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Joan et Sophie – Chapitre 1




— Allô ! Bonjour mon chéri, tu vas bien ?

— Bonjour maman, oui super et toi ?

— Je languis un peu mon amour, voilà bientôt un mois que tu es parti !

— Je languis aussi maman, plus que 5 jours et je suis de nouveau à la maison !

— Je viendrais te chercher à la gare mon chéri, ton train arrive à 17 h !

— Je sais maman mais ne te dérange pas, il y a des bus, tu ne vas pas faire tout ce chemin !

— Bien sur que oui, le grand amour de ma vie, mon fils unique et préféré rentre dun mois en Allemagne chez son correspondant et je nirais pas le chercher à la gare, je serais la plus mauvaise des mamans !

— Tu es la meilleure maman, tu le sais bien, je tadore !

— Raconte-moi un peu ton séjour mon chéri, ça se passe bien ?

— Oui super maman, Hantz est formidable, Ingrid sa maman, est adorable !

— Je suis jalouse, elle ta eu un mois entier et moi juste un coup de fil de temps en temps tu es un méchant !

— Je taime maman, à samedi, je te raconterais tout !

— Je tembrasse mon amour, je ne tiens plus, cest trop long, a bientôt !

Quil lui raconte tout, cela nous étonnerait et pour cause, si elle savait quil passe ses nuits dans le lit dIngrid, avec son copain Hantz, elle ne le verrait sûrement pas dun bon il.

La prude et aimante Sophie, penser un seul instant que son garçon adoré, peut coucher avec une femme de 40 ans qui plus est en présence de son fils et quelle fait aussi lamour avec son propre fils, est inconcevable.

Elle est une maman poule, cest un déchirement de tout instant quand son fils adoré quitte même un jour ou deux la maison, penser quune mère puisse coucher avec son fils lui ferait horreur, si elle venait à en avoir lidée ou à savoir que cela peut se faire.

Les deux correspondants ont été mis en relation car issu du même milieu et de mère célibataire, Hantz 18 ans et Joan du même age, sont correspondant depuis cette année, Sophie est dorigine allemande mais vit en France depuis quelle a son fils, le père de Joan un jeune Africain quelle a connu à la fac la laissé seule, elle était amoureuse et une nuit damour a suffit pour que sa vie soit bouleversée.

Joan est métis mais a une peau très noire, et tous les critères de son géniteur, cest un beau black, à 18 ans il est vraiment un très beau mec.

Hantz est lui aussi un métis, la situation de sa mère est à lidentique de celle de Sophie, sauf quelle ne sait pas qui est le père, un viol collectif dans une soirée étudiante et voilà le souvenir quelle en a gardé, quand on dit viol, ce nétait quand même pas la première fois quelle faisait ce genre de soirée avec plusieurs mecs mais la seule fois où elle navait pas de protection.

Ingrid, femme seule, couche avec son fils depuis déjà quelques années et celui ci, a voulu faire participer son copain aux ébats de ses nuits avec sa mère, elle avait délicatement proposé la chose, elle aime être prise par plusieurs mecs à la fois.

Joan revient chez Sophie, elle lattend à la gare, quel bonheur pour elle, de le voir là, si beau, elle lui saute au cou.

— Mon amour mon chéri, je suis morte de bonheur, laisse moi te regarder, tu as encore grandi dis donc !

— Mais non-mamann, on ne grandit plus à mon age !

— Si ou alors tu as changé, tu me semble plus mur !

Et pour cause, il nest plus puceau et vient de passer un mois de folie dans les bras dIngrid, son copain Hantz vient de lui faire connaître linceste, Joan regarde sa mère comme une possible amante, il va et il veut la conquérir et arriver à ses fins.

Depuis un mois Joan multiplie les attentions, il essaye de voir sa mère nue ou en sous-vêtements mais la discrète et prude Sophie ne se laisse pas voir si facilement.

Il essaye tout, le soir il provoque des situations équivoques, il vient en boxer voir la télé, elle lui en fait le reproche mais il dit avoir trop chaud.

Elle est en admirations devant son corps dathlète, sa peau noire si fine, ses muscles qui jouent sous la peau, son fils est un apollon.

Il narrive à rien, quand quelques fois, il vient contre elle sur le divan, elle va sur le fauteuil, prétextant davoir chaud ou va se coucher.

Ce matin quand il est parti en cours, il lui a fait un léger bisou sur la bouche, elle na rien dit, ce soir il recommencera, si elle ne dit rien, il insistera un peu, il faut quil lembrasse vraiment, il veut sa mère.

Faire lamour Avec Ingrid la rendu fou, cette femme suce et se donne comme une furie, si sa mère en donne autant ce doit être merveilleux.

Du moment quelle le fait avec son fils pour quoi Sophie ne le ferait pas avec le sien ?

Ce quoubli Joan cest que sa mère, même si elle ladore, ne voudra jamais coucher avec lui, tout du moins pas comme Ingrid le fait avec son fils, tout naturellement, comme si cétait nimporte quel homme.

Sophie est dans la cuisine quand il rentre du Lycée, il pose ses affaires et vient la rejoindre, elle est de dos, les mains dans lévier, il la prend par la taille et lui fait un baisé dans le cou, garde ses mains sur ses hanches et se plaque à elle.

Sophie sent lérection de son fils contre ses fesses, elle veut se dégager mais est coincée contre lévier.

— Joan lâche-moi sil te plait, laisse moi faire ma vaisselle !

Il presse un peu plus sa verge contre les fesses rebondis, Sophie sénerve prend un saladier le remplit deau et le verse sur son fils.

— Tu es folle ou quoi, je suis tout trempé !

— Ça te calmera, va prendre une douche froide, si tu recommences à faire ça, je te gifle !

— Faire quoi, on ne peut plus te toucher, tu es en sucre ?

— Joan, depuis que tu es revenu dAllemagne tu es bizarre, tu as des gestes déplacés et me regarde dune drôle de manière, si tu continus ça ne va pas aller, tu sais que je tadore mais il y a des limites, il sest passé quelques chose en Allemagne, jaimerais bien savoir quoi, demain jappelle ton prof !

Joan ne dit rien et regagne sa chambre, Sophie bien quen colère contre son fils, ne peu éviter de penser à lénorme pieu quelle a senti contre ses fesses, depuis le temps quelle na pas eu dhomme, cela la quand même émue.

Le soir ils sont dans le salon, elle regarde un feuilleton, Joan est à coté delle et semble tout penaud.

— Maman, tu nappelleras pas mon prof dit ?

— Joan explique moi ce quil y a, tu me regardes comme si jétais ta copine, ce nest pas normal enfin, que se passe-t-il ?

— Je crois que tu ne vas pas aimer si je te dis mais je vais le faire, je ne veux pas quIngrid est des problèmes à cause de moi, alors promet moi de ne rien dire !

— Je ne te promets rien du tout, garde tes secrets, Ingrid est la maman de Hantz, ne men dit pas plus, jai compris et ne veux rien savoir, Hantz doit venir le mois prochain, je vais annuler, pas de ça chez moi !

— Pourquoi ? Il ny est pour rien !

— Tu me prends vraiment pour une idiote ? Tu as eu des rapports avec sa mère et tu pense que je vais coucher avec toi, tu es fou à lier mon grand, je me doute que si tu as cette idée, cest que ton copain ne te laissait pas seul et tu penses que je vais faire comme sa mère, coucher avec toi et ensuite avec lui aussi peut être !

— Non pas avec lui, enfin si tu veux pourquoi pas, cest super à trois !

  La gifle est magistrale, la tête lui en tourne, la seconde résonne dans sa tête, Sophie se lève et part en pleurant dans sa chambre.

Il met bien 5 minutes à reprendre ses esprits, les deux claques lont sonné, il réalise que sa mère est dans sa chambre et pleure, à cause de lui et de son idée farfelue de coucher avec.

La porte de la chambre est fermée.

— Maman ouvre-moi, je mexcuse, je te demande pardon, laisse moi entrer !

— Laisse-moi, je ne veux plus te parler, tu es ignoble, va dans ta chambre et fiche moi la paix !

Le lendemain matin quand il se lève, Sophie est déjà partie travailler, elle na pas préparé son bol ny son déjeuné, alors que dhabitude, elle prend soin de son amour de fils.

Quand il rentre le soir, elle est au salon et regarde la télé, il veut lembrasser pour dire bonjour mais elle ne répond pas et fait comme sil nétait pas là, cella lui en coûte mais elle ne veut pas en démordre.

La grimasse dure depuis trois jours, ce matin il se lève, il est samedi elle est dans la cuisine, en robe de chambre, des mules aux pieds, elle ne le regarde pas.

— Tu vas faire la tête longtemps ? Je trouverais un studio en ville, je vais partir, comme ça tu seras tranquille !

— Je ne veux pas que tu partes, je ne suis plus fâchée et avec quel argent tu prendras un studio ?

— Jai trouvé du travail après les cours, je commence lundi !

— Comme tu voudras, tu es majeur après tout, si tu veux partir !

— Je ne veux pas partir, si je reste, je vais tennuyer encore car je ne peux pas faire autrement que de te trouver belle et davoir envi de toi et de te regarder comme une femme !

— Tu me trouve belle ? Jai 36 ans 18 de plus que toi, tu voudrais être mon amant, dormir dans mon lit, tu ferais mieux de passer ton bac et de faire attention à tes études !

— Jy pense et si jai mon bac je pars en Allemagne chez Hantz, jirais à la fac la bas au moins Ingrid est moins bloquée que toi !

— Bloqué ? Faire lamour avec son fils cest être débloquée, tu voudrais que je quitte mon peignoir et me prendre là, sur la table peut être, pour que je sois moins bloquée, cest ça ?

— Je nai pas dit ça, tu confonds tout, faire lamour cest pas baiser !

— Je vais faire les courses tu ménerves tien !

Elle va dans sa chambre pour shabiller mais les paroles de son fils sont encore dans sa tête, il veut partir, la laisser seule, cest impossible elle en mourrait, ne plus le voir, le savoir prés delle.

Assise sur son lit, elle réfléchit, elle se lève ouvre le peignoir et se regarde nue dans la glace, elle est belle, ses seins sont fermes et bien ronds, son ventre plat et musclé, ses jambes bien galbées, il la trouve belle, elle le trouve plus que beau, sa peau noire et de ce quelle a senti, monté comme un âne.

Doit-elle faire ce quil demande ? Devenir sa maîtresse, après tout ils vivent seuls depuis des années, qui le saura ? Elle bien sur, qui dautre ?

Elle referme le peignoir va à la cuisine, il est assis à la table, elle ne dit rien sassoit sur ses genoux et lui prend la bouche.

Le baisé est fougueux, il passe sa main dans le peignoir et prend un sein dans sa main.

— Pas là ! Viens dans la chambre, on sera mieux, si on fait lamour, tu partiras quand même ?

— Bien sur que non, je navais pas lintention de partir, te laisser seule, tu ny pense pas !

    Ils sont nus sur le lit, elle le caresse, caresse lénorme verge la peau noire de Joan contre sa peau blanche de rousse, elle lembrasse, lèche le vit et enfonce le gland dans sa bouche, il pose sa bouche sur la vulve juteuse, il y a si longtemps quelle na pas fait lamour, la langue de Joan la fait jouir en quelques secondes.

Il caresse sa poitrine, lui prend la bouche, elle sent la verge noire senfoncer en elle, il lui dilate le vagin, le sexe énorme a du mal à entrer, elle ressent la même chose que la première fois, ce pieu immense qui envahit son ventre, il est au fond de son vagin, il palpite en elle, ressort et senfonce plus fort, plus vite, le corps secoué de spasmes, elle jouit hurle sa jouissance, va au devant du pieu qui la pénètre et lécartèle, elle noue ses jambes autour de lui, il senfonce en elle encore plus, elle le sent grossir, il va jouir, alors elle le serre plus fort, elle veut sentir les jets de sperme dans son ventre.

Elle sent la chaleur des jets, la pression du vit dans son vagin, sa tête tourne, elle divague et sombre quelques secondes dans lévanouissement, quand elle refait surface, il est toujours en elle et continu ses vas et vient, il lui fait encore lamour, il lépuise, son ventre nest que jouissance, jusquau soir il la prend ainsi.

Ils sont nus dans la cuisine, un verre de jus de fruit à la main.

— Tu es merveilleux mon amour, je suis épuisé !

— Tu es merveilleuse, je taime !

— Dis-moi, quand ton copain sera là il faudra être discret !

— Tu naimerais pas essayer à trois, il est aussi bien monté que moi ?

— Je ne sais pas, on verra, pourquoi pas si tu nes pas jaloux !

— Un peu, mais il ma bien laissé faire lamour avec Ingrid et souvent seul, après cest elle qui voulait quon la prenne à deux !

— On verra, tu sais, moi à deux en même temps, je ne sais pas si cest possible il y a un trou ou je nai jamais rien eu dedans, il faudra déjà essayer seul, si je nai pas mal alors on verra !

— On essayera cette nuit si tu veux, tu verras bien si tu aime ou non !

— Avec ce quon a fait toute la journée, tu veux encore cette nuit ? Tu es inépuisable, oui on essayera, tu seras doux je suis vierge de là !

Barbebleue

on peut faire une suite si ça vous plait et rajouter des personnages!

j’ai écrit cette histoire suite à une idée sur un forum, dites moi si cela plait!

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