieurs bouquins et BD et les a posés sur une chaise.

Il est ensuite allé chercher un sac plastique et les y a rangés soigneusement.

« Venez donc savourer le champagne que jai choisi pour vous ! »

Son bras droit a de nouveau enveloppé ma taille et a déclenché en moi un frisson plus violent encore.

La consultation rapide de ces quelques livres mavait émoustillée, je dois le reconnaître. La chair est faible et lesprit pas toujours aussi fort quil le faudrait.

« Vous tremblez ma chère, auriez vous froid ? »

« Non, pas du tout! » Tu parles ! Jai chaud, oui.

Sa main était posée sur le haut de ma fesse et lorsque nous sommes arrivés au salon et quil ma indiqué le canapé pour que je puisse my installer, elle avait même glissé un peu plus bas, lespace dun instant.

Je portais la même robe que lautre jour et je me suis assise sur le bord du coussin, les jambes parfaitement croisées. Il ma tendu ma coupe de Champagne et je lai immédiatement goûté tant javais la gorge sèche.

« Il est excellent! »

« Merci très chère voisine ! »

Il a pris sa coupe et est venu sinstaller près de moi, sur ma gauche, mobligeant ainsi à masseoir un peu plus profondément dans le canapé.

Ce faisant, jai veillé à ce que ma robe ne remonte pas trop.

Je sentais quil regardait mes genoux intensément et devait déjà sapprêter à y poser la main. Jai retenu mon souffle.

Il dégustait sa coupe, calmement, malgré un souffle rapide qui traduisait un état de tension né de la situation et une main qui tremblait un peu.

Il sest adressé à moi de sa voix posée et rauque.

« Vous aimez lire le genre douvrages que je vous ai prêtés ! »

Jai contenu mon trouble pour répondre avec sincérité.

« Oui, monsieur ! Comme beaucoup de personnes, je le suppose, et comme bien plus de femmes quon le pense généralement ou quelles ne veulent lavouer! »

« Jai dautres albums à vous proposer ! Cela vous intéresse ? Si vous le souhaitez, je peux aller les chercher ! »

Quallait-il donc me proposer ? Je devais rester raisonnable. « Je ne veux pas vous déranger! »

Il a tenté un sourire : « mais non, voyons cela ne me dérange pas, bien au contraire ! »

Il a posé sa coupe puis sest levé avec difficulté et en soufflant comme un phoque avant de quitter le salon.

Il est revenu avec quatre gros albums photos quil a posés sur la table basse, juste devant nous. Il a resservi du champagne et a posé lun de ces albums sur mes jambes serrées.

Il était debout devant le canapé. « Prenez votre temps pour regarder ces quelques photos. Je vais à la cuisine préparer quelques petits fours et je reviens ! »

Il a quitté la pièce et jai ouvert lalbum. Des photos de femmes, vraiment magnifiques. Des portraits, des poses de mannequins, des femmes jeunes ou moins jeunes mais toutes très belles. Des séries de photos de la même femme, dabord habillée, élégante, puis des photos plus coquines pour lesquelles elle avait accepté de se dévêtir, peu à peu, devant lobjectif.

Plus loin, les photos de chaque série sont plus érotiques encore puisque chaque femme y est nue ou simplement vêtue daccessoires uniquement destinés à mettre son corps et sa nudité en valeur.

Elles sont belles, déterminées, arrogantes.

Les dernières photos sont torrides et jai senti le feu monter en moi.

Des femmes écartelées ou dans des positions doffrande totale.

Des photos sublimes en noir et blanc ou en couleur. Certaines anciennes. Les vêtements, le maquillage le démontrent. Dautres, plus récentes.

Le vieux est revenu dans la pièce avec sa démarche de pantin obèse. Il portait un plateau couvert de petits fours chauds. Il la posé sur la table basse et sest installé à ma gauche en se laissant tomber sur le canapé.

Je sentais son corps contre le mien. Sa cuisse collait la mienne. Sur mes genoux, lalbum grand ouvert nous permettait dapprécier une dernière série de photos érotiques.

Jai refermé lalbum et il a pris le suivant pour le poser sur mes genoux.

« Si vous le voulez, regardons celui-là ensemble, cela me fait plaisir de vous voir apprécier mes modestes talents de photographe. »

Jen avais envie autant que lui, mais je craignais quil ne ressente trop mon état de fébrilité, car ce genre de photos, je le sais trop bien, mexcite au plus haut point.

Son bras droit est venu se poser juste derrière mon dos. Le vieux sest rapproché de moi et un long frisson a parcouru mon corps. En plus, les premiers effets du champagne se faisaient sentir et jétais un peu étourdie.

Jai ouvert lalbum intitulé : « Mes petites amoureuses ! »

Là encore, des photos magnifiques de femmes nues et offertes dans des poses extrêmement lascives, érotiques ou pornographiques.

Des femmes écartelées, des femmes se caressant devant lobjectif.

Un album de photos très chaud, vraiment très excitant.

« Alors, très chère, quen pensez-vous ? »

Jai refermé lalbum et lai gardé sur mes genoux.

« Vous êtes un très bon photographe, monsieur Schuller. Vos photos sont très belles et vos modèles également. Ces filles sont très jolies ! Ce sont des modèles professionnels ? »

Il a pris ma main gauche et a joué avec mes doigts avant de répondre, en baissant ses gros yeux dun air faussement modeste.

« Oui, parfois, mais le plus souvent, elles sont des amies, de jeunes et jolies femmes qui, comme vous, ont accepté une invitation puis ont finalement accéder à ma demande de poser pour moi. »

Jétais surprise.

Ainsi, ce vieux batracien repoussant a réussi à faire poser ces filles sublimes, ces bombes, et en a sans doute bien profité.

« Un jour, peut-être, accepterez-vous de faire comme elles ? Vous pourrez emporter les deux derniers albums pour les consulter chez vous, à loisir !»

Sa main ne quittait pas la mienne. Jai préféré ne pas répondre.

Il ma offert de manger un peu ses petits fours chauds désormais un peu tièdes puis sa main est venue se poser sur mon genou.

« Vous êtes une délicieuse jeune femme, très chère, peut-être un peu trop sage, trop timide et réservée ! »

Interloquée, jai voulu réagir : « Pourquoi dites vous cela ? Je suis intriguée ! »

Jétais intriguée, cest vrai, mais surtout une question me revenait en tête : « Comment ce monstre peut-il obtenir aussi fréquemment de jolies filles quelles posent pour lui de cette façon ? »

Il a esquissé une sorte de sourire narquois : « Votre mise, voyons ! Ce bouton qui ferme votre haut ! Il faut le dégrafer ! »Son doigt pointait le bouton fermant le haut du col en V de ma robe.

« Essayez, vous verrez que cela constituera un plus en termes délégance et de liberté. »

Pourquoi pas, après tout ! En plus, sa demande sinscrivait dans la règle du défi. Jai donc défait ce bouton et ouvert, un peu, le col de ma robe.

« Comme cela ? » Je lai regardé. Je sentais monter en moi une intense excitation. Son visage était effrayant. Des yeux globuleux et trop pâles fixaient ma gorge derrière les verres épais.

« Oui, cest mieux. Vous en êtes daccord ! Tenez ! Je pense quen dégrafant un autre bouton, ce sera parfait. »

Il a insisté en écarquillant ses yeux: « Croyez-en le photographe amateur que je suis ! »

En baissant les yeux pour dissimuler mon trouble qui saccentuait, jai dégrafé ce bouton et rabattu les deux pans de mon col. Mon cou était plus largement offert et le vieux devait pouvoir distinguer la naissance du sillon de ma poitrine et apercevoir, peut-être, le rebord de dentelle de mon soutien gorge.

Je me sentais comme essoufflée ; il me fallait contrôler ma respiration.

« Alors, navais-je pas raison ? Cest bien mieux ainsi ! Voyez ! », a-t-il ajouté.

Il sest approché un peu de moi. Immédiatement, deux doigts de sa main gauche sont venus se poser sur le bord du tissu replié et en ont profité pour effleurer ma peau et un long frisson en est résulté qui a irradié dans ma poitrine, mon ventre et le creux de mes reins puis sa main sest retirée.

Il a poursuivi : « Bon, votre mise est parfaite en haut. Mais à mon avis, il convient désormais de lajuster en bas. Votre robe est boutonnée à lexcès et cela nuit à lharmonie de votre ensemble. Laissez-moi faire, je vais vous monter ! »

Sa main droite, dautorité, sest posée sur mon genou puis a dégrafé 3 boutons, lentement, lun après lautre. Il a écarté les deux pans. Je lai laissé faire. La règle dudéfi ! « Constatez ! »

Jai baissé les yeux à sa demande pour vérifier ce que cela donnait.« Oui, monsieur, vous avez raison, cest mieux ainsi ! »

Il était malin : « Je pense même quen retirant un autre bouton, ce sera mieux encore. Essayez ! »

Jai fait comme il ma dit, jai déboutonné ce quatrième bouton, puis, jai croisé mes jambes. Ma cuisse était largement découverte et cette surface de peau mise en valeur par le tissu noir de ma robe produisait un effet érotique puissant. Je le voyais bien. Ainsi, je ressemblais à lune de ces nanas de magazine de mode.

« Voyez, javais raison ! Ne bougez pas, je vais aller chercher mon appareil pour prendre quelques photos !»

Il sest levé. Il transpirait abondamment. Moi-même, javais chaud. Il a entrouvert une fenêtre et un courant dair frais est arrivé jusquà moi. Quel type de photo voudra til prendre ? Javais un peu dappréhension. Où ce jeu allait-il me mener ? Ma gorge était sèche et jai fini ma coupe de champagne, dun coup.

Il est revenu avec son appareil photo et ma demandé de ne pas bouger. Il a pris plusieurs photos et pour chacune delles, il me donnait des directives précises. Il connaissait son affaire.

« Ouvrez un peu plus le haut de votre robe afin que je puisse bénéficier de leffet de la dentelle de votre soutien-gorge sur votre peau ? »

Je devais faire ce quil veut. Jai déboutonné un peu plus le haut de ma robe, lentement Et il a pris des photos.

Finalement, plus tard, jai fini par louvrir totalement, des deux mains, selon ses directives.

« Maintenant, redressez-vous, cambrez vous. Voilà, comme ça ! Vous offrez la dentelle à lobjectif ! Là, parfait ! »

Il ma fait mettre debout pour une dernière série de photos, encore très softs, selon ses instructions. Mon haut était maintenant totalement dégrafé et mes deux mains écartaient les pans de tissu. Je devais fixer lobjectif pour mettre mes yeux en valeur.

Il a demandé que je déboutonne encore un bouton du bas pour laisser ma cuisse fendre le tissu. A sa demande, javais le pied posé sur un pouf marocain.« Voilà, ce sera tout pour aujourdhui ! Je le sais, poser est épuisant! »

Il sest assis sur le canapé.

« Venez donc auprès de moi que nous examinions ces clichés ! Vous me direz ce que vous en pensez ! » Il tapotait de la main le coussin de velours élimé, près de lui.

Je me suis rajustée aussi rapidement que possible puis je suis venue masseoir à sa droite. Il faisait défiler les photos sur lécran de son appareil numérique. Il en supprimait certaines.

Penchée vers lui, ma curiosité lemportant sur tout le reste, jessayais de voir ces photos de moi.

Sa main droite est venue se poser sur mon genou puis est remontée, profitant de ma position, pour simmiscer entre mes cuisses découvertes.

« Quen pensez-vous ma chère ! »

Jadmirais les photos. Elles étaient très belles et oui, je madmirais ! Lécran posé sur les genoux du vieux était petit et je devais vraiment me pencher vers lui pour en profiter.

La main du vieux a insisté et obtenu que mes jambes souvrent un peu plus. Jétais un peu étourdie, un peu trop excitée, un peu ivre, pour dire vrai, et ses doigts sont finalement parvenus à se poser sans trop de difficultés sur la dentelle de mon string pour y jouer en cercles lents. Frissons immédiats ! Jen venais même à oublier qui était le propriétaire de cette main et de ces doigts habiles.

« Une autre coupe ? Je vais passer ces photos sur lécran de la télé ! »

Il sest levé après avoir dégagé sa main. Jai accepté la coupe et lai savourée.

Il est revenu sinstaller à côté de moi, la zapette dans son énorme main gauche.

« Vous allez vous admirer, mais dabord laissez moi passer quelques photos récentes de lun de mes modèles préférés ! »

Sa main droite est revenue sur mes jambes. Elle sest glissée dans le sillon et la écarté juste ce quil faut. Je ne résistais pas, je ne résistais plus. Pourquoi ?

Il a encore dégrafé deux boutons de ma robe et sa main est venue se poser sur la dentelle de ma très petite culotte.

Jétais étourdie par le champagne et, dans un état second, je regardais lécran où des photos, inouïes dérotisme et de lubricité, dune jeune femme très belle et sexy, passaient. Cétait très excitant.

Jai laissé le vieux caresser ma fente à travers le tissu. Il voyait bien que jétais un peu ivre et sa main gauche qui avait posé la zapette est même venue palper mon sein par dessus le tissu de ma robe.

Il ma regardée fixement: « Contemplez vous et ensuite je vais vous libérer car je le vois bien, vous êtes épuisée, ma chère ! »

Ses mains se sont retirées. Il a passé les photos me concernant, mais jétais dans une sorte de brume et je nai pas pu en profiter autant que je le voulais. Je lai entendu dire : « Je vais les mettre sur une clé USB pour vous, et préparer vos livres ! Il est temps pour vous de regagner vos pénates, ma chère !»

« Oui, monsieur ! Je suis fatiguée ! » Il sest levé en ahanant. « A très bientôt, ma chère, car je compte bien vous inviter au restaurant vendredi prochain ! »

Il ma accompagnée jusquà la porte de son appartement et ma remis les sacs plastiques contenant les livres dans son entrée, avant de me saluer en parfait voisin. Jai monté lescalier. Je ne sentais plus mes jambes.

A peine rentrée, jai vérifié lordinateur. Arnault nétait pas connecté. Un court message pour le rassurer et la promesse de tout lui raconter puis je me suis allongée, toute habillée, avant de plonger dans un sommeil profond. Jétais ivre, en fait, tout tournait autour de moi et je nen étais pas fière

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