Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe Histoires de sexe mobiles

Assumer mes achats… – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra

Dans l’épisode précédent je vous racontais comment j’avais fait connaissance avec le patron d’un commerce de vêtements sexy (officieusement spécialiste pour travestis) qui avait été très gentil avec moi au point de m’offrir des vêtements que je désirais acheter à condition que je reparte totalement travesti. Une bonne partie des employés m’était passé dessus. Je suis donc reparti de sa boutique totalement habillé en femme ( ciré en vinyle noir, robe longue, tanga, escarpins, bas et porte jarretelle) avec un gros sac de vêtements.

Le chemin du retour a été un peu rocambolesque compte tenu de ma tenue car même si j’arrivais à marcher avec mes escarpins, je manquais quand même un peu d’assurance. Tout s’est à peu près bien passé jusqu’à ce que j’arrive à la maison où là je suis tombé sur ma voisine qui était étonnée que ce soit une femme qui ouvre la porte de mon appartement. Ainsi ma voisine qui se prénommait Coralie qui était grande et forte, elle a été à ce point insistante que j’ai fini par lui avouer que c’était moi. Là elle s’est littéralement incrustée chez moi pour rigoler et soyons honnêtes se foutre de moi. J’étais vraiment mal à l’aise

Un petit détail non négligeable; Coralie était une gougnotte qui ne s’en cachait pas du tout. Elle habitait 3 étage au-dessus du mien et il y avait souvent de l’ambiance chez elle. C’était plus fort qu’elle et il fallait qu’elle drague toutes les filles en même temps elle avait tout pour les faire craquer tant elle était belle. Elle levait les filles comme un don Juan l’aurait fait, bref elle jouait sur le même terrain que les beaux gosses coureurs de jupons. À tel point qu’une fois ma sur qui était venue me voir c’était fait draguer par Coralie et elles avaient échangé leur numéro j’avais su plus tard qu’elles avaient concrétisé.

Elle avait un côté sûre d’elle, dominatrice et autoritaire qui plaisait beaucoup à ses partenaires féminines. En même temps Coralie était toujours la première pour déconner c’est aussi ce qui faisait son charme. Tout cela pour vous dire que elle venait de rentrer chez moi alors qu’elle venait de découvrir que je me travestissais. J’étais gêné ne savais pas où me mettre alors que j’étais chez moi et c’est elle qui venait de fermer la porte de chez moi. J’étais pris au piège et la nasse dont elle contrôlait l’ouverture venait de se refermer sur moi; dans la tenue où j’étais en position d’infériorité.

Coralie m’a fait asseoir dans mon canapé, chose que je n’ai pas refusé car j’avais un peu mal aux pieds. Coralie mesurait plus d’un mètre 80 et devait facilement faire 80 kg mais elle restait belle et désirable car elle était magnifiquement proportionnée. À peu de chose près elle faisait ma taille et elle devait faire aussi mon poids. Une fois assis dans le canapé elle entreprit d’ouvrir mon manteau et est venue me caresser, je me suis laissé faire. Ses caresses sont devenues plus précises pour finir sur mon sexe qu’elle a constaté en érection. Elle m’a demandé si cela me plaisait de m’habiller en femme. Je n’ai pas su quoi répondre mais c’est elle qui a dit qu’elle pourrait très bien faire de moi une belle chienne soumise bonne à donner du plaisir.

Elle était là penchée auprès de moi en train de me caresser le sexe et maintenant de me pincer les tétons. Le plus beau c’est qu’elle me faisait un bien monstre et que au rythme où elle allait, elle allait me faire partir dans quelques instants. De temps à autre elle me caressait le visage et les cheveux comme l’aurait fait un homme auprès de sa compagne. En l’espace de moins de 10 minutes elle venait de prendre le dessus sur moi et elle me tenait par mon secret. Elle m’a bien fait comprendre que si je voulais que ma passion pour les vêtements féminins reste entre nous il fallait que je sois gentil et obéissant avec elle. Pendant que Coralie était en train de me dominer j’étais en train de repenser à ces hommes qui m’ont dominé deux heures auparavant.

J’étais en train de me dire que j’aimais le sexe féminin et masculin et aussi que j’aimais me soumettre aux hommes comme aux femmes. J’avais tout mon stock de semence dans mes fesses qui était en train de vouloir sortir. Coralie m’a tenté si bien caressé et masturbé que j’ai fini par éjaculer dans mon tanga sous ma robe. Elle venait de me faire jouir alors que j’étais habillé en femme j’étais gêné mais je ne réalisais pas vraiment en même temps. Je savourais surtout le plaisir que je venais de prendre. Quand ma maîtresse a constaté qu’elle avait les doigts humide et poisseux de ma jouissance elle m’a fait lever puis a pris ma place dans le canapé.

Coralie avec une robe longue et légère, elle ne portait ni collant ni bas et elle a bien écarté les jambes. Il ne m’a pas été difficile à comprendre ce que je devais lui faire. Elle m’a attrapé par les cheveux et m’a guidé entre ses jambes de façon ferme et autoritaire. Il va de soi que je n’ai rien dit, j’ai obtempéré et je me suis retrouvé face à son minou sans obstacles car elle ne portait donc pas de culotte. Son minou suintait et brillait de désir et en fait il me faisait envie. C’est ainsi que j’ai déposé ma langue sur sa toison finement taillée et puis je suis ensuite allé découvrir son petit abricot juteux. Vu les commentaires et les soupirs de Coralie j’en ai conclu que je lapais là où il fallait. Ça cyprine avait un goût formidable et du coup je m’en délectais.

Mon visage était maintenant couvert de cyprine tant Coralie appuyait sur ma tête pour que je lui donne plus de plaisir. A chaque fois que je croisais ma voisine dans la rue ou dans les escaliers, elle me faisait envie mais connaissant ses penchants; je savais que je n’avais aucune chance. Et pourtant, là, j’étais en train de lui brouter le minou sous sa directive, mais les cartes avaient été redistribuées… Je n’étais pas le mâle qui besognait sa dulcinée mais la fiotte qui était entre les main d’une superbe gougnotte dominatrice. Maintenant j’avais le droit aux pires des surnoms qui soient, rien de bien flatteur, elle me parlait comme elle devait le faire avec ses copines. Moi qui étais dans une tenue on ne peut plus féminine, pour ne pas dire salope; il était normal que je sois traitée comme telle.

J’étais toujours vêtu de mon ciré et avec toujours mes escarpins aux pieds, les caresses qu’elles me prodiguait à travers ma tenue me mettait dans tous mes états. Maintenant elle commençait à prendre des initiatives que je ne pouvais pas refuser, vu la position que j’avais pour l’instant. En effet maintenant elle avait un peu remonté mon cirée ainsi que ma robe et s’amusait à me caresser ma raie culière. Du coup maintenant j’étais en train de me trémousser du cul pendant que je faisais une langue à Coralie. Moi que l’on pouvait supposer homo vue ma tenue, j’étais en train de donner du plaisir à une gougnotte.

Là elle a constaté le sopalin qui était calé dans mon petit trou puis à saisi une serviette qui se trouvait à portée de main. Elle a retiré le sopalin puis m’a nettoyé mon petit trou du cul de tout ce qui dégoulinait. En rigolant elle m’a dit que manifestement j’avais rendu service à plusieurs hommes à coup sûr avant de rentrer chez moi. Vu que j’avais la bouche occupée à lui donner du plaisir je n’ai pas vraiment pu répondre ni commenter ses propos. Une fois mon côté obscur nettoyé de la liqueur elle a commencé à me doigter et je ne vous raconte pas le plaisir que cela me procura. C’est à ce moment-là qu’elle m’a dit que j’avais vraiment un gros potentiel en tant que chienne…

Je ne savais plus comment faire tant elle me donnait du plaisir, je tortillais du cul mais j’avais envie de crier, le problème c’est que pour m’exprimer il fallait que j’ouvre la bouche et cette dernière était plein de son minou. Je me découvrais vraiment car avec ses attouchements anales qu’elle me prodiguait me faisait un bien fou; c’est un plaisir que j’avais découvert depuis peu mais je le connaissais désormais. Manifestement Coralie maîtrisait très très bien le toucher rectal elle avait l’air de connaître les moindre recoins de mon conduit. Puis elle s’est contractée elle a lâché mon petit cul et ses 2 mains sont venues immobiliser ma tête en pression.

C’est sûr maintenant ma maîtresse était en train de prendre son pied, elle a poussé de grand cri. Je pense que tout le bâtiment était au courant comme quoi elle venait de jouir mais ce n’était pas la première fois. La seule différence c’est que d’habitude les cris venaient du 5e étage et que là nous étions au deuxième. J’ai eu le droit à de magistrales claques sur les fesses ces dernières étant nues, ce fut un peu douloureux mais pas pour me déplaire. Elle m’a laissé la tête entre ses jambes jusqu’à ce que je ne finisse de lui faire sa toilette intime, j’ai même eu le droit de lui glisser ma langue à l’entrée de son petit cul. En une demi-heure j’étais devenue la soumise de ma voisine, lesbienne réputée dans la résidence.

Après avoir repris ses esprits elle s’est mise à fouiller dans le sac que j’avais ramené. J’étais toujours à genoux entre ses jambes sa robe et elle me bloquait car ses pieds étaient calés derrière mes genoux. Elle commentait tout ce qu’elle sortait du sac, plus elle sortait plus j’étais mal à l’aise. C’est à ce moment qu’elle m’a expliqué qu’avec de telles tenues, elle allait pouvoir faire de moi une formidable donneuse de plaisir. J’étais toujours dans l’obscurité mais j’entendais bien ce qu’elle me disait, elle conclut que je ferais une très bonne esclave sexuelle pour elle et ses amies. Ma vie allait changer du tout au tout dans les jours qui viennent, c’est ce qu’elle m’a promis…

Related posts

Snoopette – Chapitre 2

historiesexe

Chroniques immortelles – Chapitre 2

historiesexe

ma belle mère adore ça – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .