LE JOURNAL INTIME.

En lisant une histoire sur un site internet, je me suis souvenu que moi aussi j’écrivais mon journal intime dans un carnet ’’secret’’.

Ce carnet, je sais que je ne l’ai pas jeté mais impossible de me souvenir où je l’ai planqué pour éviter que ma mère, qui fouillait dans mes affaires, ne le trouve.

Mon ex chambre, chez mes parents, est transformée en chambre d’amis, tous ce qu’elle contenait à été déménagé, donc je dois fouiller dans les cartons stockés dans un réduit derrière le garage.

Pour ne pas alerter ma mère, j’essaie de ruser en prétextant chercher un vieux cahier de cours, il est ’’vital’’ pour moi, qu’elle ne tombe pas sur ce carnet qui comporte des passages qui font références à des faits dont elle est, sinon l’instigatrice, tout du moins partie prenante.

Durant une période, environ quatre ans, j’ai été pris d’une frénésie sexuelle qui me faisait faire les pires ’’bêtises’’.

Je me suis calmé en entrant à l’école normale, mais entre 17 et 21 ans, je ne pensais plus à autre chose ’’qu’au sexe’’, heureusement pour moi, j’ai eu mon bac du premier coup et l’examen pour l’école normale dans la foulée.

J’aimais transcrire tout ce que je faisais dans la journée, particulièrement ce qui avait trait au sexe, et durant cette période, il s’en est passé !

Après avoir recensé le contenu de trois cartons, je dois me rendre à l’évidence, mon ’’journal intime’’ n’est pas là, les autres cartons ne contenant que des vieilles fringues et bibelots divers.

Dommage, j’aurais bien relu et certainement réécrit ce qu’il contenait, n’en ayant que de vague souvenirs, il m’est impossible de le faire sans lui.

J’avais évidé un gros livre ancien que mon père avait eu comme prix d’excellence durant sa scolarité, pour y glisser mon carnet, c’est ce bouquin que je ne retrouve pas.

Par acquis de conscience, je vais jeter un oil dans la bibliothèque au cas où ’’on’’ l’y aurait glissé sans l’ouvrir.

Ma mère ne décolle pas du salon, si je trouve le bouquin, je devrais donner une explication et je n’en ai pas envie.

-Arno, que cherches-tu ?

-Un livre de philo que m’avait prêté un collègue, je le croyais dans mes affaires restées dans ma chambre.

-Tout est dans les cartons.

-Il n’y est pas.

-Alors regarde en bas de la bibliothèque, j’y ai mis tout un tas de truc qui devaient t’appartenir.

Dans un petit placard, le gros bouquin me saute aux yeux, sans le sortir, je l’ouvre pour vérifier si mon carnet s’y trouve encore.

Ma mère s’est approchée sans que je l’entende arriver, elle voit ce que je fais et éclate de rire.

-Arno, j’ai trouvé ce bouquin qui appartenait à ton père, c’est toi qui l’as évidé comme ça ?

-Heu. Oui. Pour faire comme les espions qui cherchent à planquer des trucs.

-J’ai vu ça.

-Tu as vu quoi maman ?

-Ce que tu avais caché dans le trou. Un beau travail d’espion, retranscrit fidèlement avec les détails et tout et tout !

-Maman, c’était mon ’’journal intime’’ tu n’aurais pas dû le lire.

-Pour être intime, il était intime ! Mais il ne parlait pas que de toi. Prends le ton carnet et jette y un oil, ça va te rappeler des souvenirs. Je suppose que c’est ce que tu cherchais.

-Oui et non. Je me demandais ce qu’étaient devenues mes affaires.

-Arno, apporte ton carnet s’il te plait. Nous ne sommes que tous les deux et un peu de temps devant nous, j’aimerais bien que nous éclaircissions certains passages.

-Mais à ta disposition maman. que veux tu savoir.

-Rien Arno, je sais tout ! Je veux juste que tu m’expliques.

-Que je t’explique quoi ?

-Si j’ai bien compris ce que j’ai lu, tu as perdu ton pucelage l’année de tes 16 ans avec ma sour en présence de mon beau frère.

-Heu. Oui. Je ne me souvenais plus qu’il fût là.

-Pourtant, tu devrais t’en souvenir, regarde à la page de ton anniversaire.

Le carnet s’ouvre tout seul à cette page, c’est le début de mon journal intime.

Pas besoin de lire tout le paragraphe, la soirée de mon anniversaire me revient d’un seul coup.

-Alors Arno, tu te souviens ?

-Oui maman.

-Que ce soit bien clair mon chéri, je me fiche de ce que tu as fait il y à dix ans, avec ma sour et son mari, et avec les autres, car il y en à eu d’autres !

Ce qui m’importe c’est ce que tu as fait avec moi.

-Comment ça ’’avec toi’’, je n’ai jamais rien fait avec toi, maman, tu le sais bien.

-Alors peux tu m’expliquer ça, dit elle en me montrant ce que j’écrivais deux feuillets plus loin. ’’Une fois ma mère agenouillée, je plongeais ma bite dans sa chatte avant de lui mettre dans le cul et la faire jouir comme une chienne en chaleur’’.

-Maman, tu comprends bien que c’est du délire d’adolescent. Ta sour m’ayant montré son corps, vous n’êtes pas jumelle pour rien, ce que j’ai fais avec elle je pensais que je le faisais avec toi.

-Arno, j’ai lu certains détails que tu ne peux pas avoir su par ma sour qui ne les connait pas.

-Quoi par exemple ?

-Le fait que je me masturbais avec le faux concombre en plastic, elle ne l’a jamais vu, et surtout que je décharge comme si je pissais, elle ne le sait pas non plus.

-Maman, elle aussi.

-Quoi elle aussi ?

-Elle est comme toi, une femme fontaine. la première fois, j’ai cru qu’elle me pissait dessus.

-Et alors, je ne savais pas pour elle, et elle ne le sait pas pour moi.

-Maman, tu n’aurais pas baisé avec ton beau frère par hasard ?

-Heu. Si. Comment le sais-tu ?

-Parce qu’il me l’a dit, et tu sais parfaitement comment est ta sour, vous baisiez ensemble quand vous étiez jeunes, je le sais aussi.

-Arno. Excuse-moi, je n’aurais pas dû lire ton carnet.

-Mais tu l’as fait. Tu voulais des éclaircissements, c’est moi qui vais t’en demander. Tu as compris que je me branlais en t’épiant le plus souvent possible, j’en étais même à me demander, vu la facilité avec laquelle je pouvais le faire, si tu n’étais pas ’’ma’’ complice, et que ça te plaisait de me montrer ce que tu faisais.

-Arno. J’ai su que tu avais baisé avec ma sour, ça m’avait rendue folle.

-Maman, c’est elle qui m’a ’’dragué’’ en quelque sorte, je me suis retrouvé dans son lit sans avoir rien fait pour.

-Elle m’avait demandé l’autorisation de te dépuceler après la soirée pendant la canicule, tu t’en souviens.

-Oui, avec Sophie.

-Sophie t’avait fait bander, ma sour l’avait vu et elle t’a suivi dans le pool.

-J’étais allé prendre une douche, c’est vrai que je bandais, tu te souviens pourquoi, Sophie écartait les jambes et son maillot rentrait dans sa fente, je l’ai même vu pisser dans l’herbe.

-Ma sour t’a vu te masturber sous la douche, elle est revenue tout chamboulée.

-Je ne sais pas pourquoi. Elle n’a pas pu me voir, je tournais le dos à la porte et ça n’a pas duré longtemps, j’ai joui à toute vitesse !

-Elle est allé te voir par la petite fenêtre.

-Et alors, qu’est ce qui l’a chamboulé, de me voir me masturber ?

-Ton sexe mon chéri.

-Mon sexe ? C’est normal puisque je me masturbais.

-Tu sais que ton sexe est surdimensionné, pas la peine que je te fasse un dessin.

-Je sais maman, depuis le temps, des sexes d’hommes j’en ai vu un paquet !

-Comment ça un paquet ?

-J’ai fais du sport collectif donc je me suis douché avec l’équipe et il m’est arrivé de voir des copains en érection. En voyant la bite de mon oncle, j’ai failli éclater de rire.

-Arno.

-Maman, comment as tu pu baiser avec lui.

-Et ma sour, elle le fait bien, non ?

-Ta sour ne baise plus avec lui depuis longtemps, tu le sais aussi. Elle se tape des jeunes comme moi ! Au fait, j’ai appris que toi aussi tu te fais allégrement sauter, fait gaffe, si papa l’apprend, ça va chauffer pour ton matricule.

-Il le sait chéri, depuis deux mois.

-Et il n’a rien dit ?

-Si. Il voulait me quitter.

-Pourquoi est-il resté ?

-Parce que je lui ai promis de me calmer et qu’il pourrait amener des femmes, et même des couples.

-Nous y voilà, vous allez ’’échanger’’.

-C’est déjà fait.

-Tu peux m’expliquer ce qui t’a pris ?

-Arno, ce n’est pas de moi dont je voulais te parler.

-Maman, de moi il n’y à rien à dire, ce que j’ai fait il y à dix ans, c’est de l’histoire ancienne, même avec ta sour, nous en rions encore.

-Vous ne faites plus rien ensemble ?

-Oh non, il y à longtemps.

-Je croyais. Pour le 14 juillet, vous n’avez pas.

-Non maman, nous n’avons pas baisé, Armelle s’est fait baiser par mon copain et elle voulait que je vienne la prendre en même temps que lui mais j’avais autre chose à faire.

-Qu’avais-tu à faire de si important ?

-Maman, c’est toi qui me le demande ?

-Arno, c’est quoi ce nouveau délire ?

-Nous étions chez eux, il faisait très chaud, papa voulait se baigner, Sophie montrait ses fesses comme d’habitude, Henri dormait et toi.

-Arno, je ne me souviens plus ce que je faisais.

-Tu faisais la petite vaisselle et je l’essuyais.

-J’avais vu partir Armelle, je croyais ton copain Max avec Sophie.

-Elle était bien avec lui au début, puis elle s’est occupée de papa quand Max est parti avec Armelle.

-Pourquoi est tu resté avec moi ?

-Si je te le dis, tu ne vas pas te fâcher.

-Arno.

-Maman, tu avais essayé le nouveau maillot de bain de ta sour et tu l’avais gardé sur toi, ça me rendait fou de voir tes seins à moitié cachés, et surtout ton sexe qui débordait largement du string, en plus tu mouillais et ça sentait le cul. Heureusement que j’étais en bermuda, ça cachait un peu mon érection.

-Tu es parti.

-Evidement, je ne pouvais plus rester à coté de toi, mon sexe était si raide que ça commençait à se voir, je suis allé me baigner.

-Sophie était avec ton père, dis-tu ?

-Elle était dans l’eau quand j’y suis venu, mais papa bandait encore donc je suppose qu’elle.

-Arno, ton père n’a jamais rien fait avec Sophie, il me l’a juré.

-Je le crois maman, mais elle ne se gênait pas pour lui montrer sa chatte et son cul, comme elle le faisait avec moi d’ailleurs.

-Arno, ce qui est écrit dans ton carnet, c’est réel ou inventé ?

-Réel en grande partie, seules les descriptions te concernant sont inventées, ou plus exactement sorties de leur contexte.

-Je ne comprends rien.

-Tout est vrai si tu préfères, mais comme je n’ai jamais rien fait avec toi, j’ai inventé des situations inspirées par ce que j’avais vu ou fait avec ta sour.

-Tu sais que j’ai eue un doute.

-Sur quoi ?

-Tes descriptions sont si précises que j’ai vraiment cru que nous avions.

-Maman, si nous avions fait quelque chose tu t’en serais souvenu je suppose.

-Oui chéri, mais.

-Mais quoi ?

-Tu inventais les situations et moi je les rêvais, à la fin, je ne savais plus si.

-Maman, tu es en train de me dire que tu aurais aimé faire tout ce que je décris.

-Tu l’avais fait avec Armelle et j’étais jalouse.

-Maman, je suis ton fils pas le sien.

-Nous partagions tout Arno, d’ailleurs nous t’avons élevé quasiment à tour de rôle, tu étais autant son fils que le mien.

-Et Sophie, elle fait quoi dans votre souk ?

-Sophie n’est pas la fille d’Armelle, tu le sais bien.

-Maman, elle avait 1 mois et demi.

-Peut être mais tu étais notre fils, ce que tu faisais avec Armelle j’avais envie que tu le fasses avec moi.

-Tu penses que j’aurais accepté ça ?

-Je n’en sais rien.

-Maman, je n’ai jamais eu le complexe d’Odipe, il ne m’est jamais venu à l’idée de concrétiser ce que j’inventais.

-Alors pourquoi le faisais-tu ?

-Je n’en sais rien. ça m’excitait de penser à toutes ces saloperies.

-Ma sour est au courant de ça ?

-Non maman, nous n’en parlions pas.

-De quoi parliez-vous ?

-De rien maman, je venais pour baiser et nous baisions.

-Je peux savoir comment ça se passait ?

-Heu. Oui. Mais ce n’est pas très ’’politiquement correct’’.

-Je m’en fiche, raconte moi tout.

-Maman, ce sont des souvenirs personnels qui me reviennent par bribes et qui ne me laissent pas insensible.

-Tu as vraiment tout oublié ?

-Oui, en grande partie, ça me revient en parlant de certaines situations.

-Elle voulait avoir ton pucelage, mais elle ne m’a jamais dit comment elle avait fait pour y arriver.

-Le plus simplement du monde, d’abord le coup classique du truc tombé derrière la machine à laver le linge qu’elle n’arrivait pas à attraper.

-Je ne vois pas le rapport.

-Maman, un t-shirt était tombé derrière la machine et elle essayait de l’attraper, tu sais comment on s’y prend pour se pencher au dessus d’une machine, à plat ventre sur le couvercle et on fouille derrière, c’est ce qu’elle faisait, en jupe assez courte et rien dessous tu vois tout de suite le rapport.

-D’accord, elle t’a montré ses fesses, mais pour passer à l’acte.

-De deux choses l’une, ça me faisait bander ou ça ne me faisait rien.

-Et ça t’a fait bander.

-Maman, j’étais juste derrière elle, à moins d’un mètre, donc j’avais sous les yeux toute son intimité, elle s’est même amusée à décoller ses pieds du sol en écartant bien les genoux au cas où je n’aurais pas bien vu !

-Et après ?

-En se relevant, le t-shirt à la main, elle à fait un pas en arrière et s’est trouvée collée contre moi, tu devines la suite.

-Ben non, justement, je ne devine pas.

-Tu le fais exprès, ce n’est pas possible ! Je t’ai dit que ça m’avait fait bander, elle est venue coller ses fesses sur mon sexe raide puis elle s’est retournée en baissant les yeux et sa main est venue voir ce qui gonflait mon pantalon. Elle m’a touché un moment en caressant la barre que faisait mon sexe, je me suis laissé faire et j’ai joui dans mon slip !

-Elle s’en est rendu compte, bien sur.

-Oui maman, tu penses bien. ’’Viens dans la salle de bain, nous allons essuyer tout ça’’, m’a-t-elle dit, j’ai tout enlevé et je me suis retrouvé avec ma tante agenouillée devant moi, une serviette à la main essayant de m’essuyer. Je n’avais pas débandé, du coup la serviette n’a essuyé que mon slip, elle à nettoyé le reste avec sa langue !

-C’était dans l’après-midi ?

-Oui, un mercredi vers 15 heures. Je me suis déshabillé pour faire sécher mon slip et nous sommes allés dans sa chambre. Pour commencer, j’ai eu droit à un cours d’éducation sexuelle avec travaux pratiques en direct sur le mannequin et puis nous sommes passé aux choses ’’sérieuses’’ si je puis dire.

-Arno, j’aimerais savoir si tu as fait jouir ma sour.

-Maman, je ne savais pas ce qu’était l’orgasme féminin, j’ai fait tout ce qu’elle me demandait.

-Elle ne t’avait rien dit ?

-Non, mais j’ai compris qu’il se passait quelque chose quand j’ai reçu un jet de liquide en pleine figure !

-Donc tu n’étais pas encore en train de lui faire l’amour.

-Ben non maman, c’est évident ! Elle me suçait et je lui faisais la même chose, n’oublie pas que j’étais complètement novice.

-Elle t’a dit ce que c’était ?

-Pas tout de suite, en plus je venais de lui jouir dans la bouche. Après ça, nous avons fait l’amour dans toutes les positions, j’ai su qu’elle jouissait quand elle l’a dit.

-Si j’ai bien compris, tu as assuré.

-Maman, ça veut dire quoi assurer ? J’ai fait ce qu’elle me demandait sans me poser de question, cela semblait lui convenir et moi ça me plaisait beaucoup.

-Tu as joui plusieurs fois ?

-Je ne sais plus. Une fois dans mon slip, une fois dans sa bouche, et encore deux fois et sans débander. Sur le moment, je ne savais pas que c’était une performance de jouir 4 fois sans débander.

-Tu devais être crevé.

-Maman, je suis parti de chez elle vers 17 heures 30, tu venais juste d’arriver.

-Je n’ai pas le souvenir d’avoir remarqué quoique ce soit. Sophie n’était pas là ?

-Elle ne devait rentrer que le soir.

-Vous l’avez refait souvent ?

-Je n’avais qu’une envie, recommencer ! Le vendredi soir, je suis allé chercher ton porte document et j’ai coincé Armelle dans la buanderie pendant qu’elle chargeait le sèche linge, je crois que je n’ai jamais joui aussi vite de ma vie ! En la voyant penchée, j’ai sorti ma bite, remonté sa jupe et je suis entré ’’sans frapper’’, j’ai dû faire cinq allers et retours ! Nous avons même failli nous faire surprendre par Henri qui venait dans son atelier. J’ai rangé mon matériel à toute vitesse et je suis arrivé à la porte en même temps que lui. Tu te souviens de m’avoir fait remarquer que j’avais sali mon slip.

-Non Arno.

-Le soir en me déshabillant, je me suis rendu compte que mon slip était taché mais pas derrière si tu vois ce que je veux dire. Je ne me souvenais pas m’être ’’oublié’’, de toute façon ça n’aurait pas marqué devant.

-Arno, j’ai compris.

-Moi, j’ai mis un peu de temps pour comprendre. Ce soir là, excité par ce que j’avais fait, je me suis masturbé et j’ai compris en sentant ma main.

-Arno, tu avais.

-Oui maman, j’avais sodomisé Armelle et ma bite n’était pas nette quand je l’ai rangée, dans l’urgence.

-Tu ne l’avais jamais fait ?

-Nous l’avions fait le mercredi mais dans d’autres conditions, et je n’avais rien remarqué d’autant qu’elle m’avait sucé juste après.

-Henri ne s’est aperçu de rien ?

-Pas que je sache, il n’a rien pu voir en tout cas.

-Il l’a su que tu baisais avec elle.

-Oui maman, c’était voulu de la part d’Armelle mais bien sur, je n’étais pas au courant.

-Comment ça s’est passé ?

-Avant ça, il faut que je te parle de Sophie. Un après midi, elle vient me chercher ici pour m’emmener voir un concert au jardin public, un groupe antillais. nous repassons par chez elle, ’’je vais me changer, il fait trop chaud’’, m’a-t-elle dit et me laisse seul, arrive Armelle en maillot de bain toute étonnée de me voir, je n’ai jamais revue Sophie. J’attendais comme un con dans le salon, Armelle était repartie sur son transat, je suis allé lui demander où était Sophie ’’Elle vient de partir, je croyais que tu étais avec elle’’. La salope était sortie par derrière. Du coup, je suis resté en slip au bord de la piscine avec Armelle qui me faisait des effets de cuisses sur son transat, bien sur j’ai bandé, dans mon petit slip on ne voyait que ça, mais bon, nous n’étions que tous les deux. Elle s’est caressée, je me suis caressé aussi, assis chacun sur son transat, face à face. Je tournais le dos à la porte, je n’ai donc pas vu arriver Henri, en maillot de bain, qui venait se baigner.

-Si tu étais de dos, ma sour était face à lui, elle le voyait.

-Bien sur qu’elle le voyait, mais n’a rien dit ni rien fait, il s’est approché sans bruit au moment ou je me levais pour décharger sur Armelle.

-Je ne vois pas pourquoi elle faisait ça.

-C’est un pacte entre eux maman, Henri fait de son coté, elle fait du sien et ils se racontent.

-Tu es sur de ça ?

-C’est ce qu’ils font encore, en tout cas. Je me suis trouvé comme un con, la bite à la main et le gland pratiquement dans la bouche d’Armelle. J’ai voulu partir en courant, elle m’a retenu en souriant, Henri s’est approché et il à sorti sa petite bite pour se faire sucer.

-Par ma sour ?

-Oui maman, pas par moi.

-Arno, tu sais très bien ce que fait Henri.

-Oui maman, mais il n’a rien fait avec moi ce jour là.

-Donc il l’a fait plus tard.

-Oui maman, trois ans après, mais en présence d’Armelle, rassures-toi.

-Sans indiscrétion, je peux savoir ce que vous avez fait ?

-Ça lui arrivait de venir nous voir baiser et même de se branler. Un jour il s’est approché près de moi le ventre tendu, pendant que je prenais Armelle en levrette, et je l’ai sucé.

-Tu avais déjà sucé un homme ?

-Jamais. Il à déchargé dans ma bouche puis il est parti. Armelle s’est aperçue que ma bouche sentait le sperme, je lui ai avoué avoir sucé Henri.

-Vous l’avez refait ?

-Non maman, il n’était pas toujours là quand je venais.

-Arno, j’ai lu les passages qui relatent ce que vous avez fait mais je n’ai pas compris qui voulait quoi.

-C’est Armelle maman, sur la demande d’Henri bien sur. L’ayant sucé, elle pensait que j’étais bisexuel, Henri voulait se faire prendre mais il voulait essayer de prendre aussi, vu la taille de sa bite, je l’ai laissé faire !

-Il t’a sodomisé ?

-Oui maman mais je n’ai rien senti !

-Et toi, tu l’as sodomisé ?

-Oui, à chaque fois qu’il venait. Henri se fait défoncer maman, son cul ressemble au gouffre de Padirac !

-Je sais qu’il se prenait le cul avec un énorme gode, Armelle l’avait trouvé dans le garage. Tu prenais ma sour et son mari le même jour ?

-Oui, rien de particulier à cela.

-Mais tu es un.

-Maman, j’ai la chance de pouvoir bander quand je veux, surtout si je suis excité. Henri bouffait la chatte d’Armelle pendant que je l’enculais, il sortait ma bite pour la sucer de temps en temps.

-Même si elle n’était pas nette ?

-Ça je n’en sais rien, Armelle était allongée de dos sur moi, je ne voyais pas ma bite.

-Vous avez fait de sacrées saloperies.

-Maman, j’étais jeune et je découvrais les aspects de la sexualité ’’déviante’’ si je peux dire, ça m’excitait donc je trouvais ça ’’normal’’ en quelque sorte.

-Ton carnet s’arrête net, tu n’as plus rien fait avec eux après cette date.

-Je ne m’en souviens pas bien. Il s’arrête l’année du bac. je crois que ça c’est terminé quand Sophie est partie.

-C’est incroyable que tu aies pu faire tout ça sans que Sophie s’aperçoive de quoique ce soit.

-Tu sais ce que tu devrais faire ?

-Non.

-Lui demander maman. A mon avis elle sait des choses, mais tu te souviens qu’elle était quasiment boulimique, rien d’autre ne l’intéressait que je bouffer ! Pardon, et se masturber.

-Tu savais qu’elle se masturbait ?

-Je l’ai vue faire tant de fois.

-Arno, tu voyais Sophie se masturber ?

-Oui maman, elle lisait des bouquins pornos que son père planquait parmi les autres dans leur bibliothèque. D’ailleurs, j’aimerais bien les retrouver ces bouquins, j’en ai lui deux ou trois, ça décoiffait !

-Arno, je veux savoir si tu as fait quelque chose avec Sophie, tu peux me le dire.

-Maman, si j’avais voulu, je la baisais autant de fois qu’Armelle, mais ça ne s’est jamais fait.

-Maintenant, tu le ferais ?

-Bien sur, c’est une superbe nana. Tu te souviens comme elle était laide ?

-La pauvre.

-Maman, Sophie se masturbait avec un gode qu’elle s’était fabriqué.

-Avec quoi ?

-Une petite bombe de laque au capuchon arrondi, sur laquelle elle mettait un préservatif.

-Tu pouvais l’épier sans qu’elle puisse te voir ?

-Elle faisait dans sa chambre mais aussi. C’est dingue ce que je vais te dire, mais je te jure que c’est la vérité. Elle se branlait dans les toilettes en faisant sa grosse commission, un jour je l’ai entendu couiner.

-Tu faisais quoi près des toilettes ?

-Oh non de dieu ! Quel idiot.

-Arno, que se passe-t-il ?

-J’étais avec Armelle et elle ne devait pas être là. Nous n’avions même pas fermé la porte.

-Donc elle savait que tu baisais Armelle.

-Maman, ce jour là, nous avons baisé dans le couloir, j’avais pris Armelle par derrière dans la salle de bain et nous allions dans sa chambre emmanchés l’un dans l’autre. Henri venait même de se branler sur mon cul.

-Comment sais-tu ce qu’elle faisait ?

-Par l’odeur maman, et quand je l’ai croisé, elle avait la bombe dans la main !

-Arno, je crois que nous en avons assez dit pour aujourd’hui, je ne sais pas pour toi, mais je suis dans un état.

-Et moi donc ! Ça fait plus d’une heure que je bande, mon slip doit être collé sur mes couilles !

-Arno, tu te lèves et tu pars sans te retourner s’il te plait.

-Pourquoi ?

-Je n’ai pas envie de voir le chapiteau de cirque que doit faire ta braguette.

-Tu as peur de ne pas pouvoir te retenir ?

-Arno !

-Et alors ! Tu n’as jamais autant ressemblé à ta sour.

-Arno, ça veut dire que tu.

-Oui maman, ça veux dire que je le ferais avec toi comme je le faisais avec elle, dans ma tête pourrait subsister le doute que ce ne soit pas toi.

-Arno, tu n’es pas sérieux ?

-Si maman, je ne l’ai jamais été autant.

-Tu pourrais baiser avec moi ?

-Oui maman, c’est assez clair.

-Et me faire tout ce que tu faisais avec ma sour ?

-Oui maman, et même tout ce que tu voudrais que je te fasse.

-Arno.

-Oui maman.

-Je vais aller dans ma chambre.

-Et moi, je fais quoi ?

-Tu pars chéri.

-Et si je ne pars pas ?

-Je suis dans ma chambre, je ne vois pas ce qui se passe ailleurs, tu fais ce que tu veux.

-Et toi, tu vas faire quoi ?

-Dans l’état où je suis et vu que ton père n’est pas là, je vais faire tout ce qu’il faut pour me calmer.

-Tu vas te branler salope ?

-Oui chéri, je vais me foutre mes godes dans tous les trous, j’ai envie de me faire enculer, tu ne peux pas savoir.

-Si je ne pars pas, je peux donc te voir.

-Arno, je ne regarde pas ce qui se passe ailleurs, je viens de te le dire.

-Mais maman, si je te regarde te faire jouir, je ne vais pas pouvoir rester insensible.

-Et bien ne reste pas insensible, ce n’est pas mon problème.

-Et si je viens foutre ma pine dans ton trou du cul, ce n’est pas ton problème ?

-Arno, vas-t-en, s’il te plait.

Je regarde ma mère, des larmes coulent sur ses joues, sa poitrine se soulève vite, elle se mord les lèvres.

-Vas-t-en chéri, sinon je me branle devant toi ! J’ai la chatte inondée.

Sans dire un mot de plus, je me lève et prends mon carnet avant de partir.

Dans le couloir, je regarde ma pine raide qui tend ma braguette et je remets un peu d’ordre pour que cela ne se voie plus.

Dehors, l’air me fait du bien, assis sur le capot de ma voiture, je me décontracte une bonne dizaine de minutes, peut être plus.

Une Clio grise arrive vers moi et se gare juste derrière, c’est Armelle qui en descend, affolée.

-Arno, ta mère vient de m’appeler, que se passe-t-il ?

-Rien de grave Armelle, va voir maman.

-Arno, viens avec moi, je crois que j’ai compris.

-Tu as compris quoi ?

-Ce n’était pas très clair, mais vous avez parlé de moi n’est ce pas ?

-Un peu.

-Un peu beaucoup, non ?

-Heu. Oui.

-Et ça, c’est quoi ? dit elle en montrant ma braguette encore gonflée.

-Ben.

-Arno, ma sour est en manque, je la connais.

-Je n’y peux rien Armelle, qu’elle voit ça avec papa.

-Mais si, nous y pouvons quelque chose.

-Nous ?

-Arno, je ne sais pas de quoi vous avez parlé, mais n’oublie pas que nous sommes jumelles et que nous sommes un peu médium toutes les deux.

-Ça veut dire quoi ?

-Ça veut dire que je sais quand ma sour ne va pas coté cour.

-Coté cul tu veux dire ! Armelle, ce que nous avons fait tous les deux je ne le regrette pas et ne le regretterais jamais, mais tu n’es pas ma mère, même si, comme elle me le faisait remarquer, vous m’avez élevé en alternance.

-Arno, tu as compris que ta mère était en manque, et ça ne te fait rien ?

-Qu’y puis-je ? Armelle, tu n’es pas en train de me dire que je dois baiser avec ma mère pour qu’elle retrouve sa sérénité ?

-Arno, je n’ai pas dit ça.

-Mais tu l’as pensé si fort que je l’ai entendu !

-Explique moi pourquoi tu bandais quand je suis arrivé et que tu bandes encore d’ailleurs, vous avez fait des cochonneries ou quoi ?

-Non Armelle, maman a trouvé mon journal intime d’il y à dix ans.

-Dans lequel tu t’étais empressé de consigner tout ce que tu faisais, je suppose. avec moi y compris.

-Tu supposes bien.

-Si tu as tout noté, elle a dû avoir un choc !

-C’est un peu le cas, elle voulait savoir, ou plus exactement, que je lui explique ce qui s’était passé.

-Et toi, comme un couillon, tu l’as fait.

-Bien sur, sans penser à mal. Il ne fallait pas ?

-Elle savait m’as-tu dit.

-Oui, mais ce n’était pas ça qui la chagrinait. Je me suis un peu laissé emporter par mes pensées salaces, vous vous ressembliez tellement que.

-Arno, tu as écrit dans ton carnet que tu baisais avec ta mère, c’est ça ?

-Oui Armelle, elle ne comprenait plus.

-Tu m’étonnes qu’elle ne comprenne plus ! Tu n’as rien dit sur ton père au moins.

-Non, il n’a rien à voir avec Henri.

-Coté sexe c’est sur, ton père est monté comme un âne !

-Tu aurais baisé avec mon père ?

-Non Arno, mais je l’ai vu se branler après avoir maté Sophie ! Ton père est un saint coté sexe, enfin c’était un saint.

-Il ne l’est plus ?

-Pas ces dernier temps. De la faute de ta mère d’ailleurs. Se faire sauter par.

-Par qui ?

-Elle ne t’a rien dit ?

-Non.

-Alors c’est à elle de le faire, je ne moucharde pas. On va la voir.

Ma mère est dans sa chambre, allongée avec deux oreillers sous la tête, on dirait qu’elle dort.

-Pourvu qu’elle n’ait pas pris de somnifère.

-Il n’y en à pas dans la maison.

-Va voir sur la table de nuit, le tube de comprimé.

-Je connais ce tube, c’est pour les migraines. ça calme et ce n’est pas dangereux.

-Si elle dort, laissons là tranquille. je peux voir ce calepin ?

-Oui, mais tu n’y apprendras rien.

-Arno, tu n’aurais pas dû écrire que nous avons eus une relation.

-Armelle, tu m’as dépucelé et c’est toi qui voulais le faire, nous aurions pu nous arrêter là, mais non, il a fallu que tu pousses le bouchon jusqu’au bout, du haut de mes 16 ans, que voulais tu que je fasse ?

-C’est vrai Arno. Mais j’avais craquée sur ta superbe pine, tu te rends compte de la chance que tu as. Tu es le seul homme avec qui j’ai pris trois fois mon pied en moins d’une heure.

-Armelle, je me suis un peu emporté tout à l’heure avec maman, j’avais compris qu’elle était excitée, comme je l’étais aussi, je lui ai dit des insanités.

-Pas d’inquiétude, elle aime ça ! Nous avons les mêmes vices et les mêmes tares ! Tu sais ce que j’aime, elle aime la même chose, et encore tu ne sais pas tout !

-Henri est au courant de tout ça ?

-Que vient-il faire là dedans, Arno ?

-Je ne sais pas, c’est ton mari après tout.

-Après tout, comme tu dis, dans le temps c’était avant tout ! Mais bon, c’est grâce à lui que j’ai eue Sophie.

-Pas sexuellement.

-Non, pas sexuellement puisqu’il ne peut pas avoir d’enfant.

-Armelle, ce n’est pas vrai. C’est toi qui n’as jamais voulu être enceinte ! Henri peut très bien avoir des enfants, Sophie est bien sa fille n’est ce pas ?

-Oui Arno, c’est bien sa fille. Henri se tapait un garçon dont la sour voulait se faire baiser, c’est Henri qui l’a fait et Sophie est née.

-Pourquoi dis-tu qu’il ne peut pas avoir d’enfant alors ?

-Peut être que je cherche à me disculper de n’en avoir pas voulu.

-Maman et toi, vous faites la paire !

-Ça tu peux le dire. Arno, tu ne débandes donc jamais ?

-Si Armelle, ça m’arrive ! Excuse-moi, mais je suis encore sous le choc.

-Arno, tu fais quoi maintenant ?

-Rien, j’allais chez moi.

-Tu ne veux pas attendre que Françoise se réveille ?

-Pour faire quoi ?

-Arno, je reste ici et nous essayons de clarifier tout ça.

-Clarifier ? Mais c’est on ne peut plus clair, tu viens de m’ouvrir les yeux, maman avait envie de baiser avec moi et j’ai bien fait de ne pas tomber dans le panneau ! Armelle, non seulement vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eau, mais tu te coiffes comme elle maintenant, c’est une conspiration ou quoi ?

-Non Arno, nous avons le même coiffeur et c’est lui qui m’a conseillé, je ne savais pas qu’il avait fait la même chose à Françoise.

-J’aime mieux ça.

-Tu nous crois capables d’avoir manigancé quelque chose ?

-Oui Armelle, j’ai compris comment fonctionne maman, vous êtes aussi dépravées l’une que l’autre ! Tu étais où quand maman à rencontré papa ?

-Au Maroc, à l’ambassade de France, secrétaire de l’Ambassadeur.

-Avec Henri alors ?

-Oui Arno, il était vice-consul à Casablanca.

-Sophie était avec vous ?

-Oui, elle avait 6 ans.

-C’est vrai qu’elle ne parlait pas ?

-Elle s’est mise à parler vers 12 ans.

-Autiste ?

-Oui. Mais nous ne le savions pas.

-Vous n’avez jamais consulté ?

-Mais si, les tests étaient normaux, elle comprenait tout, écrivait et lisait mais ne parlait pas.

-Comment peut-on apprendre à lire et écrire sans parler ?

-A l’ambassade, la femme du secrétaire général était psychologue, elle s’est occupée de Sophie qui, en moins de deux ans, avait rattrapé tout son retard puisqu’elle n’avait jamais été à l’école.

-Vous ne parlez jamais de sa mère.

-Elle s’est suicidée un mois après la naissance de Sophie. Officiellement, elle est morte des suites d’une malformation cardiaque.

-Donc elle sait que tu n’es pas sa mère.

-Bien sur, tu oublies qu’elle à des grands-parents.

-C’est vrai. elle avait quel âge sa mère ?

-Pas tout à fait 16 ans quand elle s’est suicidée.

-On sait pourquoi ?

-Non, elle n’a rien laissé pour expliquer son geste, ses parents, tu les connais, sont des gens adorables qui avaient accepté la situation, elle s’est pendue chez ses grands parents, dans une grange, personne ne savait qu’elle était là. Pas un mot de ça à Sophie, Arno, tu me le promets.

-Promis Armelle. Je te signale que ça fait un bon quart d’heure que tu me montres ta chatte.

-Ma jupe courte remonte quand je m’assoie.

-Si tu fais ça devant tout le monde.

-Arno, ça m’arrive de le faire volontairement, c’est pour cette raison que je ne porte pas de culotte.

-Ça t’apporte quoi de montrer ta chatte ?

-Ça m’excite et je mouille. j’aime sentir ma chatte gluante.

-Tu dois tacher ta jupe.

-Ça m’arrive aussi. Arno, lève-toi s’il te plait. Tu vois le chapiteau.

-C’est de ta faute Armelle, tu sais que je suis excité et tu en rajoutes.

-Mais je ne serais pas contre un bon coup de queue, Arno.

-Ici ?

-Pourquoi pas.

-Et si maman arrive ?

-Elle verra comment tu me baises, ça va la faire flipper et elle va craquer.

-Craquer ?

-Oui Arno, elle va craquer, et c’est à voir !

-Armelle, je ne comprends rien.

-Ta mère devient folle quand elle est excitée, comme moi d’ailleurs, elle peut faire des choses incroyables, comme sauter sur la bite de son fils !

-Armelle, je ne veux pas baiser maman, je croyais que tu avais compris.

-Elle non plus ne veut pas baiser avec toi, mais elle le ferait sans vergogne, comme toi, l’excitation aidant.

Elle se lève, me prend par la main et m’entraine dans la chambre mitoyenne de celle de mes parents.

Elle se met nue et m’invite à en faire autant.

-A poil Arno, je veux voir ta bite.

Déshabillé, je reste les bras ballants, le ventre tendu vers Armelle qui s’allonge sur le lit, ses pieds touchants encore le sol.

-Arno, tu vas me prendre comme ça, bourre moi la chatte.

Allongé sur elle, les brans tendus, je fourre ma pine dans sa chatte inondée et j’entame un pistonnage rapide.

-Baise-moi bien Arno, je vais cracher mon jus.

-Tu me préviens que j’aille m’abreuver à la source.

-Oui chéri, je te le dirais. ça fait une semaine que je n’ai pas joui, je vais décharger comme vache qui pisse !

Ma pine glisse dans son vagin inondé, mon gland qui pénètre dans son utérus, me procure une sensation particulière.

-Je te sens dans mon utérus Arno, je vais jouir. prépare toi. Vas-y.

Elle me repousse et je descends entre ses cuisses, la bouche grande ouverte pour recevoir une giclée énorme, un véritable geyser, puis je colle mes lèvres sur la fente pour laper les dernières gouttes.

Son bouton, dur comme du bois, pointe son nez en haut de la fente, je le triture entre mon pouce et l’index, ma bouche posée sur sa rosette.

-Fourre ta langue dans mon cul, j’aime ça tu sais.

Je me relève, elle s’agenouille et m’offre son fessier en l’écartant.

-Prend-moi le cul maintenant, bourre-moi et décharge.

Cramponné aux hanches, je m’enfonce et entame un pistonnage rapide en claquant mon ventre sur ses fesses.

Je regarde ma pine élargir son cul à chaque poussée, le trou s’ouvre, un peu de liquide brunâtre ourle le bord.

Je lève les yeux pour nous voir de profil dans la glace de l’armoire, mais la première chose que je vois, c’est ma mère, debout dans l’encadrement de la porte, qui nous regarde mes bras ballants.

Armelle, la tête écrasée sur le dessus de lit, ne peut la voir, sa présence fouette ma libido et je me déchaine dans ce cul de plus en plus accueillant.

J’aimerais qu’elle s’avance mais elle reste plantée sans bouger, sa poitrine monte et descend plus vite.

Armelle commence à couiner, son orgasme est proche et le mien ne va pas tarder, je la laisse commencer et je me retire vite pour décharger sur son dos en me branlant puis je me refourre dans le trou béant.

Ma bite était un peu maculée, ma main laisse une trace sur la fesse d’Armelle, et ma mère s’avance enfin.

D’un geste autoritaire elle me fait reculer, ma pine raide sort du trou et elle se rue dessus pour l’emboucher.

Je n’ai même pas eu le temps de réagir, Armelle se retourne en sentant une main se poser sur son dos et découvre sa sour avec ma pine dans la bouche.

-Et bien ma salope, tu à mis du temps ! Tu aimes sucer les queues qui sortent de mon cul, hein ? Tu aurais pu te déshabiller.

Ma mère suce sans relever la tête, ma pine s’enfonce jusque dans sa gorge, ses lèvres venant presque toucher mes poils.

-Regarde cette bouffeuse de bite, elle suçait les mecs avant qu’ils me baisent et quand ils sortaient de mon cul !

Ma mère relâche ma pine et répond :

-Tu faisais la même chose, je t’ai même vue te faire pisser dans la bouche !

-Et toi, tu ne le faisais pas peut être ?

-Si Armelle, nous étions deux grosses salopes, tu te souviens.

-J’espère que nous le sommes encore.

N’ayant pas débandé, je les écoute en me branlant un peu pour entretenir mon érection.

Armelle me lance un coup d’oil en me désignant les fesses de ma mère.

-A poil Françoise.

Ma mère se déshabille comme un automate, sa sour la pousse sur le lit, lui fait remonter les genoux sur les seins en écartant les cuisses.

-Arno, regarde cette chatte, elle pourrait baiser avec un cheval !

Ce n’est pas sa chatte qui m’intéresse mais la rosette brune, le trou n’est pas complètement fermé, Armelle y fourre deux doigts, pousse et branle avant de mettre la main en tuile.

-Regarde le cul de ta mère Arno, je vais y fourrer ma main.

-Non Armelle, ne fait pas ça, je ne le fais plus depuis longtemps.

-Et alors, c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas !

-Armelle, s’il te plait.

-C’est la présence d’Arno qui te gêne ?

-Heu. Non. Enfin si.

Armelle s’écarte et, me prenant par le bras me fait venir entre les jambes de ma mère.

-Arno, fourre ta belle pine dans son cul et fais la jouir, elle en meurt d’envie !

J’ai une seconde de retenue et je l’encule d’un coup.

-Bourre cette salope Arno, elle va jouir et cracher son foutre.

Pendant que je l’encule, elle se fourre deux doigts dans la chatte pour se branler puis elle tape sur sa chatte, je sais qu’elle ne va pas tarder à jouir, Armelle faisant la même chose.

Dès qu’elle commence à jouir, j’accélère un peu, Armelle monte sur le lit et pose sa chatte sur la bouche de sa sour.

Son orgasme est assez brutal, je décharge sans sortir et Armelle déverse une grosse giclée dans la bouche ouverte.

Nous restons sans bouger un instant puis Armelle se lève, je sors ma pine nette de souillure, et ma mère se relève le sourire aux lèvres.

Ma pine débande doucement, elles s’assoient sur le lit et me font approcher.

-Arno, ne fais pas cette tête, ça devait arriver, tu le savais.

-Non, ça ne devait pas arriver, mais bon, puisque c’est fait.

-On dirait que tu n’as pas aimé ?

-Le problème c’est que j’ai aimé.

-Tu le regrettes ?

-Pour le moment non, mais va savoir ce que je penserais plus tard, ce n’est quand même pas normal.

-Ce n’est pas normal, tu as raison, mais peux tu me jurer que tu n’as jamais fait que des choses ’’normales’’ ?

-Je ne peux pas le jurer, c’est évident, mais ça, en plus de ne pas être normal, je dirais que c’est contre nature.

-Arno, pourras tu oublier ce que nous venons de faire ?

-Non, je ne crois pas ! Rien que d’y penser je rebande !

-Alors tu n’as qu’&agr

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