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Voyeur de ma mère – Chapitre 3




Le lendemain, comme maman me l’avait promis, nous sortons faire quelques courses, principalement d’alimentation pour le week-end dans une grande surface près de chez nous. Je me promène dans les rayons qui m’intéressent (lecture, multimédia) et nous nous retrouvons à la caisse. Depuis ce matin, aucune allusion sur la partie endiablée d’hier soir.

— Florent je te propose de déjeuner à la cafétéria, ça m’évitera de cuisiner OK ?

— OK maman

Après avoir garni nos plateaux, nous nous installons dans un coin un peu retiré de la salle à manger. Impatient de connaître la « petite idée » dont elle m’a parlé hier soir, je la questionne :

— Alors maman Karine, c’est quoi cette petite idée d’achats ensemble ?

— Les dernières parties de plaisir avec toi et Julien m’ont rendue accro. C’était tellement bon que je pense à la demande que je vous ai faite pour une prochaine partie et pour corser le jeu, J’aimerais voir ce qu’on propose dans un sex-shop.

— Là tu deviens vraiment très salope Karine. Comme tu l’as demandé, Julien essaie de te trouver une partenaire lesbienne pour vous gouiner.

— Justement, j’ai vu sur des vidéos que les femmes utilisaient des sex-toys pour jouer ensemble et comme je n’ose pas aller seule dans un sex-shop, je voudrais y aller avec toi

— OK, je suis aussi curieux

Le déjeuner terminé, nous nous acheminons vers la boutique non loin de la cafétéria. Il fait beau, le soleil donne envie de vacances. Dans la petite rue où se situe le sex-shop, nous croisons une prostituée un peu en retrait sous une porte-cochère. Elle est très aguichante. Poitrine presque offerte, jupe très courte, ras la touffe comme dirait Julien, talons hauts, bas résille et je sens que Karine la déshabille du regard.

— Elle te plairait Florent ?

— C’est vrai qu’elle est bandante mais passons notre chemin, entrons dans le magasin

La porte est ouverte juste occultée par un épais rideau noir. Quelques personnes à l’intérieur mais pas de femme. La première salle est réservée à la lingerie et aux objets sexuels. C’est le but de notre visite. Karine s’attarde sur un joli déshabillé rouge et violet présenté sur un mannequin ; soutien-gorge, string avec fente sur le devant, porte-jarretelles assortis et bas noirs émergeant d’une belle paire de cuissardes en vinyle noir. Pour agrémenter le tout le mannequin tient à main un imposant gode ceinture.

— Regarde Florent, comment trouves-tu cette présentation ? J’aime beaucoup le réalisme du gode, j’imagine ses multiples utilisations

— Je te vois très bien dans cette présentation lorsque Julien aura trouvé ta partenaire

Un peu plus loin, nous nous attardons sur le rayon godemichés « spécial femmes » Un double dong de couleur noir attire l’attention de Karine.

— Ça, j’ai vraiment envie de le prendre

Une vendeuse s’était approchée de nous et en s’adressant à maman lui précise que l’objet est vibrant et qu’il peut être télécommandé dans un rayon de 10 m avec plusieurs fonctions : grossissement, vibration progressive ou vibration permanente avec plusieurs puissances.

— Je pense que ce doit être passionnant. Combien vaut-il ?

— 200 , le lubrifiant est offert avec un coffret de nettoyage des sex-toys. Je peux également vous proposer ce vibro de voyage très réaliste à la texture extrêmement douce, c’est le dernier modèle avec une télécommande Bluetooth dans un rayon de 30 mètres mais également WiFi, ce qui permet de l’activer avec un smartphone pourvu que les deux partenaires soient dans une zone de couverture. Il peut également produire une très légère décharge électrique comme un picotement. Il fait actuellement fureur. C’est le même prix que le double dong.

— J’ai envie de casser ma tirelire mais je ne vais pas me laisser tenter par le déshabillé de l’entrée, ça me fait trop à dépenser. Qu’en penses-tu Florent ?

— C’est toi qui décides mais effectivement, je suis impressionné par les possibilités de ces jouets

— OK, je prends les deux

Après nos achats, nous rentrons à la maison et pour laisser monter l’excitation, nous décidons d’un commun accord de ne déballer les sex-toys que ce soir après le dîner.

Pendant ce temps, Julien s’est préoccupé de convaincre sa sur Liliane de rendre visite à la mère de Florent. Mais comment être certain que Liliane est lesbienne ou bi ?

C’est après un repas (bien arrosé) en famille et avec des amis où les blagues lubriques étaient abondantes que l’occasion s’est présentée. Julien avait remarqué que sa sur était très attentive aux discussions sur les lesbiennes et qu’elle déshabillait du regard une collègue de sa mère très sexy dans sa tenue avec une poitrine particulièrement agressive.

A la fin de la soirée, tout le monde s’étant séparé, les parents partis se coucher Julien resté seul avec Liliane entame la conversation :

— Dis-moi petite sur, j’ai remarqué ton intérêt pour les blagues sur les gouines et ton regard appuyé sur Marie la collègue de maman. Me suis-je trompé ?

Liliane un peu éméchée ne refuse pas la question, ne s’en offusque pas.

— D’abord je ne suis pas ta petite sur car j’ai 35 ans et c’est toi qui es mon petit frère. He bien oui, j’aime le corps des femmes, j’ai eu quelques expériences passionnantes et j’étais excitée à la vue de Marie. Tu es surpris, déçu, offusqué ?

— Non pas du tout d’ailleurs j’ai une proposition à te faire

— Là tu me surprends. Dis toujours

— Voilà, tu connais Karine, la mère de Florent ?

— Oui j’ai eu l’occasion de la rencontrer avec Florent. C’est une fort jolie femme et alors ?

— Eh bien Florent m’a raconté qu’elle s’était confiée à lui, qu’à force de visionner des films pornos sur les lesbiennes, elle voudrait bien essayer

— La mère de Florent ? Une mère confie ça à son fils ?

— Oui, je vais même t’étonner Florent baise sa mère et nous avons fait une partie à trois chez eux

— Qu’est-ce tu me racontes, tu as trop bu, tu délires mon petit frère tu me parles d’inceste, même si je suis très ouverte aux plaisirs sexuels sans tabou heureusement que je suis assisse sinon je tomberais à la renverse. Il vaut mieux qu’on aille se coucher.

— Non, je t’assure, je te dis la vérité. Comme si je te disais que toi aussi tu m’excites avec ta poitrine qui sort presque de ton corsage et ton petit cul que je mate très souvent.

— C’est bien ce que je disais, il est temps d’aller dormir. Allez, bonne nuit petit frère

Sur ce, Liliane se lève pour déposer un baiser affectueux sur le front de son frère mais elle s’est tellement approchée que sa poitrine se colle contre celle de Julien et négligemment pose une main sur la bosse de son pantalon.

— Fais de beaux rêves frérot

— Putain, si elle se laissait faire, je la baiserais pense Julien

Il ne lui reste qu’une bonne masturbation au lit !

Le lendemain matin, en partant chacun à ses occupations, Liliane chuchote à l’oreille de Julien :

— Alors petit frère, tu as bien dormi ? J’ai réfléchi à tes élucubrations d’hier soir et je me demande s’il n’y avait pas un peu de vrai à part la partie à trois, et pour tout dire, j’y ai pensé toute la nuit dans un demi-sommeil

— Non, je t’assure, c’est la vérité sauf que c’est Karine qui nous a demandé de lui trouver une partenaire

— Si tu m’assures que ce ne sont pas des bêtises d’étudiant, je serais partante pour tenter l’expérience

— OK je vois Florent et je t’en reparle

— OK bonne journée Julien

Du côté de chez Karine, le dîner d’après leurs achats se passe normalement, sans effusion particulière. Au moment du dessert, Florent reçoit un appel sur son portable. C’est Julien.

— Allo Florent, c’est Julien. Je te dérange ?

— Non, nous avons fini de dîner avec maman

— Je t’appelle pour ce que Karine nous a demandé. J’ai discuté avec Liliane, je lui ai raconté le contexte, c’était après un repas bien arrosé. Dans un premier temps elle n’a pas voulu y croire mais ce matin avant de partir au boulot elle m’a dit que si notre histoire était vraie, elle serait OK pour une expérience. Elle est bien gouine occasionnellement. Crois-tu que ta mère soit toujours partante ?

— Oui j’en suis sûr, cet après-midi elle a voulu aller dans un sex-shop pour s’équiper en prévision. Elle ne sait pas qu’il s’agit de ta sur, nous lui ferons la surprise. Quand peut-on organiser la rencontre ?

— Demain c’est dimanche, si vous êtes libres, tu pourrais suggérer à ta mère de nous inviter à déjeuner et passer l’après-midi ensemble

— Je lui en parle tout de suite

— Karine, c’est Julien. Il propose une rencontre avec une fille d’une quarantaine d’années. Je suggère de les inviter demain à déjeuner. Qu’en penses-tu ?

— C’est une bonne idée mais je préfère au dessert et café. Tu peux lui dire OK

— Tu as entendu Julien ? Nous vous attendons demain vers 14h

— OK à demain, fais la bise à Karine où elle aime bien !

Maman prépare le repas dans la cuisine pendant que je regarde la télé au salon. Les portes sont ouvertes et on peut converser d’une pièce à l’autre.

— Quest-ce que tu fais Florent ?

— Je regarde les infos. La présentatrice est vraiment bandante, chaque fois qu’elle se penche sur ses notes son corsage s’ouvre sur la raie de ses seins je suis certain que ça te plairait aussi.

— Mais dis donc, on dirait que tu ne penses qu’à ça

— C’est notre visite au sex-shop et le coup de fil de Julien qui ont réveillé ma libido

— Je pense qu’elle est en éveil permanent !

— A la maison oui car je n’en reviens pas d’avoir concrétisé mon fantasme de baiser ma mère

— Arrête, tu m’excites et j’ai du travail, je surveille la cuisson

Moi aussi, excité je me lève pour la rejoindre. En entrant dans la cuisine je la trouve penchée sur le coin de la table en train de se frotter lentrecuisse.

— Tu te branles avec la table ?

— OUI, c’est bon, c’est dur notre conversation m’a fait mouiller

— Tu ne voudrais pas plutôt ma queue ?

— Si, viens m’enculer en même temps

La soirée commence bien !

Je m’approche pour me coller contre elle et lui peloter les seins en imaginant que ce sont ceux de la présentatrice de télé.

— J’adore tes seins, demain tu vas les offrir à ta visiteuse, je subodore une partie mémorable

— Je mouille, vas-y baise moi

Je baisse mon jean et fais émerger ma queue raide comme une trique. Sans ménagement je pénètre le cul de Karine qui pousse un léger cri de douleur.

— Tiens salope prends ça !

— Oui c’est bon après le passage douloureux, baise, baise, donne-moi tout ton foutre, je veux jouir du cul

Nous sommes tellement excités que la jouissance commune arrive vite. En me retirant, Karine s’écarte de la table en lâchant un impressionnant jet de cyprine. Pour un observateur, le spectacle doit être passionnant.

Apaisés, nous remettons de l’ordre dans nos habits et passons à table. Le repas se passe calmement sans allusion à la petite séance.

A la fin du repas, maman suggère que chacun vaque à ses occupations et que la préparation des jouets achetés l’après-midi soit reportée à demain en prévision de la visite de Julien.

— OK à demain bonsoir maman

Nous sommes donc dimanche. Après le petit-déjeuner très calme ! J’indique à maman que je vais déballer nos achats d’hier et les préparer pour cet après-midi pendant qu’elle fera son ménage.

Je commence par le double dong. Pas de difficulté, il suffit de mettre les piles dans le jouet et dans la télécommande. Trois fonctions comme l’avait indiqué la vendeuse : 1) grossissement avec vibration ce qui fait doubler de volume les extrémités qui vibrent effectivement avec un léger ronflement, l’intensité des vibrations est modulable. 2) vibrations seules par impulsion sur la commande. 3) vibrations permanentes.

Maman qui est arrivée dans le salon en petite tenue contemple l’engin, le regarde fonctionner.

— Je voudrais bien l’essayer, j’y ai rêvé toute la nuit et imaginé l’arrivée de Julien et de sa copine

— Non ce sera ton supplice il faut attendre cet après-midi

— Je t’en prie Florent, j’ai envie si tu ne veux pas, je me branle devant toi

— Tu es vraiment salope Karine. Je t’interdis de te branler, garde tes forces pour la partie

— Tu es trop dur, ça m’excite, j’aimerais bien devenir ta soumise

— J’y pensais mais attention, si tu acceptes, ça peut être très hard. Pendant les séances nous ne sommes plus mère-fils mais Maître et salope

— Tu me donnes envie de baiser, je mouille, donne-moi ta queue

— Je t’ai dit d’attendre cet après-midi, la seule chose que je t’autorise maintenant, c’est d’écarter les jambes, rester debout, et te faire jouir sans te caresser, en laissant monter l’orgasme comme si tu étais attachée sans possibilité de bouger. Vas-y, ferme les yeux

— Hum, c’est un vrai supplice mais c’est bon, je sens que ça monte, ça monte, je jouis ahhhhh

Sa jouissance est tellement forte qu’un puissant jet de cyprine se projette sur le sol.

— Maintenant je veux que tu pisses par terre et que tu t’allonges sur ton jus en mouillant bien tes seins. Là je t’autorise à te masturber les seins sur le jus.

Karine exécute les ordres de celui qui est momentanément son maître, se frotte frénétiquement par terre.

— Je vais jouir une seconde fois c’est trop excitant

— Vas-y ma salope après tu reprendras gentiment tes occupations

La petite séance terminée, Karine repartie à son ménage, je déballe le vibro de poche.

Il faut l’appairer à mon smartphone après avoir téléchargé l’application indiquée dans la notice.

Quatre fonctions apparaissent sur le téléphone : Marche arrêt, lent, rapide et électrique pour la légère décharge, plus une molette pour l’intensité.

Je rappelle maman :

— Karine, mets-le vibro dans ta chatte, sans te branler et garde-le toute la matinée il faut que je fasse des essais

— Je l’introduis complètement et je le garde jusqu’à cet après-midi ?

— Bien sûr, et tu laisses dépasser la petite ficelle pour le retirer plus facilement, tu l’enlèveras quand je t’y autoriserai et particulièrement avant l’arrivée de nos invités. Tu as un autre jouet pour la rencontre

— OK, je vais le mettre aux toilettes

Un peu plus tard, Karine s’affaire dans la cuisine pour préparer le repas. Assis dans le salon la télécommande dans les mains, je l’aperçois devant le plan de travail.

J’actionne le mécanisme à distance et j’observe sa réaction. Elle est immédiate même à petite intensité. Elle porte ses mains à sa jupe et croise puis décroise les jambes. Ses mains remontent jusqu’à sa poitrine et je la vois se masturber intensément les seins. Je force l’intensité et là, elle se colle contre le mur en ondulant du cul comme si elle baisait le mur.

Je m’approche, elle me voit.

— C’est bon, la sensation est merveilleuse, plus fort, je sens que je vais jouir

Je force la dose et elle explose dans un violent orgasme. Je coupe l’alimentation.

— Ça marche bien, tu peux l’enlever, j’exigerai que tu le portes constamment sur toi et particulièrement quand tu seras au bureau. Maintenant nous allons déjeuner et préparer le dessert pour nos amis

Au moment de préparer la table du salon pour le dessert et le café, Karine me demande, comme elle l’avait fait pour recevoir Julien, quelle tenue doit-elle mettre ?

— Il faut que tu t’habilles très sexy sans être vulgaire avec des choses moulant bien tes formes. Pense quand même que tu devras être très salope puisque c’est ce dont tu avais envie quand tu nous as demandé de te trouver une lesbienne pour te gouiner.

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