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Natalie – Chapitre 22




— Sabrina, je pense que je deviens folle de toi, je murmure en me caressant doucement.

Je commence à m’imaginer des histoires avec Sabrina. J’aimerais qu’elle soit mon initiatrice à la zoophilie et qu’elle me conduise à de beaux molosses qui me sailliraient pendent toute une journée. Un premier orgasme me cisaille enserrant mes doigts insérés dans mon vagin.

Comme j’aimerais être sa chienne de compagnie ! Je coucherais au pied de son lit, attachée par une chaîne à mon collier de métal, mon seul vêtement ! Elle me ferait manger dans une gamelle et me promènerait nue dans la campagne. Mon poignet est désormais en moi, essayant de reproduire la sensation rare que le godemiché m’avait procurée. Une deuxième extase me surprend.

Quelle heure est-il ? Deux heures du matin. Je décide qu’il est temps de me coucher, après un brin de toilette.

J’enfile ma chemise de nuit. Je sors de ma chambre et longe le couloir jusqu’à la salle de bain. La porte de la chambre de Sabrina laisse passer un rai de lumière.

Je m’arrête quelques secondes et tends l’oreille. Des gémissements trahissent le plaisir que Sabrina est en train de se donner. Je ne suis pas la seule à veiller tard ce soir !

Je me glisse aux toilettes pour soulager un petit besoin puis je passe à la salle de bain. Pendant mon lavage de dents, j’entends la porte de Sabrina s’ouvrir. Elle aussi va faire sûrement un petit besoin.

Lorsque je ressors de la salle de bain, Sabrina est en train de rentrer dans sa chambre, vêtue d’un T-shirt et d’un caleçon. Elle se retourne et me dit.

— Nous avons oublié une clause dans notre pari. Je ne pourrais pas rester la journée entière sans uriner. Il faudra bien que je l’enlève à ce moment là !

Es-tu d’accord ou sommes-nous déjà condamnées au McDonald ?

— Je suis d’accord. Il faut être fair-play.

— Tu es un amour, Natalie.

— Toi aussi.

Elle s’approche de moi pour déposer un baiser sur mes lèvres.

— Tu sais, je vais avoir du mal à m’endormir, me dit elle.

— Je pense être logée à la même enseigne

— Tu ne veux pas dormir avec moi ?

— Non, Sabrina, un pacte est un pacte !

— Nous ne nous toucherons pas, seulement nous dormirons côte à côte, cela me calmera.

— Laisse-moi rire ! Nous n’aurons pas fermé la lumière depuis trente secondes que tu me sauteras dessus !

— Non, non, je t’assure !

Je réfléchis quelques instants.

— OK, on essaye ! Mais à la première incartade, je te chasse à coup d’oreiller et tu rentres dans ta chambre, calmée ou pas. J’ai besoin de dormir un peu.

— Super, j’arrive ! Je te promet que je serai sage…

Je regagne ma chambre et me glisse sous les draps.

Sabrina arrive avec son oreiller. Sûrement pour se défendre si jamais je devais la chasser à coup d’oreiller, je pense.

— Tu va voir, Natalie, je vais m’endormir comme une bienheureuse.

— J’attends de voir.

Jéteins la lumière et m’allonge sur le dos. J’attends avec anxiété, ou envie, je ne sais plus très bien. Va-t-elle glisser une main vers moi ?

Mais non, au bout de quelques minutes, j’entends la respiration régulière de son sommeil. Je ne l’aurais jamais cru.

Pour ma part, je repense au pari que nous avons passé. Tenir la journée avec le godemiché canin en soi ! Quelle histoire ! Mais aussi quelle excitation !

Une question me vient à l’esprit. Sabrina ne porte-t-elle pas déjà le godemiché cette nuit ? Non, je ne pense pas. Rien dans sa démarche ne trahissait que son entrecuisse était occupée.

Quand même, si elle l’avait fait ?

Je finis par tomber dans un sommeil agité, peuplé de rêves plus ou moins érotiques. Je me réveille en sueur. À mon côté Sabrina semble dormir du sommeil du juste. Je me lève doucement et sors de la chambre.

Quelle heure peut-il être ? La pendule de la cuisine m’indique six heures. Je suis tout à fait réveillée maintenant mais je ne me sens absolument pas reposée !

Je me prépare un café pour essayer de me redonner un peu de tonus. Je vais attendre un peu avant de prendre une douche, pour ne pas réveiller Sabrina.

Je repense au godemiché et à mes questions de cette nuit. L’a-t-elle gardé en elle toute la nuit ? Je sens ma chatte fondre à cette pensée. Il faut que je sache ! J’entre dans la chambre de Sabrina pour tenter de trouver l’objet. Pas trace de lui !

Je ressens au fond de moi ce besoin irrépressible de me procurer une jouissance sexuelle. Ma main déjà frotte mon pubis à travers le tissu de ma chemise de nuit.

Je vais chercher dans ma cachette un vibrateur Hitachi et vais m’installer sur le divan du salon. J’adore ce jouet. D’abord il est gros, puissant et il a une alimentation sur le secteur !

Je le branche, relève ma chemise de nuit et enclenche l’interrupteur.

Je commence par survoler mes lèvres sans les toucher. La puissance de l’engin fait vibrer l’air tout autour de la boule et cette seule sensation est déjà excitante.

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