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Apolline et le fouet – Chapitre 1




Mes parents ont décidé de m’appeler Apolline : un prénom très sélect qui convient bien à mes origines bourgeoises. S’ils savaient à quelles turpitudes (ils appelleraient mes aventures comme cela !) leur fille adorée se livre avec un bonheur sans cesse renouvelé !

J’ai passé mon baccalauréat dans un grand lycée parisien, puis intégré une grande école. Cela ne m’empêche pas de pratiquer le sport à haut niveau. Je suis spécialisée dans les courses et obtiens mes meilleurs classements sur des longueurs variant entre 400 et 1500 mètres. J’ai rencontré Tom à l’école nationale du sport installée tout près de Paris. Tom est un beau gaillard champion de judo à qui je suis entièrement soumise.

De tous les jouets qu’il utilise avec moi, c’est le fouet qui me fascine le plus et qui me fait le plus vibrer. Je comprends parfaitement que, vu de l’extérieur, cet objet revête des connotations très négatives. Mais moi je n’y pense jamais. Dans ma tête, il est un objet de plaisir et rien d’autre. Souvenez-vous du trouble que nous avions, enfants, à voir Michèle Mercier fouettée dans Angélique et le Sultan C’est ce même trouble, mais immensément agrandi, que j’éprouve comme adulte lorsque Tom me fouette !

Le fouet n’est jamais une punition. C’est un cadeau ! Tom ne me fouette pas pour me faire mal, il me fouette pour stimuler mon plaisir Et sans doute le sien ! Une fois, j’ai bougé brusquement et un coup a mal porté. J’ai eu vraiment mal. Dans l’instant même, Tom a désamorcé ma douleur en frappant plus légèrement tout autour du point meurtri. Soulagement immédiat ! J’apprécie qu’il soit à ce point vigilant, décontracté, bienveillant et attentionné.

Tom fait preuve de beaucoup de concentration et maîtrise chacun de ses gestes. Notre complicité est totale. Quand je me fais fouetter, je joue ma peau, dans tous les sens du terme. Alors j’ai évidemment besoin de le faire en toute confiance. Je connais parfaitement Tom et il sait qui je suis. Ce que j’aime et ce que je n’aime pas. Ma peau, sous son fouet, est entre de bonnes mains.

C’est un fouet à lanière de cuir que nous avons acheté ensemble lors d’une journée à Amsterdam. Le fouet de Tom, c’est le prolongement de sa main, une main de velours dans un gant de fer. C’est une pluie de feu, une grêle de flammes qui s’abat sur moi sans trêve et qui m’amène très haut, très vite. C’est vraiment LE plaisir. Intense.

Quand ma peau est bien préparée, juste avant le fouet, la sensation de douleur ne dure que quelques secondes, aux deux premiers coups que je reçois. Puis je suis prise dans un maelstrom d’étoiles qui tourbillonnent, un feu d’artifice qui me saisit de tous côtés. Et comme je ne sais plus où donner de la tête, je la perds et je m’abandonne complètement à mes sensations.

Je serais bien incapable de préciser d’où vient la jouissance qui en découle : est elle sensuelle, sexuelle, cérébrale ? Pour moi, quand je la vis, c’est les trois à la fois.

Tout commence par le poids de l’attente. Quelque chose de lourd qui se prépare derrière moi. Une forme de crainte délicieuse. Et puis enfin le silence est soudainement brisé par l’air qui se rompt, fendu par le fouet. Un bruit particulier, un claquement sec mais léger et, dans le même instant, la mèche qui m’atteint et me mord. Sensuellement.

Le fouet, c’est comme une cérémonie. Plus cela dure et plus ma peau, mon corps, sont emportés dans une danse frénétique de ressentis étranges, un peu comme des vagues qui vont et viennent, qui ondulent et contractent mon bas-ventre. Sexuellement.

J’échappe totalement à moi-même, je me laisse aller, je lâche prise, je flotte La lanière du fouet, maniée amoureusement, effleure et mord mon dos, mes fesses, mes épaules, mes seins et mes cuisses En douceur. Elle est mon son seul lien avec la réalité. Parfois elle est douloureuse, parfois douce, toujours jouissive. Tom la fait danser sur tout mon corps. Il teste mes réactions, mon ressenti. Mon esprit est déjà loin, je ne ressens pas la douleur, mais un plaisir intense qui déferle en moi, une jouissance cérébrale puissante

Comme il faut de l’espace pour s’adonner à ce genre d’activité, nous avons aménagé les combles de notre maison qui sont entièrement dédiées à notre plaisir. Une seule pièce de cinquante mètres carrés, parquetée, avec des murs blancs et nus, des poutres apparentes munies d’anneaux métalliques, des cordes, un canapé en cuir noir, une caméra sur un trépied, un large écran de télévision et un grand lit seulement équipé d’un matelas couvert d’un drap unicolore.

Après la séance de fouet, nous faisons l’amour de façon plus classique, souvent en nous repassant le film que nous venons de tourner. Aujourd’hui, je suis à genoux sur le lit, en train de sucer la queue de Tom pendant que les images défilent sur l’écran de la télévision. On y voit Tom élégamment habillé (chemise, cravate, pantalon et chaussures de cuir noir), assis sur le canapé. J’entre en scène par le côté gauche de l’image, les mains jointes derrière les fesses. Je ne suis vêtue que d’une courte jupe très fluide et d’escarpins à talons de cinq centimètres. Je fais plusieurs allers et retours devant le canapé, à deux mètres devant Tom. Ma tête est droite, je regarde loin devant moi Jamais dans sa direction. Ma démarche est assurée, plutôt lente, ondoyante. Les muscles tendus de mes mollets sont très érotiques. Ma longue chevelure brune laisse cependant bien visible le creux entre mes omoplates tirées vers l’arrière. Lorsque je me retourne, mes petits seins montrent de belles aréoles brunes et peu étendues.

Mon ventre plat est magnifique !

Lorsque je juge que cette première étape de ma présentation est suffisante, je viens m’installer face à Tom et à la caméra et reste ainsi immobile quelques secondes, jambes écartées et reins cambrés. Puis j’attrape ma jupe à deux mains et commence à la soulever pour la faire passer au dessus de ma tête. Tom a beau connaître mon corps par cur, j’aime particulièrement ce moment où je me dévoile entièrement à ses yeux. Tout en continuant à sucer le membre de Tom, je me souviens d’une séance précédente où j’étais vêtue d’un très joli et agréable kimono de soie. J’avais défait la ceinture qui le retenait, en avait écarté les pans et l’avait fait glisser à mes pieds. J’avais beaucoup aimé l’effeuillage et la délicate caresse du tissu sur mes seins et mes fesses

Tom a joui une première fois dans ma bouche et il me baise maintenant en levrette. J’apprécie particulièrement cette position ! L’un des raisons de ma préférence est qu’elle permet à Tom, plus que d’autres où nos corps sont plus rapprochés, d’avoir une complète vision des zébrures qui marquent mes épaules, mes flancs et mes fesses. Le plaisir du fouet n’est pas seulement celui de la cuisante caresse de la lanière. Il perdure de longs jours. D’une seconde manière. Si je me fais fouetter, c’est aussi pour avoir cet autre plaisir qui est celui des marques. Elles peuvent paraître déconcertantes pour ceux et celles qui ne connaissent pas notre univers. Elles sont alors boursouflées, un peu éraflées. Mais qu’est-ce qu’elles me rendent fière et combien elles m’aident à me sentir belle et désirable ! Déjà le lendemain, elles se sont un peu estompées. La peau est redevenue plane. Il ne reste que les lignes écrites par la main de Tom. Et puis, de jour en jour, elles décroissent et c’est à regret que je les vois se flouter et disparaître l’une après l’autre.

Tom me laboure les reins. Ses yeux et ses doigts caressent chacune des très sensibles zébrures rouges laissées sur ma peau. Ils profitent de mes réactions. Sur l’écran, la nature des images a un peu changé. Je suis debout au milieu de la pièce. J’ai les deux poignets retenus par des cordes aux poutres du plafond. Mes bras forment un grand V et les liens me permettent de plier un peu les coudes. Mes jambes sont libres et je suis face à la caméra. Mon ventre et mes seins sont déjà un peu rougis par le fouet. Tom s’est arrêté un instant, s’est rapproché de moi et me caresse avec le bout du manche de son joujou. Puis il s’écarte de nouveau et je sais qu’il va de nouveau me gratifier de délicieuses morsures. Un premier coup sur le ventre m’arrache un petit cri et fait vibrer mon corps perché sur mes hauts talons. Deux ou trois soubresauts me font onduler de manière très excitante. Mes genoux se serrent et se plient un peu, faisant pointer mes fesses. Tom en profite ! Un coup un peu plus violent cingle bruyamment mon large postérieur ainsi exposé.

La caresse me redresse et me fait rejeter la tête en arrière et écarter un peu les jambes. La lanière atteint alors le haut de la cuisse gauche. L’endroit est très sensible. La morsure m’arrache un cri plus fort que les autres. Mes genoux plient, mes cuisses s’écartent largement, ma tête tombe à la renverse et mes bras tendus sont entièrement suspendus aux liens qui me maintiennent debout. Le pied droit et le talon gauche momentanément décollés du sol, les muscles du mollet gauche bien dessinés, la taille fine au-dessus de mes hanches généreuses, le corps tendu comme un arc, je suis excitante à souhait. Pendant que mes jambes sont encore bien disjointes et que mes reins sont bien cambrés, Tom choisis de viser à nouveau mes fesses. Sa violente caresse m’arrache un autre cri. Je me mords les lèvres. Mon corps se tourne un peu de côté et mon genou gauche remonte très haut, comme si je voulais protéger mon postérieur avec ma chaussure. Lentement, Tom tourne autour de moi. Je le regarde, pour qu’il sache tout mon orgueil d’être son sujet d’attentions

Le fouet qui nous unit plus fort que tous les liens, fait de son plaisir l’égal reflet du mien. Associées aux allers et venues de son membre dans mon sexe, ces images nous procurent à tous les deux un violent orgasme pratiquement simultané. J’aime les instruments de Tom, celui de cuir qui me stimule de plus en plus, et celui de chair qui le complète merveilleusement.

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