Justin : Mais, mademoiselle… Moi : j’ai juste oublié mon bandeau.
Justin : Pourriez-vous me passer l’essuie que je sois plus décent.
Moi : Eh bien, si nous voulons être à égalité, vous avez vu mes seins, vous pouvez donc me montrer votre sexe.
Justin : mais …
Moi : il n’y a pas de « mais » C’est normal et équitable.
Je n’en revenais pas de ce que je disais. J’agissais vraiment comme une femme en chaleur. D’une main, je mis le mitigeur sur froid. La réaction a été immédiate, Justin mit ces mains entre le jet et lui pour se protéger de l’eau froide tout en s’écartant de la pomme de douche. J’avais de nouveau sa belle bite qui avait encore grossi, sous les yeux.
Justin : vous êtes une coquine mademoiselle.
Moi : Pas du tout, nous sommes maintenant à égalité.
Sans avoir réfléchi plus loin aux conséquences de ce qu’il allait dire, Justin lui répondit
Justin : je ne trouve pas : vous avez vu mon corps complètement nu. Moi je n’ai vu que vos seins.
Il n’avait pas fini sa phrase que je commençais à enlever mon top. Mon short suivit deux secondes plus tard. Son sexe se dressa par à-coup suivant les battements de son cur pour atteindre une taille impressionnante et une position horizontale. La longueur était presque la même que mes nouvelles mensurations, mais l’épaisseur était bien plus importante. Cette vision et cette situation ont provoqué un flot continu venant de ma chatte. Je sentais que mon corps ne répondait plus qu’à l’appel bestial d’une femme en soif de sexe. Une situation très particulaire pour un homme. Je me lançai vers lui, lui attrapa la verge à deux mains, le tira et le dirigea vers le salon. Je le plaquai sur les coussins. Je pense qu’il avait déposé les armes et était consentant puisqu’il n’essaya pas un instant de résister. Une fois étendu sur les coussins, je commençai à le branler. Mes mains si fines semblaient tellement petites par rapport à sa verge. Je jouais à faire rouler ses grosses veines sous pression. Il me fallait mes deux mains pour parvenir à faire le tour de son membre.
Je le léchais avec gourmandise. Mettant un maximum de salive. Vu la surface, il m’a fallu un bon moment pour lubrifier l’ensemble de sa verge. Je tentai une fellation et posa mes lèvres sur son gland que je commençai à sucer comme une glace. Petit à petit en faisant un effort considérable pour ouvrir mes mâchoires au maximum, je parvins à faire rentrer le gland dans ma bouche. C’était incroyable j’étais surexcitée parce que j’avais une bite en bouche. Mon esprit se déchirait entre les envies de moi en homme et mes attentes de femme. Sa bite s’enfonçait un peu plus dans ma bouche mais fut bloquée au bout de 8 cm. Il me souleva d’une main avec une facilité déconcertante et vint placer mon corps au-dessus du sien dans une position 69 sans que sa bite ne quitte ma bouche. Il commença à me lécher le clitoris avec douceur et fermeté. Il était doué. Chaque passage sur mon clitoris me faisait gémir. Dans cette position, il vit mon plug et commença à jouer avec. Sa langue experte titillait mon clitoris et faisait monter la pression.
Je sentais des gouttes longer mes cuisses. Il s’amusa à retirer d’un coup sec le plug puis à le remettre rapidement. Ce traitement me fit avoir un orgasme rapidement. J’en étais presque déçue me disant déjà, il va falloir attendre pour la suite. C’était oublier que j’avais un corps de femme. Ayant ressenti mon orgasme, il laissa mon anus tranquille pendant quelques secondes pour se concentrer sur mon clitoris. Le second orgasme arriva rapidement et bien plus puissant que le premier. Les spasmes de ce deuxième orgasme on fait rentrer se bite dans ma gorge en dépassant ma luette. Je n’ai pas eu de haut-le-cur. Je suppose que mon corps y était habitué. Il continua son traitement. Laissant mon plug en place, il introduit deux doigts dans mon vagin et commença un massage de la zone arrière du vagin. Il faisait bouger mon plug de l’intérieur. Cette sensation était délicieuse et m’a donné un double orgasme anal et vaginal d’une intensité incroyable ; encore une fois les spasmes me faisaient progresser dans ma fellation, je parvenais à faire rentre le gland entier dans ma bouche sans faire de réel effort.
Je sortis la bite de sa bouche pour reprendre ma respiration ; je regarde vers son visage et je m’aperçois que je lui ai aspergé le visage. Je suis une femme fontaine apparemment. Il me retourne sur le dos et vient se placer au-dessus de moi, toujours en position 69. Il replace sa bite dans ma bouche. Et se penche sur mon vagin. Sa langue experte reprend ses investigations dans mon sillon. Il a enlevé mon plug et caresse mon anus de sa langue. Il replonge ses deux doigts dans le vagin et caresse la zone appelée point G. Il commence un massage ferme et circulaire pendant 2 bonnes minutes puis change de mouvement en appuyant plus fort. Dès cet instant une vague traversa mon corps, je me mis à trembler dans tous les sens. Sa bite qui était toujours dans ma bouche allait et venait dans ma gorge au rythme des tremblements. Un mouvement me fi sentir ses couilles sur mon nez. J’avais donc réussi à engloutir une grosse moitié de son sexe. Quand mes tremblements furent terminés, il prit les choses en main.
Il plaqua ma tête contre une oreille, puis commençai à enfoncer se bite dans ma bouche. Il forcerait ma gorge qui ce dilatait à chaque passage. Tournant la tête légèrement sur le côté, je pouvais voir dans le miroir les mouvements de ma gorge. On pouvait distinguer la ligne limitant son gland qui avançait et reculait dans ma gorge. Il allait de plus en plus profondément. Ma gorge devenait un peu douloureuse. Il le comprit et calma un peu le jeu. Il revint s’occuper de ma chatte et de mon cul tout en gardant sa bite dans ma bouche. Il remit 2 de ces doigts dans mon vagin et recommença à masser mon point G. Un nouvel orgasme arriva ; c’était impressionnant, on aurait dit qu’il avait une télécommande. Il lui suffisait de 2 minutes pour me faire avoir un nouvel orgasme. Il plongea un troisième doigt et reprit son massage. Je sentais ma chatte s’élargir au fur et à mesure de ses mouvements. Il mit un quatrième doigt ; la pression qui écartait mes chaires provoquait un plaisir encore différent.
Ajouté au massage sur le point G, j’étais vraiment au bord de la syncope. Un nouvel orgasme arriva de son massage suivi d’un deuxième dû aux chaires tendues. J’ai joui pendant au moins 30 secondes. C’est vraiment une situation indescriptible. Je sens ses doigts aller de plus en plus profondément. De son autre main, il recommence à jouer avec mon anus et me rentre un doigt puis un deuxième. Là encore il me fait jouir en un clin d’il. De son pouce il titille mon clitoris. Ces orgasmes à répétition et le plaisir constant me font perdre pied. Je sens son gland aller et venir dans ma gorge. Forçant à chaque passage. Sans m’en rendre compte, au bout d’une dizaine de mouvements plus appuyés, je sens mes lèvres sur son pubis. Il est parvenu à me faire rentrer toute sa bite dans la bouche sans que je ne m’en rende compte. Au même moment, je sens que sa main entière est rentrée dans mon vagin. Et rejetant un il vers le miroir, je vois qu’il a réussi aussi à insérer une main complète dans mon cul sans que je ne m’en sois aperçue.
Quel talent, une telle délicatesse pour des pratiques aussi extrêmes. Ma gorge a pris des proportions incroyables. On ne distingue plus mon menton. Ma gorge a presque le même diamètre que ma tête. Cette vision re-provoque un violent orgasme venant de mon anus, mon vagin, ma gorge et mes yeux. Je suis reparti dans des convulsions à répétitions pendant près d’une minute. Mes tremblements eurent pour effet de le faire jouir, bien planté au fond de ma gorge. Je sentais presque son sperme parcours le tout petit bout de chemin qui séparait son gland de mon estomac. Il se retira avec grande douceur. Je n’avais plus aucune once d’énergie. Il me souleva de ses bras musclés et m’amena sous la douche. Il me posa sur la banquette et me lava intégralement. Ces gestes étaient d’une tendresse et d’une douceur inouïe. Il me rinça me repris dans ces bras et me déposa sur le lit. Il retourna se laver. Je regardais ce corps magnifique et cette queue énorme qui pourtant ne bandait plus. J’avais du mal à croire que ce membre était entièrement dans ma bouche 5 minutes auparavant.
Il mit un essuie autour de sa taille puis vint s’assoir à côté de moi. Il me prit dans ces bras pour me serrer. Je vis sa queue se redresser lentement sous l’essuie. Je lui dis merci tout en passant main sous l’essuie. Je lui attrape la bite et le caresse un peu
Justin : eh bien, on est insatiable.
Moi : non juste joueuse.
Sa bite reprend des proportions énormes sous mes caresses et décroche littéralement son essuie. Sans un mot, je me lève, je le fais se coucher et viens me mettre à califourchon sur lui ; je frotte ma chatte sur sa hampe veineuse. Son sexe est maintenant bien dur. Je recommence à m’humidifier, son sexe commence à luire faisant ressortir ses grosses veines. Je m’applique à faire de longs mouvements de son gland jusque ces bourses. Je n’avais pas remarqué qu’elles étaient si grosses, presque 2 balles de tennis. Je les sentais frotter contre mon anus. J’augmente encore l’ampleur des mes mouvements pour caresser ses couilles avec mes lèvres. La structure de ces veines renforçait encor la sensation. Quelque mouvement plus tard, ses testicules remontent devant ma chatte. Je joue un peu avec, les prends dans ma main pour les caresser et les presser contre mon sexe. Elles sont bien lubrifiées aussi. Je continue mon jeu, je sens un ses testicules rentrer dans mon vagin. Je suis aussi surprise que lui.
Je le garde un moment puis il ressort. Je force un peu les choses en les pressant un peu plus fort. Une à une, ses couilles rentrent en moi. Encore une nouvelle sensation. Ces deux balles de tennis me remplissent plus que sa main et font monter un coup de chaleur en moi. Je continue mes mouvements tout en gardant ces couilles bien au chaud. Il semble également apprécier. J’essaye de les enfoncer au plus profond de moi en plaquant le plus possible mon sexe contre son pubis. C’est un délice ; je me recule un peu tirant sur ses bourses ce qui fait se redresser son pénis par tension de la peau. Le corps de sa verge vient taper contre mon clitoris provoquant une sensation fulgurante. Je continue mes mouvements et fait balancer sa bite d’avant en arrière, elle vient claquer mon clitoris à chaque mouvement. C’est une vraie décharge qui me traverse à chaque coup de bélier. Je sens l’orgasme monter doucement pendant ces balancements. Il finit par éclater avec une force inconnue jusque-là. Les spasmes font sortir ses couilles.
Je prends sa bite en main le branle un peu et commence à faire glisser son gland sur mon vagin. La tête de son sexe cache entièrement ma chatte. Je le lubrifie convenablement, je relève un peu me fesses et viens poser mes lèvres sur le bout de son membre. Je le fais encore glisser d’avant en arrière pour détendre les muscles de mon vagin tout en m’abaissant doucement. La pointe de son gland commence à me pénétrer. Je descends doucement en essayant de me détendre. Petit à petit je parviens à faire entrer le gland complètement. Je continue de m’enfoncer par de petits mouvements contrôlés. Je commence à accepter le diamètre de l’engin je dois avoir 13 ou 14 cm de sa bite dans mon corps. Son gland pousse sur mon col utérin. C’est une sensation agréable aussi ; se sentir remplie et la pression sur cette zone qui est aussi sensible que le point G. Je commence des montées-descentes un peu plus rapides en essayant de m’empaler au plus profond à chaque descente. Je parviens à gagner un ou 2 centimètres supplémentaires.
Je reste un peu en position basse comme assise sur sa bite. Je sens mon utérus compressé, mon col tendu par son gland en pointe. Je fais des petites rotations tout en gardant tout mon poids sur sa verge qui reste droite comme un « I » tant elle est tendue. Je sens mes entrailles se détendre. Je fais encore quelques mouvements. Je dois être à une vingtaine de centimètres. J’essaie de changer un peu de position ; sans que son gland ne quitte ma chatte, je viens placer mes jambes de chaque côté de son torse, penche mon dos en arrière et viens mettre mes mains derrière mon dos. Dans le mouvement, je perds l’équilibre et viens littéralement m’empaler sur sa bite. Je sens son gland écarter mon col et pénétrer mon utérus dans une douleur fulgurante mais de courte durée. Une fois le col passé, c’est le plaisir qui me submerge. Mes fesses son maintenant posées sur ces couilles je reste dans cette position savourant cette nouvelle sensation. Je vois une bosse de la taille d’une pomme sur mon ventre ; il me perfore littéralement.
Après quelques instants, je commence des petits mouvements. La sensation sur le col est divine. La bosse voyage de gauche à droite, d’avant en arrière et de haut en bas suivant mes mouvements de bassin. Je n’ose pas faire de va-et-vient trop grand tant la douleur a été forte ; je préfère profiter du plaisir de sentir toute la bite de mon bel étalon en moi. Ses couilles vont et viennent sous mon anus. Je le sens s’ouvrir aussi. La main de Justin avait bien préparé le travail. Tout à coup une couille rentre dans mon cul. Je passe ma main pour tenter de faire rentrer la deuxième. Elle glisse plusieurs fois sans vouloir rentrer. Je change la forme de mes doigts, la coinces pour qu’elle ne puisse plus bouger. Puis je pousse sur mes fesses. Je sens mon anus souvrir et accueillir en partie la deuxième couille, mais elle ne veut pas rentrer complètement. Justin, immobile jusque-là me donna un coup de main en relevant le bassin pour pousser un peu plus la couille récalcitrante. Je sentis le deuxième testicule rentré d’un coup.
Sa bite gagna encore deux ou trois centimètres dans mes entrailles. Un nouvel orgasme me terrassa. La bosse de mon ventre augmentant encore pour atteindre la taille d’un pamplemousse. Il poussa ainsi au maximum. Je ne pouvais croire ce que je voyais, la déformation de mon ventre dû à sa bite. J’avais presque l’aire enceinte. Il posa ses mains sous mes fesses pour me soutenir. Il me releva un peu poussant également de son bassin. Une fois en position haute, il redescendit mon bassin tout en me maintenant de ces mains. Je vis la bosse diminuer, je sentais ses testicules tirer sur les parois de mon anus pour sortir, son gland sorti de mon utérus provoquant une douleur beaucoup moins forte que la première mais surtout un grand plaisir. Il continua à descendre. Une couille sortie de mon cul suivi de la deuxième. Je sentais sa bite continuer sa descente qui me semblait interminable. Son gland arriva à hauteur de me petites lèvres. Sa sortie me fit sentir un vide énorme en moi. La sortie de son gland, plus large que le corps de sa verge me donna l’impression d’un bouchon de champagne qui saute.
Une fois sorti complètement, il inversa le mouvement et me repénétra tout en douceur et lentement. Je sentais chaque centimètre rentrer et m’élargir, son gland arriva sur mon col. Il continua inexorablement à rentrer, passa le col avec beaucoup plus de facilité et presque aucune douleur. La bosse dans mon ventre se reforma et grandit tout doucement. Nous revoilà pubis contre pubis. Je sentais de nouveau un orgasme monter. Il recommença les mêmes mouvements très doucement et accéléra tout en douceur. La douleur du passage du col avait disparu pour laisser place à un plaisir profond et puissant. Ses va-et-vient accéléraient pour atteindre une vitesse normale. Je voyais mon ventre poussé par son membre se lever au rythme de ses assauts. L’orgasme qui montait arrivait à grands pas. Sans que je ne le voie, il avait pris ces couilles en main et les présenta sur la trajectoire de mon anus qui les refusa deux fois puis accepta les 2 en même temps. Je jouis instantanément à la pénétration de ces deux balles de tennis.
Il fit encore quelques mouvements puis éjacula au plus profond de moi. Il relâcha ses mains. Je restais ainsi sur lui gardant sa bite et ses couilles en moi. Je sentais son pénis dégonfler, son gland quittait mon utérus cette sensation me fit avoir un dernier orgasme très différent des autres, moins puissant mais beaucoup plus long.
Je suis réveillé par un coup de pied dans la figure. Pendant un instant, je suis dans un semi-sommeil repensant à ce rêve. Reprenant un peu mes esprits, je suis pétrifié. Si c’est comme pour les autres rêves, je devrais m’être transformé en fille. Je parcours mon corps de mes mains, ouf pas de poitrine. J’aurai du mal à expliquer ça aux autres qui partage le sauna. Je vérifie mon corps tant bien que mal dans la pénombre. Tout à l’aire d’être là comme avant. Je vois ma bite en semi-érection les veines bien gonflées, normal après ce rêve, il me semble qu’elle a gardé ces proportions. Mes beaux abdominaux sont encore là mes bras musclés aussi. Ouf tout va bien. Je n’aurais donc pas eu de changement venant de ce rêve. La magie serait-elle finie ? Dommage, mais les changements déjà reçus me remplissaient de joie.