En bonne « soumise », je ne peux pas aller en tenue habituelle à ce rendez-vous. Mais j’ai cours avant. Donc j’opte pour une lingerie très pute et une robe par dessus. Quand je dis « très pute », cela veut dire serre-taille en vinyle noir, basse. Je suis tout émoustillée d’être en cours comme cela, mais à 16h, je trouve mes chaussures top discrètes. Je file chez démonta, la superbe boutique fétichiste, pour acheter des talons aiguille noirs vernis de 12 centimètres de haut. Je me regarde dans la glace: là, je fais pute. Un coup de rouge à lèvres rouge sang, je règle les chaussures et je vais attendre dans un café. Le regard des hommes sur moi est sans ambiguïté. Je suis ultra-désirable. A 18h30 taxi, à 18h50, je suis devant chez lui. C’est une maison dans le Bas Montreuil, le quartier bobo. Je sonne. Il m’ouvre, me prend la main, m’attire à lui et m’embrasse fougueusement. Sa langue entre dans ma bouche. Je me livre à lui, totalement.

Viens.

Il me fait entrer. Grand salon, meublé sobre et chic. Je m’assois dans un fauteuil en cuir noir, il me propose un verre, j’accepte un whisky. Il s’assoit en face de moi. Un gros chien, un dogue, est couché dans un coin du salon.

Tu acceptes d’être ma chienne ?

Oui.

Oui MONSIEUR.

Oui Monsieur.

Lorsque nous aurons progressé ensemble tu me diras « oui Maître ». Pour l’instant, ce sera oui Monsieur et tu me vouvoies.

Oui Monsieur.

Je suis trempée. Il est là, élégant, un jean, une chemise blanche. Il est grand, 1m90, athlétique. J’avale mon verre d’un trait.

Lève-toi.

Je m’exécute.

Ouvre ta robe.

Je porte une robe boutonnée devant, je défais les boutons et laisse apparaître mon corps nu, exception faite des bas et de la serre taille.

tenue de pute ?

Oui Monsieur.

Mets tes mains derrière ta nuque, écarte tes jambes.

Je suis là, offerte. Avec les talons, je suis totalement cambrée. Mes seins jaillissent, durs. J’ai de petites auréoles avec des tétons assez imposants. Ils sont tendus. Il se lève, tâte mes seins, mon ventre descend jusqu’à ma vulve épilée. Il caresse mes lèvres, glisse un doigt dans mon vagin.

Tu es trempée salope…

Oui Monsieur.

Il accède à mon anus, le caresse d’un doigt

Déjà pratiqué la sodomie ?

Oui Monsieur.

Tu aimes ?

Oui Monsieur.

Il me fixe dans les yeux, plonge en moi son regard bleu tout en s’enfonçant dans mon cul avec son doigt épais. L’autre main caresse mon sexe, ses doigts jouent avec mon clitoris qui est sorti de sa cachette.

Déjà eu des rapports sexuels avec plusieurs hommes en même temps ?

Oui Monsieur.

Combien à la fois ?

Deux, Monsieur.

Double pénétration ?

Oui Monsieur.

Je te ferai régulièrement prendre en gang bang, cela te pose problème ?

Non, Monsieur, je suis votre pute.

Il ôte ma robe, va chercher dans un tiroir un collier de cuir épais, noir, avec des anneaux en aciers brillants, une laisse. Il me le passe au cou, attache la laisse. Il pose aussi des bracelets de cuirs mes chevilles et poignets, épais et larges et aussi munis d’anneaux. Le chien me regarde avec attention. Je me sens brûlante de désir. Dans un miroir au-dessus de sa cheminée, je vois en serre-taille, bas, le collier autour du cou, tenue en laisse et j’adore. Je me sens chienne. Je pense aux images vidéo que j’ai regardées pendant la nuit. Je suis comme elles, offerte, désirante, et désirable.

Tu connais le concept de safeword ?

Oui Monsieur.

Rouge sera notre safeword, compris ?

Oui Monsieur.

Il ouvre à nouveau un tiroir et pose sur la table basse devant moi un épais martinet, une cravache, des pinces en acier reliées par une chaîne, deux paires. Il s’empare de la cravache, caresse mon corps avec le bout puis donne un coup vif sur mon téton droit. Je me plie un peu.

Tu ne bouges pas chienne.

Pardon Monsieur.

Il recommence à caresser mes seins puis un nouveau coup frappe mon téton. Alors, dans un élan spontané, je m’entends dire :

Merci Monsieur.

Tu aimes petite chienne ?

Oui Monsieur.

Encore ?

Encore Monsieur.

Le plat du bout de la cravache s’abat cinq fois sur chaque téton, coups rapides, vifs qui me lancent une décharge électrique dans les seins. Je gémis comme une petite chienne. Il pose une pince sur mon téton droit, la chaîne pendante, puis une autre sur le téton gauche. Les pinces aux extrémités des chaînes sont à hauteur de mes grandes lèvres et ils les fixent là. J’aime cette morsure sur mes seins, ma vulve, l’acier sur ma peau. J’aime tout, je suis à deux doigts de jouir, déjà…

Il prend la laisse d’une main et m’entraîne jusqu’à la cheminée. Je suis face au miroir.

Pose tes mains écartées sur la cheminée, écarte largement des cuisses et cambre-toi.

Je suis offerte, cambrée. Il doit voir ma vulve humide, mon anus entrouvert ainsi. Je me cambre au maximum pour lui offrir mes trous ; je voudrais tellement qu’il me prenne là, debout. Mais il se place derrière moi, sa main enserre les deux chaînes qui vont de mes tétons à mon sexe et tirent dessus. L’autre caresse mon sexe, titille mon clitoris, le pince. Je jouis d’un coup. La traction sur ma vulve et mes seins, le jeu de ses doigts sur mon clitoris me font littéralement exploser. J’attends cela depuis hier soir. Je pousse un cri de plaisir animal, profond.

Tu as été autorisée à jouir chienne ?

Quoi ?

Ton plaisir dépend de ma volonté. Tu jouis avec mon autorisation.

Pardon Monsieur.

Cambre-toi. Tu vas recevoir le fouet, 25 coups. Tu me remercieras après chaque coup.

Bien Monsieur.

Il s’empare du martinet noir, en cuir. Il me le donne à embrasser, caresse mon dos, mes fesses avec les lanières. Puis il recule un peu, frappe mon dos une première fois. Le coup est violent, il n’y a aucune retenue. Je compte 1, remercie. Le deuxième arrive. Le jeu se poursuit, mais la douleur devient là aussi plaisir. Le dixième coup vient sur ma vulve, le onzième aussi et j’aime cette sensation. Je ne crie pas, je souffle comme s’il me pénétrait. Il s’arrête un temps, caresse mes fesses. Il prend des poids pour les fixer aux chaînes, ce qui accentue l’étirement de mes seins et de mes lèvres. Les poids sont lourds. Je saurais plus tard qu’ils font 500g chacun. Puis il reprend la séance de fouet et je remercie encore. Au 25ème coup, mon dos, mes fesses sont brûlants. J’avais pratiqué déjà un peu de sm avec un petit martinet et des fessées finalement soft. Là, j’ai été fouettée, sans ménagement et c’était bien plus fort, intense, jouissif.

Retourne-toi.

Je lui fais face. Il va s’asseoir dans son fauteuil.

Quelle est la position adéquate pour une chienne ?

A quatre pattes Monsieur.

Alors ?

Je me mets à quatre pattes, mais bien cambrée, les cuisses écartées, bien offerte. Il me fait signe de m’approcher de lui ; je suis totalement dans ce jeu et je prends plaisir à aller vers lui en ondulant des hanches, la bouche ouverte, la langue sortie. J’aime jouer ainsi à la pute, l’actrice porno. Arrivée à lui, il ouvre son pantalon et jaillit une queue épaisse et longue.

Suce.

Je la prends en main, un coup de cravache heurte mon cul.

Sans les mains.

Je prends alors cette tige immense dans ma bouche, les mains posées sur les accoudoirs du fauteuil, la faisant entrer tout entière, en gorge profonde. Je veux être pute, totalement sa pute. Je ne pense pas qu’il s’attendait à autant, à ce don total. Sa verge est dressée, je sens son excitation.

Tu avaleras.

Oui Monsieur.

Il gicle dans la ma bouche et je prends tout, j’avale sa semence dont j’aime l’épaisseur, le goût. J’avale ses flots de sperme qui viennent emplir ma gorge, ma bouche. J’aime tout cela, tout.

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