Rhabillée et allongée sur mon lit, jessaie de calmer mon excitation en lisant un bon livre. Javoue trouver un peu le temps long et me demande quand toute cette bande aura fichu le camp car je voudrais bien me mettre au lit et, accessoirement, me faire enfin jouir. Mais il ny a pas vraiment de limite horaire à cette fête, les parents viennent chercher leurs gamins quand ils lont décidé et certains ont prévus de rester dormir à la maison.
Au bout d’une demi-heure à poiroter, je commence à être fatiguée et constatant que la fête se calme un peu, je décide daller me préparer pour aller au lit.
Dans la salle de bain, jenlève mes vêtements, dont mon string, bien humide de toute cette excitation accumulée et jenfile ma nuisette. Je suis en train de me démaquiller lorsque la porte non verrouillée de la salle de bain souvre. Un gamin, apparemment bien ivre, entre et se dirige en titubant vers la cuvette des toilettes sans même me voir. Puis il vomi tout ce qu’il a ingurgité dans un bruit affreux et s’allonge sur le carrelage frais de la salle de bain. Ecurée et perdant patience, je descends dans le salon et crie à mon fils:
— Théo ! Un de tes copains sest évanoui dans son vomi dans la salle de bain Tu vas me le ramasser et nettoyer tout ça.
Je ne men suis pas rendu compte, mais tout le monde a les yeux fixés sur moi car je suis en nuisette courte et quasiment transparente. A ce stade je ne pense plus du tout à exciter qui que ce soit mais il faut admettre que je me sens presque nue devant tout le monde.
— Et il est plus de minuit, donc vous calmez le jeu avec la bibine ou je fous tout le monde dehors, cest clair ? Je vais me coucher, je ne veux plus rien entendre !
Je repars dans ma chambre en espérant que la soirée ce finisse vite. Je suis plus frustrée que jamais, je regardé du porno, jai sucé le voisin, je me suis mise en sous-vêtements devant tout le monde, jai caressé des jeunes filles magnifiques et malgré tout ça, je nai pas joui !! Alors jarrête là : je vais au lit, je me branle et ça ira pour ce soir !
Je me glisse donc dans mon lit et commence à lire un roman érotique. Jai pris cette habitude depuis quelques temps pour calmer mes pulsions les soirs où je suis seule. Tout en parcourant les pages, ma main droite glisse sur mon ventre et je commence à me caresser doucement. Je prends mon temps, je fais durer le plaisir, je lai bien mérité. Alors que lhéroïne de mon roman se fait prendre dans une ruelle par des inconnus, je fais tournoyer mon doigt sur mon clito et lenfonce de temps en temps dans mon sexe trempé. Je conserve un rythme modéré mon faire monter le plaisir doucement et continue de lire. Je baisse le drap qui me recouvre et écarte généreusement les jambes en fléchissant les genoux. Je continue à stimuler mon clito, mais avec deux doigts cette fois-ci et sens le plaisir grandir en moi.
Dans mon livre, lhéroïne est à présent prise dans tous les trous par des inconnus qui les relaient pour lhumilier et la baiser sans répit pour elle. Cela me renvoie aux différents gangbang auxquels jai participé et où jétais réduite à une salope à qui on pouvait faire nimporte quoi et qui en redemandait ! Jai alors envie non, BESOIN, daccélérer mes caresses. Je pose mon livre et me concentre sur mon plaisir. Ma main droite accélère tandis que je glisse ma main gauche sous mes fesses. Jenfonce un doigt dans mon cul et me frotte frénétiquement le clito de toute mon autre main. En bas, jentends les voix des jeunes, certes de moins en moins nombreux au fur et à mesure que leurs parents viennent les chercher, mais qui continuent à faire la fête. Je mimagine au milieu de la pièce, prise en tournante par tous ces ados surexcités, les mecs me baisant la chatte et le cul, les filles frottant leur chatte sur mon visage enduit de mouille.
Je prends un pied denfer et décide de calmer un peu le jeu pour en profiter encore. Je diminue le rythme, me doigte un peu, joue avec mon anus puis ré-accélère pour me finir.
Mais à ce moment, jentends des bruits de pas dans le couloir, non loin de ma chambre. Jéteins ma petite lampe, remonte la couverture sur moi et arrête pour un instant mes caresses, et surtout mes soupirs et gémissements quune oreille indiscrète pourrait tout à fait entendre depuis lextérieur. Non de dieu, on ne peut pas se branler tranquillement dans cette maison ou quoi ??
Les murmures se font discrets mais sont clairement devant ma porte. Jimagine alors quil sagit de ma fille montant se coucher mais jentends distinctement des murmures masculins. Hugo est absent ce soir, et que viendrait faire Théo devant ma porte alors que ça chambre est à lautre bout du couloir ? Je commence à ménerver en me disant quil sagit sous doute dados bourrés qui viennent mettre le bazar à létage. Mais contre toute attente, je vois, malgré lobscurité, la poignée de ma porte se baisser et la porte sentrouvrir. Je ferme alors les yeux et fais semblant de dormir en espérant quils jettent juste un il et partent. Mais la porte souvre un peu plus et jentends des bruits de pas dans ma chambre.
Je ny crois pas : deux potes de mon fils viennent dentrer dans ma chambre alors que je suis en train dy dormir, même pour de faux, et referment la porte derrière eux. Ils ne vont quand même pas me violer avec tout le monde quil y a en bas ?? Sans savoir comment réagir, je reste immobile, prends de grandes respirations comme si je dormais profondément et attends de voir ce qui se passe.
Jentends des chuchotements :
— Cest une mauvaise idée, je te dis Elle va se réveiller et va le dire à Théo
— Tinquiète, elle est montée depuis un moment et tu as vu les bières quelle a bu Regarde elle ronfle presque !
— Mais tu vas faire quoi ? La regarder dormir ?
— Faut absolument que je la vois à poil Elle m’a rendu fou tout à l’heure quand je lui ai touché le cul. Et tu as vu sa nuisette après, cétait à raz de son cul et on voyait presque les tétons à travers. Elle mexcite de trop !! Passe de lautre coté du lit et éclair la avec ton portable.
— Ok, mais je dis que cest une mauvaise idée
Nous y voilà ! Deux mecs, dont celui à qui j’avais permis de toucher le cul veulent profiter de mon sommeil, alourdi par lalcool selon eux, pour me mater Si ce nest que ça, je veux bien jouer le jeu encore un peu et les laisser faire. Dautant que, comme vous vous en doutez, je suis moi-même très excitée.
Je métais allongée sur le coté, dos à la porte, jambes repliées sur moi, en peu en ftus. Mes fesses sont donc tendues vers le leader du groupe, uniquement couvertes par un drap et une courte nuisette. Je sens un doigt effleurer le drap au niveau de mon cul puis une main se poser délicatement sur le tissu.
— Tes fou ! La touche pas elle va se réveiller !!
— Mais non, je lai déjà fait quand ma sur dormait Si elle ne bouge pas, cest quelle dort profondément. Elle ferme là, cest toi qui vas la réveiller !
Du coup, je ne bouge pas et le laisse me toucher la fesse. Il accentue un peu la pression pour la serrer un peu plus et surtout se déplace vers lintérieur, vers mon entrejambe.
— Je peux presque sentir sa peau tellement le drap est finVas-y, profites-en aussi !
Lautre, sans doute mis en confiance par mon absence de réaction, commence aussi à tenter des choses. Au travers du drap, il me caresse dabord la cuisse, pose sa main à divers endroits, dont ma fesse quil palpe également. Puis je sens son halène très prêt de moi et constate quil prend de grandes respirations le nez dans mes cheveux. Je le sens également saisir le drap au dessus de mes épaules pour le descendre un peu, centimètre par centimètre. Cela donne une idée au leader qui lui aussi saisit le bord du drap et le soulève pour découvrir mes fesses. Heureusement, ma nuisette, qui nest quand même si courte, couvre bien mon cul. Malgré tout, mes épaules et le haut de ma poitrine étaient découverts, ainsi que mes fesses. Une main se pose dailleurs sur ma nuisette, au niveau de mon cul et me caresse doucement. Le petit pervers remonte un peu ma nuisette à chaque caresse pour découvrir un peu plus à chaque fois le haut de mes cuisses.
— Oh putain, je touche son cul !! Jy crois pas cest trop excitant
— Pareil, je bande à mort, je vois presque ces nibards
Effectivement, cest excitant ! Cette sensation de me faire déshabiller contre mon grès, cette impression dêtre victime, même consentante, dune agression sexuelle me fait frémir dexcitation. Dautant que, même si cest un jeu pour moi, les garçons croient réellement que je suis endormie et abusent donc de ma faiblesse pour me toucher et me déshabiller. Il y a un fabuleux gout dinterdit, une tension palpable qui fait battre mon cur à fond.
Tandis que celui derrière moi me caressait les fesses en tirant délicatement sur ma nuisette, lautre devant baissait petit à petit le drap sur ma poitrine. Je sens lair frais de la nuit sur mon bras et mon torse et sais maintenant que le drap doit être au niveau de mon ventre. Etant sur le coté avec les bras rabattus sur moi, laccès à ma poitrine nest pas facile mais je sens tout de même un doigt meffleurer le haut du sein. Puis sa main vient saventurer sur le coté de mon sein et me le caresse très doucement.
— Putain !!! Je touche son sein ! Il faut absolument que jarrive à lui baisser son haut !
— Vas pas trop vite mec, elle finira bien pas bouger un peu et on pourra continuer
Alors que lun palpait péniblement une partie de mon sein au travers de la nuisette, lautre progressait bien au niveau de mes fesses. Ma nuisette était bien remontée et le bas de mes fesses devait être bien visible. Sa main frôlait ma cuisse nue et du bout de doigt il jouait avec le rebondi de mon cul.
— Je vois son cul et elle a pas de culotte ! Mais je ne sais pas si elle porte un string
— Putain fais voir !
Il délaisse alors mon sein et se concentre sur mes fesses. Il tire un peu plus sur le drap pour révéler presque toute ma jambe droite. Il tente sa chance et me touche ma fesse en passant sa main sous ma nuisette. Mais le mouvement est moins discret et je décide quil est temps de montrer des signes de vie et de leur donner dautres accès.
— Arrête, elle bouge !!
Je me retourne en effet pour me mettre de lautre coté, face à la porte en rabattant un peu le drap sur ma poitrine comme si javais froid et en faisant un « mmmhhh » de gène. Durant les secondes et les minutes qui ont suivis, je nai plus entendu un bruit. Je savais quils étaient encore là mais ils devaient être pétrifiés.
Dans cette position, mon bras gauche trainait dans mon dos, laisser un accès plus facile à mon sein et seule une de mes jambes était fléchie, lautre étant un peu plus tendue et bloquait l’accès à mon entrejambe. Javais hâte de voir ce quils allaient faire.
Au bout de quelques instants, ils se remettent à me toucher. Ils me palpent à nouveau les fesses pour voir si je réagis et, devant mon apparent profond sommeil, passent à la vitesse supérieure. Le drap qui me couvrait est progressivement enlevé. Ils le relèvent par le bas pour exposer mes jambes et mes fesses et par le haut pour révéler ma poitrine. Toujours aussi discrètement, ils relèvent le bas de ma nuisette. Centimètre par centimètre, je sens mes fesses être mises à nu, ainsi que le bas de mon ventre. Ca y est ! Ils me déshabillent !
— Bordel de bordel ! Regarde-moi ce cul Et elle ne porte rien, faut absolument quon voie sa chatte !
— On va aussi essayer de baisser le haut pour voir ses nibards
Je sens alors quils rabattent le drap encore un peu plus sur mon ventre. Un main se pose sur mon sein accessible et me masse doucement. Au travers de ma nuisette, ils repèrent mon téton et me le titillent du bout du doigt.
— Tu sens ? Elle pointe ! Elle dort mais je crois qu’elle est excitée Si ça se trouve elle mouille !!
Et comment que je mouille ! Ses attouchements clandestins réalisés par de jeunes mâles qui pensent abuser de moi mexcitent au plus haut point.
Les choses continuent de progresser. La main qui me caressait le sein passe doucement sous le tissu de ma nuisette pour me le caresser à même la peau. La main qui me palpait les fesses nues saventure vers mon entrejambe. Lendroit étant difficilement accessible, je sens juste un doigt saventurer entre mes cuisses et nêtre quà quelques centimètres de mes lèvres. Ils deviennent de plus en plus entreprenants : le nud qui attache ma nuisette sur mon épaule droite est défait et le tissu est rabattu au niveau de mes côtes Ca y est : jai un sein à lair !
La vision de mon gros et beau sein ainsi dénudé et mon de mon entre-jambe à portée de doigt doit les exciter au plus haut point car ils deviennent de moins en moins prudents et expriment un peu bruyamment leur joie de me voir presque à poil. Ils caressent à deux mains mon sein et jouent avec mon téton. Ils glissent leurs doigts entre mes fesses caressant ainsi les environs de mon sexe. Puis je sens quelque chose qui na plus rien à voir avec une main Lun deux est en train de donner des petits coups de langues sur mon téton pendant que lautre essaie décarter mes fesses pour voir ma chatte.
— Mec, regarde !! On voit son trou du cul !
Effectivement, autant ma chatte restait solidement cachée entre mes cuisses, autant mon anus pouvait se voir facilement dans cette position. Un doigt humide se pose alors sur mon petit orifice et le caresse avec instance.
Trouvant quils allaient un peu loin pour ne pas réagir, je décide de bouger un peu. Mais comme il était hors de question pour moi que le jeu sarrête là, je me place simplement sur le dos, jambes légèrement écartées, bras simplement posés mon ventre. Je sais que dans cette position, je suis facilement exposée et je veux voir jusquoù ils iront dans leurs attouchements. Cela fait déjà dix bonnes minutes quils « abusent » de moi
A nouveau, ils attendent quelques secondes avant de réattaquer. Mais cette fois-ci, plus de caresses au travers dun tissu : ils essaient de me dessaper ! L’un soccupe de défaire le dernier nud qui tenait le haut de ma nuisette et la baisse jusquà mon ventre, révélant et massant ainsi mes 2 seins. Lautre soccupe du bas et remonte le tissu également jusquà mon ventre pour découvrir, enfin, ma chatte.
— Oh bordel, jy crois pas ! Regarde comme elle est bonne ! Elle est à poil devant nous, jambes écartées
— Cest énorme !! Mais je crois qu’il faudrait se tirer maintenant.
— Tes fou !! On va pas partir alors quelle est à poil et moitié dans le coma ! Déjà faut que je photographie ça !!
Même si jai les yeux fermés, je discerne des flash qui prouvent quil immortalise la scène. Etant censé être endormie, ça ne me dérange pas : si jamais il montre ces photos, cela prouvera quil a abusé de mon sommeil. Ce n’est donc pas son intérêt.
Je pensais quaprès le shooting, ils allaient en rester là et partir. Mais je ne mattendais pas à ce qui a suivi. Je sens en effet un doigt se poser sur mon sexe et commencer à me caresser la vulve doucement.
— Elle est trempée mec !! Et regarde, elle ne réagit pas ! Viens, on va essayer de la doigter un peu
— Tes complètement malade elle va se réveiller !
— Je te dis que non, tiens regarde
Il venait en fait de menfoncer le bout de son doigt dans la chatte. Et, évidemment, je ne me réveillais pas, ce qui le mit en confiance. Il pousse dailleurs sa chance et continue de l’enfoncer en décrivant de légers allers-retours.
Ce doigt pourtant discret me fait frémir de surprise et de plaisir et je ne peux retenir un petit gémissement.
— Attends ! Dis alors celui qui regardait à son pote pour qu’il retire son doigt. T’as entendu ?? Je crois qu’elle aime ça…
Me rendant compte de mon erreur mais voyant que les garçons de se doutent toujours de rien, je poursuis sur ma lancée et décide de les laisser me doigter jusqu’à l’orgasme en prétendant être toujours endormie.
Je me trémousse donc légèrement, toujours prétendument dans mon sommeil et écarte un peu les jambes en murmurant à peine :
— Mmmm, encore…. mmmmhh Marc, encore….
— Tu entends ?? Elle rêve que son mari la doigte ! Et elle en redemande…
— Et bien, il ne faut surtout pas la décevoir…
Celui qui m’avait mis un doigt me masturbe à nouveau, doucement, pour ne pas me sortir de mon prétendu rêve et l’autre passe de l’autre coté du lit et s’occupe de ma palper les seins et de ma caresser le clito. J’étais terriblement excitée et je ne voulais pas qu’un énième événement m’empêche de jouir. Je me languis donc dans mon sommeil en incitant mon mari à continuer ce qu’il faisait, à accélérer aussi.
Le mouvement du doigt s’accélère dans ma chatte et celui sur mon clito aussi. Le plaisir monte vite d’autant que j’écarte les cuisses de plus en plus. L’autre, tout en titillant mon clito me lèche les tétons, les seins, le cou et enfonce même sa langue dans ma bouche ouverte et gémissante pour effleurer la mienne. Celui-ci qui était le plus prudent et réticent à cela jusqu’à présent semble céder à l’excitation. J’entends distinctement un mouvement de va-et-vient à quelques centimètres de mon visage. Il est en train de se branler sur moi !
D’ailleurs, le leader est également surpris et lui dit de se calmer. Celui-ci, par contre, ne se calme pas dans ma chatte et me doigte vraiment adroitement. Mes gémissements et mots semi-endormis l’incitent à continuer alors que l’orgasme monte enfin. Puis, alors que sa langue a remplacé le doigt de son copain sur mon clito, la jouissance me submerge. Pour ne pas en faire de trop, je retiens ma voix et me contente de soupirer profondément de plaisir et de me trémousser dans mon lit.
Puis, après qu’ils aient cessé de me toucher, je me retourne pour me mettre sur le ventre, jambes écartées et fais mine de menfoncer dans un sommeil profond, espérant quils partiraient. Mais je sens au contraire quils restent dans la pièce. Celui à droite du lit continue de se branler à quelques centimètres de mon visage et je me demande sil ne va pas finir par me juter dessus. Je me dis dailleurs que sils pouvaient se finir vite fait sur moi, ce serait un moindre mal. Mais celui qui ma doigté sextasie devant mon cul ainsi exposé :
— Regarde-moi ce trou du cul ! Tu crois quelle sest déjà faite enculée, cette salope ? Il faut absolument que je lui mette un doigt dans le cul
Et il sexécute aussitôt et menfonce un doigt humide dans mon anus. Il insère dabord une phalange puis, ne sentant pas de résistance, il enfile tout le doigt. Je commençais à me lasser un peu de ce petit jeu, dautant que maintenant que javais jouis, je voulais dormir. Avec lobjectif quil se branle et se finisse vite, je fais mine daimer son intromission et tends un peu les fesses en sa direction en écartant davantage les jambes. Ce petit salop commence alors des allers-retours dans mes fesses auxquels je réponds par des gémissements discrets.
— Putain, elle aime ça ! Jen étais sur, elle aime se faire enculer cette salope Oh putain, jen peux plus il faut que je la baise !
— Quoi ?? Mais tes malade ?? Tu vas. NON !
Mais avant que lautre est pu lempêcher dagir, je sens quil retire son doigt et monte sur le lit, avec à peine de discrétion. Et sans que je sache comment réagir, je sens son gland forcer lentrée de ma chatte.
A suivre…
