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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 36




Chapitre 36 : Des surs étonnantes

-Simon, j’ai besoin de de ton aide.

-Je sais bien, Cindy. Et je vais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour t’aider, je te le promets. Seulement, pour l’instant, je ne peux rien pour toi

-Mais comment as-tu fais pour Morgane ? Elle m’a raconté qu’autrefois elle était dans la même situation que moi. Elle m’a même dit que c’est toi qui l’a rendue comme elle est aujourd’hui.

-Oui, c’est vrai mais c’était en partie un accident.

-Un accident ?

Cindy n’en croyait pas ses oreilles. Morgane ne lui avait jamais fait part d’une telle chose.

-Oui, reprit le jeune chercheur. J’ai créé une pilule qui aurait due uniquement lui donner la possibilité d’avoir des orgasmes Il a suffi que je fasse l’erreur de coucher avec elle pour que l’expérience tourne à la catastrophe. C’était il y a si longtemps

Les yeux de Simon se parèrent de nostalgie à l’évocation de ce souvenir si lointain.

-Sans ça je ne serais pas là, fit remarquer la jeune fille en arquant un sourcil inquisiteur.

-Oui, oui, tu as entièrement raison ! Se reprit prestement Simon. Je dis catastrophe parce qu’à ce moment-là, c’est ce dont j’étais persuadé. Je ne le pense plus à présent.

-Mais cette pilule, tu pourrais me la donner ? S’enquit Cindy qui était prête à tout essayer pour revivre ne fut-ce qu’une fois la nuit qu’elle avait passée avec sa sur.

Simon secoua vigoureusement la tête.

-Non, certainement pas !

-Mais pourquoi ? Je t’en supplie, Simon Je ne pourrai pas vivre en sachant que je n’aurai plus jamais l’occasion d’avoir d’orgasme de ma vie ! Je

-Parce que tu en mourrais !

Cindy se tut et regarda le scientifique avec, dans les yeux, un mélange d’incompréhension et de larmes.

-L’opération était sans danger pour Morgane parce que son corps n’était pas déjà plein d’hormones, poursuivit doucement Simon. Toi, tu regorge d’un cocktail d’hormones en tout genre. Elles sommeillent en toi et, comme cela s’est produit chez tes sur, la transformation aurait dû les réveiller. Enfin, c’est plutôt l’inverse : leur réveille aurait dû enclencher ta transformation mais le résultat reste le même.

-Je ne comprends pas où tu veux en venir, argua la jeune fille qui écoutait cérémonieusement.

Simon prit une grande inspiration et réfléchit à la meilleure manière de résumer toute une vie de recherche en trois phrases.

-La pilule que j’avais donné à Morgane est un concentré ultrapuissant d’hormones féminines. Si on l’additionne aux hormones qui dorment en toi, ton corps serait incapable de tenir le coup

-Et tu ne peux pas réveiller ces hormones qui dorment en moi ?

-Eh bien, imagine que, pendant toute ta jeunesse, tes hormones sont restées enfermées dans une sorte de grotte. Le jour de tes dix-huit ans, cette grotte devait s’ouvrir pour libérer ces hormones et ainsi enclencher ta transformation. Seulement, Claire, en te faisant l’amour, t’a transmis une partie de ses propres hormones mais en infime quantité. Malheureusement trop peu pour entamer ta transformation. Ton corps a alors cru qu’il n’avait pas besoin de celles se trouvant dans ta grotte et il a scellé cette dernière à tout jamais

Cindy digéra le flot d’information qu’elle venait de recevoir. Si elle avait su que c’était si grave de faire l’amour à sa sur, elle s’en serait bien passée. Quoi que Elle avait beau pleurer la perte de son plaisir, elle ne parvenait pas à regretter l’incroyable nuit qu’elle avait passée avec Claire.

-Donc si je comprends bien, il faut parvenir à ouvrir cette grotte ? Interrogea-t-elle.

-En gros, c’est ça. Mais j’ignore totalement comment

Cindy voulut dire quelque chose mais Erika fit irruption dans la pièce, la mine affolée :

-Simon ! On a besoin de toi ! Claire fait une sorte de malaise.

-Comment ça, une sorte de malaise ? S’alarma le chercheur en se précipitant à la suite d’Erika.

-Je ne sais pas, viens voir par toi-même.

Simon entra prestement dans la salle où Claire se trouvait. La jeune fille avait été détachée de sa chaise et était prise de convulsions. Tout son corps était couvert de sperme et tressautait follement. Ses yeux étaient fermés et une expression béate restait figée sur ses traits.

-Simon, fit Morgane, la mine inquiète. Tu peux faire quelque chose ?

Le scientifique s’agenouilla auprès de Claire et posa deux doigts au niveau du cou de la jeune fille. Il déplaça ensuite sa main pour venir la poser sur son ventre puis au niveau de l’aine.

-Elle elle est en plein orgasme ! S’ébahit Simon. Depuis combien de temps est-elle dans cet état ?

-Un peu plus de cinq minutes.

-Plus de cinq minutes ? C’est énorme !

-C’est pour ça que j’ai envoyé Erika te chercher. Tu peux faire quelque chose pour elle ?

Simon haussa les épaules en signe d’impuissance.

-Je pense que le mieux c’est d’attendre que ça passe

Quelques minutes plus tard, Claire se calma et son corps se détendit complètement. Elle ouvrit un il vitreux. Simon était au-dessus d’elle et la contemplait avec inquiétude.

-Tu nous reviens de loin, Claire est-ce que ça va ?

Un sourire éblouissant éclaira la face de l’adolescente.

-Je n’ai jamais été aussi bien de toute ma vie.

Simon la fit se relever. Elle tremblait comme feuille tandis que ses deux sexes débandaient tout doucement. Elle balaya du regard le reste des membres de la famille.

-Que s’est-il passé ? S’enquit-elle.

-Nous étions en train de te punir, raconta Morgane, quand tu as commencé à jouir. Seulement, nous n’avons aucune idée de ce qui a déclenché ton orgasme.

Simon, qui connaissait bien le concept des punitions de Morgane pour en avoir fait les frais plusieurs fois, leva un sourcil étonné. Il savait pertinemment qu’il était impossible de jouir si les zones érogènes n’étaient pas stimulées.

-Que faisiez-vous exactement quand Claire a eu son orgasme ?

-Moi j’étais appuyée sur les cuisses de Claire et je me faisais lécher la moule par Mathilde, détailla Juliette. Mais je n’ai absolument pas touché ses queues !

-Moi je les observais simplement, expliqua Eugénie.

-Je faisais la queue pour la bouche de Claire, sourit Morgane. Sans mauvais jeux de mots

-Et toi ? Questionna Simon en se tournant vers Erika.

-Je je jouissais dans sa bouche

-Ah c’est ça que j’ai l’estomac plein, fit Claire en caressant rêveusement son ventre.

-Donc vous avez eu un orgasme en même temps ? Questionna le scientifique.

-Je oui je pense

Simon se caressa songeusement le menton.

La veille au soir, Juliette était venue lui conter l’incroyable orgasme qu’elle avait eu avec sa fille et de la facilité avec laquelle cette dernière avait fait jouir Morgane. Il ne s’en était pas étonné plus que ça mais ce dernier événement l’intriguait beaucoup. Qu’avait donc Erika de si spécial ?

-A quoi songeais-tu lorsque tu as joui ? Demanda Simon.

Erika tenta de se remémorer ce à quoi elle pensait mais les souvenirs étaient vagues et ensevelis dans un océan orgasmique.

-Je ne sais plus trop, avoua-t-elle. Je me disais que la gorge de Claire était incroyablement douce et profonde. Je voulais aussi qu’elle jouisse avec moi.

-Tu voulais qu’elle jouisse répéta pensivement Simon. Est-ce que tu pourrais faire quelque chose pour moi ?

-Oui, je t’écoute.

-J’aimerais que tu regardes Morgane droit dans les yeux.

Erika s’exécuta sans poser de question. Elle verrouilla son regard sur celui de sa mère et attendit la suite des consignes.

-Bien, maintenant, je veux que tu penses très fort à la faire jouir.

-Pardon ? Mais pourquoi ?

-Je veux juste voir quelque chose, vas-y.

Erika se résigna et se concentra intensément sur le plaisir de Morgane. Les secondes s’égrainèrent, puis les minutes mais rien ne se produisait. À force de penser à cela, la queue d’Erika se dressa peu-à-peu jusqu’à se retrouver à la verticale.

-Que veux-tu prouver, à la fin ? S’impatienta Cindy.

Simon lui intima de se taire et désigna le bas-ventre de Morgane. Doucement, le sexe de cette dernière se mit à gonfler et à se surélever. Bientôt, mère et fille furent toutes deux pourvues d’une superbe érection.

Quelque chose était en train de se produire.

Erika n’avait pas lâcher des yeux une seule seconde sa mère et restait concentrée sur son orgasme. La respiration de Morgane se mua petit-à-petit en halètement. Ses mains se mirent à trembler et se dirigèrent d’elles-mêmes vers son sexe. Simon l’empêcha de se branler.

Soudain, Morgane poussa un langoureux gémissement. Son regard se fit suppliant et affamé. Erika ne s’attendait pas à une telle réaction de la part de sa mère et elle redoubla de concentration. L’intensité de son regard s’intensifia subitement tandis que celui de Morgane vacillait de plus en plus.

Tout le monde dans la pièce observait l’échange avec curiosité et étonnement. Qu’était-il donc en train de se passer sous leurs yeux ? Ils n’étaient pas sûrs de bien comprendre

Morgane poussa tout à coup un cri orgasmique et tomba à genoux. Sa queue fut saisie de soubresaut avant de déverser un flot de sperme directement sur Erika.

-Aaah ouiiii, je jouis Erika !

La jeune fille se laissa arroser sans comprendre. Les jets tièdes vinrent frapper ses jambes et dégoulinèrent ensuite en onctueux serpentins blanchâtres. Le calme revint alors que tous regardaient Erika avec stupéfaction.

-Co comment tu as fait ? Haleta Morgane.

Erika, qui était aussi choquée que le reste de sa famille, ne put qu’hausser les épaules avec effarement.

-Je l’ignore.

Elle se tourna vers Simon et celui-ci lut la question silencieuse qui brillait dans son regard. Il mit un moment avant de reprendre ses esprits tant il était abasourdi par ce qu’il venait de voir.

-Je n’en sais pas plus que vous, dit-il en glissant une main dans ses cheveux. Je ne m’attendais pas à une telle réaction de la part de Morgane. Je n’ai jamais vu ça auparavant et je n’ai même jamais entendu parler d’un tel phénomène Cela dit, j’ai le pressentiment que ta transformation n’y est pas pour rien

-Tu veux dire que j’aurais gagné une espèce de pouvoir  ? Questionna Claire.

-En quelque sorte, oui.

Cette dernière phrase jeta un pesant silence dans la pièce. Tout le monde observait Erika d’un il neuf, comme s’ils la voyaient pour la première fois. Finalement, Morgane brisa ce calme :

-Au moins, maintenant on sait qui est responsable de l’échec de la punition de Claire

Cette remarque eut pour effet d’alléger la tension de la pièce.

Quelques sourires naquirent sur les visages.

-Bon Claire, vu ton état vaporeux, poursuivit Morgane, nous reprendrons ta punition demain après tes cours. Erika, tu te doutes que tu ne pourras plus participer.

La jeune fille acquiesça.

-Hola attendez, s’exclama Claire. Erika a un pouvoir et pas moi ??

-Eh bien si, en quelque sorte Intervint Simon. Plus j’y réfléchis, et mieux je comprends ce qui se passe. La transformation que vous subissez aura probablement à chaque fois un effet différent sur votre corps. Toi, Erika, ta transformation à l’air de t’avoir fourni la capacité de faire jouir n’importe qui à distance et sans contact. Toi Claire, ta transformation t’a octroyé un second sexe masculin.

Les deux surs se jaugèrent du regard, se demandant silencieusement laquelle des deux avaient le meilleur pouvoir.

-Et moi ? Demanda avidement Morgane. J’ai gagné un pouvoir, moi ?

-Mmh Eh bien, je dirais que oui. Du même type que celui d’Erika mais en moins puissant. Tu es capable d’exciter n’importe qui avec ton odeur Et ta cyprine rend accroc.

Depuis qu’il avait goûté cette fameuse cyprine, Simon en était complètement accroc et devait en prendre régulièrement. Pour ce faire, Morgane devait se doigter à l’aide d’un gode spécial que le chercheur avait confectionné et qui permettait de recueillir la précieuse cyprine. Simon la transformait ensuite en cachet qu’il avalait lorsqu’il sentait les premiers signes de nervosités dus au manque s’emparer de lui.

Parfois, Morgane l’autorisait à venir directement s’abreuver à la source et c’est toujours avec joie qu’il enfonçait sa langue entre ses cuisses …

-Et je suis prêt à parier toutes mes machines qui sont en bas, poursuivit Simon en se tournant vers Cindy, que la glande qui se trouve sous ton cur a un rapport avec ta transformation future Maintenant, je suis encore incapable de dire quelle est son utilité.

Cindy hocha la tête sans répondre. Le fait qu’elle ne puisse plus jamais avoir d’orgasme lui minait déjà suffisamment le moral, mais apprendre que ses surs avaient de nouvelles capacités grâce à leur transformation lui faisait vraiment mal. Elle allait être obligé de n’être qu’une simple spectatrice dans l’évolution de sa famille.

-Tu ne peux vraiment rien faire pour elle ? Demanda Morgane en prenant Cindy par les épaules.

-Hélas J’aimerais pouvoir faire quelque chose mais je ne sais pas quoi.

Je dois approfondir mes recherches. Peut-être qu’en apprenant davantage sur vos pouvoirs, les filles, je pourrai parfaire mes connaissances et ainsi aider votre sur …

-Seul Dieu sait ce que l’avenir te réserves, Cindy, sourit Mathilde qui se voulait rassurante.

Cindy ne répliqua pas et tourna plutôt les talons. Tous ces regards tournés vers elle lui pesaient atrocement et elle avait besoin de calme. Cependant, la phrase que venait de prononcer Mathilde résonnait étrangement dans son esprit. Peut-être que Dieu avait la réponse à son problème

Elle sortit et prit le bus jusqu’à l’église la plus proche. Elle n’était pas le moins du monde croyante mais elle se disait que la quiétude d’une église était tout ce dont elle avait besoin pour le moment. Lorsqu’elle entra en ce lieu saint, seul le silence et la fraîcheur des lieux l’accueillirent. Elle choisit une chaise au hasard parmi la multitude qui se trouvait devant elle et s’y assis.

Ce fut peut-être à cause du calme et de l’ambiance particulière qui régnait au sein de l’église ou bien du regard scrutateur de la statue de Jésus crucifié accrochée au mur, Cindy fondit en larme. De gros sanglots secouèrent tout son corps et elle se laissa aller sans retenue.

Elle pleurait pour ce plaisir perdu mais aussi pour cette jalousie envers ses surs qui lui étreignait le cur et la culpabilité d’éprouver de tels sentiments.

Le temps passa et ses sanglots ne semblaient jamais vouloir se tarir. À un moment, la pauvre fille se rendit compte qu’elle n’était plus seule. Elle sursauta et tourna la tête sur la droite.

Une femme était assise à côté d’elle et la contemplait avec bienveillance. Au vu de son habillement, ce devait être une sur. Elle portait les vêtements caractéristiques des religieuses : Une longue robe noire, un voile noir, une chemise blanche,

-Bonjour, sourit l’inconnue.

-Bonjour, répondit faiblement Cindy dont la voix était encore pleine de sanglots.

-Pourquoi pleure-tu ?

-J’ai j’ai perdu quelque chose

-Ah oui, se désola l’inconnue. Quoi donc ?

Cindy secoua la tête. Elle n’avait aucune envie que cette femme connaisse son secret. Mais à bien y regarder, la sur n’était pas si âgée que ça. Elle avait même peut-être l’âge de Cindy. 

Elle avait une peau blanche constellée de taches de rousseurs. Quelques mèches rousses s’échappaient de sous son voile et conféraient à l’inconnue, malgré son accoutrement, un aspect rebelle. Elle contemplait Cindy avec de grands yeux émeraudes qui semblaient aussi vifs que ceux d’un chat mais dotés d’une profonde bienveillance.

Cindy se rendit compte de l’incroyable beauté de cette fille et en fut déconcertée.

-Je comprends, poursuivit la sur sans se formaliser du trouble de la jeune fille. Peut-être souhaiterais-tu passer au confessionnal avec moi ?

Cindy jeta un coup d’il à l’espèce d’armoire en bois que lui désignait la sur. Après un instant de réflexion, elle finit par accepter. Le confessionnal était séparé en deux par une plaque de bois percée de nombreux trous. Une chaise était placée dans chaque compartiment. Cindy prit place sans trop savoir ce qu’elle avait à dire. La sur s’installa de l’autre côté de la paroi et demanda d’une voix douce :

-Raconte-moi tout, mon enfant.

C’était assez étrange de se faire qualifier d’enfant par une fille de son âge mais cela collait avec l’étrangeté de la situation. Cindy fut soudainement prise du besoin de se confesser. Elle prit une grande inspiration et raconta tout :

-Je fais partie d’une famille absolument hors du commun

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