Je ne me prétends pas une personne dotée d’une expérience sexuelle hors du commun mais je vais vous faire profiter d’une histoire qui m’est arrivée.

Tout commença lorsque j’étais âgé de 23 ans. Je faisais environ 1m65 pour 52 kg. Le moins que l’on puisse dire, c’est que j’avais un physique assez androgyne. En fait, je pense que vu ma paire de fesses et mes jambes, si j’avais eu des seins et étais du sexe opposé, j’en aurais fait bander plus d’un. Bref, toujours est-il que pour mon âge je n’avais pas une vie sexuelle et sentimentale débordante même si j’arrivais à m’en contenter, mais je sentais au plus profond de moi que quelque chose manquait.

Une nuit, ne dormant pas, mon esprit divagua. Je me demandai si j’avais bien fermé la porte d’entrée puis mon esprit vrilla sur le trip de cambrioleurs sont entrés. Je me levai et les surpris. Ils m’attachèrent alors sur une chaise, et puis d’un coup j’étais habillé en fille : j’avais un long chemisier blanc et une petite culotte en dentelle. Et puis là, je me dis que cela aurait été bien si un de ces gars avait pu me prendre de force sur le sol et tout en pensant à tout cela je me mis à bander très très fort.

J’étais très embarrassé devant cet état de fait. Qu’est-ce qu’on allait penser de moi ( même si personne ne lit dans les pensées, on croit toujours que tout le monde peut percer nos pensées les plus intimes) ?

Cependant, même si j’étais honteux de ce qui m’arrivait, je bandais toujours comme un taureau et il fallait bien que je me soulage mais impossible de penser à autre chose , je finis donc par me branler en pensant à cette petite scènette.

Une fois ceci fait, je me dis que cela n’était pas grave et que plus jamais je n’y repenserais. C’était de la foutaise, je me mentais à moi-même. Depuis ce jour, j’y pensais tout le temps et l’idée de me faire prendre comme une femme était devenue mon fantasme numéro 1.

J’imaginais toujours des scènes où j’étais sous l’attention de plein de bites, et lorsque je regardais un film X, je n’enviais plus l’acteur mais l’actrice qui se faisait prendre comme une salope.

Toujours est-il que de fil en aiguille, je me mis à me travestir à l’aide des vêtements de ma sur. Je dois avouer qu’au début, ce n’était pas vraiment terrible mais cela me faisait bander horriblement quand je me trémoussais devant la glace. Cela alla encore plus loin quand je décidai de m’engoder par les instruments que je pouvais trouver. Quelle jouissance !

Je pensais même que par ce procédé, le plaisir était double à celui ressenti habituellement. J’allai même jusqu’à acheter 2 nuisettes de satin ( ma matière préférée ) pour m’amuser encore plus.

C’en était là quand, pendant les vacances d’été, je décidai de m’offrir sur internet ce qui représente pour moi la tenue ultime de "salope", vous savez l’écolière avec la petite jupe plissée, le chemisier blanc et la cravate. Tenue à laquelle j’ajoutai un string, une guêpière à porte-jarretelles et des bas.

Pour l’occasion, je m’étais épilé tout le corps, habillé, maquillé et enfin parfumé. Franchement, pour la première fois de ma vie, j’étais une femme et, honnêtement, il y en a plus d’un qui serait tombé dans le panneau. Je décidai, pour immortaliser ce moment, de prendre des photos et de passer le reste de la soirée vêtu comme ça en me disant « On ne sait jamais si un étalon sonne. L’occasion de se faire sauter serait trop belle pour la rater. ».

Vous imaginez que personne ne vint sonner et que, si cela avait été le cas, je pense que je n’aurais pas osé ouvrir la porte.

Pour passer le temps, je décidai d’aller sur le net. Je l’avoue, sur des sites porno et je tombai par hasard ou pas vraiment sur un site de rencontre où il était possible de définir ses recherches. Je tapai par curiosité « homme cherche travestie » et là, j’obtins pas mal de réponses dans ma région.

Je les regardai, sachant que cela ne m’engageait à rien et une de ces réponses réussit à m’émoustiller : un homme de 35 ans cherchant travestie pour partie torride. J’étais en face de mon fantasme. Je me demandai alors si je devais continuer cette soirée en y répondant ou laisser ce fantasme courir. Je dus rester là, devant mon ordi, pendant près d’une heure à me demander si j’allais envoyer une réponse accompagnée de mes photos.

Je ne savais pas si c’était le fait d’être habillé comme une salope mais j’ai fini par répondre à l’annonce tout en me disant que, de toute façon, je ne serais pas à son goût.

Une heure plus tard, je reçus un mail de l’homme en question qui me dit « Je te trouve très belle. Si tu veux, on peut organiser un truc tous les deux. ».

La réponse eut l’effet d’une bombe : à la fois, j’étais content de plaire en tant que femme mais également très ennuyé pour je ne sais quelle raison.

Voyant qu’au bout de deux heures, je ne lui avais pas répondu, il me renvoya un message. Je finis par lui répondre que son offre était intéressante mais que je ne savais pas si j’étais faite pour ça. Je lui écrivis que j’y réfléchirais.

Il me répondit que si je laissais retomber l’excitation, plus jamais je n’aurais ma chance car j’aurais trop peur de recommencer.

Après avoir réfléchi dix minutes et étant assez d’accord avec lui, je répondis en tremblant que j’étais d’accord. Il me proposa un rendez-vous pour le lendemain. J’avais dit d’accord mais là, le lendemain, ça faisait court dans ma tête. Je lui demandai si on ne pouvait pas repousser et il dit que cela devait se faire vite pour pas que j’aie envie de reculer. Je convins d’un rendez-vous pour le lendemain tout en lui disant de ne me forcer à rien si je voulais faire machine arrière.

Je lui soumis alors mon problème en lui écrivant que je n’allais pas traverser la ville dans cette tenue. Il me répondit qu’il était le gérant d’un petit hôtel et appartement à ***** et qu’il laisserait ouverte pour moi la chambre 23 pour que je me prépare et que je le rejoigne à 19 h dans la chambre 24. Il me dit qu’il me laisserait même la 23 pour toute la nuit pour me reposer après nos ébats. J’acceptai donc le rendez-vous et j’allai me coucher.

Après plusieurs minutes à me tourner et à me retourner dans mon lit, je me rendis à l’évidence : je n’arriverais pas à dormir ainsi excité par ce qui allait se produire le lendemain. Je dus donc me branler pour faire baisser la tension en moi puis je retournai me coucher.

Le lendemain matin, après avoir plus ou moins bien dormi, je ne vous cache pas qu’en me levant j’avais une grosse boule au ventre, bien plus grosse que lors de n’importe lequel examen. À vrai dire, je me traitais d’imbécile d’avoir osé contacter quelqu’un. Je me connectai donc sur le net pour joindre mon rencard et me décommander auprès de lui. Sa réponse ne se fit pas attendre :

« Je savais que tu déciderais de reculer ce matin. Maintenant, c’est ton choix et je le respecte mais je vais cependant te dire une chose. Ce n’est pas une mauvaise chose de vouloir assouvir un fantasme, même si celui-ci semble étrange. Crois-moi : ce que tu pourrais regretter le plus ce n’est pas de l’avoir fait mais de ne pas l’avoir osé. Si l’expérience n’est pas positive, il sera toujours temps de se dire que cette expérience n’est pas fructueuse. »

Après quinze minutes de réflexion, je lui dis que j’étais assez d’accord avec lui et que je serai présente au rendez-vous.

Le reste de la journée fut essentiellement de la préparation. Je me rasai les jambes, les aisselles ainsi que les parties intimes. Puis je préparai ma tenue, le maquillage que j’avais subtilisé à ma sur ainsi que la perruque blonde que je portais lors des photos. Enfin, je partis en voiture jusqu’au lieu de rendez-vous et trouvai en effet la chambre 23 ouverte avec la clé magnétique posée à côté d’un mot :

« Je te laisse te préparer le temps que tu veux. Une fois prête tu me rejoindras chambre 24. Seule règle une fois entrée : tu ne peux plus parler. »

Je commençai par prendre une douche puis m’habillai en super schoolgirl salope, mis du rouge à lèvres rose bonbon et du far à paupière de la même couleur, complétai la coiffure par ma perruque blonde platine et me parfumai. J’étais prête et je ne vous cache pas qu’au moment de sortir du couloir, j’eus vraiment le cur qui battait avec des sentiments qui oscillaient entre peur et excitation.

Je sortis dans le couloir et frappai à la chambre 24. Quelqu’un répondit d’entrer. J’entrai donc et vis un homme d’une trentaine d’années plutôt beau gosse, le torse nu et bien musclé en boxer moulant. Il prit la parole

Eh bien, ma jolie, tu es vraiment superbe. Bon, on ne va pas perdre de temps et tu vas commencer par me sucer la queue. Tiens, prends ça.

Il me tendit un préservatif. Je le pris, un peu abasourdi par tout ce qui se présentait à moi quand j’entendis :

Eh chérie, tu vas pas rester plantée là.

 Il avait déjà tiré son boxer et je vis alors sa grosse bite complètement tendue, bander pour moi. Vous ne pouvez pas savoir quel impact cela eut sur moi. Être jolie au point de faire bander un mec m’a alors totalement libéré. Je m’accroupis, lui passai le préservatif tout en le branlant et je fis ce dont j’avais rêvé pendant longtemps : je me mis à le sucer. Tout d’abord assez doucement, lentement en lui léchant le gland avec la langue, puis j’accélérai la cadence en le pompant pratiquement jusqu’à la garde et, enfin, ce fut lui qui prit les choses en main ou plutôt ma tête en main pour me faire aller plus vite et plus fort à tel point qu’il finit par éjaculer, mais heureusement, dans le préservatif.

Il enleva sa capote et m’en tendit une autre qu’il me demanda de lui mettre. Je lui glissai donc celle-ci sur la queue tout en l’astiquant pour la faire reprendre toute sa vigueur. Il me demanda ensuite de me mettre à quatre pattes sur le lit, souleva ma jupe, écarta mon string et commença à étaler une sorte de crème sur la rondelle. Je dus frémir au seul contact de ses doigs qui s’introduisaient pour étaler ce lubrifiant. Il me dit de ne pas m’inquiéter, que c’était juste un peu d’eau sous forme semi-liquide pour simuler de la mouille. Enfin, le grand moment attendu arriva : il plaça sa queue à l’entrée de mon nouveau sexe et y pénétra doucement mais fermement.

Une fois à l’intérieur, il dut rester sans bouger l’espace d’une minute, le temps que ma croupe se fît à sa puissante verge. Il commença alors lentement à entamer un va-et-vient qui me sembla très agréable car, à cet instant, je me sentais pleinement femme et je le sentais me tripoter allègrement mes petites fesses. Le plaisir était bien présent et je le sentais monter en moi au fur et à mesure que ses coups de boutoir augmentaient en cadence et en intensité. Il posa alors ses mains sur mes hanches et augmenta le rythme encore de plus en plus fort jusqu’à provoquer en moi un véritable orgasme où je dus laisser s’échapper plusieurs cris de jouissance. Il dut poser sa main sur ma bouche pour me faire taire tellement je me laissais aller à crier.

Et vous savez ce qu’il y a de bien avec un vrai partenaire ? C’est que, lui n’ayant pas joui, la fête n’était pas terminée après ce premier orgasme.

Toutefois, il s’extirpa de mon « sexe » et s’assit sur le lit, la queue remontée comme un promontoire. J’allai donc m’empaler dessus face à lui, les jambes autour de lui. La chevauchée reprit alors de plus belle avec toutefois une nouveauté dont je ne pensais ni être capable ni même avoir l’envie. Je l’embrassai à pleine bouche avec la langue qui tourne. Vous allez rire mais en y repensant c’est ce détail qui me paraît le plus étrange dans mon comportement.

Nous baisions alors en accord parfait jusqu’à jouir une deuxième fois exactement au même moment. Nous continuâmes à bouger quelques secondes l’un dans l’autre puis je m’enlevai de sa queue et sortis pour rejoindre ma chambre. Je pris alors une bonne douche puis je partis de l’hôtel pour rejoindre mon appartement.

En définitive, je dirais que cette expérience s’est avérée être un grand succès et que, depuis que cela est arrivé, je ne pense plus qu’à recommencer.

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