Un hétéro séduit (4).
Un jour Ivan mannonça quil partirait en vacances pendant 15 jours, à le fin de lété, en compagnie de mon fils Paul, son colocataire et son amant. Ils devaient se rendre en Grèce, dans une île réservée aux naturistes gay.
Bien que partageant la couche dIvan avec mon fils cadet, à linsu de celui-ci, je sentis monter en moi un sentiment de jalousie. Je lexprimais à mon ami, qui tenta de me calmer et finit par me faire changer didée en entreprenant de me dévêtir et de me faire lamour.
Par la suite, ayant obtenu des détails sur ce lieu de vacances, je décidais de my rendre également, en partant 8 jours avant eux, pour les y attendre et tenter de revoir Ivan au cours de ce séjour. Je retenais un bungalow pour une personne seule, à lécart de celui quils avaient choisi. Fin août jarrivais sur lîle et prenait possession des lieux. Curieuse impression darrivée. ! Que des hommes, de tout âge, mais surtout des jeunes, tous absolument nus. Jeus du mal à me défaire de mes vêtements, mais une fois le slip de bain ôté, je me sentis bien et pris plaisir à mexhiber ainsi devant tous ces regards curieux. Mais en dehors de mes voisins de table au restaurant, un couple dans la quarantaine et un jeune homme da peine 20 ans, mince et imberbe, prénommé Fred, je ne me liais avec personne.
Le 1er septembre, jassistais de loin à larrivée des nouveaux estivants, parmi lesquels japerçu Paul et Ivan, tendrement enlacés. Le soir, au dîner, joccupais une table avec mes compagnons habituels. Je vis entrer mon fils et mon amant, se tenant par la main. Pour la première fois depuis de très nombreuses années, je voyais mon fils Paul à poil. Un beau mâle assurément. Grand, épaules larges, bassin étroit, fesses rebondies, jambes fermes et bien dessinées, la peau très blanche, les cheveux bruns coupés court, une toison noire entre les seins et au pubis et surtout une bite longue et épaisse, au prépuce allongé, pendant sur des bourses poilues et lourdes. Si ce navait été mon fils, je laurais désiré à cet instant. A côté de lui Ivan, mince et élancé, blond et à lépiderme couleur de miel, semblait bien plus jeune, alors quils avaient le même âge. Rien que de le voir ainsi, jeus une splendide érection qui étonna le couple voisin et fit violemment rougir le jeune Fred assis à mon côté, dont la sa bite se mit à frémir.
Les deux jours suivants, toujours à distance, jobservais Paul et Ivan qui semblaient mener une existence consacrée aux bains, à la danse et à lamour. Tous les soirs il y avait bal en plein air et je les voyais avec amertume et envie danser collés lun contre lautre, sexe contre sexe, bouche contre bouche, les mains baladeuses à hauteur des reins et des fesses. Le troisième soir, alors que mon fils sétait éloigné, je me suis jeté à leau et jai invité Ivan à danser. Surpris de ma présence, sans réaction, il sest laissé conduire sur la piste, au milieu des danseurs et je lai étreint. Je bandais, lui aussi. Au bout dun moment je lui ai glissé à loreille : « viens me rejoindre ce soir, je tattendrai. Mon bungalow est le numéro 36. Je suis seul ». Puis, pour ne pas être vu de mon fils, je le laissais là, pour une fois muet détonnement.
Je lai attendu longtemps, étendu sur une chaise longue, sur la terrasse de mon gîte, me caressant le sexe en regardant les étoiles. Peu après 1h, je lai aperçu dans lombre, silhouette blanche à la lueur de la lune, avançant dun pas souple et rapide. Je me dressais et me jetais dans ses bras, humant cette odeur de mâle en sueur et mimprégnant de sa chaleur. « Jai peu de temps » me dit-il, « allons dans ta chambre et baise moi ». Surpris de cette hâte, mais le pénis déjà dressé et le ventre en feu, je lentraînais à lintérieur, sans poser de question. « Prends moi en levrette » me supplia-t-il en se mettant en position sur mon lit, à quatre pattes, le cul dressé. « Que se passe-t-il ? » murmurais-je tout en lui caressant les fesses duveteuses. « Je viens de faire lamour avec Paul. Il ma possédé comme une brute, à trois reprises et je veux maintenant que ce soit toi qui me prenne ».
Excité par cette demande et dapprendre que mon fils lavait possédé peu auparavant, jeus une montée dadrénaline Je me plaçais entre ses jambes, écartant celles-ci avec les miennes et je le pénétrais dun seul coup de rein, sans effort, ma verge glissant dans son rectum encore lubrifié par la semence de Paul, mes bourses contractées venant heurter ses fesses, mon gland butant sur sa prostate. Je sentais son sphincter se resserrer par à-coups sur mon membre gonflé au maximum et je commençais un mouvement de va et vient, dabord lent, puis de plus en plus rapide. Ma poitrine collée à son dos, ma bouche sur son cou, jempoignais son membre viril de mes deux mains, lui triturant les couilles et masturbant sa colonne de chair palpitante. Je sentais la sève monter en moi et en lui. Je ne fis rien pour me retenir ou ralentir le mouvement de mes mains. Nous avons éjaculé en même temps dans un râle de plaisir. Jinondais son cul et lui men mettais plein les doigts.
Pris dune sorte de folie, je me mis alors à lécher ceux-ci pour absorber tout son jus, puis, me penchant, je suçais le liquide suintant de son illet, mélange de ma semence et de celle de mon fils. En avalant ces sirops ainsi unis dans ma bouche, jai senti mon sexe reprendre de la vigueur, prêt à de nouvelles prouesses. Toujours aussi excité, jai planté une seconde fois, profondément et avec violence, mon vit dans le rectum de mon partenaire. Ainsi embroché, Ivan sest mis en mouvement, me malaxant le membre viril avec son cul, jusquà me faire exploser une nouvelle fois. Je me vidais de tout mon jus et meffondrais sur mon amant, haletant, mais comblé.
Ivan repartit rapidement, comme il était venu, car il avait laissé Paul endormi et voulait rentrer avant quil ne saperçoive de son escapade. Je restais seul sur mon lit, à rêver du corps dIvan enlace à celui de Paul et fantasmant à lidée de les rejoindre dans leurs ébats, comme partenaire actif ou passif. Un fantasme, hélas irréalisable !
Nous nous sommes revus, Ivan et moi, à plusieurs reprises au cours de la semaine, soit de nuit pour des étreintes hâtives mais passionnées, soit en journée, sur une plage éloignée, lorsque mon fils faisait de la plongée ou du ski nautique. Nous prenions alors notre temps, couchés sur nos serviettes de bain, sous les regards allumés dautres nudistes gay de passage. Cela ne me gênait plus dêtre vu en pleine action, au contraire cela intensifiait mon plaisir. Je me découvrais exhibitionniste, moi qui en arrivant avais eu du mal à me défaire de mon dernier vêtement. Après lamour, nous prenions un bon bain de mer, puis nous promenions le long de la berge, main dans la main, épaule contre épaule ou encore enlacés tendrement.
Mais jen avais assez de jouer à cache-cache avec Paul et de ces moments trop courts de baise avec Ivan. Aussi, à la fin de la semaine, je décidais de me manifester, de faire mon « coming-out » en quelque sorte. Profitant de la soirée dansante, jinvitais le jeune Fred pour un slow langoureux. Rougissant comme une jeune vierge, il se glissait contre moi, tout frémissant et son sexe se lovait contre le mien. Je le conduisais au milieu de la piste, cherchant des yeux Ivan et Paul. Les apercevant, bien collés lun à lautre dans un balancement très érotique, jévoluais pour me rapprocher deux, jusquà les frôler. Je vis soudain le visage stupéfait de Paul, qui me regardait fixement et sarrêtait brutalement au milieu dun pas.
Je mexclamais, faisant mine de le découvrir : « ça alors, Paul que fais-tu là ? Et nest-ce pas ton colocataire avec toi ? ». Très à laise malgré ma nudité intégrale et mon pénis dressé, je faisais les présentations comme si nous étions à lentrée dun salon. Paul était muet détonnement et de gène, évitant de regarder mon sexe. Ivan jouait les innocents, répondant brièvement à mes questions et inspectant avec attention le corps dadolescent de Fred. Je les emmenais au bar, prendre un remontant et peu à peu mon fils se dégela. « Ce jeune mec, cest ton ami ? » me demanda-t-il enfin. Serrant Fred par les hanches, je lui répondis affirmativement. Cela déclencha chez Fred, devenu écarlate, un début dérection, quil chercha à dissimuler de ses mains. Mais Paul lavait vu et le détaillait à son tour, visiblement attiré par ce corps dadolescent prolongé. Rejetant mes dernières réserves face au tabou de linceste, dans cette ambiance de plus en plus érotique et libérée, je les invitais tous dans mon bungalow, pour déguster un bon gin de ma réserve personnelle.
Nous nous sommes assis sur lunique lit, moi serré entre Ivan et Paul, Fred à côté de ce dernier. Ivan se mit à raconter sa semaine avec Paul en termes crus et très vite nous bandions tous les quatre. Lalcool faisant tomber nos dernières résistances, nos mains se mirent en branle. Ivan me caressait la poitrine, je palpais sa cuisse gauche de ma main droite et de la gauche jeffleurais la cuisse droite de mon fils, tandis que ce dernier masturbait doucement la verge de Fred. Je pris soudain linitiative et, me penchant vers ma gauche, je pris le vit de Paul en bouche. Il sest rétracté un instant, instinctivement, puis comme jinsistais, il sest laissé faire et sest mis à embrasser le jeune Fred, tout en poursuivant sa masturbation. Ivan, comme je lespérais, sest alors intéressé à mon cul tendu vers lui. La partouze à quatre était bien partie.
Ce fut dabord la fête de Fred. Ce puceau fut défloré par Paul, puis possédé par Ivan et moi et il en redemandait le bougre ! Pris par Ivan, je le fus ensuite par un Paul déchaîné que je ne reconnaissais plus. Enfin complètement libéré, je le pris à mon tour avec beaucoup de tendresse, puis je fis une fellation à Fred, sa première. Ce dernier, qui se révélait un pur passif, se fit ensuite sucer par Paul et Ivan. Il était chaud ce jeune mec ! Il voulut à son tour nous sucer tous les trois et parvint à réunir nos bites bien gonflées dans sa bouche, pour une fellation groupée. Après un long moment de plaisir intense, nous avons éjaculé de concert dans cette bouche avide, linondant de sperme, au point quil failli sen étouffer. Tard dans la nuit, nous avons sombré dans le sommeil, Ivan et Paul enlacés sur le tapis, Fred et moi collés lun à lautre sur mon lit.
Nous ne nous sommes plus quittés de la semaine, partageant la même table au restaurant, animant les soirées dansantes de nos excentricités et passant nos nuits à délirer dans la chambre de lun ou lautre ou sur la plage. Nous faisions des envieux et nous étions très observés, mais nous nen avions cure, profitant à fond de notre totale liberté, à poils dans la nature et parmi les hommes. A notre départ, nous avons laissé un Fred transformé, en promettant de le revoir à loccasion dautres vacances
Depuis notre retour, Paul, Ivan et moi formons un trio inséparable, même si parfois Paul et moi continuons à avoir des aventures féminines. Jusquici, ces dernières nont pas eu de suite. Ivan en profite pour retourner sur internet à la recherche de nouvelles rencontres, disposé à nous les faire connaître.. Mon fils aîné, qui vit avec une jeune femme depuis plusieurs années et est déjà père dun enfant, reste en dehors de tout cela. Nous gardons soigneusement notre précieux secret.
Patrocle
