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RENCONTRE EN VILLE – Chapitre 1




Rencontre en ville

Bonjour

Je vais vous raconter une nouvelle histoire vraie qui m’est arrivée il y a 3 ans. Je suis marié depuis plus de 15 ans et comme la routine s’est installée dans mon couple, je ne rate jamais une occasion de faire une rencontre.

Cela s’est passé un samedi. J’étais parti en ville acheter mon journal et, en sortant de chez le buraliste, j’aperçois à environ 50 mètres devant moi une femme d’environ 55 ans, en mini jupe, avec un haut blanc très sexy et une couleur de cheveux qui ne passait pas inaperçue.En effet des cheveux de couleur rouge, ça attire lil. Plus elle se rapprochait de moi et plus mon regard se faisait insistant sur cette femme. Mon regard passait de sa jupe ultra courte à sa poitrine que je devinais très généreuse sous son chemisier très ouvert. Elle me croisa en me regardant et je lui fis un sourire qu’elle me rendit. Puis, elle continua son chemin et je la suivis du regard. Je la vis entrer dans la boulangerie du coin. Elle en ressortit deux minutes plus tard avec une baguette dans la main. Comme elle revenait dans ma direction, je me mis moi aussi à marcher vers elle. A environ 5 mètres de moi, elle me fit de nouveau un sourire qui me décida à l’aborder. Je lui ai dit bonjour puis la complimentai sur sa tenue et sur son style que je trouvais vraiment sexy. Je m’attendais à ce qu’elle parte mais, au lieu de cela, elle engagea la conversation en me disant qu’elle adorait s’habiller comme cela et qu’elle aimait voir le regard des hommes se poser sur elle. Sur ces paroles, je me décidai à l’inviter à boire un café dans le bar d’à côté. Elle accepta et nous entrâmes dans le café ; tous les regards des mecs qui préparaient leurs tiercés se posèrent sur elles et, plus particulièrement, sur sa poitrine et ses fesses. Cela n’avait pas l’air de la déranger. On s’installa à une table, puis on se mit à discuter de sa vie, et de la mienne. Elle me dit qu’elle était divorcée et moi je lui avouai que j’étais marié. Elle apprécia ma franchise. Et la conversation continua. Je lui ai dit que je la trouvais très sexy et que j’aimerais bien aller plus loin avec elle. Comme cela était réciproque, on échangea nos numéros de téléphone. Devant revenir à la maison (j’étais parti depuis plus d’une heure et demie et je devais rentrer car ma femme m’attendait) je luis demandai si, le lendemain, elle était libre vers 10 heures. Elle me dit oui. Je lui donnai donc rendez-vous pour le lendemain devant le café.

Je me rendis au lieu du rendez-vous le lendemain en me demandant si elle serait vraiment là. Je fus vite rassuré car, en arrivant dans la rue, je l’aperçus. Je me garai à côté et, après être descendu de la voiture pour lui dire bonjour, je lui demandai ce qu’elle voulait faire. Elle me répondit directement : "on va essayer de trouver un coin tranquille en campagne". Je ne me suis pas fait prier et je l’invitai à monter en voiture. Je la conduisis à un endroit tranquille à la sortie de la ville où j’avais déjà été avec mes rencontres précédentes. Arrivés sur place, on passa à larrière de la voiture. Je l’embrassai directement pendant qu’une de mes mains se frayait un chemin sous son chemisier à la recherche de ses seins, puis je lui ôtai son chemisier et son soutif afin de libérer sa poitrine. Celle-ci faisait au moins du 105 D, et ses seins retombaient sur son ventre. Je me mis à lécher ses tétons qui ressemblaient à des grosses tétines. Pendant ce temps, elle défit ma ceinture de pantalon et glissa une main dans mon boxer. Elle commença à faire des va-et-vient sur mon sexe qui bandait déjà depuis pas mal de temps. Au bout de quelques minutes, on arrêta nos caresses pour complètement nous déshabiller. Puis nous nous mîmes en 69. Elle me suçait la queue tout en malaxant et en jouant avec mes couilles. C’était sublime. Moi, j’avais écarté ses lèvres au maximum avec mes doigts, et je suçais et lui titillais le clito. Elle mouillait vraiment très fort. Elle commençait à pousser des cris qui se firent de plus en plus forts, et elle jouit assez rapidement. Après avoir repris ses esprits, elle sortit de la voiture et s’allongea sur le capot de la voiture. Elle me demanda de la prendre dans cette position. Je présentai mon sexe au niveau de sa chatte et je la pris d’un seul coup. Puis je commençai à faire des va-et-vient. A chaque fois que je poussais en avant, elle venait à la rencontre de mon sexe. Elle ne cessait de me dire de la pilonner, de la baiser comme une salope, ce que je fis avec beaucoup d’entrain et de plaisir. Au bout de quelques minutes, je sortis ma queue de sa chatte et je la retournai. J’avais envie de ses fesses. Comprenant ce que j’attendais d’elle, elle se cambra bien en avant et me présenta ses fesses. Je passai mes doigts sur sa chatte pour récupérer de la mouille que je mis sur l’orifice de son cul. Je fis pénétrer un, puis deux doigts et fit quelques mouvements pour la préparer. Je présentai ma bite au niveau de ses fesses et, dès qu’elle sentit ma queue, elle poussa son corps pour se faire empaler le plus loin possible. De mon côté, je la laissai faire pendant une minute, puis je la pilonnai en la traitant de sale pute, de grosse salope et de sale chienne. Elle me répondait en me disant de bien la baiser, daccélérer, de la lui mettre bien au fond. Je la tenais par les hanches et je la pilonnais de toutes mes forces, je sentais que j’allais bientôt exploser, mais je ne voulais pas jouir en elle, je voulais éjaculer sur son visage de salope. Alors, avant d’atteindre le point de non retour, je me retirai et je la mis à genoux, je lui mis directement mon dard dans la bouche et elle me suça ; je la tenais par les cheveux et je lui imprimai le rythme à tenir. Puis je la fis arrêter de me sucer, et je pris ma queue en main. Je me masturbai en lui demandant d’ouvrir la bouche. J’éjaculai au bout de cinq ou six mouvements de ma main. La première giclée alla dans sa bouche, qu’elle sempressa d’avaler, les autres allèrent sur son visage et dans ses cheveux. Quand jeus fini de jouir, elle me nettoya avec sa bouche.

Après que nous nous fûmes rhabillés et qu’elle se fut refait une petite toilette, je la ramenai chez elle. On s’est revus deux ou trois fois après et, à chaque fois, se fut toujours aussi chaud.

Merci de me laisser des commentaires sur cette histoire réelle et, si vous vous voulez me rencontrer, c’est sans problème.

A bientôt.

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