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Les tourments de Julie et Carine – Chapitre 8




La soirée.

David regarde Julie. Il la trouve très bien ainsi. Julie est assise au milieu de la pièce, bien en vue. Elle a les bras attachés dans le dos. La tête maintenue droite par un collier en métal qui prend toute la largeur de son cou. Les jambes sont écartées de chaque côté de la chaise. La chaise a une grande ouverture devant. Cela permet de voir le plug qui monte et descend dans sa chatte. C’est un plug d’une belle dimension qui écarte bien ses lèvres et la remplie complètement. Ses petits seins sont décorés avec deux clochettes accrochées à ses tétons. David a la télécommande et il peut faire varier la vitesse du plug comme bon lui semble.

Carine est auprès de David. Elle a un bâillon-boule. Deux pinces sont mises sur les tétons. Une chaîne part de la pince du téton gauche, descend jusqu’à sa chatte, rentre à l’intérieur et ressort pour remonter à la pince du téton droit. Elle a pour unique vêtement, des sandales avec des talons de 15 cm. En faisant attention, on peut voir sa chatte distendue

Christian est assis dans la balançoire tunisienne. Cela fait un moment qu’il est arrivé. Sa femme, Maude est dans la cuisine et prépare le dîner. Christian adore mater et il n’est jamais déçu par David.

David dit à Christian :

— C’est elle qui a sucé ton fils en montrant Carine. Elle n’est pas mal, non ?

— Oui très mignonne.

Carine a envie de rire en repensant à la discussion d’hier soir. Heureusement le bâillon-boule l’en empêche. Christian la regarde, met une main sur les fesses, de petites claques et regarde Carine

— Je suis sur que tu es une bonne suceuse.

A ce moment, les deux autres couples arrivent. Paul et Marie , un couple de fermiers, Jeff et Dominique, un couple de parisiens, venu élevé des moutons dans le Larzac. Ils regardent le spectacle qui s’offre à eux. Ils détaillent les deux filles, disent bonjour.

Marie dit à David :

— Tu nous as gâtés. On a un superbe spectacle.

— Ne t’en fait pas Marie. Toi et Dominique, je ne vous ai pas oublié.

Il fait un geste pour qu’ils viennent s’installer dans le salon. Quatre sièges les attendent. Deux ont un superbe gode fixé en plein milieu.

— En effet, tu ne nous as pas oubliés. En plus, ils sont déjà lubrifiés. Tu penses à tout.

Elle est en jupe évasée. Elle s’installe. Elle positionne le gode et commence à s’enfoncer doucement.

— Ouah, il est large dis donc. Je suis obligée de m’y reprendre en plusieurs fois, pourtant j’ai l’habitude des grosses bites.

Un  soupir de satisfaction. Elle est assise.

Dominique s’approche.

— Ils sont vraiment gros cette fois. David. Je t’avais dit des gros mais je ne pensais pas comme ça. J’enlève ma jupe, de toute façon, je sais que je finirais à poil.

Une fois sa jupe enlevée, elle s’approche du siège, écarte les jambes et présente le gode Elle le tient de la main droite et elle commence à descendre

— Ho, putain, qu’est-ce qu’il est gros. Heureusement que tu l’as lubrifié.

Après plusieurs va et vient, elle pose ses fesses sur le siège.

— j’ai l’impression d’être complètement remplie.

David ordonne à Carine de servir l’apéritif. C’est champagne pour tout le monde. Il va vers Julie et l’approche des invités. Sa chaise est à roulette ce qui permet de la bouger comme on veut. Il prend la télécommande et accélère le va et vient. Un  soupir s’échappe de la bouche de Julie. Carine passe difficilement d’un invité à ’autre. Elle n’a pas l’habitude d’avoir des chaussures avec de tels talons et, elle aussi, est bien remplie. De temps en temps on entend des éclats de voix venant de la cuisine. Christian sourit et dit :

— C’est Maude , elle s’occupe de la troisième.

— Si tu le dis, répond David.

Levons nos verres à cette soirée qui s’annonce très inintéressante.

Ils prennent leurs verres. Jeff bande, une bosse déforme à son pantalon.

— Dis donc , Marie, tu as dit que t’avais l’habitude d’avoir de grosses bites. Je connais celle de ton mari, elle n’est pas si grosse, dit Dominique en riant.

— Tu sais, il n’y a pas que mon mari à la ferme et, moi, je n’élève pas des chèvres  répond Marie

Un grand éclat de voix provient de la cuisine. La porte s’ouvre en grand. On peut voir Eva, rouge de colère, un pic à cochon à la main. C’est une espèce de fourche à deux doigts métalliques et quand on le met sur la peau du cochon, cela envoie une décharge électrique. Il n’y a aucun danger, c’est comme une clôture électrique.

— Allez, grosse vache, avance que tout le monde puisse voir ton gros cul et tes grosses mamelles.

Maude sort de la cuisine, a quatre pattes, entièrement nue

— Plus vite, grosse vache

Eva lui met un coup de pic sur les fesses. Maude pousse un petit cri et avance plus vite.

— Je suppose que vous connaissez cette grosse salope? Elle pensait qu’elle allait me dominer, cette truie. Regardez ce que j’en ai fait? Tournes-toi pour faire voir ton gros cul de vache à tout le monde et écarte tes fesses, ainsi tes amis pourront constater que tu n’es qu’une grosse chienne en chaleur. Et quel gros cul elle a ? Cela va être un plaisir de le rendre cramoisi. Allez, va chercher les amuse-gueules, nos invités attendent.

— Oui, maîtresse.

Eva regarde l’assemblée.

— Vous faites une jolie bande de dévergondée. Regardez-moi ces deux-là, Marie et Dominique,  empalées sur un gode.

Elle s’approche de Marie, se met derrière elle, lui relève sa jupe, se penche et caresse le haut du pubis.

— C’est meilleur que la bite d’un âne, il paraît que tu aimes cela

Elle va vers Dominique.

— Hum, déjà plus de jupe. Regardez-moi cette chatte toute remplie. Tu en voulais une grosse paraît-il, tu es servie.

Elle regarde Christian, Paul et Jeff

— Mais, c’est qu’ils bandent ces trois-là. Regardez-moi ça?

Elle marche tel un félin,  tantôt chatte, tantôt tigresse, s’approche de Christian, lui susurre à l’oreille :

— Doucement, Christian. Tu sais qu’il ne faut pas que tu te précipites.

Elle glisse plus qu’elle ne marche vers Jeff

— Je suis sûre que ta femme apprécie ta grosse queue. Il paraît que tu sais bien t’en servir

Elle passe à Paul, met la main sur la bosse du pantalon

— Elle est insatiable Marie et toi, Paul, tu dois assurer. Heureusement que Martin, l’âne, est là pour t’aider.

Elle regarde l’assistance

— Oui, la grosse vache m’a tout dit sur vous

Ils sont tous sous le charme de cette rousse incendiaire. Elle pourrait simplement claquer des doigts, ils obéiraient.

Elle s’approche de David, un sourire aux lèvres.

— J’espère que c’était ce que vous vouliez ?

David la prend par les hanches et dit :

— Va t’occuper de Maude, et n’hésites pas.

Se tournant vers Christian

— Qui s’occupe de qui ? Tu vas voir ta femme se souviendra longtemps de cette soirée.

Marie ajoute

— Et nous aussi, ou as tu dégoté une superbe fille comme ça ?

— grâce à mon divorce et à elles, en montrant Julie et Carine.

Julie qui est toujours sur son siège. La cyprine coule le long du plug qui monte et descend dans sa chatte. Elle a déjà joui une fois.

 Carine ne peut s’empêcher de se caresser. Le spectacle, le ballon gonflé dans sa chatte, les pinces sur ses tétons l’excite. Elle n’a qu’une envie, jouir.

Des cris se font entendre de la cuisine. Maude ressort avec un plateau dans les mains,  une pince sur chaque téton. Elle pose le plateau sur la table du salon et dit qu’il faut manger les amuses-gueules pendant qu’ils sont chauds. Elle se met à quatre pattes au milieu de la pièce et se caresse et dit tout fort :

— Je suis une grosse vache. Vous devez me saillir et  je dois être fessée. Mon gros cul de vache doit être cramoisi, Maîtresse Eva l’exige.

Christian se lève, à l’entrejambe de son pantalon on peut voir une grosse bosse. Il s’approche de sa femme, lui claque bien fort le cul. C’est des mains de travailleur, bien rugueuses, larges, habituées à travailler la terre. Les claques sont très sonores et très fortes. A chaque claque, Maude pousse un cri mais continue à se caresser. Le cul rougit rapidement. Paul se lève  à son tour, sa femme descend sa braguette et sort sa queue. Il se met à genoux derrière Maude et enfonce d’un seul coup sa queue.

— Elle est trempée. Jamais elle n’a été comme cela. Tu es vraiment une grosse vache.

Il donne de grandes claques sur le cul  de Maude. Paul se retire. Fred prend sa place et fait la même constatation que Paul. Il la besogne et se vide en elle. Une fois fini, les trois se mettent à donner une bonne fessée à Maude. Elle a le cul cramoisi. Quand les trois garçons s’arrêtent, Maude se relève et retourne à la cuisine. Elle revient immédiatement, à genoux en portant un plateau avec d’autres amuse -gueules. Eva tire sur la laisse. Eva dit :

— Va voir tes deux copines. Mesdames,  vous pouvez faire ce que vous voulez à la grosse vache. Elle est à votre disposition.

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