Depuis que j’avais baisé une première fois avec mes parents, le sexe en famille n’était pas devenu systématique, mais presque.
Comme pas mal de tabous étaient tombés lors de cette première fois et que notre famille se caractérisait par une hypersexualité assez importante, la baise était presque devenue un acte de la vie quotidienne.
Comme on était quasi tout le temps à poil à la maison, la bite toujours à l’air pour nous les hommes, ma mère n’avait qu’a demander pour sucer, se faire lécher, se faire baisé ou se faire enculer par moi ou mon père… ou les 2 à la fois. Et cette salope (n’y voyez aucun mot offensant, ma mère aime se faire appeler ainsi) ayant des besoins sexuels importants, c’était le paradis pour elle. Et donc quand mon père était en voyage pour le boulot, il fallait que j’assure pour 2.
Et c’est au cours de l’un de ces déplacement paternel que survint le jour où ma mère m’initia à la bisexualité.
Ce matin là, alors que je m’éveillais aux cotés de ma mère, que j’avais baisé par tous les trous une bonne partie de la nuit, elle me demanda si ça me gênait que ce soir, un autre couple participe à nos ébats. Elle m’explique que pendant les absences de mon père, c’est avec eux qu’elle baisait avant mon dépucelage familial et que maintenant, même si je remplaçais bien mon père, elle souhaitait tout de même continuer avec eux. j’acceptais sans problème. Sur ce, ma mère enfila une robe, sans sous vêtements bien sur, et partit travailler.
Le soir elle rentra avec le couple d’amis en question. Je les connaissais quelque peu de vue. La femme, Justine, avait la quarantaine. légèrement enrobée, on devinait sous ses vêtements une poitrine très généreuse. Son compagnon ne dépassait pas les 30 ans et son jean ultra moulant laissait percevoir que tout comme moi, il était adepte du sans culotte. Il se prénommait Pierre.
Ma mère fit de rapides présentations puis vint se coller à moi. Je sentis à son regard qu’elle ne voulait point attendre un délai de convenance et qu’elle voulait baiser tout de suite.
Elle commença a déboutonner ma chemise pour laisser apparaître mon torse puis se tourna vers Justine elle lui dit : « alors il est beau mon fils non ? » Justine acquiesça. puis ma mère ajouta : « et sa queue est pas mal non plus » et ajoutant le geste à la parole, elle ouvrit ma braguette pour faire sortir ma bite, déjà légèrement tendue par l’excitation. puis se retournant vers Justine, elle finit par dire : « tu veux la goûter ? ». Cette dernière ne se fit pas prier et se dirigea vers moi pour me prendre en bouche. Bouche généreuse dont dès le départ, je senti l’art de la fellation. Sur ce ma mère se dirigea vers Pierre, ôta le bout de tissu qui lui servait de vétement, sortit la queue du jeune homme et se mit à le sucer.
Très vite nous fûmes tous à poil, les femmes s’occupant de nos queues avec délectation. Puis à un moment, ma mère quitta Pierre pour se diriger vers Justine. Et là elle commença à lui lécher la chatte. Je savais que ma mère était bi mais c’était la première fois que je la voyais s’occuper d’une femme. Puis très vite justine laissa ma queue pour entreprendre un superbe 69 avec ma mère.
Pendant ce temps, Pierre et moi, chacun dans notre coin, nous nous masturbions allégrement. Puis à un moment, ma mère me lança un regard et me dit : « oh ! je t’avais oublié. Te voilà bien seul. Veux tu que Pierre te suce ? » je restais un peu interloqué, car même si j’avais déjà joué à touche pipi avec d’autres garçons dans ma prime jeunesse, je n’avais jamais eu de vrai rapport sexuel avec un homme. Et comme j’étais ouvert à tout expérience, je ne mis point longtemps a accepter. Pierre se dirigea donc vers moi, me pris en bouche et commença une fellation tout en douceur. Et je dois avouer que suite à la fellation de justine, puis au spectacle de nos femme se léchant, j’éjaculai assez rapidement dans la bouche de Pierre. Ce dernier avala avec délectation mon foutre puis retourna se masturber. Et comme j’avais envie de savoir ce que faisait d’avoir en bouche un sexe masculin, je me dirigeai à mon tour vers pierre pour lui prodiguer une fellation, à la grande satisfaction de ma mère et de ce dernier Cette sensation de sucer un membre viril était absolument fabuleuse et très vite je recommençais à bander. Alors ma mère se dirigea vers moi pour me sucer à nouveau pendant que Justine se dirigea vers son ami pour lui prodiguer une feuille de rose.
Imaginez la scène : Moi en train de sucer Pierre, ma mère en train de me sucer et justine léchant puis fouillant avec ses doigts le trou de cul de son compagnon.
Puis lorsque je fus bien dur, ma mère me regarda et dit : « je sais que tu aimes enculer les femmes. Mais aimerais tu enculer un homme ? » Je ne pris même pas le temps de répondre, étant dans un état d’excitation totale. Je dirigeais donc ma queue vers le cul de Pierre, déjà largement ouvert par les doigts experts de Justine. Mon gland se présenta à l’entrée de ce trou béant et entra en forçant tout de même un peu. Je sentis un tressaillement du corps de Pierre lorsque ma bite pénétra en entier. Puis après être resté immobile un court instant, je commençais un va et vient régulier. Ce cul était un régal à baiser, à la fois ferme et souple. Les sensations sur mon gland buttant au fond du cul de Pierre étaient fabuleuses. Au bout de quelques minutes, le sperme commença a monter. Ma mère le compris, me demanda d’ôter ma queue de ce cul pour lui gicler sur le visage, ce que je fis dans la seconde même. Ma mère se retrouva avec le visage barbouillé de mon foutre que justine s’empressa de venir lécher.
Quant à moi, au comble de l’excitation, j’avais à mon tour envie de connaître le goût du sperme. Je me dirigeai vers la queue de Pierre qui très vite lacha son foutre dans ma bouche. Et je découvriS ainsi que j’aimais le goût du sperme.
Fatigué, je laissais Pierre m’embrassait pendant que nos femmes se doigtaient et se léchaient. Et elles même partirent dans un orgasme sonore et simultané de toute beauté.
Plus tard, le calme revenu, alors que nous nous restaurions, ma mère m’avoua que c’était son plan depuis le début, me faire découvrir la bisexualité. Et je l’en remercie encore aujourd’hui.
Le reste de la soirée fut plus classique, moi honorant Justine et Pierre baisant ma mère qui hurlait comme une chienne.
Maintenant que j’avais pris goût aussi bien au sexe masculin qu’un sexe féminin, il me restait à lever un ultime tabou… Baiser avec mon père. Mais ça c’est une autre histoire…
