ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 45 : La chevauchée d’Alice.

Bien évidemment, l’histoire qu’Alice m’a racontée s’est terminée en apothéose, et la fin a été en accord avec son début et la suite. Ce qui fait que je n’ai pas besoin de réfléchir, pour lui dire :

C’est dommage qu’il n’y ait pas ce genre de club en ville. Je ne sais d’ailleurs pas, s’il y en a un de semblable dans toute la France.

Je la sens sourire, avant qu’elle ne réponde :

Sinon, tu m’y aurais emmenée ?

Franchement, j’ai adoré t’écouter, et fantasme ou pas, je ne peux que t’inciter à mettre tout ça par écrit, et à imaginer la suite. Mais si on considère les choses sur un plan strictement physique, jamais je ne te ferais prendre par de parfaits inconnus, parce que j’aurais trop peur que tu chopes une saloperie.

Et que je te la refile ?

Je ne suis peut-être qu’un sale macho, mais cela ne fait pas de moi un égoïste pour autant. Et en disant ça, je pense surtout à toi, mais aussi au bébé que tu as peut-être déjà dans le ventre, ou alors que tu ne tarderas pas à avoir.

Cette fois, elle ne réplique pas tout de suite, et je devine que c’est parce qu’elle est profondément touchée par mes propos. Elle finit par lâcher, alors que sa voix est devenue rauque :

Tu es un Amour, et je ne te mérite pas.

Mais j’en pense tout autant de toi, ma Chérie. Et ce n’est pas un hasard, si je veux que tu te fasses tatouer un ange sur la peau. C’est parce que je trouve que ça te correspond parfaitement.

Là, il faut que tu arrêtes, sinon je vais me mettre à chialer comme une gamine.

Une gamine qui a des fantasmes on ne peut plus hard.

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En entendant cela, mon petit bout de femme éclate de rire, ce qui je pense lui permet d’évacuer les émotions qui se sont accumulées en elle tandis qu’elle m’écoutait, et de ce fait de reprendre la conversation sur un ton plus léger :

Alors tu ne penses pas que je suis complètement folle, d’avoir ce genre de pensées ?

Un fantasme c’est toujours quelque chose d’un peu délirant, puisque cela consiste à se mettre grâce à l’imagination, dans une situation dans laquelle on n’osera probablement jamais se retrouver dans la réalité. Mais la véritable folie serait de vouloir les mettre systématiquement en pratique. Parce que par la suite, on pensera à quelque chose d’encore plus osé, et à chaque fois, on repoussera ses limites. Or toi, tu m’as déjà dit que les tiennes tu les connaissais déjà, et que tu avais la ferme intention de ne pas les dépasser. Par conséquent, tu as la tête sur les épaules.

Mais si un jour je te demande de me faire prendre par plusieurs hommes, tu en penseras quoi ?

Je suppose que quand tu dis plusieurs, c’est plus que deux ?

Oui.

Déjà, si tu me le demandes, cela voudra dire que tu t’inquiéteras de la façon dont je vivrai la chose. Ce qui sera une preuve d’amour de ta part. Ensuite, si tu veux le faire à titre d’expérience, je ne serai pas contre, même si j’émettrai des réserves au sujet de l’hygiène, et sur ce que tu risques d’attraper en te faisant pénétrer par des types dont on ne saura peut-être rien. Mais si par contre cela devient pour toi un besoin, ça voudra dire que tu es devenue nymphomane, et il faudra alors envisager une thérapie.

₪₪₪

Alice éclate à nouveau de rire, ce qui me rassure sur sa santé mentale, car si elle était restée sérieuse, j’aurais pensé qu’elle avait réellement un problème au niveau de ses besoins sexuels. Ensuite, elle me dit :

Je te trouve quand même bien complaisant, mon Amour.

Je le suis parce que je t’aime et que j’ai envie de tout faire, mais aussi de tout accepter, pour que tu sois heureuse. Et tu n’es pas mal dans ton genre, puisque tu es prête à me partager avec tes filles, si elles en éprouvent l’envie ou le besoin.

Comme tu l’as fait avec Dorine et Henry.

C’est un peu différent, étant donné que le métier de Dorine est d’apporter du bien-être aux gens en les massant. Elle en a fait un sacerdoce en allant jusqu’à leur donner du plaisir sexuel, mais cela reste professionnel, même si elle est devenue mon amie. Par contre, si tu veux établir des comparaisons, tu pourrais parler de Marc et Charlène. Car lui n’a pas hésité à demander à sa femme de m’ouvrir ses cuisses pour me sortir de ma déprime, et elle a accepté de le faire par amour pour lui, mais aussi pour moi.

Alors c’est comme ça que ça a commencé entre vous ?

Exactement, notre motivation première était uniquement basée sur les sentiments que nous nous portions, et pas sur la recherche du plaisir physique. Même si ce dernier a quand même son importance.

J’entends bâiller mon petit bout de femme, avant qu’elle ne réponde :

C’est très beau ce que tu es en train de me dire. Aimer quelqu’un au point de tout partager avec lui, même la personne avec qui on s’est marié, mais…

Mais tu es fatigué, alors on va en rester là pour ce soir, ma Chérie.

Oui mon Amour, je te souhaite de passer une bonne nuit.

Moi aussi, fais de doux rêves.

Puis nous raccrochons.

₪₪₪

Le reste de la semaine se poursuit sur le même ton, si ce n’est que les histoires que me raconte Alice le soir lorsque nous nous masturbons, reprennent une tournure un peu plus conventionnelle tout en restant excitantes.

Le midi, elle continue à venir me retrouver habillée avec les tenues sexy que je lui ai achetées, tout en gagnant comme je l’avais espéré jour après jour un peu plus d’assurance, au point qu’elle reprend l’habitude d’arriver la première à la terrasse du bistrot d’en face.

Et si à partir du mercredi soir, ses filles commencent à être nerveuses, pour sa part, elle gère très bien la situation et ses propres émotions, en faisant preuve de sérénité. Elle m’a avoué que par moments, elle devait se forcer pour rester parfaitement zen, de manière à donner le bon exemple aux jumelles, mais je trouve qu’elle s’en sort parfaitement bien. Pour ma part, je ne peux que la soutenir moralement, cependant elle a l’air d’apprécier le peu d’aide que je suis en mesure de lui procurer.

Bien entendu, du fait que leurs premières épreuves du bac se sont bien déroulées le jeudi, Léa et Léo retrouvent dès le soir du même jour un peu de leur humeur coutumière, ce qui est bien évidemment plus facile pour la brune que pour la blonde. Cependant cette dernière ayant l’avantage d’avoir un meilleur niveau scolaire, cela compense son manque d’assurance.

Tout cela, je ne le vis que par procuration, étant donné que je n’ai pas revu les filles de ma compagne depuis le week-end précédent, cependant je suis convaincu que tout se déroule normalement, et que ces examens ne seront pour elles qu’un mauvais moment à passer.

₪₪₪

Lorsque le vendredi est arrivé et que je rentre chez moi, Alice n’est pas venue me rejoindre pour que nous fassions l’amour, et ainsi célébrer l’arrivée d’un nouveau week-end. Ce que je comprends tout à fait, vu les circonstances un peu particulières dans lesquelles se trouvent Léa et Léo.

Nous avons tout de même décidé d’emmener ce soir ces dernières au restaurant, de manière à leur procurer une petite récréation avant la reprise des épreuves lundi. Et elle ne sera pas la seule, puisque demain avec leur maman, nous avons invité Dorine, en nous disant que si les jumelles devaient commencer à côtoyer des personnes qu’elles ne connaissent pas complètement nues, il valait mieux après réflexion qu’une femme soit la première. Notre amie masseuse a accepté de venir avec joie, surtout lorsque je lui ai annoncé que j’allais refaire une saucisse de Morteau. Ce sera l’occasion de faire goûter aux jumelles ce plat d’une saveur toute particulière, et lorsque Marc et Charlène viendront dimanche, ils mangeront ma paëlla au feu de bois.

Mais pour l’instant, je suis en train de me changer, ce qui veut dire que je troque mon costume de travail pour une tenue plus décontractée, et lorsque j’ai terminé, je grimpe dans ma Challenger, dans le but d’aller chercher mon petit bout de femme et ses deux enfants. J’arrive devant leur villa vers 18 heures 30, ce qui veut dire que je suis très en avance étant donné que j’ai réservé toujours dans le même restaurant pour 20 heures, mais cela a été prévu comme ça, parce que mon amante veut me faire visiter sa maison.

Une fois que je me suis garé dans la rue, je sonne au portillon, et je vois aussitôt la porte d’entrée s’entrouvrir, mais personne ne sort pour m’accueillir. Cette façon de faire pourrait paraître étrange, mais je souris tandis que j’entre dans la propriété, car j’en ai deviné la raison.

₪₪₪

Alice m’attend dans le vestibule et elle referme la porte derrière moi, tandis que je constate qu’elle n’est pas vêtue d’une de ses tenues sexy qui sont devenues sa nouvelle façon de s’habiller, mais qu’elle est nue et chaussée de ses mules à talons hauts en bois.

Nous nous enlaçons immédiatement pour échanger un baiser fougueux, qu’elle n’interrompt que pour me dire en murmurant de sa voix devenue rauque :

J’en ai très envie…

Pas besoin d’être extra-lucide pour deviner de quoi, d’autant plus que mon sexe a commencé à prendre du volume dans mon boxer, ce qui est plutôt désagréable étant donné qu’il est trop à l’étroit pour pouvoir se redresser. Mais mon petit bout de femme qu’il l’a parfaitement compris, ou je devrais plutôt dire senti étant donné qu’elle a collé son corps contre le mien, insère une de ses mains entre eux, dans le but de dégrafer mon pantalon tout en continuant à m’embrasser. Bien entendu, une fois que mon membre à présent bien raide se retrouve dans une position qui lui est plus naturelle, je me sens mieux. Mais étant donné que je connais la suite logique des choses, c’est cette fois moi qui arrête de frotter ma langue contre la sienne, pour lui demander :

Les filles ?

Elles sont en haut en train de potasser, et ma chambre est en bas…

Prenant mon absence de réplique pour un consentement, ce qui n’est pas faux étant donné que moi aussi j’en ai envie, ma compagne me prend alors par la main, et elle m’entraîne plus avant dans sa maison, tandis que je retiens de mon autre main mon pantalon qui menace de glisser jusqu’à mes chevilles, ce qui serait très handicapant pour me déplacer.

Nous traversons donc la salle de séjour, qui est plus petite que la mienne, mais très bien agencée, puis un couloir dans lequel se trouvent plusieurs portes. Après avoir emprunté celle qui est au fond, nous nous retrouvons dans la pièce dans laquelle mon amante passe ses nuits, quand elle n’est pas avec moi. L’endroit est douillet et typiquement féminin, puisquà la fois plus coloré et plus meublé que ma propre chambre. Je reconnais le lit que j’ai déjà vu en photo, et sur lequel le soir elle se masturbe tout en me racontant des histoires cochonnes au téléphone.

₪₪₪

Une fois qu’elle a refermé la porte de son petit nid, c’est Alice qui me déshabille tandis que je reste debout sans bouger, mais elle le fait sans aucune hâte, ce qui est en contradiction avec l’envie pressente qu’elle m’a dit avoir, lorsque nous étions dans l’entrée de sa maison. Je me laisse faire avec un sourire béat aux lèvres, ravi de cette petite parenthèse enchantée, qui n’était pas prévue au programme de la soirée.

Après s’être mise accroupie en écartant largement les cuisses, elle me retire mes mocassins, mon pantalon et mon boxer, et elle pose ces deux derniers sur son lit. Puis tout en me regardant d’un air malicieux, elle enfourne le bout de mon sexe dans sa bouche, et elle commence à l’avaler lentement. Même si je feins le contraire, je ne suis pas surpris lorsque mon gland passe le niveau de sa luette, et qu’il commence à s’enfoncer dans son sophage. J’ai en effet deviné lorsqu’elle m’a raconté son fantasme en début de semaine, qu’elle est allée voir Dorine en cachette, et que cette dernière lui a fait bénéficier de sa science en matière de fellation.

Mais ce qui m’étonne, c’est que mon petit bout de femme est en train d’effectuer cette gorge profonde sans sembler en ressentir la moindre gêne, ce qui est rare pour une novice. De plus, si elle me fait jouir de cette manière, je ne serai plus en état d’enfoncer mon sexe ailleurs, et de lui procurer l’orgasme dont elle disait avoir besoin un peu plus tôt. Cependant, je ne m’en inquiète pas, étant donné que je pourrai toujours lui lécher ensuite la vulve, de manière à lui rendre le bien qu’elle est en train de me donner.

Mais mon amante a de toute évidence sa propre idée sur la façon dont les choses doivent se passer, puisqu’elle recrache ensuite mon membre tout aussi lentement qu’elle l’a ingurgité, ce qui démontre qu’elle est parfaitement à son aise.

Une fois que c’est fait, je l’aide à se relever, et je lui dis tandis qu’elle s’essuie la bouche :

Voilà une bien surprenante entrée en matière…

Digne de la reine des cochonnes ?

Oh que oui.

Visiblement ravie par ma réponse, elle me pousse sans crier gare, et je m’affale lamentablement sur son lit.

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Ce soir, Alice a l’intention de prendre les initiatives, puisqu’alors que je reviens de ma surprise, elle pose un genou sur sa couche, contre ma cuisse, puis elle place le second de l’autre côté, et me dominant de sa petite hauteur, elle avance dans le but que son bassin se retrouve à l’aplomb du mien.

Ensuite, il lui suffit de s’abaisser, afin que mon sexe dressé encore luisant de sa salive s’approche de sa vulve, et d’une main assurée et ferme, elle s’en saisit pour le guider, jusqu’à ses petites lèvres chiffonnées. Lorsqu’ils sont en contact, elle descend encore un peu, et une fois que mon gland est entré, elle se penche sur moi pour venir m’embrasser.

Sentir ses seins lourds venir s’écraser contre mon torse me plaît énormément, mais ce que j’aime encore plus, c’est le moment où elle se met en mouvement, et qu’elle commence à me chevaucher en faisant coulisser mon membre en elle.

Ma stimulation redouble, lorsque je réalise que la porte de sa chambre se trouve juste en face de son lit, et à l’instant présent également de son postérieur, qui est parfaitement exposé en train de s’activer sur ma queue, visible elle aussi la plupart du temps.

L’idée qu’une de ses filles ou pourquoi pas les deux, pourrait entrer sans crier gare et nous surprendre dans cette position on ne peut plus impudique, m’excite au plus haut point bien que ce doive être le cauchemar de la plupart des parents. C’est pourquoi j’éprouve à présent un mal fou à me retenir d’éjaculer, ce qui ne m’empêche pas d’aller caresser le magnifique postérieur de mon amante, pour ensuite le malaxer comme un boulanger pétrit sa pâte.

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Cependant, j’arrive à tenir le coup, et je suis soulagé lorsqu’après m’avoir monté pendant une dizaine de minutes, ma cavalière arrête brusquement de faire tourner sa langue autour de la mienne, et qu’elle redresse la tête pour pousser un gémissement mélodieux.

Les contractions de son vagin, annonciatrices de l’orgasme tout autant que son cri de jouissance, sont pour moi une délivrance puisque je peux à présent me laisser aller à me vider en elle, ce que je fais en grognant de contentement.

Alice n’a fait preuve d’aucune discrétion pour manifester son plaisir, même si comme à son habitude rien n’a été exagéré, c’est pourquoi je suis convaincu que Léa et Léo toutes à leurs études silencieuses, l’ont entendue. Cependant mon petit bout de femme n’a pas l’air de s’en soucier, et c’est ivre de plaisir qu’elle me donne un dernier baiser.

À suivre…

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