Histoires de non consentement Histoires gays

Nous sommes vraiment allés très loin avec Tata Geneviève – Chapitre 4




Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les épisodes précédents je vous racontais comment à l’époque où j’étais étudiant, j’étais parti à Montpellier logé par ma tante Geneviève. J’étais tout innocent et ma tante s’est chargée de me déniaiser si je puis dire, je dirais même que par-dessus ça elle s’est mise à me dévergonder. Le plus beau c’est que Geneviève n’avait jamais été pénétrée par un homme jusqu’à maintenant, elle se limitait à s’envoyer en l’air avec des femmes. C’est ainsi qu’elle me fit faire la connaissance de Coralie, une amie très intime, qu’elle connaissait depuis très longtemps. C’est ainsi que j’ai découvert les plaisirs du sexe avec deux femmes et que rapidement nous pratiquions le triolisme. L’élément déclencheur pour ma relation avec tante fut ma passion pour les petites culottes féminines souillées de sécrétions intimes. Je me suis fait surprendre par Tata en train de humer l’entrejambe de sa culotte que j’avais récupéré dans le bac à linge sale.

Voilà comment en peu de temps, moi qui étais un expert pour ce qui est de tirer sur l’élastique, je m’étais mis à honorer deux femmes légèrement plus âgées que moi mais au combien magnifiques. Il n’y avait aucun doute sur le fait que Geneviève se soit chargée de me dévergonder mais j’avais l’impression qu’elle dévergondait aussi Coralie. Maintenant le soir je ne pouvais plus me passer de l’odeur des minous, la sur de ma mère le savait et elle faisait tout pour me faire plaisir. Pour satisfaire mes besoins olfactifs, je portais désormais très souvent les culottes de Geneviève mais aussi de temps à autre celles de Coralie. J’avais l’impression d’être un peu devenu leur étalon, mais un étalon qui ne contrôlait pas tout, un étalon passif, un étalon soumis et obéissant. Par contre, en cours j’essayais de rester concentré, car maintenant j’en étais arrivé à être pressé de rentrer tous les soirs pour pouvoir faire des folies de mon corps avec l’une ou l’autre voire même les deux. Le plus beau c’est que tata m’avait aussi fait découvrir les plaisirs du travestissement.

Maintenant quand je rentrais à la maison, je me dépêchais de me changer pour me sentir bien, mais surtout apprécier la douceur et la finesse des vêtements que me donnaient à porter les deux femmes. Au bout de plusieurs mois à ce rythme-là, je marchais parfaitement avec des escarpins, je savais me maquiller, mes cheveux avaient bien poussé, j’avais pris plein de manies féminines. Maintenant quand je me faisais femme, j’étais vraiment méconnaissable, je vais vous avouer qu’au fond de moi j’étais pressé de faire la surprise à ma mère. Un jour, Geneviève m’a informé que nous allions aller passer une soirée chez des amis à elle, évidemment elle voulait tromper tout le monde en désirant que je m’y rende habillé en femme. Sur le coup j’ai refusé de façon catégorique, mais à force d’insistance de sa part, elle a fini par me convaincre comme quoi quand j’étais bien maquillé, il était impossible de discerner un homme en moi. Une fois convaincues, Geneviève et Coralie se sont chargées des finitions dans ma tenue et mon comportement féminin.

Geneviève s’est chargée de me trouver une fausse paire de seins, Coralie s’est chargée de me trouver une robe la plus moulante possible pour mettre mon corps androgyne en valeur. J’adorais ces séances d’essayages, qui en général finissaient en partie de jambes en l’air. Sous leur influence, je devenais de plus en plus précieux, mais je faisais attention à ce que cela ne se voie pas en classe. Pour me mettre à l’aise, Geneviève et Coralie avaient décidé que désormais, nous irions faire mes courses toutes les trois ensemble. J’avais une peur bleue du regard des passants à mon égard, mais en fin de compte ceux qui me regardaient, c’est ceux qui me trouvaient mignonne et il y en avait beaucoup. Le plus agréable c’était de sentir le vent caresser mes jambes gainées de voile, le vent qui se faufilait en dessous aérait mon entrejambe. Geneviève et Coralie étaient assez satisfaites du résultat, en même temps cela faisait déjà plusieurs mois qu’elles étaient en train d’essayer de faire de moi une jolie fille désirable.

Il ne restait plus qu’un détail à maintenant, et non des moindres, essayer d’affiner ma voix pour la rendre plus féminine. C’est ainsi que depuis quelque temps, nous partions la campagne pour me faire faire des vocalises les plus aiguës possible, histoire de préparer ma voix. Désormais quand nous partions dans la nature, je me préparais, je sortais encore habillé en fille libérée. Ma tante et son amie veillaient à toujours m’habiller de façon aguicheuse, cela pour que les hommes se retournent sur moi et voient en moi une allumeuse. Ainsi une fois alors que nous étions dans les transports en commun, un homme assez entreprenant s’est amusé à me caresser les fesses et les cuisses. À ma grande surprise ses caresses m’ont collé une érection monstrueuse que Geneviève a réussi à voir.

— Il n’y a pas à dire tu deviens une véritable femme.

— Mais je ne pensais pas que cela serait à ce point et aussi vite.

— C’est la première fois qu’un homme te fait bander.

Tout ce qu’elle disait était tellement vrai, mais en même temps c’est vrai que j’avais peur du regard des hommes, mais je continuais quand même à regarder les filles. Dans chaque jolie fille que je croisais, j’essayais de repérer ce qu’il me faudrait d’elle, pour que je sois encore plus belle. La fille qui était en moi commençait à prendre de plus en plus de place, mais je prenais toujours autant de plaisir à honorer ma tante et son amie. Le grand jour arrivait et Geneviève me disait que j’allais être parfaite, elle s’amusait à imaginer que pas une personne ne voit la supercherie lors de la réception. Quand le samedi est arrivé, tata et Coralie étaient à mon chevet, elles veillaient à ce qu’aucun détail ne soit négligé. J’ai eu le droit à une épilation totale, jusqu’aux sourcils, mais en même temps sur mon corps il n’y avait pas beaucoup de boulot. Je savais même suffisamment rouler des hanches pour attirer l’ il des hommes, pour l’occasion Coralie m’avait même acheté une magnifique paire d’escarpins. J’en étais assez fier, car jusqu’à maintenant j’empruntais les chaussures des deux amies, maintenant c’était ma première vraie paire de chaussures féminines. Même sil faisait un peu chaud, je préférais quand même porter des bas, car depuis que j’avais découvert cette texture je ne pouvais plus m’en passer.

Le plus sympa c’est que tata m’avait récemment acheté une fausse paire de seins, ainsi l’imposture était totale, le problème était que mon sexe, quand il était en forme, était de grosse taille. Coralie avait trouvé la solution, en stockant, si je puis dire, mon sexe vers le bas plutôt que vers le haut, en fait elle avait intérêt à trouver une parade car c’est elle qui m’avait trouvé une magnifique robe et cette dernière était quand même assez moulante. C’est vrai que je n’avais pas un corps particulièrement féminin, avec cette poitrine factice, c’était la cerise sur le gâteau ; j’avais la plastique d’une femme, et en plus d’une jolie femme. Je n’avais plus du tout peur de sortir habillé en femme, ça y est j’étais prêt à plonger dans le grand bain avec des inconnus qui allaient me considérer comme une femme. Tata avait mis à peu près huit mois à me transformer et il me semble qu’elle était assez fière du résultat. Quand nous sommes arrivés sur place, j’ai été présentée comme la cousine Santa et j’ai été totalement accueillie en tant que femme. Là où je me suis rapidement trouvée dans l’embarras, c’est qu’il y avait des invités qui étaient entreprenants, c’est à ce moment-là que j’ai découvert combien les femmes étaient indisposées quand elles étaient joliment habillées à ce genre de soirée.

J’ai facilement éconduit six ou sept mecs qui m’ont m’ont approchée de façon peu classieuse, par contre l’un d’entre eux qui avait facilement l’âge de ma mère et même bien plus. Claude était un quinquagénaire bien passé grand avec beaucoup de classe, je pense qu’il devait avoir un tableau de chasse bien fourni. Il était sans arrêt en train de veiller à ce que je ne manque de rien, que ce soit au niveau boissons ou amuse-gueule. Son après-rasage ainsi que son parfum étaient très plaisants à humer, il voulait en savoir plus sur moi mais je ne lui donnais des informations qu’en échange d’informations sur lui. Sa coupe de cheveux et sa carrure laissaient supposer qu’il avait passé quelque temps dans l’armée même si j’ai appris par la suite qu’en fait il était architecte. Je lui ai expliqué que j’étais étudiante à la fac de Montpellier, cela avait l’air de l’intéresser et il comprenait ce que je faisais, ce qui laissait supposer une bonne culture générale. Après le buffet dînatoire la douce musique de fond a été remplacée par des morceaux un peu plus énergiques, l’homme qui était en moi avait envie de danser, mais il était évident que je ne pourrais pas le faire avec les escarpins que j’avais. J’ai croisé plusieurs fois son regard et il n’y avait pas de doute il n’arrêtait pas de me mater.

Bien évidemment quand les slows sont arrivés, il m’a convié à venir partager les danses avec lui, je me suis retrouvée collée contre lui et je peux vous garantir que je me sentais en sécurité tellement il était grand et fort. Maintenant je lui étais totalement offert, et c’est lui qui donnait le rythme, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai mis mes bras autour de son cou ; même si ce dernier était assez haut pour moi. J’avais maintenant posé ma tête sur son épaule, mais en même temps, je l’ignorais totalement. Il avait mis ses mains dans le bas de mon dos et par moment il lui arrivait de me serrer contre lui, c’était à une de ces deux occasions que j’ai découvert qu’il avait une grosse érection. J’en concluais qu’il était impossible pour un homme de danser avec une femme sans que cela ne lui procure une gaule digne de ce nom. J’ai fait celle qui ne faisait pas attention à cela, même si à chaque fois qu’il me plaquait un peu plus fort contre lui je sentais son sexe au niveau de mon nombril. Au bout de trois ou quatre slows, les musiques plus énergiques sont revenues, il m’a même fait danser sur certaines me faisant tourner sur moi-même. Finalement c’était très agréable j’ai apprécié car le bas de ma robe se soulevait et cela me faisait un petit courant d’air.

Il n’y a pas à dire Claude savait danser les pas les plus compliqués, il me tenait fermement et je me laissais guider, le résultat m’étonnait car finalement on s’en sortait bien. Ces danses lui permettaient de me pratiquer des attouchements, de me jauger, de me caresser et finalement il faisait ça avec beaucoup de discrétion, cela ne me déplaisait pas. À force de danser je commençais à légèrement transpirer, tout comme mon partenaire, maintenant quand j’avais l’occasion de poser ma tête sur son épaule, l’humidité de son cou se déposait sur mon visage. En fait durant cette soirée je n’ai fait attention à personne, j’étais avec Claude et le reste du monde n’existait pas. Quand les slows sont revenus, mon corps était un peu plus chaud et j’ai été me blottir contre lui.

— J’adore le genre de femme comme toi.

— Elles sont beaucoup plus accessibles et plus offertes que les autres.

Où voulait-il en venir, est-ce qu’il avait découvert mon secret, dans ses propos il y avait de l’ambiguïté, j’étais un peu mal à l’aise. Pendant qu’il me parlait à l’oreille, il me serrait contre lui et il n’y avait pas de doute, il voulait me faire sentir qu’il me désirait.

Voilà bientôt trois heures que l’on ne se quittait plus et qu’il était en train de me faire comprendre que je ne le laissais pas indifférent. Heureusement une pause allait m’être accordé car Geneviève et Coralie venaient me faire un petit coucou pour savoir comment ça va allait.

— Votre cousine est d’une grande beauté.

— C’est un plaisir de converser avec elle.

— Décidément dans la famille, vous êtes toutes aussi belles.

De tels propos n’étaient pas pour nous déplaire, car Geneviève le prenait pour elle, en ce sens où mon travestissement a été vraiment bien réussi. Maintenant Claude me tenait par la main comme si j’étais sienne, c’est vrai que je me sentais bien avec lui et je ne savais pas trop comment lui faire savoir, si ce n’est, rester avec lui. Il y avait au moins une cinquantaine de personnes à cette soirée, dont une bonne moitié d’hommes, je pense que le plus bel homme était avec moi. Maintenant nous ne nous quittions plus à tel point qu’à la fin de la soirée ma tante est venue me voir pour me dire qu’il fallait rentrer et Claude m’a dit qu’il se chargerait de me ramener à la maison. J’ai été un peu stupéfait car je n’ai pas eu mon mot à dire, le plus beau c’est que Geneviève ne cherchait pas à attendre mon avis.

Geneviève et Coralie sont rentrées de leur côté, pendant que moi je me suis retrouvé seul comme un con, ou comme une conne, à vous de voir, avec Claude qui maintenant me faisait savoir de plus en plus explicitement qu’il désirait faire plus ample connaissance. J’avais l’impression que durant cette soirée de nombreux couples venaient de se former, mon petit doigt me disait que certains devaient être illégitimes. Lors de la dernière séance de slow, je me suis carrément retrouvé collé contre Claude, maintenant il ne se gênait plus à frotter son sexe en pleine forme contre mon bas-ventre. Il était très attentionné délicat et affectueux avec moi et je prenais grand plaisir à poser ma tête dans le creux de son cou. Moi qui étais habillé en fille j’étais en train de me demander jusqu’où j’allais assumer ce rôle, ses derniers mots à mon oreille furent comme quoi il avait envie de moi. J’étais seul maintenant à cette soirée, livrée à moi-même, avec cet homme qui me désirait. Maintenant, en plus de son parfum et de son eau de toilette, j’avais l’impression de sentir aussi ses odeurs intimes et c’était en train de me tourner la tête.

J’avais l’impression que mon cavalier prenait confiance en lui pendant les derniers slows, parce que ses mains étaient maintenant accrochées à mes fesses. Il ne faisait pas que les saisir maintenant il était en train de les caresser de les pétrir de les savourer et moi mon érection commençait à prendre forme même si elle était dans l’autre sens. Au bout de quelques instants de ses pétrissages, je ne sais pas ce qu’il lui a pris, il a eu envie de m’embrasser, de mon côté je ne sais pas si c’était la surprise ou le fait qu’il m’ait suffisamment chauffé, mais j’ai accepté son baiser. C’était la première fois qu’un homme m’embrassait, heureusement ce dernier était bien rasé, cela ne me choquait pas trop ; il n’aurait pas fallu qu’il ait une barbe à la Gainsbourg. J’ai senti qu’il venait de se passer quelque chose, car après le slow il a décidé que nous allions rentrer, il m’a pris la main avant de me prendre par la taille, pour prendre la direction de sa voiture. Sans grande surprise, il roulait dans une grande berline allemande de la firme d’Ingolstadt, quand il m’a fait asseoir sur le siège passager, je me suis sentie dans un palace. La voiture était récente et on pouvait trouver de multiples options dont certaines me paraissaient vraiment superflues.

Quand il est venu s’installer derrière le volant, il n’a pas démarré tout de suite, il m’a regardé, j’avais même l’impression qu’il m’admirait. Les vitres étaient teintées mais de toute façon il faisait nuit noire, le silence dans la nuit était apaisant mais en même temps inquiétant. Il m’a gratifié de douces caresses sur les joues et dans les cheveux, j’y étais très sensible ; puis il s’est mis à de nouveau m’embrasser. Ces baisers me semblaient passionnés et peut-être même un peu gourmands, j’avais l’impression que nos langues communiquaient en se caressant pendant que je le regardais dans ses yeux bleus. La situation était en train de follement m’exciter à tel point que j’ai pris l’initiative d’aller poser ma main gauche sur le renflement de son sexe. Pour la première fois de ma vie j’avais la main pleine d’un sexe masculin et il n’y avait aucun doute ce dernier me désirait. Je m’étais tourné sur ma gauche et lui sur sa droite de telle façon à ce que nous soyons maintenant face à face. Mes deux mains étaient maintenant en train de s’attarder sur l’entrejambe de Claude, j’ai essayé d’en ouvrir la braguette. Une fois l’opération réussie, je m’en suis pris à son boxer en lycra, car je voulais quand même libérer la Bête qui me désirait. Tellement son boxer était doux j’avais l’impression de lui caresser la queue pendant que j’essayais de la sortir. Pour cela j’ai été obligé de déboutonner son pantalon et de lui défaire sa ceinture. Ça y est maintenant son sexe était à l’extérieur, je ne le voyais pas mais je le tenais entre mes deux mains.

Claude m’embrassait toujours, mais maintenant j’avais la tête ailleurs, j’étais concentré sur son sexe et j’essayais de commencer à le caresser. Au bout de quelques minutes j’ai senti la main droite de Claude me saisir la nuque, il donnait fin au baiser et m’invitait à venir lui en faire maintenant sur le sexe. À ma grande surprise, je n’ai pas eu besoin de me faire prier pour venir me retrouver en tête à tête avec son pieu. Pour commencer, je me suis limité à un baiser, puis j’ai pris confiance en prenant son prépuce en bouche. Son sexe avait un goût fort et cela sentait l’homme dans son pantalon, ma langue s’amusait à faire le tour de la tête de son sexe en essayant d’aller en découvrir les petits recoins. Son prépuce était maintenant entre mes lèvres, et avec ma langue je savourais la douceur de sa peau tendue par la pression sanguine de son désir. Mon cavalier me faisait confiance, il me laissait faire et moi j’étais en train d’y prendre goût, j’étais heureuse de constater que je lui faisais du bien. Maintenant j’ai fait s’enfoncer un peu son sexe dans ma bouche, pour en découvrir un peu plus de son anatomie intime.

Je commençais à monter descendre sur son sexe et à chaque fois que je descendais, je le faisais toujours un peu plus. J’entendais Claude respirer profondément et même soupirer, j’étais fier de ce que je réussissais à faire, car il n’y avait pas de doute je m’y prenais bien pour lui faire une turlutte. Il était très tard, j’avais sommeil, mais en même temps j’avais envie d’aller jusqu’au bout sur cet homme qui était en train de devenir mon amant.

— Tu es bonne Santa, continue à me sucer.

— Tu me fais un bien fou et si tu continues, je vais te mettre plein de liqueur dans la bouche.

— Dès la première minute j’ai vu que tu étais un travesti, mais tu étais magnifique.

— J’ai l’impression que je suis le premier homme que tu suces.

J’étais sur le cul Claude savait tout depuis le début et cela ne l’a pas dissuadé de m’aborder et me courtiser. Bien qu’il sache que j’étais un travesti, il avait passé la soirée avec moi, il n’y a pas de doute maintenant il avait envie d’aller plus loin. Pendant qu’il me parlait, il était en train de me caresser le bas du dos ainsi que les fesses, j’avais envie de lui faire plaisir et de lui faire du bien. Je n’avais plus besoin de lui tenir son sexe car ce dernier était dans ma bouche, du coup cela me libérait les mains qui lui caressaient un peu les cuisses et aussi la taille.

Contrairement à moi son corps était poilu et musclé, cela fait vraiment un contraste entre nous deux, je découvrais aussi la densité de poils pubiens qu’il avait à la base de son pieu. Maintenant ma bouche était pleine de son sexe, mais ce dernier n’entrait pas en entier, je devais juste en avoir les deux tiers. Claude me caressait la raie des fesses, à ma grande surprise cela me faisait beaucoup d’effet, j’avais envie qu’il me caresse sous ma robe. Bien que la voiture soit spacieuse, il commençait à y avoir une petite odeur de sexe qui s’installait, j’en arrivais à me demander si Geneviève et Coralie n’étaient pas de mèches. Par moment, je sentais le dard de Claude se contracter, je pense qu’il envoyait un afflux de sang pour le contracter, n’était-ce pas une prémisse d’une éjaculation à venir. Claude commençait à soupirer très fort et surtout à râler de plaisir ; au bout de quinze bonnes minutes, il m’a tenu la tête et j’ai senti une première saccade de liqueur qui arrivait au fond de ma gorge.

Je venais de faire jouir mon cavalier, mon amant était en train de me balancer la purée sur les amygdales. Pendant qu’il continuait de se vider, de mon côté je ne cessais pas ma fellation, j’ai essayé de remplir mon rôle de maîtresse attentionnée jusqu’au bout.

Désolé je n’ai pas vu que l’histoire commençait à devenir longue.

Bisous à vous

Related posts

Week-end anniversaire – Chapitre 6

historiesexe

Mon bel étalon – Chapitre 4

historiesexe

La Révélation de Sophie – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .