Nous sommes restés allongés un moment à même le sol dans les bras l’un de l’autre. Je suis aux anges, je vis un des meilleurs moments de ma vie, mais tout bonheur a une fin…
Lorsque Marie lève les yeux vers la pendule, il est 18h, prise de panique, elle se lève.
Je suis désolée Fabrice, va t’en, s’il te plaît… je t’en supplie, Stéphane va bientôt rentrer…
OK, je file, on se rappelle…
Je me rapproche et j’essaie de l’embrasser, mais elle me repousse… je comprends, ça fait beaucoup pour elle. Je prends à peine le temps de me rhabiller, je sors et rentre chez moi non sans avoir un poids sur l’estomac.
Cette nuit-là, je n’ai pas réussi à dormir, à la fois excité (pas sexuellement) par ce qu’on a vécu et inquiet pour elle.
Au matin, je lui envoie un simple texto:
[SMS]
>Salut Marie, ça va ?
Toute la journée j’attends, pas de réponse, je fais les 100 pas, je n’arrive pas à me concentrer sur mon boulot. Et c’est la tête pleine de pensées, de doutes que je retrouve le chemin de la maison. (Est-ce qu’elle m’en veut, était-ce un coup comme ça, puis… plus rien ?,…)
Je commence tôt le lendemain (je me lève à 3h30), je décide de me coucher à 21h, mais impossible de trouver le sommeil (j’ai peur d’avoir perdu non seulement un amour, mais aussi une amie).
A minuit, j’envoie un autre SMS:
[SMS]
>Marie, quand je suis venu, je n’avais pas d’idée en tête, c’était sur l’instant, je n’avais rien prémédité, je suis désolé… Je pense à toi tout le temps, nuit et jour. Et être prêt de toi, te sentir, te voir le chemisier entre ouvert m’a tellement excité, je n’ai pas résisté…
Le lendemain, aucune réponse, je vais devenir fou, à 16h, j’envoie un nouveau texto:
[SMS]
>Marie, s’il te plaît…
Après 10 minutes, je reçois enfin une réponse:
[SMS]
< Ne m’écris plus…
Je suis effondré, j’avais enfin réalisé mon rêve avec la femme que j’aime, il s’est transformé en mon pire cauchemar…
S’en suivent des heures, des jours, je suis en mode zombie, je ne parle plus à personne, je ne sors plus, je ne dors plus, je passe mes nuits devant la télé à regarder des programmes abrutissants pour ne pas penser à elle, à un "nous" qu’il n’y aura jamais…
Ça fait maintenant 5 semaines que je suis sans nouvelles. Il est 14h, quelqu’un frappe à la porte, j’ouvre… Marie est devant moi (vêtue d’une veste en daim, une chemise blanche, une minijupe noire qui lui va au genou, ses jambes recouvertes de collants ou de bas).
Je suis littéralement figé, mon cur tambourine comme jamais, je n’arrive pas à sortir un mot…
Bonjour Fabrice, je… peux entrer ?
……. Ou… oui.
Elle entre, passe à côté de moi, retire sa veste et la pose sur la porte-manteau dans mon entrée, elle va s’installer à la table de mon séjour… et le regard sérieux m’invite à la rejoindre. Silencieux, je m’assois donc en face d’elle.
Elle me dit la voix tremblante, qu’elle n’a pas pu garder le secret, qu’ils ont rompu, qu’elle a donc dû retourner chez ses parents. En larme, elle me dit s’en vouloir de l’avoir trompé, que ça ne lui ressemble pas…
Je lui donne un verre d’eau. Je prends alors sa main et essaye de la réconforter. Elle arrive à se calmer et on entame une conversation plus sereine, on parle de comment elle vit maintenant, de sa recherche de logement, du soutien de sa famille, de son travail, de ses projets. Je sens qu’elle se détend et qu’elle est plus à l’aise.
Ça fait maintenant presque 2h que l’on parle, les yeux dans les yeux tout en nous tenant la main. J’ai l’impression de respirer pour la première fois depuis 1 mois et demi.
Fabrice, je suis vraiment désolée de t’avoir laissé sans nouvelles, j’avais trop de choses à gérer … j’étais perdue…
Je m’inquiétais, et… maintenant ?
Maintenant, ça va mieux, à force d’en parler autour de moi, je crois qu’avec Stéphane, on n’était pas fait l’un pour l’autre, on était trop différent, tôt ou tard, on aurait cassé. Aujourd’hui, j’essaie de me laisser porter et profiter…
Je comprends, tu as raison.
Tu sais…
Dis-moi…
J’ai beaucoup pensé à toi.
Moi aussi…
Et à cet après-midi… à ce qu’on a fait… au plaisir que j’ai ressenti, que tu m’as donné.
Pendant qu’elle disait ça, je sens une caresse qui remonte le long de ma cuisse. Mes yeux alors plongés dans son regard descendent et je peux voir à travers ma table en verre sa jambe tendue vers moi.
Surpris, je saisis son pied et je le pose sur mon sexe et je commence à me frotter à travers mon jean.
Elle a remonté sa jupe et glisse à présent sa main droite vers sa culotte blanche, elle monte… descend… remonte… redescend…
Elle retire alors sa jambe, et écarte largement les cuisses tout en continuant ses va-et-vient.
Jeeee peux voir ? me dit-elle en se mordant la lèvre.
Je baisse alors mon pantalon et sors de mon boxer ce qui n’est plus un membre de chair, mais une matraque en bois, je commence alors une très lente masturbation.
Et toi ?… Tu n’as rien à me montrer ?
Arborant un grand sourire, elle ouvre sa chemise, me montrant un joli soutien-gorge blanc qu’elle retire aussitôt… laissant apparaître sa généreuse poitrine.
Tu es magnifique !
Ce que je vois n’est pas mal non plus, je dirais même plus… appétissant.
Elle passe alors sa langue sur ses lèvres.
Tu veux goûter ?
Pas maintenant ! Je veux te voir venir alors que tu me regardes… Tu étais dans mon dos la dernière fois… lorsque tu m’as prise… que tu m’as fait jouir comme jamais et que tu m’as… mmmmmh inondée.
De sa main droite, elle écarte sa culotte et enfonce un doigt dans son sexe.
mmmm.
De l’autre, elle se caresse les seins, joue avec ses tétons, en lèche un, puis l’autre.
moi aussi, je veux …
patience…
En disant ça, elle retire son doigt trempé de sa chatte et le porte à la bouche et le lèche pendant un moment interminable. Je sens la pression monter…
Elle continue de parler:
mmmm, elle est belle… ta bite, mmmmm grosse et bien dure aussi…
c’est parce que… tu m’excites…
et… tu voudrais… faire quoi… avec ?
que tu me suces…
mmmmmiiiiiiiiiiiiiiaammmmmm et ?
te baiser… la bouche…
J’accélère les mouvements de va-et-vient sur mon gourdin.
mmmm, c’est une idée…
et… la chatte…
mmmh oh ouuuii !
crie-t-elle en se mettant trois doigts d’un coup.
je… m’empalerais… bien… profond et… j’irais… de plus en plus vite…
Elle ondule du bassin comme une folle sur sa chaise comme si elle était possédée.
Je suis moi-même au bord de l’explosion.
et,… jje… tttete… défonnnceraaaait… le… cuuuuuuuul……. ooooh… ohhhh… puuuuutaiiiiinnnnnnnn… jeje… viieennnnnnnnnnnnnnsss.
Plusieurs jets de spermes accompagnent mes gémissements, tombent par terre et sur sa cuisse.
mmmmmh ouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je vois Marie fermer les yeux, trembler de tout son être, se tenir à la table pendant les longues secondes de son orgasme…
En rouvrant les yeux, tout en me regardant, elle récupère ma semence sur sa jambe.
oui je sais, il ne faut pas gâcher…
