Corrigé par Redflag
Une thérapie très spéciale
Chapitre 2
LES AVEUX SOUS LA TORTURE
Les personnages :
— Nicole, 43 ans, Mère de Louis, épouse de Charles
— Louis, 18 ans, fils de Charles et Nicole
— Charles, 51 ans, père de Louis, mari de Nicole
— Docteur Annie Leblanc, 45 ans, sexologue
Elle se lève du pouf, ce qui met terme à la jolie vue de sa culotte.
« Bon…, avant toutes choses, sache que ceci doit rester entre nous, d’accord ?
.. Ça me met très mal à l’aise et il est hors de questions que quelqu’un, dans notre entourage, l’apprenne… !
.. Ni tes copains, ni tes profs et, ni même ton père, est-ce clair ? Lui demande Nicole, sur un ton froid pour cacher sa nervosité.
Oui, bien sûr, je comprends,, maman !
Très bien, voilà ce que l’on va faire, tu vas monter dans ta chambre, te déshabiller et m’attendre sur ton lit, OK ?
Euh, oui !
Ah oui, mets une serviette sous tes fesses, car la sexologue m’a prescrit de te mettre une pommade pour soulager ton prépuce qui lui semblait rouge à cause de tes activités récentes ! »
Louis monte dans sa chambre avec un certain trouble, il faut bien avouer que c’est pas tous les jours que l’on se fait branler par sa propre mère.
Nicole retourne dans le bureau et prend le gel et un échantillon vide, au passage, elle se regarde dans le miroir de la pièce.
C’est une brune, les yeux verts, en amande, le visage fin, les boucles d’oreilles, mélange d’or et de diamant, son rouge à lèvre rouge vif, lui donnent un air sérieux, stricte, toujours bien habillée, bien coiffée et doit, pourtant, se résoudre à franchir les limite du tabou.
Quelques minutes plus tard, elle monte dans la chambre de son fils.
Les excuses vont bon cur dans l’esprit de Nicole, « C’est pour la santé de mon fils, c’est pour qu’il puisse bien suivre ses études ! ».
Mais un côté en elle sait qu’une certaines flamme de curiosité lui donne envie de revoir ce gros membre qu’elle a vu cet après-midi.
Couché sur son lit comme sa mère lui a demandé, mais gêné, il bande et il lui est impossible de calmer cette ardeur, sachant que dans quelques minutes, son membre sera entre les mains de sa mère.
Il a donc mit une serviette sur son entrejambe pour garder une certaines pudeur.
On frappe à la porte :
« Louis…, c’est bon, tu es prêt ?
Oui…, c’est bon !! »
Elle entre, la pièce est sombre, comme pour rajouter une touche épicée à ce moment intime, elle sassied sur le lit, à côté de lui.
Au passage, elle aperçoit la serviette qui forme une tente, elle avale sa salive
« Bon, tu es nu, c’est bien, je vais enlever la serviette et nous allons commencer, OK ? »
Le garçon hoche silencieusement la tête, son cur bat à cent à l’heure pendant que sa mère se tourne, dos à lui, en direction de ses pieds.
Sans plus attendre, comme pour finir le plus rapidement cette besogne, Nicole retire la serviette. Instantanément, la colonne de chair veineuse voit le jour, long et gros, pointant fièrement vers le haut.
Le gland couronne, triomphalement, à moitié sorti du prépuce.
La voilà enfin de nouveau face à face avec ce volume de chair masculine, ses yeux ne peuvent s’en détacher.
Elle a quand même le temps de remarquer que son père semble bien moins monté que son jeune garçon.
Le docteur Leblanc disait vrai, Louis est doté dun sexe extraordinaire pour son âge, est-ce une chance ou un handicap ?
Louis trouve le silence long, cela le rend encore plus nerveux.
« Maman…, y a un problème ?
Hein ?! Euh, non…, non, ça va…, ça va ! »
Louis n’est pas conscient que sa mère est terriblement troublée par sa verge, pensant, naïvement, que celle-ci est tout simplement horrifiée de faire ça avec lui.
Il l’a toujours désirée, peut-être que sa timidité d’aller vers les filles la aidé.
Louis a aussi toujours désiré les femmes mûres, portant des jupes et des bas. À l’école, il aimait regarder ses profs féminines, habillées comme cela, ainsi que les femmes quil croisait dans la rue ou dans le métro.
Sa mère ne fait pas exception, toujours habillée super classe. Arrivé à l’âge où les hormones commencent à travailler, lui, a commencé à aimer jouer les voyeurs sur sa propre mère, ses jambes gainées de nylon, les talons aiguilles qui ajoutent une certaine courbe sexy à son corps, l’excitent au plus haut point.
Bref, sa maman est devenue, petit à petit pour lui, une femme nommée désir et sa volonté à y être contre, était battue facilement.
Nicole toute tremblante, fait couler du gel sur ses doigts.
« Bon, je te passe le gel, mon chéri, attention, ça peut être froid ! »
Doucement, sa main se rapproche de son sexe et le touche, Louis sursaute à cause de la froideur du gel.
Elle se surprend à apprécier la chaleur et la douceur de la peau.
Instinctivement, Nicole étale le gel de partout, Louis la regarde sans un mot, la bouche entrouverte.
« Bon, je vais te prendre dans ma main et commencer à te masturber ! »
Délicatement, elle prend le sexe en main…, première surprise, son pouce et son index n’arrivent pas à se rejoindre, une preuve irréfutable que son époux est moins gros que son fils.
Linstinct féminin fait le reste, Nicole commence les va-et-vient que mène sa main, de la garde jusqu’au gland.
Louis ferme à moitié les yeux et ouvre grand la bouche, jamais il na été touché par une femme, c’est trop bon.
Le corps de Nicole réagit, lui aussi, faut dire qu’avec son mari, les séances amoureuses se font rares, en ce moment.
Là voilà, maintenant, avec une grosse queue entre les mains, oui c’est la bite de son fils, mais merde…, une bite, c’est une bite.
Elle l’entend respirer fort, elle se pose des questions :
« Louis…, ça va ? Je nte fais pas mal ?
Ah non…, ooh, maman, je suis désolé…, mais, mais, c’est trop bien !!! »
Elle ne dit rien, mais maintenant, elle sait qu’il est en train de prendre son pied.
D’un côté, ça la rassure…, et ça lexcite aussi
À un tel point qu’elle va lui dire la chose qui va tout changer à l’avenir.
Elle stoppe ses va-et-vient et tourne son visage vers Louis, la queue toujours entre les mains.
Son fils, surpris, ouvre les yeux et la regarde :
« Dis-moi, qu’aimes-tu chez les femmes ?
Quoi ? Ben, je nsais pas !!
Louis, allons, il y a bien quelque chose que tu dois aimer chez une femme ! » Lui dit-elle, sévèrement.
En fait de la discussion, Nicole espère emmener son fils à parler de ses envies de la regarder constamment.
Louis rougit par la demande, il baisse les yeux et se frotte nerveusement les mains.
« Ben, euuuh, jn’sais pas, je….
J’ai remarqué que tu aimais regarder mes jambes, parfois, tu aimes les femmes qui portent des bas, Louis ?
Mais, mais, mais…, pourquoi tu demandes ce genre de choses, maman ?!!! »
Louis panique devant la persévérance de sa mère et il a peur que son attirance envers elle soit démasquée.
« Si je te demande ça, c’est pour savoir tes goûts, afin que je sache comment te stimuler davantage pour que tu puisses éjaculer plus facilement !
.. Louis, je te rappelle que si je fais ça, c’est pour ta santé ! »
Mensonge, Nicole aimerait surtout que son fils lui dise, de vive voix, qu’elle l’excite depuis pas mal de temps.
« Bon, alors, tu me réponds, qu’est-ce qui te plaît à regarder mes cuisses ?
Ben…, en fait, j’adore…, j’adore te voir en jupe !
Oui, et c’est tout ? »
Elle recommence à le branler, le jeune homme réagit aussitôt à la torture.
« Pourquoi aimes-tu me voir comme ça, Louis, dis moi ?
Ohh, oh, je…, car, car j’aime voir tes jambes habillées de tes bas, maman… !
Mes bas, comment sais-tu que porte des bas, dis moi ? »
Elle accélère encore plus le mouvement, emmené par le désir, le bassin de Louis commence à bouger de gauche à droite.
« Oooooh maman, je…, mmmm, je sais, car des fois, sans que tu le saches, ta jupe se remonte quand tu conduis ou sur le canapé et je vois le haut de tes bas. !
.. Aaaah…, et des fois, aussi ta culotte !!!
Je ne le savais pas…, et…, tu aimes, tu aimes voir mes culottes ?
.. Tu sais que ce n’est pas bien !
Aaah, oui maman, je suis désolé, ce n’est pas bien, c’est vrai…, tes culottes, tes jolies petites culottes, oooh, mmm ! »
Les yeux fermés, Louis ne voit pas que par ses aveux, sa mère est en train de remuer son cul contre le matelas, comme pour camoufler son puissant orgasme.
Elle regarde sa bite qui palpite sous les rapides va-et-vient de sa main.
« Maman, je viens, je viens…, aaaahh !!! »
Sortie de sa transe, Nicole approche l’échantillon au gland et le sperme jaillit à plein flot, frappant le fond du gobelet. Pendant tout ce temps, Nicole continue à le branler en ce mordant les lèvres.
Avec la quantité de sperme versé, elle comprend, finalement, qu’il en avait bien besoin.
Le silence se fait dans la chambre, seule la respiration du Jeune homme se fait entendre.
Nicole referme la boîte.
« Bon, je pense que tu dois être soulagé, n’est ce pas ?
Oui…, merci maman !! »
Elle se tourne et lui fait un bisou sur le front, lui disant bonne nuit.
« Maman ?
Oui, mon chéri ?
Tu…, tu m’en veux de ce que je t’ai dit ?
Par rapport à quoi ?
Ben, par rapport à tes bas et tes culottes !
Non, je suis surprise, c’est sûr, mais pas fâchée !
C’est vrai ?
Puisque je te le dis !
Et…, tu penses que j’aurais le droit de…, de voir encore, si c’est non, je comprendrai, maman !
Écoute, comme je te l’ai dit, tout à l’heure, si cela peut t’aider à venir, alors tant mieux !
Tu veux dire que tu es d’accord ?
Oui, sil faut passer par là pour que tu soies mieux, alors, je ten montrerai plus, la prochaine fois… !
.. Bon, je suis crevée, bonne nuit, mon chéri !
Bonne nuit, maman ! »
Nicole ferme la porte, la discussion a excité de nouveau le petit Louis, d’ailleurs le voilà qui bande de nouveau.
Les prochains jours semblent promettre, en tout cas, c’est ce qu’il se dit, tout en commençant à se masturber.
« Oh putain, maman, c’est trop bon !!! »
Bientôt la suite…
historikito
