Petite Noémie 2
Après mêtre reposée, je sors de la baignoire et je menveloppe dans un peignoir deux fois trop grand pour moi, mais qui a le mérite de me tenir chaud.
Je rentre timidement dans le salon où mon amant mattend. Il sapproche et me serre dans ses bras. Il est toujours nu et je vois que son sexe se redresse immédiatement au contact avec ma peau.
Il me relâche, me sourit, et sengouffre a son tour dans la salle de bain pour prendre sa douche. Je me rhabille, pensive. Ma première fois sest bien passée, je nai pas eu trop mal, mais jignore ce qui ma pris de le laisser se vider en moi, à croire qu on est sûrement pas assez informés
Il sort à son tour, il enfile ses vêtements, et me re-propose daller faire notre tour en ville. Jaccepte avec joie.
Nous partons donc, mais cette fois ci, sa main est posée sur ma cuisse et je laisse ses doigts vagabonder. Je marrête chez moi récupérer quelques vêtements, car je décide de passer le reste du week- end chez lui. Je prépare donc deux-trois petites affaires, et en profite pour me changer : une robe mi longue, et une petite chemisette blanche. Je décide également de me passer de soutien-gorge, ça sera une petite surprise pour lui, et vu la taille minuscule de mes seins, ca sera plus confortable pour moi aussi.
Au moment de partir, je le vois rentrer, cela faisant une bonne demie heure que jétait partie, mon homme trouvait son temps long. Il me regarde et me complimente sur ma tenue. Jai le rose aux joues, et sans préambule, sans réfléchir, je me mets à genoux devant lui, déboutonne son pantalon, le baisse. Je soulève son boxer et en extrait son sexe qui commence déjà à grossir.
Un peu intimidée, je commence doucement à le branler, puis je passe très lentement ma langue sur son gland que je parcours dans tous les sens avant de gober le tout. Mes mains glissent le long de sa queue, je lentends soupirer, les yeux mi-clos, pendant que je mactive au mieux. Au bout dun moment, son souffle saccélère, son sexe palpite dans ma bouche et sur mes doigts, je lentends murmurer « je vais jouir ». Je cesse aussitôt pour le regarder, il me demande si je suis prête pour ça, et je réponds en reprenant son membre dans ma bouche. Dans un râle surpuissant, je sens deux-trois jets de sperme envahir ma bouche je me lève aussitôt, mais je narrive pas à avaler son jus damour, il me sourit en me disant que peu de filles le font, et que ce nest pas grave, tout en ajoutant que de me voir faire ça, à ce stade là de notre relation, ça le flattait mais que ça le surprenait aussi.
Il ne le sait pas, mais pour garder cet homme, je suis prête à tout.
Nous partons donc (enfin !) pour la ville. Nous nous asseyons à la terrasse dun petit pub. Un groupe de musique est là. Nous passons un excellent moment puis, il me présente deux amis à lui venus écouter le groupe aussi, Fred et Gaël. Autant le premier est sympa, beau garçon, avec le sourire et une bonne humeur communicative, autant Gaël est petit, le regard mauvais, plus sombre, dédaigneux, avec une nette tendance à forcer sur la bouteille. Il me met mal à laise, dautant de plus quil me déshabille du regard depuis son arrivée. Je me sens plus aussi bien, et je demande à Pierre si il accepte de rentre à la maison en prétextant un léger malaise.
Il accepte, un peu étonné, légèrement agacé de devoir partir si tôt, mais cest ce que je voulais. Jusquà ce moment :
« Par contre je vais devoir ramener les deux zozos chez eux, ils ne sont pas du tout en état de conduire, et plus trop en état de continuer ici »
Cette idée ne me plaît guère, mais ce sont ses amis. Je me tais et approuve.
_ Tu devra monter avec Gaël derrière, parce que Fred avec son 2,04M, pour caser ses jambes, à part lavant, c est pas possible.
Pétrifiée, je le regarde en demandant si ils habitent loin
_ A environ 10-15 kilomètres, ça devrait aller !!!
Nous partons donc, Gaël profite de lespace exigüe pour caresser ma cuisse avec sa main, ce que je ne manque pas de lui faire remarquer.
Il se calme, et nous nous arrêtons devant un grand corps de ferme. Je vois Pierre secouer Fred, mais celui-ci dort profondément.
Avec un soupir, je le vois descendre de voiture puis essayer de le sortir de lhabitacle. Il me regarde et me dit,
_ Je vais en avoir pour dix minutes environ, il pèse son poids, et lautre peut pas maider, il ronfle tout pareil..
Je le vois disparaître dans lobscurité quand je sens un foulard me bloquer la bouche et le nez. Cest Gaël qui ne dormait pas du tout et qui tente den profiter.
Même si il est gringalet, il est beaucoup plus fort que moi, et à force de me débattre, je métouffe. Je cesse donc. Il prend ça pour un consentement. Il relâche son étreinte, et me sors :
_ Ton mec en a pour un moment, parce que monter lautre au deuxième seul, il va en chier. Et comme il est trop réglo pour le laisser par terre.
Il ricane. Dun coup, jai peur.
_ Que veux- tu ?
_ Ni plus ni moins qu’une bonne baise. Et tu a l’air d’une petite salope…… Enlève ta culotte, remonte ta jupe, sois gentille, ça ira vite, tu me fais trop bander depuis tout à l heure Au fait ne cherche pas à crier, sinon, tu passera un sale quart dheure et Pierre aussi. Il est cool, mais il nest pas de taille si on doit se mettre dessus
Jobéis donc. Je le regarde sortir son pénis, moins long mais beaucoup plus épais que celui de mon chéri. Il se masturbe en me regardant déboutonner mon chemisier.
_ Tu mets pas de soutifs? Ca ne m’étonnes pas…. Il prend mon téton déjà érigé, puis malaxe mon petit sein. Il me fait mal, mais j’ose rien dire.
Il se met sur moi, écarte mes cuisses, crache sur ses doigts pour mhumidifier, puis en insert deux en moi.
Je geins de douleur. Lui ricane, je sens lodeur de son sexe, un mélange durine et de crasse, ça me dégoûte, je suis au bord de la nausée.
Il sinsert en moi, puis commence à me donner des coups de reins puissants et rapides, et presque instantanément, je lentends jurer, et grogner en sortant son sexe. Il éjacule sur mon ventre, mais je maperçois quil sest aussi vidé en moi. D ailleurs, à peine fini, il me pénètre à nouveau, je lentends haleter pour sa deuxième jouissance puis il sort, ce coup ci pour de bon.
Je me rhabille en vitesse, puis sort de la voiture en courant. Je cours vers la maison, jusquà tomber sur Pierre qui à lair surpris de me voir. Je suis en pleurs, jai du sperme qui coule de mon ventre et de mes cuisses. Je lentends rugir, puis se ruer sur la voiture. Il revient vert de rage quelques minutes plus tard, les mains vides lautre sest enfui.
A suivre.
