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En camp naturiste avec ma mère – Chapitre 1




Bonjour,

Je m’appelle Kevin.

Il faut que je vous raconte l’histoire incroyable qui m’est arrivée avec ma mère cet été.

Nous avons l’habitude avec mes parents d’aller passer l’été dans des clubs naturistes de la côte méditerranéenne ou Atlantique.

Ce sont des vacances dont je garde de très bons souvenirs. La nudité, dans ce milieu, est considérée comme naturelle, j’y étais habitué. Voir mes parents nus et moi même être nu en leur présence ne me posait pas de problème.

L’été dernier, mes parents avaient à nouveau réservé au village naturiste où nous allions régulièrement depuis quelques années. Mais juste avant de partir, mon père a annoncé à ma mère que son boulot l’envoyait en mission à l’étranger. Il était très déçu, mais il a insisté pour que nous ne changions pas notre planning, même sans lui. Nous sommes donc partis tous les deux tous seuls avec ma mère pour 15 jours de vacances.

C’est avec plaisir que nous retournions au village naturiste. Nous avons retrouvé notre appartement, nos amis rencontrés là bas au fil des années, tout cela sans rien changer à nos habitudes. La seule chose qui changeait était que cette fois, ma mère et moi étions seuls, en tête à tête… Ca avait son importance, car un peu plus que les autres années, je sentais que j’avais mûri, et mon regard sur les femmes avait beaucoup changé.

Dès le premier jour où nous sommes arrivés au village, lorsque j’ai vu ma mère se déshabiller devant moi, j’ai compris que les choses n’allaient pas se passer comme d’habitude. Elle a retiré son soutien gorge, jeté sa petite culotte sur une chaise, puis s’est tournée vers moi et m’a dit :

"ha j’ai tellement hâte d’aller me baigner ! On y va tout de suite ? "

Je l’ai trouvée incroyablement belle, d’une sensualité torride. Elle me faisait face dans toute sa magnifique nudité sans rien dissimuler de ses charmes : grande, blonde, les hanches larges, les fesses charnues, les seins lourds, son sexe épilé bien fendu… Tout cela m’émerveillait, m’excitait beaucoup plus que d’habitude..J’eu un peu honte de ressentir de tels sentiments mais c’était une réalité qu’il m’était impossible d’ignorer…

Bien sûr, de son coté, elle n’avait pas de raison de se méfier plus que d’habitude : je restais son fils chéri et en général une maman n’a pas de raison de se méfier de son fils…

Je pouvais donc l’admirer à ma guise. Elle restait nue à la maison comme à la plage. Je ne la quittais plus du regard, et dès qu’elle avait les jambes un tant soit peu écartées, je ne me privais pas de profiter de la vision de son sexe épilé, ces petits bourrelets de chaire brune et rosée qui formaient ses petites lèvres, qui dépassaient un peu des grandes, vers l’ouverture de son vagin…

Je n’avais jamais pensé à ma mère comme objet de fantasme érotique, mais je me rendais compte qu’il suffisait de pas grand chose pour passer le pas…

Au fur et à mesure que la semaine se passait, je me rendais compte que mon attirance pour elle ne faiblissait pas, et le fait d’être toute la journée nu à coté d’elle ne me simplifiait pas la tâche. Il m’était difficile de cacher cette excitation et certaines érections intempestives venaient trahir mon trouble.

La situation n’était pas si commode pour moi. Mal à l’aise, excité, obnubilé par la nudité de ma mère, j’avais du mal à rester calme le jour et je n’arrivais pas à dormir la nuit. …

Et puis un jour, j’étais sorti l’après midi seul pour aller prendre un bain. En revenant à l’appartement j’ai entendu de la musique dans le salon. La porte était entrouverte. J’ai alors aperçu ma mère à moitié allongée dans le canapé, yeux fermés, jambes écartées, en train de caresser sa chatte. D’une main elle maintenait les deux grandes lèvres de son sexe ouvertes, et de l’autre titillait nerveusement son clitoris. Visiblement elle prenait du bon temps en solitaire…

Avec la musique, elle ne m’avait pas entendu rentrer et je suis resté un moment à la regarder se masturber, effaré et subjugué.

Elle faisait pénétrer ses doigts dans son vagin, les ressortait, puis, avec ses doigts trempés venait titiller son clitoris, tout ça très rapidement.

Lorsque elle ouvrit les yeux et me vit sur le pas de la porte, elle tenta de se ressaisir, mais c’était trop tard : elle était en train de jouir. Elle ne put arrêter sa main sur son sexe et la laissa achever le travail commencé. Elle referma alors les yeux et poussa un gémissement de plaisir étouffé.

Moi, rouge de honte et de confusion, je fonçais dans ma chambre.

Un moment après j’entendis ma porte de s’ouvrir. Ma mère entra dans ma chambre, l’air un peu coupable quand même.

— Tu sais c’est rien, c’est juste comme ça ! essaya t elle de se justifier… Et puis ça t’arrive jamais, à toi ?

Bien sûr que si, ça m’arrivait de me masturber ! Assez souvent même. Mais à priori j’avais toujours réussi à faire ça discrètement et jamais en sa présence… Je n’osais avouer à ma mère que le soir seul dans mon lit, c’était à elle que je pensais, à ses seins, son sexe…

Ma mère insista, comme si elle devait me consoler.

— Allez fais pas la tête, c’est pas grave !

En disant ça, elle se collait contre moi, ses seins magnifiques et volumineux pressés contre mon bras. En même temps, je sentais un malaise grandir. Imperceptiblement mon sexe avait commencé à grossir. J’espérais que ma mère ne s’en aperçoive pas…Je déplaçais discrètement mes mains sur mon bas ventre, et à force de concentration, je réussis à maîtriser mon début d’érection. Mais ma mère n’était pas dupe. Elle avait bien perçu mon trouble…

— Tu sais, je ne suis pas idiote, Kevin. Je vois bien ce qui se passe. Si tu te sens gêné, si tu veux, on peux s’habiller. Je mets une culotte tout de suite si tu veux…

— Non, non ! ca va maman…

— Bon alors tu veux quoi ?

Ma mère avait l’air désemparée. Elle sentait bien ma gêne et ne savait que faire.

— Kevin, écoute, on doit rester ici encore 1 semaine. Je vois bien que depuis qu’on est arrivé tu n’arrêtes pas de me mâter. Tu n’as pas l’air d’aller très bien… Si on doit rester ici encore une semaine ensemble, il faut crever l’abcès. Parfois il vaut mieux regarder les choses en face plutôt que d’ignorer ce qui se passe. Tu ne peux pas rester dans cet état là. Allez, fais voir, enlève tes mains.

— mes mains ? mais…

Je maintenais mes mains sur mon bas ventre pour dissimuler mon sexe…

— Oui tes mains. Allez, laisse moi faire, après ça ira mieux.

N’ayant pas d’autre choix, je lui laissais le champs libre. Lorsque ma mère pris ma queue dans ses mains, elle se mis à raidir, durcir assez fortement…

Elle commença alors à me masturber lentement. Sa main était d’une telle douceur, ses gestes d’une telle précision, qu’il ne lui fallu pas très longtemps pour obtenir de ma part une érection assez impressionnante…

— Tu veux me caresser aussi ? me demanda ma mère, écartant les jambes, me présentant sa chatte…Si tu en as envie, Kevin, si ça peut t’aider, alors vas y, laisse toi aller…

Répondant à l’injonction maternelle, j’avançais ma main vers sa fente. Je caressais doucement la douce petite touffe de poils blonds qu’elle laissait sur son pubis. Puis je descendais mes mains vers sa vulve et m’aventurais à introduire un doigt entre ses lèvres.

Mon doigt dans la chatte de ma mère ! Je trouvais ça complètement fou. Je n’arrivais pas à croire que c’était vrai. Et pourtant je sentais bien la douceur de son vagin, sa chaleur. Très bizarrement je constatais qu’elle était humide. De l’excitation ? Ma mère était donc elle aussi excitée ? Je n’arrivais pas à y croire.

En même temps elle continuait à me masturber. Je bandais comme un cheval, incroyablement échauffé par les soins divins dont elle avait le secret.

Elle aussi trouvait son plaisir : mes doigts ressortirent trempés de sa chatte, ce qui ne faisait que m’exciter encore plus.

— C’est bon ça, mon chéri…Ecoute, je te propose de me mettre autre chose que tes doigts…Tu vois ce que je veux dire, hein ?…Je pense que tu en as vraiment envie et je ne vois pas d’autre solution pour régler le problème. Après ça ira mieux, tu verras… Mais promets moi une chose : personne ne doit rien savoir, et surtout pas ton père ! Promis ?

— Promis maman.

— Allez, viens passe derrière moi.

Elle se mis devant moi à genoux, me présentant son cul. J’avais vu sa chatte sous tous les angles depuis une semaine. Mais là les circonstances étaient complètement différentes : ma mère me proposait rien de moins que d’y mettre ma queue.

Sa chatte était légèrement entrouverte, luisante d’un liquide qui trahissait son excitation. Elle attendait que je vienne la pénétrer. Alors, j’y suis allé, j’ai poussé ma queue vers sa vulve.

D’abord mon gland qui força un peu le passage. Puis, ma mère étant tellement large, je fus comme aspiré à l’intérieur. Rapidement ma queue avait disparue dans ses entrailles, arrachant quand même à ma mère un gémissement plutôt agréable à entendre.

Voir ma queue entrer en elle, cette chatte qui m’était déjà si familière, fut une chose incroyable.

— Allez, mon chéri, vas y. Ca fait un moment que tu en as envie. Baise moi !

L’injonction de ma mère m’excita au plus au point. J’ai alors commencé des mouvements de va et vient frénétiques. Je l’ai baisée comme ça de longues minutes qui furent incroyablement délicieuses. Je l’ai attrapée par les hanches et lui envoyais de grands coups de reins, ce qui avait pour effet de la faire gémir de plaisir, ce qui m’encourageait à poursuivre ma besogne.

— Ho oui, c’est bon ça ! Baise moi, vas y !

De temps en temps, je ralentissais le rythme, me couchais sur elle, par derrière, et venais lui attraper les seins par devant, ces deux gros tétés bien remplis qui me faisaient fantasmer depuis que j’étais gosse.

Sa grosse poitrine dans les mains, ma queue dans sa chatte, j’étais au paradis…

Puis je recommençais à la tringler avec toute l’envie accumulée les derniers temps.

Mais la tension nerveuse était trop forte. J’avais de mal à me maîtriser.

— Maman, je vais …

— ok mon chéri, vas y, libère toi ! Gicle en moi !

Encouragé par ma mère assez fière au final de m’exciter de la sorte, je me lâchais en elle.

La jouissance fut telle que j’eu l’impression que ça ne s’arrêtait plus, que giclaient de ma queue des litres de mon jus.

Lorsque ma mère se retira de ma queue, sa chatte dégoulinait de sperme. Moi j’étais complètement groggy, comme anesthésié par la jouissance…

Ma mère se redressa, s’essuya la chatte, toute souriante, puis me déposa un baiser sur le front.

— C’est bien, mon chéri. Tu vas bien dormir ce soir, tu verras…

Et elle sortit de ma chambre…

Ma mère avait raison. J’étais calme et détendu. Je passais une excellente nuit. Le lendemain la situation avait changé. Il n’y avait plus de frustration, plus de gêne. J’avais fait ce que tout jeune homme rêve de faire un jour : baiser sa mère. Voilà, c’était fait. Je pouvais passer à autre chose. Bizarrement mon excitation avait disparue.

Ma mère aussi semblait rassurée. Nous avons donc fini les vacances très agréablement.

Le dernier jour des vacances, quand même, ma mère est venue me voir.

— Ecoute mon chéri, demain on rentre à la maison. Les vacances seront finies. Les choses seront différentes. Ton père sera là, ça sera notre vie normale qui va reprendre… Alors je ne devrais pas te proposer ça, mon fils, mais la dernière fois c’était bon, tu sais, et pour marquer le coup, la fin des vacances, on peut recommencer, si tu veux, comme l’autre jour…Une fois, juste une, la dernière, ça sera notre secret…

Et là dessus elle se rapprocha tout près de moi, et une dernière fois avant que je ne la cache définitivement, elle pris ma queue dans sa main…Elle la mis dans sa bouche et me prodigua une fellation incroyablement délicieuse.

Puis elle s’allongea sur le dos.

— Allez, viens mon chéri, viens baiser ta maman ! …

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