Si vous avez lu le premier chapitre de mon histoire ’’un dépucelage inattendu’’, vous n’êtes pas sans savoir que j’étais loin de m’attendre à ce que ma nièce me fasse des avances qui m’ont mené à prendre la virginité de chacun de ses petits trous.
J’étais tout aussi surpris de savoir que ma femme faisait partie de la manigance et avait aidé à ce que je me retrouve seul avec ma charmante petite-nièce. Ma femme qui était très réservée voire coincée au début de notre mariage (voir mon histoire ’Vive le triolisme’’), était devenue une vraie bête de sexe mais jamais je n’aurais cru qu’elle en serait venue à manigancer le dépucelage de ma nièce.
Lors d’une conversation, Julie-Ann m’avait malencontreusement fait savoir que sa tata faisait partie du complot et elle m’avait fait part que mon épouse n’était pas vraiment partie pour un voyage d’affaires et qu’en fait elle était au parfum du plan de Julie-Ann et qu’elle en était même le cerveau.
Gloria, mon épouse est donc revenue de son ’’voyage d’affaires’’ avec un grand sourire qui laissait bien voir combien elle était fière de sa petite manigance. Dès son arrivée je lui ai demandé de venir s’asseoir avec nous au salon et je suis plongé immédiatement dans le vif du sujet.
— Comment diable as-tu pu me monter un tel bateau ?
— Quoi ? N’es-tu pas heureux d’avoir dépucelé ta nièce chérie et pas seulement dans un trou mais dans les deux…
— Certainement que j’en suis fière mais comment crois-tu que je me suis senti ? Mes émotions étaient toutes mélangées et tu sais comment j’aime la petite alors tu dois comprendre que faire une chose aussi taboue m’a quelque peu bouleversé. Bien que je sois un très grand fan du sexe, mon but n’a jamais été de dépuceler ma nièce pour qui j’ai beaucoup d’affection, voire de l’amour comme un père envers sa fille.
— Je ne doute pas que tu as certainement dû être déchiré mais le regrettes-tu ?
— Je t’avoue effectivement que ne le regrette pas mais je demeure perturbé. Vous comprenez, le petit démon qui dit ’’non’’ et l’autre petit démon qui dit ’oui vas-y profite du moment…
— Tonton, c’est moi qui devrais être perturbé mais je ne le suis vraiment pas, au contraire je n’ai jamais été aussi heureuse qu’en ce moment. Je sais que nous t’avons piégé mais depuis que je suis en âge de savoir qu’un jour quelqu’un me prendrait ma virginité j’ai toujours voulu que ce soit toi. Je n’ai jamais pensé qu’un autre homme que toi me prendrait pour la première fois. Je ne regrette aucunement et si je devais tout recommencer, je recommencerais exactement de la même manière.
— N’es-tu pas heureux mon chéri que ta femme et ta nièce aient décidé de te faire un tel cadeau ?
— Honnêtement, je suis très heureux mais il faut comprendre que je suis passé par toute la gamme des émotions.
Ma douce s’est levée et s’est penchée pour me donner un baiser et nous a laissés Julie-Ann et moi pour aller prendre un bain bien chaud, histoire de relaxer. Julie-Ann est alors venue me rejoindre sur le sofa et s’est blottie tout contre moi.
— Tonton je m’excuse de t’avoir ainsi piégé mais je ne voyais aucune autre façon d’en venir à mes fins. Je craignais fort qu’en t’abordant directement tu me repousses justement parce que je suis ta nièce et que tu m’aimes beaucoup.
— Effectivement je crois que je t’aurais sans doute repoussée.
— J’ai donc pris la bonne décision pour obtenir ce que je voulais.
— Sans doute ma chérie.
Elle s’est relevée et m’a pris le visage entre ses mains et m’a embrassé. Un baiser interminable qui eut comme résultat une érection qu’elle remarqua immédiatement.
— Tonton, on dirait bien que les remords sont terminés.
— Je crois bien que oui et je dirais même qu’ils sont très loin derrière moi.
—
Elle prit rapidement les choses en main, je devrais plutôt dire les choses en bouche car elle plongea directement dans mon entrejambe et me prit en bouche pour me faire une fellation au même moment ou Gloria revenait du bain avec seulement une grande serviette lui servant de robe de chambre.
Elle laissa tomber la serviette pour dévoiler son beau corps si désirable malgré les années qui ont fait leur travail. Ses beaux gros seins qui tombent un peu mais qui donne toujours envie peu importe à qui elle se dévoile et ce même pour notre nièce qui, sans cesser la magnifique pipe qu’elle me prodiguait, a allongé la main pour prendre un sein en main et le pétrir pendant que ma queue allait frapper le fond de sa gorge.
Gloria s’est positionnée sur ses genoux pour aider Julie-Ann de sa langue experte. Les deux me prodiguaient des coups de langue en mélangeant le tout, soit une ou l’autre avait ma queue en bouche pour parfois se rouler une pelle pour revenir à mon membre qui en redemandait.
Après quelque minute de ce manège, elles se sont relevées pour s’embrasser debout devant moi. Quel beau spectacle, deux magnifiques femmes que j’aime sont là, devant moi à se caresser. Je me suis levé et j’ai commencé à retirer les habits de ma nièce qui ne l’oubliez pas, n’avait pas encore retiré ses vêtements. Jamais elles n’ont cessé de se caresser et de s’embrasser pendant que je retirais ses vêtements. Une fois ce très agréable travail terminé, les deux femmes se sont laissées tomber sur le sofa et se sont rapidement retrouvées dans un 69 très agréable à regarder.
J’ai terminé de retirer mes vêtements et je me suis approché d’elles. J’étais très excité de voir ma femme et ma nièce se donner autant de plaisir. Tous les remords que je pouvais avoir se sont dissipés devant ce spectacle magnifique. Je me suis penché pour donner des baisés dans le dos de Gloria tout en faisant doucement mon chemin vers ses magnifiques fesses toutes rondes et qui vibraient de plaisir. J’ai ouvert ses fesses pour libérer sa rondelle et j’ai plongé ma langue dans cet orifice qui ne demandait que cela. Elle tortillait déjà sous les coups de langue de Julie-Ann mais avec mon travail dans cette partie de son intimité je savais que ce n’était qu’une question de minute, voire seconde avant qu’elle n’explose. Je pouvais voir son dos cambré et je savais ce qui allait bientôt arriver. Gloria a atteint l’orgasme et il fut tellement fort qu’elle perdit conscience. (Voir dans mes récits ’’Vive le triolisme’’ pour voir que c’est fréquent lors d’un orgasme)
Julie-Ann ne comprenait rien à ce qui arrivait à sa tata et elle était tout énervée. Je lui ai expliqué de ne pas s’en faire et que c’était une réaction normale de sa tata. Laisse-la reprendre ses esprits et ne fais rien d’autre que la caresser doucement. Après quelques instants, Gloria a ouvert un il et a simplement laissé sortir un WOWWW ça faisait longtemps que je n’avais pas joui autant. Je ne sais pas s’il t’est déjà arrivé de jouir jusqu’à en perdre conscience mais je te souhaite de connaître cette sensation merveilleuse.
Julie-Ann, maintenant rassuré, s’est tourné vers moi et elle m’a invité à venir terminer le travail abruptement arrêté par la jouissance de Gloria et son état de conscience. Je me suis placé entre les jambes de ma nièce et j’ai repris le travail là ou ma femme l’avait laissé. Le goût et l’arôme dégagé par Julie-Ann étaient merveilleux pour ma langue et mon odorat. Je laissais ma langue passer de son petit bouton vers ses lèvres et doucement vers sa petite rondelle. Elle tortillait le bas de son corps et je ne pouvais douter que mon travail lui prodiguait tout le bien escompté. Gloria qui avait bien repris ses esprits s’est approchée et m’a demandé de lui laisser terminer son travail et elle a pris la relève pour prodiguer du plaisir à notre petite perle noire.
Comme Gloria était très occupée sur le bouton d’amour de Julie-Anne, je me suis placé derrière elle pour la joindre et prodiguer autant de plaisir que possible à Julie-Ann. Une fois qu’elle fut bien préparée et humide, je me suis positionné de façon à pouvoir lui introduire mon membre dans sa rondelle. J’ai poussé doucement mais sans doute parce qu’elle était énervée, elle a fait un mouvement arrière tellement fort que je me suis retrouvé directement au fond de son anus. Elle a laissé sortir un cri très fort et j’ai essayé de me retirer en m’excusant mais elle m’a retenu tant bien que mal en me disant ’’non’’ reste là et pousse jusqu’au fond, j’adore… Pendant que je lui astiquais le derrière, Gloria quant à elle continuait à bouffer sa merveilleuse petite chatte. Julie-Ann n’a pris que quelques minutes pour jouir une première fois mais cela ne m’a pas empêché de continuer mes va-et-vient au plus profond de son petit cul. J’ai commencé à sentir sa rosette faire un mouvement spécial, on aurait dit qu’elle me suçait la queue avec son anus.
Une sensation que je n’avais jamais vraiment connue avant. Je n’en pouvais plus et je me suis mis à gicler dans ses intestins pendant qu’elle disait « donne-men encore, j’en veux plus, donne-moi plus de sperme tonton ».
Je me suis retiré et nous nous sommes tous retrouvés étendus sur le sol dans notre salon totalement épuisé.
Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi mais je me suis réveillé au beau milieu de la nuit mon corps encore tout gommé des effluves de mes deux femelles. Je me suis levé et je suis allé prendre une douche bien méritée. Après avoir terminé, je me suis rendu dans notre chambre et surprise, deux beaux corps m’attendaient dans le lit. Je me suis glissé entre elles et je me suis endormi avec mes deux beautés.
Au petit matin, je me suis levé et je suis allé préparer le café. Gloria est arrivée quelques instants après en me disant que l’arôme l’avait réveillé. Je lui ai versé son café et nous nous sommes assis pour discuter de ce qui s’était passé.
— Comment te sens-tu mon amour ? Est-ce que tu éprouves encore des remords ?
— Absolument pas, plus maintenant. Voir Julie-Ann aussi heureuse et avoir contribué à ce bonheur ne peut qu’effacer tout doute qui pouvait encore se trouver dans mon esprit.
— J’en suis très heureuse car depuis un certain temps elle était devenue très insistante et s’il n’en avait tenu qu’à elle, cela se serait produit bien avant.
Ce qui est bizarre, c’est que jamais je n’avais pensé à elle de cette façon. Elle représentait l’interdit, bien que je la trouvais très belle.
Nous n’avions pas remarqué mais Julie-Ann était arrivé et se tenait dans l’encadrement de la porte et elle nous a dit.
— Tonton et Tata, je vous remercie tous les deux d’avoir permis que tout ceci arrive. Toi tata, en me laissant la voie libre et toi tonton en acceptant de passer outre tes scrupules.
— Chéri, ton plan était tellement bien monté que je ne crois pas que quiconque aurait pu résister.
— Ma chérie, tu m’as tellement dit souvent ce qui te ferait plaisir que je ne pouvais pas ne pas t’aider à réaliser ton fantasme.
— Il ne me reste que 3 jours de vacances et j’aimerais bien faire d’autres apprentissages.
— Nous verrons bien ma chérie. Je sais que tu veux tout connaître mais tu sais il faut aussi que tu prennes le temps de bien assimiler tout ce qu’il t’arrive.
— Ta tante a raison ma chérie et bien que je sois en paix avec ce que nous avons fait, il me faut encore assimiler tout ça moi aussi.
— D’accord, je crois que vous avez raison et il ne faut rien brusquer mais j’ai bien hâte de connaître l’effet que procure une double mais en attendant, Tata, j’aimerais qu’on aille faire les boutiques toi et moi aujourd’hui.
— Parfait ma chérie, j’allais te l’offrir.
J’ai regardé mes deux beautés partir vers le centre commercial et je ne pouvais m’empêcher de penser à la chance que j’avais d’avoir une femme aussi bonne avec son homme et une nièce aussi belle dans mon lit. Je me suis dit que je me devais de lui faire connaître d’autre plaisir charnel. J’avais déjà quelque chose en tête et mon grand ami Charlie.
