Mon époux m’avait fait l’amour dans le salon. Je devrais même dire qu’il a pris plaisir à me besogner et à jouir en présence de son frère. Je ne savais plus vraiment où me mettre car c’était un homme d’église. Alors que la semence de mon époux coulait le long de ma jambe, je saluais poliment cet homme.
Mon époux et son frère sinstallèrent dans les deux fauteuils face à la cheminée. J’attendais que l’on me dise de disposer tout en les écoutant parler de tout et de rien. Mon époux me fit signe d’approcher. Son regard en disait long sur ses intentions. Je ne pouvais me refuser à lui, même si la présente du père me gênait au plus au point.
Je m’installais à même le sol entre ses jambes. Il me présenta son sexe. Je l’avalais dans toute sa longueur et avec vigueur je lui faisais honneur.
— Alors mon frère, que penses-tu de ma nouvelle épouse ?
Ils avaient repris leur conversation alors que j’étais là à genoux à le sucer.
— Je n’en vois pas assez pour le dire, fut la réponse du père.
Brusquement, mon époux a dévoilé ma poitrine.
— Et ainsi ?
— C’est mieux.
— Au toucher, c’est meilleur, fit mon époux en me pinçant les tétons.
Ce fut plus fort que moi, je fis entendre mon plaisir. Mon époux m’enfonça plus profondément son sexe dans la gorge. Des mains ont soulevé mes jupons et ce n’était pas mon mari. J’aurais voulu protester mais mes lèvres étaient fortement demandées. On me caressa le sexe.
— Elle est toute mouillée, fit le prêtre.
— Alors profites-en, répondit mon époux.
Un sexe que je ne connaissais pas entra dans mon intimité. J’aurais voulu hurler mon désaccord. Je ne pouvais pas. Les deux hommes me besognaient des deux côtés et prenaient un plaisir évident. Plus ils grognaient, plus j’avais envie de les sentir en moi. Mon époux fut le premier à décharger. Javalais tout son liquide car je savais qu’il n’aimait pas le gaspillage. Le frère de mon époux se déchargea à son tour dans un grognement.
— C’était trop bon, fit-il.
— Les surs ne s’occupent pas assez de toi.
Je restais là au sol ne comprenant pas vraiment ce qu’il venait de se passer. A les entendre, cela semblait normal de laisser son frère besogner son épouse.
— Ma chère, fit mon mari.
Il semblait chercher ces mots alors je le laissais faire.
— Voilà quelques années, j’ai fais une mauvaise chute de cheval. Par chance, cela n’a pas coupé mon envie de la chair.
Il me caressait les seins tout en parlant.
— Toutefois, il se trouve que malgré mes désirs de procréer, j’en sois incapable.
— Mes vos deux défuntes épouses ont été grosses.
A ce moment là, mon beau frère s’approcha de moi. Il me caressa l’autre sein et le pinça. Je ne sais pas pourquoi, j’adorais ça et j’ai gémi. Avec douceur, il prit la suite des explications de mon époux :
— Caroline, sa première épouse, était un ange. Elle n’a jamais su qu’une nuit, j’ai pris la place de mon frère dans le lit conjugal. C’était une nuit unique mais cela a bien été utilisé. Elle porta le premier enfant de mon frère. Glisser entre ses cuisses et la besogner furent intéressant mais elle n’avait pas votre imagination pour donner du plaisir.
En expliquant cela, il m’embrassa. Mon mari reprit les explications m’écartant les cuisses. Les deux hommes jouaient avec mon corps tout en racontant leur passé :
— Louise détestait que je la touche. Je pouvais encore moins lui faire cela.
A cet instant, sa bouche goûta mon intimité. Comment ne pas aimer un tel baiser.
Mon beau frère reprit l’histoire alors que je gémissais sous leur caresse.
— La nuit de noce a été difficile pour mon frère. Elle n’a pas arrêté de pleurer. Je ne pouvais donc entrer incognito dans son lit faire ma petite affaire. Nous avions peur qu’elle se fasse du mal alors il a été décidé d’aller en campagne. Nous avons une petite maison à labri des regards. Nous avons fait boire à la jeune femme une potion. Elle fut tout de suite plus à même de répondre à nos envies et je t’assure que nous avons bien jouis. A notre retour, elle portait les fruits de nos jeux.
Je savais que les deux femmes étaient mortes en couche. Cela arrivait si souvent. Mon époux m’a retournée pour que je lui présente mes fesses. Je savais ce qu’il m’attendait. Il glissait son sexe dans mon cul qu’il avait bien souvent visité. Sans aucune honte, j’ai pris le sexe de mon frère dans la bouche et je les ai laissé faire leur petite affaire. Je dois avouer que j’aime les sentir en moi.
Ils me donnèrent beaucoup de plaisir. A la fin, je ne savais plus à qui appartenait le sexe en moi et je m’en fichais. Lorsque tout fut terminé, mon époux me demanda tout de même un peu inquiet :
— Cela ne tennuie pas que notre enfant ne soit pas tout à fait de nos uvres.
— Non, déclarais-je en toute sincérité, seulement, je ne voudrais pas que cette histoire sorte de cette pièce.
Je ne voulais pas que mon enfant ou moi-même soyons traité d’avortons alors que nous réalisons le souhait de mon époux. Celui-ci comprenait vraisemblablement où je voulais en venir.
— Bien sûr, à l’avenir, mon frère te rejoindra dans le lit en toute discrétion.
— Non ! Pas question de faire cela sans mon époux. Qu’importe qui est dans mon lit si mon époux s’y trouve. Dans le cas contraire, cela est de la tromperie.
Mon explication n’était pas vraiment celle que j’avais en tête mais je n’ai rien trouvé d’autre. Mon époux devait être dans mon lit si il désirait un enfant. Mon époux semblait d’accord. Il m’embrassa et fit avec douceur :
— Vous aurez deux hommes dans votre lit ma douce et cela jusqu’à la grossesse tant attendue.
Le regard de mon époux en disait long sur les nuits qui m’attendaient. J’en frissonnais de plaisir. Vivement la nuit et le moment de gagner le confort de mon lit…