Anthony

Ladolescence est un moment clé dans la vie de chacun dentre nous. Nous passons notre temps à se poser des questions sur nous-mêmes, à mettre lautorité de nos parents en question, découvrir notre corps, vivre nos premières déceptions sentimentales Oui, le passage de lenfance à ladulte ne se fait pas dans la facilité mais chacun dentre nous est obligé dy passer. Dans lannée de mes seize ans, je me rendis compte que je passais beaucoup plus de temps à regarder les garçons plutôt que les filles. En réalité, jétais toujours vierge à cet âge et le franchir le cap ne minquiétait pas plus que ça.

Néanmoins, une rencontre allait bouleverser ma jeune existence et me permettre, par la même occasion, davoir mes premiers rapports. Cétait une fin daprès-midi de septembre. Le jour commençait à décliner à lhorizon et moi, je me trouvais déjà dans le centre-ville. Installé sur un banc en métal, attendant tranquillement le bus qui devait me reconduire chez moi, je vis une jeune fille de mon âge prendre place à mes côtés, sur ma gauche. Suite à cela, je repris mon mal en patience car le bus nallait pas arriver avant une bonne demi-heure.

Jaurais très bien pu faire mes devoirs pour me passer le temps mais je dois avouer que je nétais pas connu pour être un élève des plus sérieux. Les exercices attendront un bon moment avant que je mattarde dessus voir jamais. Soudain, des insultes fusent et attirent ma curiosité. De suite, je lève la tête et vit arriver un duo de jeunes adolescents connus de celle qui se trouvait à mes côtés. Face à ce comportement agressif, il était normal quelle réagisse de la même façon et bien sûr, les deux garçons sapprochaient pour lembêter un peu.

Lun de ces deux jeunes hommes attira ma curiosité. De suite, je lai trouvé très beau. Il était châtain, la peau mât, les yeux marrons, plutôt grand et très svelte. Je ne cessais de lobserver tandis quil se déplaçait en courant, afin déviter les coups de sacs que tentait de lui donner ladolescente. A ce moment, je mourrais denvie de connaître son prénom et là, jentendis un :

« Je vais te déglinguer Anthony ! »

Merci mademoiselle de me donner un coup de mains. Donc, ce joli garçon qui ne cesse de gesticuler sous mes yeux se nomme Anthony. Voilà un bien beau prénom pour un être dont la beauté ne me laissait guère indifférent. Toutefois, je ne me nourrissais daucun espoir. Jamais je naurais la chance de le revoir car cet instant nest juste quun simple aléa de la vie et je me dois très vite descendre de ce nuage de pensées délicieuses.

Plusieurs jours passèrent et lutopie de le revoir au hasard disparût très vite. Toutefois, jallais bien être amené à le rencontrer de nouveau et surtout, une solide amitié allait naître entre nous deux. Un après-midi alors que je rentrais de cours, ma mère minforma derrière ses fourneaux que mon petit frère invitait lun de ses amis à dormir à la maison tout un week-end. Daccord, pourquoi pas ? De toute façon, vous faîtes bien ce que vous voulez, je men fous complètement.

De ma part, elle na pas obtenu aucune réaction car la première chose que je voulais faire était de me réfugier dans ma chambre pour lire les mangas que je venais tout juste dacheter. Le reste de la journée défila tranquillement et jentendis mon frère monter dans sa chambre, en compagnie de son fameux copain. Dans la cage descalier, je lai entendu lappeler par son prénom : Anthony. Décidément, il fallait croire que le destin semblait vouloir sacharner sur moi et au fond de moi, je me disais que ce garçon nétait sûrement pas aussi beau que celui que je connaissais. Lorsque ma mère nous appela pour le dîner, je sortis de ma chambre et descendit de létage.

Et là, bonheur complet. Celui qui allait se tenir à mes côtés autour de la table nétait autre quAnthony et quen plus, cétait celui que javais pu admirer quelques jours plutôt. Le revoir me fit vraiment plaisir et lorsque je pris place sur ma chaise, je décidai de discuter avec lui afin de le connaître un peu. Au bout dun quart dheure, mon frère était ravi que je mentende si bien avec son camarade de classe car je ne métais pas rendu compte quon narrêtait pas de parler. Le courant passait bien entre nous deux et lévidence quune amitié était en train de se tisser sautait aux yeux.

Après sêtre restauré, je quittai la cuisine pour retourner dans ma chambre, seul endroit de la maison où je me sentais vraiment le mieux. A la base, je suis un garçon discret et solitaire, plutôt indépendant. De plus, comme je traversais ma période existentielle, il valait mieux que je reste loin de tout pour gérer cette crise du mieux que je le pouvais. Alors que mon frère se prépara pour prendre sa douche, Anthony me demanda sil pouvait rester avec moi dans ma chambre. Comme je ny voyais aucun inconvénient, il obtenu un oui de ma part.

Et pendant que mon frangin était à létage en-dessous, Anthony et moi continuons de renforcer notre amitié naissante. A la suite dune conversation, il me demanda dêtre son grand-frère puisque le sien vivait à des centaines de kilomètres, le faisant souffrir par la même occasion. Comme jy voyais là une bonne occasion de mapprocher de lui, jacceptai volontiers une fois encore. Au fur et à mesure de ses nombreux week-ends chez nous, je découvris que sous ses airs de petit branleur, Anthony était un garçon très sensible et qui ne cessait de souffrir. Très tôt, ses parents ont divorcé et sa mère est partie vivre dans la capitale, en emportant son grand-frère sous le bras.

Ensuite, son père soccupait très peu de lui puisque ce dernier était occupé entre son travail, ce qui était normal, et courir les jupons une fois ses dures journées terminées. Ouais, Anthony était livré à lui-même et il en avait marre que personne ne sintéresse à lui, que personne ne soccupe de lui mais surtout, que personne ne laime. Touché par son histoire, je pris la décision de le prendre sous mon aile et de lui apporter toute lattention dont il manquait. Bien sûr, en nouant une telle complicité, notre relation commençait à attiser de la jalousie chez mon petit frère qui nhésitait pas à menacer Anthony de ne plus linviter en week-end. A cela, le joli garçon lui répondit quil se foutait complètement puisque cest moi qui linviterais par la suite, ce qui nétait pas faux du tout.

Un vendredi soir alors que mes parents faisaient une fête au rez-de-chaussée avec des amis et quAnthony était là, je me sentais fatigué au point que je me suis mis au lit très tôt cette soirée là. Dès que ma tête se posa sur loreiller, je me suis senti glisser dans les bras de Morphée très rapidement. Alors que je dormais profondément, jentendis une petite voix à lintérieur de mon rêve. Cette voix me demandait simplement si elle pouvait jouer à la console. Pensant que cette question appartenait à mon songe, je répondis oui sans trop my attarder. Les minutes passèrent et je dormais toujours.

Au bout dun moment, je commençais à entendre de la musique, des bruits, des voix et je me demandais si cela venait bien de mon rêve. Jouvris les yeux et là, je vis ma télévision allumée devant laquelle était assit Anthony, jouant à la console. De suite, je compris que la question nétait pas de mon songe mais bien de lui. Rapidement, je massois sur mon lit et je mapprêtais à prendre Anthony dans mes bras comme javais lhabitude de le faire lorsque jentendis du bruit. Je risquais un il par-dessus son épaule et aperçus mon petit frère qui avait pourtant pas le droit dêtre dans cette pièce.

Fidèle à moi-même, je lui ordonnai de quitter ma chambre, chose quil a faite difficilement, en tentant de me convaincre quil pouvait rester. Un non catégorique fut prononcé et Anthony vint me rejoindre en lui demandant de partir, ce quil fit finalement. Bien sûr, sa jalousie augmenta sensiblement et là encore, de nouvelles menaces à lencontre du garçon faisant battre mon cur furent prononcées. Résultat, on sen moqua puisque javais reçu lapprobation de ma mère pour inviter Anthony lorsque jen ressentirai le besoin. Suite à cela, le calme revint dans ma chambre et le jeune adolescent reprit sa partie là où il lavait laissé.

Tendrement, je lenlaçai dans mes bras et commença à le recouvrir de bisous. Cela ne le dérangeait nullement puisque javais prit lhabitude de lui en faire depuis plusieurs jours. Un moment, Anthony se retira de mon étreinte pour se pencher en avant. Là, il éteignit la console puis la télé avant de se remettre dans mes bras. Étant dans le noir, je me penchai à mon tour sur le côté pour saisir linterrupteur de ma lampe de chevet.

Très vite, une lumière douce illumina la pièce et je vins me placer correctement derrière mon protégé. Je me sentais bien en layant dans mes bras et lui aussi. Plusieurs minutes défilèrent sans que lun dentre nous fasse le moindre geste lorsque tout à coup, Anthony tourna son joli visage vers le mien.

« On fait quoi ? »

Me demande-t-il. Nayant aucune idée de distraction, je lui répondis que je lui laissais le choix de choisir notre nouvelle occupation. Évidemment, si on devait samuser ensemble, je ne laurais plus contre moi et cela me faisais bien chier. Toutefois, ce quil allait me proposer ne mintéressa pas plus que ça mais bon, tant que je partageais un moment avec lui, je nallais pas faire la fine bouche. Anthony ne me proposa rien de plus de me chamailler fraternellement avec lui.

Jacceptai bien que jaurais voulu quil me propose quelque chose dautre et me voilà attrapant ma taie doreiller pour tenter de létrangler avec. Comme il ne sy attendait pas, le garçon ne répliqua nullement à mon agression pendant plusieurs secondes. Ensuite, il parvient à se dégager puisque mon étreinte nétait pas assez robuste pour le maintenir dans cette position. Jaime Anthony et je ne ferais jamais rien qui pourrait lui faire du mal. Il le sait très bien et en profite pleinement, cet enfoiré.

Peu de temps après, je me retrouvai allongé sur mon matelas, Anthony assis sur mon torse. Dans cette position, je pouvais encore bouger mes bras mais il attrapa mes poignets pour les maintenir contre mon lit. Je tentais duser de ma force pour me libérer mais je fus étonné de découvrir quavec un corps si frêle, Anthony pouvait dégager autant de puissance. Vaincu, je capitulai et je ne me suis pas privé pour lui dire. Ne voulant rien savoir, ladolescent quitta mon torse pour placer ses genoux de chaque côté de ma tête.

Dans cette position, je me retrouvai juste en-dessous de son entrejambe et je regrettai que mon jeune ami ait toujours son pantalon. Sil avait été en caleçon, jaurais prit le risque de lui passer ma langue à lendroit même où se trouvait son attirail sexuel mais là, je ne pouvais rien faire. Soudain, Anthony commença à imprimer des mouvements de va-et-vient au niveau de son bassin et se lâchait complètement.

« Vas-y, suce-moi, cest trop bon, oh oui ! »

Suite à ce comportement, je partis dans un fou rire et bientôt, Anthony maccompagnait tout en arrêtant de bouger la partie inférieure de son corps. Lorsque nos rires cessèrent, on se regarda dans les yeux, se demandant bien ce quon nallait pouvoir faire. Cest là que je pris la décision de bousculer les choses pour savoir si javais mes chances avec lui. Sil me répondait négativement, jespérai quon pourrait rester ami mais surtout, frangin et sil me répondait positivement, je serais le plus heureux des hommes. Cependant, au moment où jallais lui déclarer ma flemme, Anthony me devança.

« Cest bizarre mais je commençai à bander pendant que je faisais mon chaud du bassin.

— Tu es sérieux ? Demandai-je.

— Ouais et là encore, rien que den parler me mets dans un état. »

Anthony sempoigna le sexe à travers le tissu du pantalon et me vit admirer la forme de celui-ci. Visiblement, il semblait plutôt long et à cette vision, cest ma verge qui sallongea doucement à lintérieur de mon caleçon.

« Tu veux que je te branle ? Lui proposai-je.

— Ouais, ça peut être sympa.

— Cool. Dans ce cas, allonge-toi sur mon lit sil te plait.

— Entendu. »

Anthony exécuta ma demande et une fois installé sur mon matelas, je me glissa à la hauteur de son entrejambe et attrape lélastique de son pantalon. Je fis descendre légèrement ce premier vêtement et vit une magnifique bosse pointant fièrement sous le tissu rouge de son boxer. Voir sa queue dans un tel état augmenta ma propre excitation et il ne me fit pas longtemps pour libérer son membre de sa prison de textile. Je trouvais sa queue vraiment splendide. Bien longue pour un garçon de son âge, plutôt épaisse et elle semblait vouloir quune seule chose : quon soccupe delle.

Je décidai de ne pas perdre de temps car une personne pouvait très bien monter à létage et me voler ce moment de bonheur. Du coup, je memparai très vite de son chibre que je commençai à masturber tout doucement. Au premier passage, je le décalottai et je pus admirer son gland violacé qui était assez imposant. Mes caresses senchainèrent et très vite, Anthony dû ouvrir la bouche pour mieux respirer. Mon envie de le sucer se fit de plus en plus forte et je me faisais violence pour ne pas limplorer.

« Suce-moi sil te plait. »

Me proposa-t-il alors que je ne pensais pas du tout quil accepterait volontiers de se faire pomper le nud par un mec. Il ne fallait pas me le demander deux fois. Son gland disparu aussitôt dans ma bouche et voilà que ma langue se promena sur toute sa surface. Là encore, Anthony rencontra des difficultés pour respirer puisque des gémissements se manifestèrent de son côté. Fallait croire que cette fellation lui faisait le plus grand bien et le savoir me remplit de joie.

Au fur et à mesure que je le suçais, je ne tardai pas à lui dévoiler tout mon art en lui faisant à plusieurs reprises, le coup de la gorge profonde. A chaque fois que sa verge disparaissait entièrement dans ma bouche, le jeune garçon ne put retenir ses expressions de bien-être. Au bout dun moment, je voulais savoir ce quil pensait réellement, par perversité peut-être.

« Alors, tu trouves ça comment ?

— Cest super bon, tu vas continuer jespère ?

— Bien sûr. »

Et à la fin de cette conversation, je repris ma tâche de le soulager complètement. Cette fellation dura plusieurs minutes lorsquà un moment, Anthony me surprit une nouvelle fois.

« Je peux te sucer sil te plaît. »

Ne mattendant pas à cette proposition, je libérai son membre de ma bouche pour savoir exactement jusquoù il voulait aller.

« Tu nes pas obligé de me le faire par politesse tu sais. Si je te fais ça, cest parce que jaime, cest tout.

— Je sais mais jai vraiment envie et en plus, cela sera ma première fois.

— Daccord. »

Je quittai ma position pour mallonger à ses côtés. Ensuite, Anthony se glissa pour se retrouver à la hauteur de mon bassin et ne sattarda pas à baisser mon pantalon et mon sous-vêtement. Ensuite, il mastiqua avec une grande rapidité et une certaine violence que je lui demandai de se montrer plus doux. Docile, le jeune adolescent ralenti la cadence et peu de temps plus tard, je vis ma tige se glisser entre ses lèvres. Pour un débutant, je le trouvais plutôt doué.

Me voilà à mon tour victime du plaisir et je sentis les nombreux frissons parcourir mon corps à chaque passage de sa langue sur ma verge. Pour mieux apprécier ce moment, je fermai les yeux et me concentrai uniquement sur le bien fou que me faisait mon jeune partenaire. Tout à coup, il changea sa position pour moffrir son cul à portée de mains. Comme jétais complètement novice concernant cette zone, je décidai que je pouvais désormais tout me permettre avec Anthony. Sans lui demander le moindre avis, je glissai un doigt le long de sa raie et je caressai tout doucement ce joli chemin dessiné dans le creux de ses fesses.

Un moment, je proposai à Anthony de prendre la position dite du soixante-neuf afin que je puisse le sucer en même temps. Bizarrement, le jeune homme refusa, poursuivant la pipe quil était en train de moffrir. Reculant davantage son postérieur vers moi, je compris quil voulait que je poursuive mes caresses de ce côté. Se pourrait-il quAnthony se découvre via ce premier rapport sexuel mais surtout, quil soit passif ? Sil voulait que je le pénètre, jaccepterai bien volontiers.

Là, lextrémité de mon index trouva lentrée de son intimité et alors que je mapprêtai à lenfoncer, nous entendîmes un bruit. Cétait la porte se trouvant au pied de lescalier qui venait tout juste dêtre ouverte. Comprenant de suite quune personne allait monter les marches, on se dépêcha de mettre un terme à nos jeux sexuels pour shabiller correctement. Ensuite, jattrapai un livre alors quAnthony ralluma la télévision et la console. Quelques secondes plus tard, mon frère entra dans sa chambre et cette frayeur dêtre surpris nous quitta très vite.

Jétais en colère de navoir pu terminer mon travail mais en plus, je navais pu récolter le sperme de mon amant pour men délecter. Néanmoins, alors que jétais déçu et énervé, jétais encore loin de mimaginer que notre nouvelle relation nétait quà ses débuts. Pourquoi ? Parce que plus tard, Anthony viendra me trouver dans ma chambre pour sollicite mes faveurs, une nouvelle fois.

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