Chapitre 4
Au bout dune semaine, décision fut prise quà partir de ce jour ce serait moi qui irait chercher Sarah au lycée. Nous y trouvons loccasion de partie de baises discrètes mais toujours mémorables.
Ma vie sorganise autour de ma double relation et fini presque par tomber dans une sorte de routine quand un évènement inattendu arriva.
Jétais tranquillement affalé dans le canapé à regarder une émission téléviser, sans intérêt, quand Samantha entra dans la pièce et vint de rejoindre.
-Je peux te demander quelque chose, minterroge lainé de la fratrie.
-Bien sûr.
-Jai un essayage pour ma robe de marié cette après-midi, mais je nai malheureusement personne pour maccompagner.
-Et Marc, demandai-je en faisant référence à son affable fiancé.
-Arrête, tu ne sais pas que sa porte malheur que le marié voit la mariée dans sa robe avant le mariage.
-Non je ne savais pas.
-Alors, tu veux bien maccompagner.
-Bien sûr, dis-je en lui souriant.
Laprès-midi je me retrouve assis sur une chaise inconfortable en attendant que la jeune femme quitte sa cabine dessayage.
-Jose pas sortir.
-Allez vient je suis sûr que tu es terrible, lui dit-je.
-Et si je suis horrible.
-Impossible, rétorquai-je sincère.
Le rideau sécarta pour laisser place à une vision de rêve, la créature qui apparut devant mes yeux était dune beauté presque douloureuse. Ses cheveux blond et sa robe blanche ne font quaccentuer sa peau halé.
-Alors, demanda-t-elle visiblement inquiète de mon mutisme.
-Tu es tout simplement parfaite.
-Cest vrai ?
-Sans lombre dun doute.
Tout à sa joie, la jeune femme fait un tour sur elle-même. Le mouvement circulaire soulève sa robe révélant ses jambes superbement galbée. Comment un type aussi banal que son fiancé avait-il pu mettre la main sur une aussi superbe fille.
Après quelque ajustement supplémentaire nous quittons la boutique et nous enfonçons dans les rues du centre.
-Ton appartement est proche dici ? me demande-t-elle après quelque minute de silence.
-A deux rues dici, pourquoi ?
-Il fait chaud, tu minvites boire un verre.
Sa phrase semble dissimuler quelque chose mais je suis incapable de deviner quoi. Moins de dix minutes plus tard, nous sommes assis sur mon sofa autour dun bon soda frai. Samantha tripote nerveusement son verre.
-Quelque chose ne va pas ? Fini-je par lui demandé inquiet.
La jeune femme sursaute comme prise en défaut.
-Cest vraiment gentil de mavoir accompagné aujourdhui, me dit-elle.
-Tout le plaisir était pour moi.
-Est-ce que je peux encore te poser une question ?
-Bien sûr, lencourageais-je de plus en plus intrigué par son attitude.
-Est-ce que, à ton avis, le sexe est fort important dans un couple.
Sa question me laisse une minute sans voix.
-Bennoui, à mon sens je pense quil sagit-là de quelque chose dimportant.
-Je le savais, dit-elle soudain prise de sanglot.
— Ho là, lui dis-je en la prenant dans mes bras. Quest-ce qui tarrive.
-Jai mentit à Marc, mavoue-t-elle.
-Mentit ?
-Je lui et fait croire que je nétais plus vierge et que javais de lexpérience.
-Tu veux dire que vous deux vous navez.jamais.
— Jamais, ne confesse Samantha. Marc veux attendre jusquau mariage, il a été déçu par beaucoup de femmes dans le passé
et ma dit ne plus vouloir coucher quavec la femme avec qui il passerait le reste de sa vie.
Le crétin.
-Mais quest-ce qui tinquiète, ce nest pas grave si tu nas pas dexpérience.
-Mais je lui ai mentit et pour notre nuit de noce, quand nous allonsle faire, il va forcément sen rendre compte.
La jeune femme fut de nouveau prise de sanglot. Jétais partagé entre ma pitié pour une fille si naïve et un plan un peu pervers qui commençait à germer dans mon esprit. Bien amené cela pouvait marcher.
-Il existe peut-être quelque chose à faire.
-Quoi ? Me demanda Samantha lespoir plein la voix.
-Tu pourrais trouver quelquun en qui tu aurais confiance, quelquun de discret qui pourrais tinitier aux subtilités du sexe.
Pendant quelque secondes la fille de Sarah me dévisagea sans paraitre comprendre.
-Tu veux dire trompé Marc.
Aïe.
-Pas le trompé, la contredit-je. Si tu penses que le fait dêtre avec une femme dexpérience est quelque chose dimportant pour
lui. Alors, il sagit de faire tout ton possible pour le rendre heureux.
Un sourire sépanouis sur le beau visage de la jeune femme.
-Tu as raison, me dit-elle. Comme ça Marc ne saura jamais que je lui et mentit et tout sera pour le mieux.
-Je connais même la personne idéale pour ça, lui dis-je en me désignant du doigt.
-Toi, minterrogea-t-elle. Mais tu es avec ma mèrece serait bizarre.
-Pas tant que ça, tu as confiance en moi.
-Oui.
-Et comme je suis avec ta mère justement, tu sais quavec moi ton secret sera bien gardé.
La jeune femme parait se perdre un moment dans ses pensées. Mais quand elle relève cest deux magnifique yeux bleu vers moi je sais que jai déjà gagné.
-Daccord, me dit-elle hésitante.
— Suis-moi.
Je la guide jusquà la chambre et une fois devant le lui me penche pour lembrasser.
-Non, refuse-t-elle en esquivant mes lèvres. Je ne peux embrasser que celui que jaime.
-Pas de souci, lui répondit-je en me promettant, tout comme pour sa mère avec la sodomie, de la faire changer davis.
Je prends le temps de lui embrasser le cou en lui dégrafant le chemisier, les seins que je découvre son surement les plus parfait que jai jamais vu. A la fois gros et ferme ils sont une invitation à la caresse. Je me penche et prend dans ma bouche son mamelon droit que je mordille tendrement. Samantha gémit doucement.
Dautorité, je prends une de ses mains que je dépose contre ma bargette. Je luis impose la caresse quelle finir par mappliquer elle-même une fois que je retire ma propre mains pour retourner moccuper de son opulente poitrine.
-Limportant cest de participer, lui conseillai-je. Laisse toi aller et rend la pareille à ton partenaire.
La jeune femme se penche pour prendre en bouche lun de mes mamelons pendant que sa main elle poursuit la douce caresse, à travers le tissus, sur mon sexe.
Nous continuons à nous déshabillé mutuellement jusquà ce que son regard tombe sur ma bite tendue.
-Mon dieu, souffle-t-elle. Est-ce que tous les sexes son aussi gros.
-Première leçon : les garçons naiment pas les filles trop prudes dans leurs paroles, nhésite pas à appeler un chat un chat, une bite une bite etc
-Daccord, acquiesce ma jeune élève. Est-ce que toute les queues son aussi énorme.
-Non, je suis assez gâté par la nature.
-Mais, elle ne va jamais pouvoir entrer.
-Ne ten fait pas pour ça, la rassurai-je. Quand nous en aurons fini, tu en redemanderas.
Quand nous eûmes terminés de nous déshabillés, jeu le plaisir de constaté que, tout comme sa sur et sa mère, Samantha est une adepte de lépilation intégrale. Je la fait coucher sur le lit et entame un magistral cunnilingus. La mouille ne tarde pas à barbouiller ma mâchoire alors que la pièce semplit des cris de jouissance de la fille de Sarah.
-Cest incroyable, gémis la jeune femme. Jadore.
-Et tu nas pas encore tous vu, dit-je en remontant vers elle.
-Doucement, me supplie-t-elle alors que ma bite se pose contre sa fente.
-Ho rassure toi tu vas aimer ma petit salope.
-Ho mon dieu que somme nous en train de faire, me demande Samantha réalisant soudain la situation. Je ne veux pas trompé Marc, arrête.
— Trop tard, lui dis-je en menfonçant en elle.
-Non arrête, me supplie la jeune femme.
Mais déjà je sens lhymen se rompre alors que le bassin de Samantha se lance à ma rencontre.
-Hoooo, éructe-t-elle. Je suis remplie.
Je continue mes va est viens dans la fille de Sarah.
-Hoooo cest mal, on ne peut pas faire ça me dit la jeune femme en répondant à mes coup de reins avec une même ardeur.
-Tu veux que jarrête.
-Non ! crie-t-elle les yeux révulsés par le plaisir. Baise-moi.
Ses jambes me ceinturent comme pour appuyer ses paroles.
-Alors petit pute je tavais dit que tallais aimer.
-Hooo oui, jadore. Fait de moi ta pute.
Je continue à la limer jusquà lamener au bord de lorgasme et soudain je marrête la bite à lentrée de sa chate. La jeune femme projette son bassin comme une folle den lespoir de mobliger à la pénétrer de nouveau.
-Quest-ce que tu fais, tu vas me rendre folle.
-Embrasse-moi et je continue.
-Non, me répond-elle sans conviction. Ce nest que pour lhomme que jaime.
-A partir daujourdhui cest moi lhomme que tu aimes, lui dit-je. Et si tu nes pas daccord jarrête là.
Avec sa langue pendante, son corps couvert de sueur et ses cheveux ébouriffé la jeune femme est un véritable appel au viol pourtant je tiens bond me contenant de taquiner sa fente avec le bout de mon gland.
Vaincu la jeune femme se jette sur me lèvre pour membrasser de toute ses forces.
-Alors qui aimes-tu ?
-Toi, me dit-elle les yeux pleins damour et de dévotion.
-Et ton mec est un putain de cocu de merde.
-Hooo oui, cest un cocu. JE suis toute à toi je ferais ce que tu veux.
— Tourne-toi.
Mobéissant Samantha te tarde pas à se retrouver labourée comme une chienne en levrette.
— Baise-moi, me supplie-t-elle. Ho je taime mon amour, je suis à toi et tu pourras me baiser tous les jours.
-Tes ma femme maintenant et ta intérêt à ten souvenir, lui dit-je en la tenant par les cheveux alors que je la chevauche.
-Oui, je vais quitter Marc, je ne veux être que ta pute à toi.
-Le quitter, mécriais-je. Pas question, je tiens à être là le jour de ton mariage et à te niquer comme la pute que tu es. Ensuite seulement tu pourras le quitter compris.
-Tout ce que tu voudras, de répond Samantha vaincue et soumise.
Je continue à la bourrer comme une chienne alors que ses cris résonne dans lappartement finalement je me vide dans son utérus et nous nous affalons lun à côté de lautre. Samantha vient se collé à moi pour membrasser. Sa langue dans ma bouche ne tarde pas à me faire reprendre de la vigueur, la jeune femme le remarque et me sourit avant de menfourcher pour une nouvelle partie de jambe en lair.
