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Week-end anniversaire – Chapitre 6




 Salut c’est votre folle de lycra

Dans les épisodes précédents je vous racontais comment dans ma jeunesse, je profitais des cours de danse de ma cousine Geneviève pour me rincer l’oeil en regardant elle et ses copines en petites tenues.

C’est à cette époque que je me suis mis à aimer les dessous féminins.

Pour mon 18e anniversaire elle et ses amies m’ont comblé.

Les jours qui ont suivi, j’ai fait connaissance des parents d’Hélène, une amie de Geneviève.

Le weekend qui suivait mes 18 ans, je perdais mon pucelage de devant avec Hélène et celui de derrière avec son papa et son frère.

Claude, le papa d’Hélène, contrôlait tout chez lui et moi par la même occasion…

C’est ainsi qu’en ayant découvert mes talents de travestie soumise, il me proposait de devenir sa secrétaire particulière dans son cabinet médical.

J’ai l’impression que cela arrangeait Hélène qui était devenue ma maîtresse et qui était appelée à devenir ma compagne, voire plus…

Je ne réalisais pas trop ce qui m’arrivait mais mes conditions de vie ne me déplaisaient pas.

Les weekends qui suivirent concrétisaient les projets du papa.

Très rapidement je suis parti vivre chez ma copine qui devenait ma compagne Hélène.

Comme si de rien n’était, je continuais mes études au lycée.

Pas une seule personne au bahut n’était au courant de ce qui se passait 

J’étais très fier de réussir garder ce secret, j’avais juste signalé mon changement d’adresse.

Désormais tous les jours j’allais bosser avec des dessous et tous les soirs quand je rentrais chez Claude et sa fille je devais me faire belle.

Tous les deux se mettaient d’accord sur ce que je devais porter et moi je portais ou plutôt j’enfilais.

Disons que mes nuits étaient réservées à Hélène et pendant la journée, quand il avait besoin, j’étais la femelle de Claude.

Le temps que je passais chez eux je le passais en femme.

Du coup j’ai commencé à prendre certaines habitudes très féminines que j’essayais de contrôler ou de dissimuler quand je sortais.

Redresser les bretelles de mon soutien-gorge, remonter mes collants, je frottais mes vêtements à la moindre à la moindre petite poussière qui tombait dessus.

En fait j’étais en train de devenir précieuse.

Claude voulait que je m’épile les sourcils proprement et que je sois toujours rasée de près, il voulait aussi que je me laisse pousser les cheveux.

Moi qui avais déjà les cheveux relativement longs il ne m’a pas fallu longtemps pour pouvoir me faire une queue de cheval.

En même temps je devenais expert pour honorer Hélène surtout expert pour donner du plaisir à son papa et son frère quand il passait.

Claude avait acheté un beau collier très large en cuir je devais mettre dès que j’arrivais chez lui, c’était mon signe de soumission totale à leur famille.

Mes conditions de vie et mon traitement infligé me plaisaient de plus en plus

Je ne me nettoyais plus le sexe, il n’y avait qu’Hélène qui s’en occupait; du coup j’allais souvent bosser au bahut avec une grande odeur de liqueur et de cyprine.

J’adorais sentir l’odeur de sa cyprine pendant la journée car je me sentais totalement à elle ainsi…

Ce qui me gênait le plus c’est que quelquefois Claude partait dans le minou de ma chérie et que je devais lui nettoyer ensuite.

De son côté Claude avait fait de moi un expert en fellation et surtout en soumission.

Il me pénétrait sauvagement dans la cuisine ou alors devant la télé, sur le canapé, sur le fauteuil, sur la table du séjour..; de toute façon je devais être là quand il avait besoin.

Il y a des fois où j’étais un peu gêné de me faire prendre par le papa ou par le frère sous les yeux de ma chérie.

Les fois aussi où nous étions à table et il me demandait de passer en dessous pour lui faire une turlutte.

Par contre il n’y avait pas plus soumis que moi dans ces moments là

J’adorais me retrouver entre ses jambes et prendre son dard en bouche.

Je devenais experte pour ce qui est de faire coulisser sa verge dans ma bouche.

Ma langue connaissait le moindre recoin de son morceau de chair

J’étais vraiment à lui quand il me tenait la tête pour me donnait le rythme, je le regardais dans les yeux

Il adorait ça et trouvait que c’était une forme de soumission et d’obéissance.

Je prenais grand plaisir à lui faire du bien et le satisfaire

Ses jets de liqueur dans ma bouche étaient ma récompense.

Le soir, quand ma chérie en avait envie, je m’occupais d’elle

Ma position préférée était quand j’étais assis dans le fauteuil et qu’elle venait (parée d’une robe longue) s’assoir sur moi et face à moi.

Il va de soi qu’elle ne portait pas de culotte.

Pendant qu’elle m’embrassait, elle venait s’emboiter sur mon sexe.

Une fois emboitée, c’est elle qui donnait le rythme

Sentir son vagin soyeux coulisser sur ma verge était une sensation divine.

Quand elle le contractait , c’était l’extase…

Hélène maitrisait parfaitement nos rapports sexuels et moi j’étais comblé

Les semaines et les mois passaient et ma condition de femelle soumise au patriarche et à la famille s’amélioraient.

A force de parler avec une voix féminine, cette dernière s’éclaircissait

J’aimais de plus en plus sortir dans la rue avec mes dessous dissimulés

Régulièrement Hélène ou Claude m’emmenaient dans un coin pour que je leur fassent ou une langue ou une turlutte…

La peur d’être surpris m’excitait encore plus

Quand j’étais avec Claude, le plus gênant c’était les mains au cul; certaine fois peu discrètes…

Voilà maintenant près d’un an que j’avais plongé dans ce cercle vicieux.

Je prenais mes deux rôles très au sérieux

J’avais réussi à passer le cap de sortir en fille, Hélène s’occupait de la finition; maquillage, boucles d’oreilles, colliers…

Je manquais d’assurance mais Claude se chargeait de me rassurer.

Le plus marquant fût quand il m’a emmenée pour la première fois chez un couple d’amis à lui alors que j’étais en femme sexy…

Tous les trois avaient été adorables avec moi, ce qui me mis en confiance

c’est ce jour là que j’ai découvert l’échangisme.

Ce fut la surprise totale quand je suis arrivé chez eux en compagnie de beau-papa.

Déjà en arrivant, l’homme comme la femme me roulaient un patin en guise de bonjour.

Tous le 2 s’empressaient de me caresser les fesses.

Du coup il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour mouiller du cul et avoir une belle érection.

Rapidement mes deux hommes et moi nous sommes retrouvés assis dans le canapé, moi au milieu.

Rapidement mes 2 mâles se sont mis à me caresser de façon on ne peut plus directe et surtout efficace.

Je me laissais faire, je me sentais femme, c’était très agréable.

Ils me pinçaient les tétons, ils me caressaient les flancs, ils me caressaient l’entrecuisse, ils me tiraient sur le sexe et en plus j’avais le droit à des baisers amoureux.

Bref ils étaient en train de me mettre en condition pour que je passe à la casserole.

Pendant ce temps-là Delphine, la maîtresse de maison, dans sa tenue très sexy faisait le service.

Dans l’état où mes hommes étaient en train de me mettre je n’avais pas vraiment envie de boisson mais plutôt de liqueur, leur liqueur.

Manifestement Thierry le maître des lieux a lu dans mes pensées.

Il m’a fait mettre à genoux entre ses jambes et m’a invité à lui faire une turlutte.

J’ai mis beaucoup de temps à accéder à son pieu car il était bien dissimulé.

J’adorais que l’on me caresse les cheveux et mon petit cul devenu gourmand depuis le temps…

Tout comme Claude, Thierry était directif et autoritaire avec moi mais ce n’était pas pour me déplaire

J’étais à genoux entre tes jambes la bouche pleine de son sexe et j’avais le droit à quelques claques sur les fesses

Il n’y a pas à dire lui aussi savait me prendre en main.

Le maître de maison commençait à me glisser un doigt et il a été jusqu’à m’en mettre 3 dans mon fondement.

Je tortillais du cul tellement c’était bon, maintenant j’étais prête à me faire prendre.

J’ai alors dû changer de bite à sucer.

J’ai pris en bouche l’organe turgescent que je connaissais si bien, celui de Claude, pendant que Thierry commençait à se positionner pour péter la rondelle.

Je sentais son sexe de belle taille se promener à l’entrée de mes petites fesses puis je l’ai senti pointer.

Dans les secondes qui suivaient, je commençais à le sentir me pénétrer.

Je contrôlais mon sphincter pour mieux le sentir coulisser, tout en sachant que de son côté les sensations seraient meilleures.

Pendant ce temps Thierry m’excitait en me traitant de tous les noms.

Dans de telles circonstances j’ai réalisé que j’aimais donner autant de plaisir à un homme qu’à une femme.

Mais ce qui m’excitait par-dessus tout c’est le côté soumission.

Dans mes ébats sexuels j’aimais être dirigée dominée voire un peu méprisée

Au bout de bonnes minutes mes deux hommes ont fini par se vider en moi en même temps.

Sentir mon boyau se remplir de sperme n’était pas pour me déplaire.

Thierry est sorti de mon intimité et à ma grande surprise c’est sa femme qui a pris le relais avec un gros gode à ceinture

Delphine était beaucoup plus ferme dans ses mouvements mais je pense que le sexe fictif était plus gros que celui de son mari.

Ce sexe fictif était en caoutchouc très souple du coup il me donnait quand même pas mal de plaisir.

Comment voulez-vous ensuite asseoir votre autorité quand la maîtresse de maison vous défonce le cul en guise de bienvenue si je puis dire

J’étais condamné à rester soumis docile et obéissant aux yeux de ce couple mais je m’étais fait une raison depuis bien longtemps

Delphine m’a tenté de si bien ramoné le boyau qu’elle a fini par me faire prendre mon pied.

Je me suis mis à pousser des petits cris pas très viril mais Thierry m’a rapidement fait taire avec sa colonne de chair.

Épuisé parce que je venais de subir Delphine m’a emmenée dans sa chambre pour que je me repose un peu.

Je lui ai fait remarquer qu’elle avait un parfum magnifique, elle a souri puis m’a parfumer avec ce parfum

Maintenant même le parfum me filait la Gaule

Delphine s’est allongée à mes côtés et nous nous sommes endormies un peu plus d’une heure.

Bientôt la suite si cela vous a plu

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