Sara passa la nuit entière à se masturber, brûlante de désir et de frustration. Elle n’était pas loin de céder à ses pulsions et de retrouver les parents de Marc quand ce dernier entra dans la chambre. La jeune femme soupira de soulagement, ce qui attira la sympathie de son compagnon:

" Heureuse de me voir?

— Tu n’imagines même pas!

Elle souleva la couverture et le laissa savourer la vision de son corps nu, offert sans pudeur au regard soudainement fiévreux de Marc.

— Que me vaut ce plaisir? demanda-t-il avec un sourire conquis.

— Tais toi et viens vite!

Il ne se fit pas attendre, en quelques secondes, il était nu à ses côtés. Elle se pencha directement sur son sexe, déjà dur, et l’avala entièrement. Marc poussa un râle incontrôlé… Sara s’activa avec ardeur sur son membre, faisant des va et vient sur toute sa longueur tout en caressant ses couilles de ses mains. Elle mouillait comme jamais et écartait les jambes, se cambrait presque inconsciemment pour recevoir un vit dans sa chatte ouverte. Marc ne résistant pas à cet appel se tourna légèrement pour caresser son amie. Il passa délicatement sa main sur son bas ventre avant d’écarter les lèvres pour enfin titiller son clitoris. A peine l’avait il effleuré que Sara redoublait d’ardeur sur son sexe… Elle désirait tant être remplie qu’elle remuait son cul, invitant ainsi à la pénétration.

— C’est ce que tu veux, hein? dit Marc.

Mais elle se contenta d’un "hmm" pour répondre, trop occupée à lécher sa queue. Marc sans attendre, entra deux doigts dans sa chatte complètement trempée… Il eut un regard étonné, jamais elle n’avait été excitée à ce point! Il fit se mouvoir ses doigts à l’intérieur en la regardant le sucer, au rythme de ses gémissements… Elle le suçait comme jamais, parfois elle passait des coups de langue sur son gland, parfois elle le prenait entièrement, puis le branlait avec vigueur en gémissant bruyamment…

Marc sentit qu’elle mouillait de plus en plus et que son corps était de plus en plus actif, elle jouirait bientôt… Il ne s’arrêta pas sur un si bon chemin et accéléra le rythme, ses doigts baignant dans le clapotis de sa mouille… Il était sur le point d’éjaculer après la meilleure pipe de toute sa vie, alors il enfila un troisième doigt qui arracha un petit cri à Sara avant de la repousser sur sa bite avec sa main sur sa tête.

— Continue, ne t’arrête pas…

Elle n’avait pas besoin de ça pour obéir, c’était pour elle un grand plaisir, elle voulait qu’il jouisse, dans sa bouche, elle voulait boire son sperme… Comme elle l’avait fait dans ces toilettes publiques… Le souvenir de sa première fois provoqua une décharge électrique dans tout son corps, elle explosa dans une jouissance incontrôlée, tout son corps tremblait tandis que Marc gardait soigneusement ses doigts au fond de sa chatte et en vint à jouir à son tour… Elle n’avait pas lâché son sexe et elle avala goulûment tout son foutre encore en plein orgasme. Lui n’en revenait pas et la regardait faire…

Il reprit doucement sa respiration, s’écartant légèrement de Sara qui avait enfin laissé son membre. Le sourire aux lèvre et le corps en sueur, il dit à sa petite amie:

— Merci, c’était génial…

Mais elle avait encore envie, cela ne lui suffisait pas, la journée avait été trop excitante et elle avait besoin d’être baisée… Alors elle commença à le branler, les yeux dans les yeux.

— Sara, arrête… Il faut que je dorme, il est tard et demain…

Elle ne s’arrêtait pas, indifférente à ses paroles.

— Sara! Ça suffit.

Il se redressa vivement pour mettre un caleçon.

— Qu’est-ce qui te prend enfin? s’agaça-t-il.

— Je veux juste que tu me prennes…

Son langage surprit Marc mais cela n’y changea rien, il devait se lever tôt le lendemain et n’avait plus envie. Il éteignit la lumière sans mot dire et s’allongea sur le côté. Sara, déçue voire furieuse sortit pour aller aux toilettes, vêtue d’un peignoir fin.

Elle entra sans frapper, persuadée que tout le monde dormait. Mais ce n’était pas le cas, elle se trouva nez à nez avec George, nu devant les toilettes, visiblement sur le point d’uriner. Gênée elle s’excusa et referma vivement la porte pour attendre dehors. Elle n’avait pas manquer d’observer la grosseur de son sexe… Elle tacha de se reprendre mais la porte s’ouvrit à nouveau.

— Il y a un problème? demanda George.

— Non tout va bien, je voulais juste utiliser les toilettes, répondit Sara qui s’efforçait de ne pas baisser les yeux vers son sexe.

Il l’invita à entrer. Elle se trouva donc là, à ses côtés, à attendre qu’il s’en aille. Ce qu’il fit après un instant d’examen détaillé de sa silhouette, comme s’il hésitait à la prendre, là et maintenant.

Sara put enfin se soulager mais elle ressentait encore le besoin de se satisfaire. Elle n’osait guère le faire à côté de Marc, il pouvait le prendre mal… Elle resta pensive quelques secondes quand la porte s’ouvrit de nouveau. C’était Georges, toujours nu.

— Tu es sûre que ça va?

— Oui, tout va bien…

George la fixa, avec une sorte d’inquiétude sincère.

— Tu peux me parler si tu veux, tu sais…

Elle réfléchit puis se décida à lui dire, après tout, ils avaient partagé suffisamment de souvenirs intimes pour ne plus être gênés par ce genre de discussion.

— C’est Marc, j’avais envie mais il doit se lever tôt.

— Ah je vois…

Le regard de George reprit sa lueur lubrique habituelle, déstabilisant Sara qui regretta de s’être mise dans cette situation.

— Et tu ne peux pas te soulager toi même?

— Eh bien, c’est à dire qu’à côté de lui, ce serait…

Elle n’acheva pas sa phrase, confuse.

— Et ici, tu ne peux pas?

— Heu… Si, je peux, je suppose que oui.

— Ne te gêne pas pour ça.

Elle acquiesça. George ne faisait pas un geste, comme s’il était décidé à rester là.

— Qu’est ce que tu attends? demanda-t-il d’un ton plus ferme qui fit frémir la jeune femme.

Elle le regarda dans les yeux, apeurée… Mais elle en mourait d’envie, ses cuisses étaient encore trempées, son coeur battait à tout rompre d’excitation… Oserait elle le faire devant lui?

— Allez, tu en as envie, tu l’as dit toi même.

Elle en avait envie, mais pas devant lui… Et pourtant une partie d’elle l’empêchait de lui demander de partir. Elle n’avait que quelques mots à dire mais aucun d’eux ne sortait. Alors, lentement, les yeux baissés, elle écarta les pans de son peignoir. Cette fois, elle aussi était nue devant lui. Elle leva timidement les yeux vers George qui dévorait son corps du regard. Elle eut une sensation âpre de dégoût d’elle même quand il lui dit d’un ton moqueur:

— Tu mouilles beaucoup on dirait…

Il avait les yeux rivés sur ces cuisses brillantes. Sara faillit refermer son peignoir et fuir à toutes jambes mais l’envie était trop forte. Elle ferma les yeux et passa ses mains sur sa poitrine, faisant se dresser ses tétons. Elle caressa doucement son corps en descendant vers sa chatte, oubliant presque qu’il était là, devant elle, à la regarder, s’il ne respirait pas aussi bruyamment.

N’y tenant plus, elle écarta ses lèvres et passa un doigt autour de son clitoris, toujours aussi sensible. Sous le plaisir, elle ouvrit les yeux et découvrit George qui la regardait avec un air pervers, le sexe bandé. Cette vision ne la révulsa pas, au contraire, elle poussa un gémissement qui en disait long et ne fermait plus les yeux. George émit un ricanement, maîtrisant entièrement la situation…

Sara le regarda tout en descendant ses doigts vers sa chatte. Elle n’attendit pas et pénétra tout de suite trois doigts, envahie par le plaisir. George la regardait faire sans bouger, ni même se masturber.

— C’est comment? demanda-t-il doucement.

— C’est bon… ne put s’empêcher de répondre Sara.

Elle entrait trois doigts, les sortait, les rentrait, titillait son clitoris de l’autre main, laissant s’écouler sa mouille sur ses lèvres… Elle sentait que la jouissance viendrait vite mais George dut le sentir aussi car il lui dit brutalement:

— Arrête.

Désemparée, stoppée dans son envie, elle se surprit à obéir.

— Tu ne vas pas jouir ce soir, d’accord?

— Mais…

— Pas ce soir. Je t’interdis de te caresser plus encore. Va te coucher maintenant."

Et il s’en alla.

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