Nouvelle demeure, nouveaux voisins P 2
Our First New Home
Coulybaca / Vulgus
Le texte de Vulgus étant particulièrement long, j’ai pris la liberté de le couper en plusieurs parties afin d’en faciliter la lecture.
Chapitre 2 :
Lundi : les amis de nos nouveaux amis, premier jour au boulot.
Après notre douche nous avons regagné notre chambre pour enfiler quelques vêtements quand Dave intervint soudain:
— Nous n’avons pas besoin de ces vêtements… Je préfère rester nu ! Et toi ?
J’y réfléchissais une paire de secondes et réalisais que moi aussi je préférai rester nue.
Aussi nous sommes allés dans la cuisine préparer notre petit déjeuner, Dave se chargea du café. Puis nous nous sommes installés dans le patio pour prendre notre petit déjeuner.
Alors que nous déjeunions, je jetais un coup d’oil circulaire sur l’arrière cour repensant à tout ce qui s’était passé la veille.
J’avais un léger sentiment de remords dont je n’identifiais pas la raison.
Profondément enfoui dans mon esprit, je savais que ce que nous avions fait était mal et que de plus cela ne nous ressemblait pas du tout de nous comporter ainsi.
Ce sentiment commençait à peser de plus en, plus fort sur mes épaules alors que la matinée s’avançait.
Anne nous rejoignit vers 10 heures, elle tenait un verre dans chaque main.
C’était le même cocktail que nous avions savouré la veille, elle me tendit un verre et l’autre à Dave nous invitant à les vider.
Je voulais lui dire que je ne buvais jamais d’alcool dans la matinée mais elle se contenta de me sourire et d’ajouter :
— Petite sotte, je suis bien sure que tu vas boire ton verre, tu dois faire tout ce que je veux !
Je savais que je ne voulais vraiment pas boire le verre que j’avais en main, mais je réalisais soudain que je devais lui obéir et le vider.
Je le sirotais et aussitôt les doutes qui m’assaillaient disparurent comme par enchantement, je ne me rappelais même plus les avoir eu.
Anne s’assit et on vint la rejoindre autour de la table. Elle était habillée de pied en cap alors que nous étions entièrement nus, mais quelle qu’en soit la raison cela ne nous perturbait pas.
Une quinzaine de minute plus tard arriva Roy et tendit à Dave une paire de caisses de bière en lui disant de les mettre au frais.
Il nous dit qu’il était si heureux de nous avoir rencontré qu’il avait invité de ses copains à faire notre connaissance.
Ils devaient ne plus tarder à arriver.
Je me levais pour aller m’habiller mais Anne me coupa dans mon élan :
— Où vas-tu ma chérie ?
Je lui disais qu’il fallait que j’enfile des vêtements, mais elle me coupa à nouveau :
— Mais non ma chérie, t’es bien plus belle comme ça ! Les copains de Roy vont beaucoup aimer te voir nue… De plus tu dois te sentir beaucoup plus à ton aise dans cette tenue !
Je m’entendis lui répondre que oui, sans même y penser.
Je retournais à mon siège lorsque m’attira à lui.
Je me suis assise sans hésitation me réjouissant de sentir ses mains comme pétrir mes miches et me doigter la chatoune.
Il extirpa son doigt de ma cramouille, le tendit vers mon visage et s’ex-clama en souriant :
— Dis donc chérie, on dirait que t’es tout à fait prête à te faire à nou-veau baiser, n’est ce pas ?
Je souris en hochant la tête, il introduisit alors son doigt entre mes lèvres et je le nettoyais avec enthousiasme.
Bientôt des étrangers arrivèrent par la porte que Roy avait laissée grande ouverte.
Cela ne me dérangeait nullement, je me mis à leur servir des boissons fraîches, me baladant entre eux, ils me caressaient, m’embrassaient et faisaient ce qu’ils voulaient sans que cela m’offusque !
Je ne sais pas combien d’hommes se tenaient maintenant dans l’arrière cour de la maison, mais plus tard dans l’après-midi il m’apparut qu’elle était pleine.
Anne avait apporté une autre cruche de cocktail, j’en bus à plusieurs reprises avec Dave cet après-midi.
Vers 17 heures Roy me fit allonger sur une couverture qui avait été étendue sur la pelouse.
Je remarquais que deux hommes se tenaient à proximité des caméras vidéos professionnelles en mains pointées sur moi.
Mais cela ne m’effaroucha pas, je n’en tenais pas compte !
Roy me roula un patin puis annonça :
— Regardez la bien les gars, vous allez avoir du mal à le croire!
Puis il me poussa à genoux, ouvris sa braguette je l’aidais à descendre son pantalon sur ses jarrets.
Il ma tapota la tête et ajouta :
— C’est bon, montre à mes copains que t’es une merveilleuse suceuse de bites !
J’étais anxieuse de ne pas me montrer à la hauteur.
Je commençais par embrasser et lécher sa hampe et ses grosses bu-nes puis j’embouchais sa mentule, et l’enfournais en un rien de temps au fin fond de ma gorge, ses poils pubiens râpaient mon menton.
Je lui malaxais lascivement les couilles alors que je faisais coulisser de mon mieux sa grosse bite dans mon gosier accueillant.
J’entendais fleurir les commentaires enthousiastes des assistants alors que je cajolais tendrement la bite de Roy.
Cela ne dura pas aussi longtemps que la veille.
Il jouit assez rapidement en fait, et je me sentais légèrement déçue lors-qu’il cracha un flot de foutre puis retira sa bite mollissante de ma bouche.
Il vit que j’étais dépitée, il me tapota à nouveau la tête me consolant :
— Ne te tracasse pas ma chérie, tous mes amis sont prêts à te combler, tu vas disposer de bien plus de bites que tu aurais pu seulement l’espérer ! Es-tu prête à y goûter ?
Pour quelque raison que ce fut j’en voulais plus !
Je secouais la tête avec impatience, Roy s’avança alors vers moi.
C’est alors que tout a démarré, cela commença vers 17 heures et jusque 2 heures du matin des bites inconnues visitèrent constamment mes orifices.
Quelque fois un seul me prenait, parfois deux simultanément.
Généralement les hommes qui me baisaient en bouche déversaient des flots de foutre dans ma gorge, mais quelques-uns uns extirpèrent leurs bites de mes lèvres et m’aspergèrent le visage !
Lorsqu’ils faisaient cela, Dave se présentait pour me nettoyer le visage avec sa langue !
Lorsque deux ou trois hommes s’étaient vidés les couilles dans ma foufoune, je devais m’étendre sur le dos et à nouveau Dave me nettoyait la chatte suçant, léchant, aspirant le jus qui dégorgeait de ma cramouille inondée, ou parfois c’est lui qui s’étendait sur le dos et je devais enjamber son visage pour qu’il puisse curer ma chatoune en profondeur.
Au milieu de la nuit, tandis que je suçais avidement une énorme bite quelqu’un inséra un doigt dans mon anus.
Son doigt était enduit d’une pommade très fraîche il pénétra aisément mon oillet ridelé, je ne pensais même pas à leur crier d’arrêter… Je ne sais pas pourquoi… Je n’avais jamais permis à Dave de voir mon trou du cul, encore moins de le toucher !
Les spectateurs regardaient attentivement cet homme introduire un, puis deux, et finalement trois doigts dans mon anus m’évasant imparablement le goulot !
Puis il retira ses doigts et je sentis la masse mafflue de son gland presser mon anus.
Cela me faisait atrocement mal, mais je n’essayais pas pour autant d’échapper aux mains de mon enculeur.
Je continuais de me concentrer sur la mentule que j’avais en bouche alors que l’homme dans mon dos ma cassait le trou du cul à la grande joie des spectateurs enthousiastes.
Puis ils semblèrent se partager entre ma chatte et mon trou du cul, à l’exception des moments où ils me prenaient en sandwich.
La première fois, j’enfourchais un gros chibre et l’accueillais bien au chaud dans ma cramouille, tandis qu’un musculeux gaillard noir, que je remarquais pour la première fois, me tirait contre son buste et me tenait fermement serrée contre lui tandis qu’un troisième s’agenouillait entre mes jambes et forait son trou dans mon anus resserré.
Je hurlais de douleur mais pour me faire taire quelqu’un choisit cet instant pour se vider les couilles dans ma gorge, cela arriva à plusieurs reprises au cours de la nuit, je ne saurai dire combien de fois !
La chose qui me restait en tête c’est que Dave, encore et toujours, me nettoyait la chatte et le trou du cul d’une langue agile, je ne me demandais même pas pourquoi il faisait cela, il avait l’air égaré, on aurait dit qu’il n’était pas là.
Mais j’étais bien trop occupée pour lui prêter une attention soutenue.
Après une bonne heure, Anne, s’approcha des verres de son délicieux cocktail en main que je dégustais de concert avec Dave avant de retourner à mes luxurieuses activités !
Ils m’abandonnèrent sur le coup de deux heures je me relevais douloureusement.
Je m’approchais de Roy et Anne assis dans le patio.
Je ne posais aucune question à la vue de Dave agenouillé suçant la bite de Roy, avalant sa bite à pleine gorge.
Je le fixais un bon moment, c’est alors qu’Anne me fit signe de m’age-nouiller entre ses cuisses.
J’allais me mettre à genoux sur le ciment lorsqu’elle coupa mon élan m’envoyant du bout du pied un coussin.
Je m’agenouillais donc et elle remonta sa jupe, je lui butinais la chatoune pendant un long moment, elle succomba à plusieurs orgasmes consécutifs.
J’entendis Roy jouir dans la bouche de Dave, ils nous permirent ensuite de nous reposer quelques instants.
Mais rapidement je dus satisfaire les deux mecs qui avaient filmé toute la soirée avant leur départ.
Dave s’assit passivement alors que l’on me couchait sur le dos sur la couverture, ils m’enculèrent chacun à leur tour.
Lorsque le premier en termina, je nettoyais sa bite d’une langue habile puis ce fut au tour du second, je pus alors savourer un nouveau verre de leur délicieux cocktail.
J’étais éreintée, dans des circonstances normales j’aurai pris une douche avant de me coucher, mais rien n’était normal dans ce qui nous arrivait !
Nous le réalisions à peine.
Roy et Anne finirent par se lever, ils nous intimèrent alors de nettoyer l’arrière cour avant d’aler nous coucher, puis ils partirent chez eux.
Nous nous sommes levés et avons jeté un coup d’oil périphérique, l’arrière corps était dans un bordel défiant toute imagination. De nombreuses bouteilles de bières jonchaient le sol ainsi que des boites à pizza.
Il me frappa soudain que nous n’avions rien mangé depuis notre petit déjeuner, mais avec les doses de foutre que nous avions avalé tous deux, nous devions avoir l’estomac plein !
Peut-être bien que c’est pour cela que je n’avais pas faim !
Je rassemblais les emballages vides alors que Dave gagnait le garage pour aller y chercher des sacs à poubelle vides.
Cela nous prit une bonne heure pour nettoyer la cour, nous nous sommes alors autorisés à aller au lit.
Je ne sais pas si c’est à cause de la fatigue, ou parce qu’Anne ne nous l’avait pas dit, mais nous n’avons pas pris de douche avant de gagner notre grand lit.
Nous nous sommes lovés l’un contre l’autre nous réfugiant dans les bras de Morphée !
Lorsque le réveil sonna 3 heures plus tard, nous nous sommes éveillés péniblement.
Tout mon corps était endolori.
Mes nichons étaient couverts de bleus, mes cuisses aussi.
La douleur émanant de mon trou du cul et de ma chatoune retint toute mon attention. J’avais envie de me faire porter pâle.
Je pris une douche espérant que cela calmerait mes douleurs, mais il n’en fut rien.
Je gagnais le salon et tendais la main pour me saisir du téléphone lors-que je vis un message épinglé juste au-dessus.
Je le saisis et réalisais tout de suite qu’il s’agissait d’un message d’Anne.
C’était court et gentil, elle nous disait :
— Dave et Donna nous avons passé une merveilleuse soirée avec vous, c’était vraiment super. On vous attend ce soir après souper, on a quelque chose à vous montrer.
A partir de cet instant, le port de sous-vêtements vous est absolu-ment interdit à l’un comme à l’autre, de plus Donna nous voulons que tu portes des tenues extrêmement sexy. On t’interdit de te faire porter pâle à ton boulot, tendrement… Anne.
Je tendis le message à Dave alors qu’il s’habillait.
Nous nous sommes regardés un bon moment puis il se dévêtit et enleva ses sous-vêtements.
Quoi qu’il en soit nous devions obéir à ce dictat, comme nous noues étions soumis à toutes leurs volontés pendant ce week-end qui nous avait vu évoluer entièrement nus.
Nous étions parfaitement conscients de nos actions même si cela ne nous ressemblait pas du tout d’agir ainsi.
Nous étions très gênés mais nous devions obéir.
Quoique nos voisins veuillent nous faire faire, nous devions obtempérer, leur emprise était telle que nous nous sommes habillés comme indiqués, puis nous sommes partis travailler après avoir pris un rapide déjeuner constitué de céréales.
Je ne peux que m’imaginer le type de journée que subit Dave, la mienne avait été parfaitement haïssable.
Tout d’abord j’étais vêtue de façon bien plus provocante que d’ordinaire, lorsque je m’assis à mon bureau cherchant à expédier mon travail, les événements de ce week-end flashaient dans mon esprit, j’étais déchirée entre totale humiliation et folle excitation.
Mais, vers la fin de la journée de travail, et quel que ce soit ce qui main-tenant une telle emprise sur mon esprit, je me sentais de plus en plus honteuse et de moins en moins excitée.
Vers 15 heures je me rendis aux toilettes, m’enfermais dans une cabine et pleurais toutes les larmes de mon corps pendant quelques minutes avant de reprendre difficilement mes esprits et mon self-control.
Je séchais alors mes yeux, gagnais l’évier me rafraîchissais le visage et me remaquillais.
Je retournais à mon travail le temps de recevoir un appel de mon super-viseur me convoquant dans son bureau.
Je me levais et gagnais le coin de la pièce ou se tenaient les bureaux des superviseurs.
Celui de monsieur Jefferson était tout au coin, deux grandes baies vitrés donnaient su la salle ce qui lui permettait de nous surveiller facilement.
Je frappais à sa porte, il me dit d’entrer et de m’asseoir.
Il se leva et ferma les stores de ses fenêtres, verrouilla sa porte puis re-vint à son bureau et s’assit face à moi.
— Donna, je n’ai pu m’empêcher de remarquer que vous avez totale-ment fait du code de vêture en usage dans notre établissement ! Levez-vous je vous prie !
Je me levais appréhendant déjà la suite, je regardais mes mains cris-pées devant moi.
— Je vous prie de m’excuser monsieur Jefferson, je ne sais vraiment pas à quoi je pensais ce matin ! Soupirais-je misérablement.
J’étais très gênée d’être appelée dans son bureau, dans la tenue que je portais, j’étais très humiliée d’autant plus que je craignais énormément cet homme que je méprisais par ailleurs.
Il continua à me toiser des pieds à la tête puis il ajouta :
— Vous portez un chemisier quasiment transparent, une mini-jupe et pas de soutien-gorge ! Vous n’avez pas mis de collants, qu’avez vous encore oublié d’enfiler Donna ?
Je ne sais pas pourquoi, mais je me sentais obligée de lui répondre.
— Je ne porte aucun sous-vêtement monsieur Jefferson, je suis désolée !
Il me regarda fixement pendant quelques instants, puis il tendit lente-ment la main, attrapa l’ourlet de ma jupe qu’il retroussa lentement dévoilant en entier mon bas-ventre.
Je me tenais debout devant lui passive, je le laissais faire sans un mot de protestation.
Il coinça le bas de ma jupe dans la ceinture et sa main glissa sur mon ventre vers mon mont chauve.
Il me reluquait de la chatoune aux yeux, alors qu’il glissait un des ses doigts entre mes babines.
— Belle petite chatte rasée… Constata-t-il hilare.
— Fermée, douce, soyeuse… On dirait une petite fille… Mais que sont ces nombreuses contusions sur vos cuisses ?
Je ne savais pas quoi lui dire, finalement je me décidais :
— Nous avons organisé une petite fête la nuit dernière et cette soirée a dégénéré !
— C’est ce que je vois ! S’esclaffa-t-il vicieusement.
Alors que son doigt coulissait lentement dans ma chatoune inondée de cyprine, il m’ordonna de déboutonner mon corsage.
J’aurai voulu désespérément pouvoir tourner les talons et fuir son bureau !
Mais je fis ce qu’il m’ordonnait, je déboutonnais mon corsage laissant pendre les pans.
Son autre main se posa sur mon épaule et glissa sur mon bras alors qu’il inspectait mes nichons.
— Magnifique ! S’exclama-t-il
— Magnifique mais quelque peu meurtri ! Je ne pensais pas avoir dé-jà vu une chatoune aussi couvertes de bleus ! Drôle de fête ! Combien d’hommes t’ont sautée ?
— Je ne sais pas… Avouais-je misérablement.
Je me mis à pleurer. Je ne comprenais pas pourquoi je me laissais tripo-ter ainsi.
De toutes les fibres de mon être j’aspirais à tourner les talons pour m’en-fuir en hurlant de son bureau.
— Ta pauvre petite minette est-elle douloureuse ? M’interrogea-t-il feignant de se montrer pitoyable.
Je hochais affirmativement la tête, alors que la journée avançait j’étais de plus en plus consciente de souffrir de tout mon corps.
— Bon dans ce cas je ne vais pas te baiser la chatoune aujourd’hui, à la place tu vas me tailler une bonne pipe !
Il se leva et déboutonna sa braguette laissant tomber son pantalon sur ses genoux, puis il se pencha en arrière sur le bureau.
Je fixais craintivement la porte qui était fermée mais non verrouillée, mais je suppose que ce n’était pas un problème.
Je me laissais tomber à genoux et pris sa bite bandée en bouche et commençais à le branler consciencieusement.
Visiblement il raffolait des caresses de mes lèvres sur sa hampe, il gémissait sourdement alors que le suçais habilement comme j’avais appris à le faire ce week-end.
Il jouit si rapidement que je ne m’y attendais pas et j’étouffais presque en réceptionnant son foutre au fond de ma gorge.
Il me tenait fermement la tête contre son ventre me disant :
— Continue salope !
Je lui obéis servilement, cela prit plus longtemps cette seconde fois mais ce ne fut cependant pas très long avant qu’il me remplisse de nouveau la bouche de foutre.
Finalement il me remit sur pied et me tourna autour levant le dos de ma jupette pour inspecter mon cul.
— Merveilleux ! S’écria-t-il ravi.
— Dorénavant tu t’habilleras toujours comme aujourd’hui ! Et maintenant sors de mon bureau et rentre chez toi !
Je jetais un oeil sur l’horloge au mur, cela faisait 5 minutes que je devrais être sortie, tout le monde devait avoir quitté les lieux.
Je réajustais ma jupe, refermais mon chemisier et le reboutonnais et gagnais mon bureau pour y reprendre mon sac à main.
Puis hébétée, je regagnais ma voiture.
Je rentrai à la maison comme dans un nuage, bientôt je me retrouvais garée dans l’allée de notre garage, je ne me rappelais absolument pas comment j’étais rentrée.
Je pénétrais dans notre nouvelle demeure et me rendais dans notre chambre, je me déshabillais prestement et pris une douche.
Puis je m’effondrais sur le lit et pleurais toutes les larmes de mon corps.
Finalement je repris mes esprits enfilais une tenue d’intérieure et gagnais la cuisine pour préparer le souper.
A moins qu’il ne m’appelle pour me prévenir qu’il serait en retard, j’atten-dais Dave pour 17 heures 30.
Lorsqu’il arriva le souper était prêt, il vint dans la cuisine et me serra dans ses bras me demandant :
— Par le diable que nous arrive t-il ?
Je me blottis contre sa poitrine et me mis à pleurer en lui répondant :
— Je ne sais pas, Roy et Anne nous ont fait quelque chose, ils nous ont drogués ou quelque chose de ce genre… Oh mon dieu Dave ça a été épouvantable… Toute la journée fut épouvantable !
Je ne me rappelais de tout ce qui m’était arrivé dans la journée mais je me rappelais ce sentiment d’humiliation et de honte que j’avais éprouvé à longueur de temps.
Je me rappelais soudain que Roy et Anne nous attendaient après dîner, il fallait y aller. Je ne sais pas pourquoi, mais nous devions obéir.
Dave me serra bien fort et ajouta :
— Je sais ma chérie, je ressens la même chose ! Je sais ce que tu entends en disant te rappeler de certaines choses, toute la journée je me suis remémoré les choses que nous avions subies la nuit dernière, c’était l’enfer, tout le week-end !
— Toute la journée j’ai eu des nausées, j’avais envie de rentrer à la maison, mais je me souvenais du message de ce matin et que je me devais d’obéir, mais le brouillard qui m’avait envahi l’esprit s’ef-face peu à peu, quoi qu’il soit… Nous devons juste faire bien atten-tion de ne pas manger ni boire n’importe quoi chez eux ce soir !
J’opinais de la tête et servais le souper.
Nous avons mangé lentement, nous étions tous deux anxieux à l’idée de rejoindre nos "amis" !
Après souper, je nettoyais la table et faisais la petite vaisselle alors que Dave enfilait une tenue du soir, puis nous sommes allés frapper à la porte voisine.
18 février 2008
Coulybaca ([email protected])
Avec l’aimable autorisation de l’auteur :
Vulgus