Je lis régulièrement les histoires de ce site, et beaucoup mont donné du plaisir et des fantasmes plein la tête. Je me décide aujourdhui à vous faire partager les aventures qui me sont arrivées.
Tout dabord je me présente, je mappelle Jean, jai 25 ans, je suis grand, un physique agréable, yeux bleus, cheveux brun. Je suis marié depuis 2 ans avec Valérie et nous avons 2 enfants de 3 ans et 1 an. Notre couple fonctionne très bien à tous les niveaux et je ne pensais pas un jour tromper ma femme, mais la vie à fait que les choses ont été différente.
Durant lété 2011, nous avons loué ma femme et moi pour 15 jours une maison dans le sud afin de profiter pleinement de nos vacances. Une petite maison très jolie avec une belle terrasse, un petit jardin et elle avait aussi la particularité davoir une petite terrasse sur le toit bien tranquille et à labri de tout regard. Un mois avant le grand départ, ma femme me demanda si ça me gênait que sa mère vienne avec nous pour les vacances, ça lui changerait les idées. Cest vrai que ma belle mère avait perdu sont mari lannée davant et sen était pas vraiment remise. Cela ne me dérangeait pas du tout, surtout que je me suis toujours bien entendue avec elle, et que nous étions assez complices dans la famille.
Ma belle mère se prénomme, Carine, elle à 46 ans, cest une belle femme avec de longue jambe, cheveux long châtain-blond, de magnifique yeux bleus, un corps encore très bien pour son âge, une paire de fesses appelant au plaisir et surtout une paire de seins à faire tomber nimporte quel homme. Elle possède un magnifique 90 C. Je dois bien lavouer je suis tombé sous son charme depuis le 1er jour ou je lai aperçu. Mais je ne pensais jamais plus loin, car il sagissait de la mère de ma femme.
Arrive enfin le moment de ces vacances tant attendues, nous nous installons ma belle mère, ma femme, les enfants et moi-même. Nous prenons nos petites habitudes, tout se passait à merveille. Nous profitons de la plage le plus possible, les enfants adoraient ça. Mais carine elle avait un peu de mal à en profiter pleinement et sisolait souvent seule dans son coin la plupart du temps sur la terrasse du toit. Je dois bien lavouer je profitais de chaque moment dans la journée qui me permettait de voir ma belle mère en maillot de bain, de lobserver dans sa chambre, son corps me faisait de plus en plus envie.
Le 3ème jour alors que nous nous préparons pour aller à la plage, je demandais à ma femme ou était sa mère pour la convaincre de venir avec nous, elle me dit quelle devait comme dhabitude être sur le toit. Je pris lescalier pour monter vers le toit afin de lui faire changer davis et de venir avec nous, lorsque jarrive au niveau du toit, je crus rêver, je pus apercevoir carine allonger sur un transat complètement nue entrain de se faire bronzer. Elle ne mavait pas vue, elle avait un chapeau de paille sur le visage, sûrement quelle faisait une petite sieste. Je redescendis aussitôt sans faire de bruit et dit à ma femme quelle ne souhaitait pas venir. Tout laprès midi, javais les images de son corps qui me passait par la tête, je navais pas bien vu, mais rien que de limaginer nue mexcitait terriblement.
Le lendemain ma femme prépara comme les autres jours les affaires des enfants et le sac pour aller à la plage. Je prétextais un mal de crâne et une petite fatigue et lui dit que jallais faire une petite sieste et que je les rejoindrais après. Elle me dit quil ny avait pas de soucis et que je ne devais pas fermer la maison car sa mère était sur le toit entrain de bronzer. Jembrassai les enfants et ma femme et rejoignit la chambre faisant semblant de mallonger pour dormir. Une fois la petite famille partie, je mempressai de rejoindre carine sur le toit. Je monte lentement les marches la gorge serrée, une boule au ventre. Jarrive sur le toit, et je laperçois allongée sur le ventre complètement nue, elle ne me voit pas venir. Je pris le deuxième transat et minstallais à ses cotés. Elle sursauta, me vit et pris de suite son paréo et se couvrit, elle sassied et lattacha autour de son cou pour cacher son corps. Je pus très rapidement observer cette poitrine qui me faisait tant envie.
Moi : « je vous ai fait peur, carine, je suis désolé »
Carine : « Tu mas surprise, je mattendais pas à te voir, je pensais que vous étiez à la plage »
Moi : « Jirais les rejoindre après, je voulais voir comment vous alliez, si vous nen aviez pas marre de rester seule »
Carine : « Ce nest pas que je veux rester seule, mais jaime bien bronzer toute nue, comme je pense que tu as remarqué et à la plage ce nest pas évident »
Moi qui pensait que ma belle mère était une femme assez timide et prude je fus très surpris par cette confession.
Moi : « mais y a pas de soucis, je ne voulais pas vous déranger et vous mettre mal à laise »
Carine : « Pas de problème, je ferais plus attention » me dit-elle en souriant.
Mon cur battait la chamade, que faire partir et la laisser comme si de rien était, craquer sous le charme et lattirance que me procurait cette femme avec tout ce que provoquer comme problème cette situation. Comment allait-elle réagir si je tentais quelque chose. Ma tête était prête à exploser avec toutes ces questions. Puis je me dis quil fallait que je sache. Elle se rallongea avec son paréo, je lobservais, je ressentais comme une attirance, comme si un aimant mattirait vers elle. Je ne pensais plus à ce moment là à ma petite famille et ni à ma belle mère, mais juste moi un homme et là à mes coté carine une femme.
Moi : « Je vais faire un effort pour ne pas vous mettre mal à laise »
Joignant le geste à mes paroles, jôtai mon bermuda et me mit nu comme un vers sur mon transat. Mon sexe heureusement encore au repos prenait place sur mon ventre. Je dois bien lavouer de ce coté là je fus gâter par la nature. Je vis carine rougir et observer du coin de lil mon corps et mon sexe.
Moi : « voilà nous sommes à égalité, enfin presque vous avez encore votre paréo »
Carine : « enfin jean, vous êtes mon gendre et la situation nest pas très conforme »
Moi : « quoi, on fait rien de mal, on bronze, vous avez déjà vu un homme nu et moi une femme aussi »
Carine hésita un long moment, puis elle ôta son paréo. Elle était là à quelques centimètres de moi, totalement nue. Sa poitrine magnifique, dune taille très impressionnante, les aréoles brunes claires assez large, et des tétons assez gros. Sa toison était brunes, bien poilues mais pas trop. Je lobservais, et ce qui devait arriver, arriva mon sexe commença à prendre un peu dampleur. Carine le remarque rapidement, car ses yeux ne quittait presque plus mon sexe. Je fis comme si je ne le voyais pas. Au bout dun instant, je remarque que les tétons de carine avait aussi grossis et était maintenant bien gonflés. Je la voyais aussi jouer avec ses jambes comme si son entre jambes la gênait. Je lui demandai alors si je pouvais lui emprunter son huile solaire et commençait à men étaler sur le corps, elle nen ratait pas une miette. Je lui demandai si elle pouvait men mettre sur le dos, ce quelle fit sen se faire prier.
Carine : « ça me fait bizarre de toucher un homme, ça fait plus dun an que je nai pas touché un homme »
Moi : « vous voulez que je vous en mette dans le dos aussi »
Carine : « oui avec plaisir »
Je demandai à carine de s’asseoir au milieu du transat et je minstallai derrière elle. Je mis de lhuile sur mes mains et commençai à létaler sur son dos, à ce moment là mon sexe prit vraiment de lampleur et elle ne pouvait ne pas le sentir dans son dos. Je lui passais de la crème dans tout le dos jusquau bas, je repris de lhuile dans mes mains et puis prenant mon courage à deux mains, je me colle à elle, mon sexe dur et raide était collé à son dos, je passai mes mains sur ses épaules et descendis lentement sur le devant de son corps, jusqu’à arrivé à sa poitrine que je saisis, un sein lourd dans chaque main que jenduis dhuile. Carine semblait apprécier, je pris ses tétons que je fis rouler sous mes doigts, ça glissait grâce à lhuile, je jouais avec ses bouts de chair, les pinçaient.
Carine : « humm cest bon ça fait si longtemps, mais faut arrêter, jean tu es mon gendre »
Moi : « ce sera notre petit secret, carine je te désire tant, ne sens tu pas mon désir »
Elle ne répondit pas et je pris ça comme une invitation à continuer. Tout en la pelotant dune main, je descendis lentement lautre vers son sexe. Je commence à lui passer ma main sur sa toison. Puis commença à jouer avec son clitoris. De petits gémissements commençaient à se faire entendre. Je tenais en ma possession cette femme que je désirais tant. Je fis de petits bisous dans le cou, et tout en lui faisant rouler son téton, jintroduis un puis deux doigts dans sa chatte qui était déjà bien trempée. Elle posa sa tète en arrière sur mon épaule et se laissait maintenant totalement aller. Elle ne mit pas très longtemps à jouir.
Elle se retourna, me fit un long baiser sur la bouche, nos langues se rejoignirent, jen profitais pour lui malaxer sa belle poitrine qui était énorme à cote du petit 85b de ma femme. Elle me regarda droit dans les yeux et me dit
Carine : « à moi de te remercier »
Elle me poussa pour que je madosse au dossier du transat, puis me lécha mon torse, passa sa langue sur mes tétons, de sa main elle saisit mon sexe et commença à me branler avec délicatesse.
Carine : « je ne pensais plus toucher un sexe dhomme, mais là tu me fais trop envie, en plus tu as un beau sexe bien grand »
Elle recula et posa sa bouche sur mon gland pour lui donner un petit bisou, et lengloutit soudainement. Sa bouche et chaude et délicieuse, je sentais sa langue tourner autour de mon gland. Elle me pompait comme un pro, je savais maintenant doù venait le talent de ma femme pour la fellation. Elle montait et descendait sur mon sexe, tout en me caressant les couilles. Voir ma belle mère me sucer, me fit tellement deffet que je sentais que jallais venir très rapidement. Je lai prévenue, elle sortit mon sexe de sa bouche et me termina par une branlette entre ses seins. Plusieurs jets de sperme sortirent de mon sexe et sétalèrent sur sa poitrine. Elle me masturba ainsi jusqu’à la dernière goutte.
Nous nous embrassons, je la remercie de ce magnifique moment, elle me retourna le remerciement en me disant que je lui avais redonné des envies à prendre la vie du bon coté.
Carine : « bien sur il faut que cela reste entre nous, je ne veux pas faire de peine à ma fille »
Moi : « pas de soucis, je laime et je ne veux pas briser notre couple, mais tu mexcitais trop »
Carine : « Si jamais tu ne sais pas quoi faire un après midi, reviens me voir, jaimerais bien recommencer et qui sait allez plus loin »
Moi : « je reviendrais demain, jai envie de te donner du plaisir et de te faire lamour »
Carine saisit mon sexe me fit un dernier bisou dessus et le prit quelques secondes en bouche, puis se leva membrassa. Je me rhabillai et me dépêchai de retrouver ma femme afin de ne pas trop faire durer mon absence.
Autant vous dire que jétais impatient dêtre au lendemain. La soirée fut normale, ma belle mère et moi faisions comme si rien ne sétait passé.
A suivre.
