DEBUT DU CINQUIEME EPISODE
Notre dernier soir, alors que nous venions de terminer un repas typique slovaque, un goulasch de porc, quelle avait concocté avec amour, le tout arrosé de champagne de Bohème, elle mentrainât dans sa chambre et, tout à trac, elle me dît les mots suivants :
« Cest notre dernier soir, je suis bien mais je voudrais être encore plus à toi pour te prouver à quel point je taime. Jai déjà donné ma virginité il y a quelques années mais il y en a une autre qui mappartient encore. Jaimerais que tu me prennes par derrière. Comment dit-on en français ? Par le cul ? podľa somár? en slovaque. Je veux que tu me possède, que tu me domines, que tu mutilises selon tes désirs Jai envie dêtre ta femelle mais jai peur aussi davoir mal. »
En disant cela ses yeux semplirent de larmes. Je la pris dans mes bras, tendrement.
« Je ne sais plus quoi dire devant cette déclaration damour, un peu trivial ma chérie tu ne mavais pas habitué à ce langage, mais jai compris que, ce soir, tu voulais te donner à moi entièrement. Aussi cest pour moi le moment de te dire que je nai pas envie que ça sarrête là. »
Elle me regardât dun air étonné désireuse de comprendre. Elle buvait mes paroles.
« Je vais rentrer à Paris et dans deux mois, le temps de torganiser, si tu le veux, tu my rejoindras. Jai contacté hier mon meilleur ami, il occupe un poste de haut responsable à lUNESCO, il te prend en stage dans son service où il a besoin dune interprète de ta qualité dans les langues que tu maitrises. Tu pourras, de concert, poursuivre tes études en Fac. Bien entendu tu logeras chez moi, chez nous si tu préfères. Nous dirons que tu seras ma jeune fille au pair Quen penses-tu ? »
A peine avais-je terminé quelle éclatât en sanglots. Sa voix, hachée par les larmes, elle me dit :
« Oh mon amour, cest le plus cadeau que tu puisses me faire. Même dans mes rêves les plus fous je naurais pas cru que notre histoire puisse continuer de la sorte. Je métais déjà mise en tête que ça allait être notre dernière nuit. Alors OUI, OUI et trois fois OUI, je le veux ! Je veux continuer à vivre avec toi. Je taime Hervé. Maintenant prends moi, déflore moi du cul, je suis à toi, complètement, entièrement. »
Nous bouches se rejoignirent dans un baiser profond, passionné, nos langues sentremêlant. Mon désir montait, impérial
« Jai besoin de te préparer pour que cette première fois soit inoubliable et que tu ne souffres pas. Je nai pas de lubrifiant mais on va faire sans, avec nos propres sécrétions. Lamour anal nest pas anodin mais je vais te le faire aimer. Mets-toi à genoux au bord du lit, tout va bien se passer, décontracte toi ! »
Dans cette position son sexe et son anus étaient entièrement à ma disposition, entièrement offerts. Je mis un doigt dans sa chatte et je commençai un branle de son point G. Elle était déjà ruisselante. Japprochais ma bouche de son petit trou et ma langue vint lhumidifier. Je crachais dedans et avec mon doigt plein de sa cyprine je lui massai le rectum pour lagrandir, le lubrifier et faire en sorte que mon sexe puisse le pénétrer sans heurt, jen ajoutai un autre pour encore plus lélargir et assouplir ses sphincters.
« Ça va ? Je ne te fais pas mal ? »
« Non cest bon ! Tu es doux ! Je découvre la soumission avec toi et jaime. Je veux être ta chose. Tu peux continuer. »
Mon long travail dassouplissement arrivait à sa fin. Je jugeai quelle était prête pour sa défloration anale. Inutile de vous dire que je bandais comme un âne en plein rut.
Japprochai mon gland de son anus, le fis tourner sur sa corolle tout en poussant légèrement pour le faire pénétrer. Avec mon autre main je récupérai son nectar qui coulait de son sexe pour humecter ma colonne de chair qui allait bientôt lempaler. Son vagin coulait comme une fontaine, elle semblait aimer ça. Je sentis que le bout renflé de mon vit venait de franchir un premier obstacle. Elle poussât juste un petit cri.
« Ça va ? Je ne suis pas trop brutal ? Ça ne te brule pas ? »
« Si un peu mais continue ! Cest passé ! Vas jusquau bout ! Je te veux ! »
Ses sphincters commençaient à shabituer à lintrusion, je menfonçais inexorablement au fond de ses entrailles jusquau moment où mes couilles touchèrent ses fesses. Tout était entré, Lucia navait pas crié, stoïque jusquau bout.
« Ça y est tu es toute à moi. Je vais te défoncer et te faire jouir au maximum. »
« uká do riti moja láska! Urob mi vaa vec! Défonce moi le cul mon amour ! Fais de moi ta chose ! »
Surexcité par ce quelle me disait de manière si triviale je commençais mes aller-retour dans son fondement dabord doucement pour quelle shabitue à mon pénis, puis de plus en plus rapidement. Elle poussait des cris que je crus être de douleur mais elle me rassurât en répétant comme une litanie, sur tous les tons, pendant tout le temps de sa sodomie : « uká do riti moja láska! Défonce moi le cul mon amour ! »
Elle se branlait en même temps le clitoris. Javais déjà tellement éjaculé pendant ces trois jours quà mon âge il devenait difficile de le faire encore une fois. Jétais du coup très endurant. Aussi pour varier les plaisirs jalternais les pénétrations : une fois dans son cul, une fois dans son con, une fois dans son cul, une fois dans son con Mes mains avaient saisi ses seins dont je me servais comme des poignées pour mieux la pénétrer. Elle hurlait sa joie dêtre ainsi traitée et en était à son deuxième orgasme. Je la sentais au bord de lépuisement. Elle criait : « Finis mon chéri, jen peux plus tu vas me faire mourir de joie ! » Mais quelques secondes plus tard cétait pour me dire de continuer.
Alors que je venais de choisir la voie vaginale je sentis ses doigts enserrer ma verge à lintérieur de sa chatte ce qui eu pour effet de précipiter la venue de mon sperme. Jeus juste de le temps de sortir et déjaculer dans son anus, nos deux cris montrant que nous étions arrivés à lextase encore une fois, ensemble. Elle s’écroulât sur le lit, je la suivis épuisé. Nous restâmes ainsi de longues minutes puis nous nous couchâmes côte à côte, main dans la main, heureux, pour nous dire encore et encore des mots damour.
Au petit matin, jappelais un taxi qui me menât à laéroport. Je navais pas voulu quelle maccompagne.
EPILOGUE :
Je suis rentré à Paris et deux mois plus tard Lucia débarquait chez moi pour sinstaller définitivement. Inutile de vous dire que ces retrouvailles furent plus que brulantes, nous avions tellement envie lun de lautre, que, ne pouvant plus attendre, je lai même prise dans le parking de Roissy dès sa descente de lavion. Mes deux filles, qui madorent, lont adoptée sans problème. Nous nous sommes mariés un an plus tard, Lucia enceinte de trois mois, attend notre premier enfant, ce sera une fille. Mes filles sont ravies, elles vont être tantes !
Notre entente sexuelle et intellectuelle est parfaite. Nous vivons une lune de miel tous les jours et tous les gens qui nous connaissent disent que nous rayonnons. Bien sûr des mauvaises langues disent aussi que Lucia ma épousé pour mon argent et bien, elles se trompent !
En effet, le sort a fait que, malheureusement, quelques mois après son installation, ses parents ont été tués dans un accident de voiture en Slovaquie. Fille unique, Lucia a hérité de leur fortune. Elle est désormais beaucoup plus riche que moi…
FIN
