En janvier dernier, mon patron m’a surpris dans les bureaux de la boite en train de farfouiller dans les tiroirs de la direction. La situation était grave pour moi qui à l’époque était en période d’essai. Il m’a convoqué sur le champ dans son bureau : je n’en menais pas large.
Il a commencé à me sermonner et me dire qu’il ne pouvait pas passer sur cette affaire et qu’il allait en référer à la direction des ressources humaines du groupe. Je le suppliais de ne rien en faire et demandais comment je pouvais rattraper la situation.
Il sauta sur l’occasion pour me proposer une autre solution : il voulait que je lui ?prête? ma femme qu’il avait rencontrée une fois au bureau où elle était venue me chercher. Que pouvais- je faire dans ma situation? J’ai donc accepté tout en pensant que ma femme ne serait jamais d’accord.
Aussi je ne dis rien à cette dernière, mais lui proposai d’inviter mon patron à diner un prochain soir. Nous convinmes donc d’une date, sachant qu’il viendrait seul puisque son épouse habite loin; il vit seul toute la semaine.
Mais je n’ai pas fait les présentations : Moi c’est Richard j’ai 34 ans je suis mince brun aux yeux verts, pas très grand 1,68m. Ma femme Véronique mesure 1,61m pour 59 kg un tour de poitrine de 95C des seins biens bandants sun un cul rebondi hyper bandant; 34 ans elle aussi. Quant à mon patron, il a 45 ans mesure 1,88m est svelte et vous le verrez plus tard est bien doté par la nature.
Ainsi, le jour fatidique arrive. Ma femme a préparé un super apéritif est s’est mise à son avantage : jupe légère courte et ample et chemisier blanc et ample sous lequel on entrevoit un soutien gorge en dentelle mettant en valeur sa slpendide poitrine. Elle veut faire bonne impression sur mon patron vu que je suis encore en période d’essai.
Mon patron se présente à l’heure prévue et ma femme l’installe sur le canapé. Je sers l’apéritif : nous prenons tous un whisky coca; je corse particulièrement celui de ma femme, mais y glisse subrepticement un petit relaxant pour qu’elle soit très détendue.
Au bout d’un moment de discussions sur des sujets banals, je vois que ma femme commence à être dans les vappes, l’alcool et le cachet aidant. Je commence alors à lui caresser la cuisse ouvertement devant mon patron et elle se laisse faire, rigole même un peu ne sachant plus très bien ce qui se passe.
Elle se laisse tellement faire que je commence à relever sa jupe et atteint son string en dentelle. Mon patron ne perd pas un miette du spectacle qui s’offre à lui. Je me lève alors et lève aussi ma femme que je mets face à moi dos à mon patron. Je l’embrasse à pleine bouche en commencçant à relever sa jupe et caresser, puis malaxer ses fesses. Elle se laisse complètement aller et commence même à émettre quelques petits soupirs approbateurs.
Mon patron s’est lui bien calé dans son fauteuil et a sorti sa queue, il bande très vite vu l’application qu’il met à se branler tandis que j’excite ma femme et vite sa queue atteint plus de 20cmS Au bout d’un petit moment, il se lève et vient se postionner derrière ma femme. Je continue à la caresser comme si de rien n’était et je la serre fort dans mes bras pour pas qu’elle ne bouge. Il s’approche encore enlève doucement le string qu’elle portait encore et en moins de temps qu’il en faut pour le dire l’attrape qu niveau des hanches et la pénètre d’un seul coup jusqu’à la garde au plus profond de son vagin.
Ma femme me regarde, proteste,veut se dégager mais il reste bien ancré en elle sans bouger afin qu’elle se calme. Moi je vois bien que cette situation excite Véronique au plus haut point, elle me souffle à l?oreille; ?caresse-moi les seins?. Au bout de quelques instants, il commence un va et vient d’abord lentement mais de plus en plus vigoureux et rapide. Ma femme commence à apprécier le traitement et se laisse aller finalement à son plaisir. Elle me roule des pelles pendant que je lui branle les seins, me murmure à l?oreille ?je vais jouir, je vais jouir devant tes yeuxS? Elle éprouve alors un premier et violent orgasme qui la tétanise littéralement.
Hervé, mon patron, se retire alors d’elle et me dit: ?Où se trouve votre chambre?? Bien que je trouve qu?il exagère vraiment je l?y conduis.
Véronique est rouge d?excitation et n?ose pas trop me regarder. Arrivés devant la porte il me dit: ?tu peux mater mais tu rentres pas?. Il ferme à demi la porte moi je ne peux que rester dans l?embrasure à les regarder.
Curieusement je trouve ça hyper excitant. Il finit de la déshabiller et la fait s’intaller à plat ventre sur le lit, la croupe bien en l’air. Dieu que son cul est beauS Il la pénètre à nouveau au fond de sa chatte et la baise doucement. Elle est complétement abandonnée et a 2 orgasmes insensés. Je sens qu?il a envie de jouir aussi mais il se retient. Il s?arrête et commence à malaxer ses fesses, puis sournoisement introduit un doigt dans ce cul splendide. Elle gémit outrageusement ?Oh oui, c?est bon? Elle sait que je la mate et ce petit jeu l?excite beaucoup. ?Tu vas me sodomiser maintenant? dit-elle en tournant la tête vers l?entrebaillement de la porte pour attraper mon regardS Il présente sa queue à l’orée de son cul et commence à pousser doucement; ma femme qui est toute à son plaisir, l’aide en écartant ses fesses et en les avançant à la rencontre du gros mandrin. Le gland passe enfin le portail de son anus dans un cri contenu de Véronique.
Hervé ne bouge pas pendant une minute pour que ma femme s’habitue à sa présence dans son fondement et d’un seul coup pousse très fort et fait pénétrer la grande partie de sa queue dans le cul de ma femme qui pousse un soupir rauque. Il reste sans bouger et lui dit: ?Lorsque je t?ai vue pour la première fois j?ai rêvé de te prendre comme ça, tu as un cul magnifique?.
Alors commence une folle chevauchée où on ne sait plus qui baise l’autre vu la fougue de Véronique à s’empaler sur la queue d’Hervé. Ses gros seins ballottent au rythme des poussées d?Hervé et c?est très excitant à voir.
Tout en la sodomisant il lui saisit les fesses et les malaxe; il se met à marmonner d?une voix rauque ?je baise tes fesses, je vais gicler dans ton cul?. A ma grande surprise Véro répond ?Oh oui, tu baises mon cul, tu vas gicler au fond, c?est bonS? Au bout de plusieurs secondes d’un tel traitement ils jouissent tous les deux de concert et Hervé se répand dans les fesses de Véro qui crie comme une femelle assouvie…
Et moi dans tout çà direz vous! Et bien moi j’ai assisté au spectacle donné par ma femme et mon patron, la queue à l’air en train de me branler et j’ai joui moi aussi au même moment .
La suite de la soirée et de la nuit n’a été que sauteries à trois dans notre chambre où nous avons fini la nuit et bien commencé la journée. Mais ceci est une autre histoire.
Au fait, même si depuis, nous n’avons pas renouvelé l’expérience avec Hervé, il ne m’a pas reparlé de ma faute professionnelle et je suis aujourd’hui enbauché en CDI…