Je ne me plains pas de mes débuts. Jai mes clients réguliers, de nouveaux, des hommes en règles générales, quelques femmes que jaime de plus en plus. Pour relooker mon logement, je décide de mettre des photos de moi nue. Pour ne pas avantager un photographe plus quun autre, clients potentiels, cest vers Toulouse où je me tourne pour trouver un professionnel. Cest une femme qui soit avoir plus de 40 ans : elle ne me fera pas de rentre dedans. Dans son atelier elle me montre dautres photos de femmes : certaines sont carrément pornos. Elles me font de leffet : je mouille.

Je commence à me déshabiller : elle prend cliché sur cliché. Quand je suis nue, commencent les véritables poses suggestives : nue, allongée, nues les jambes ouvertes sur ma chatte, penchée en avant vue de dosElle promet les épreuves pour le lendemain après midi.

— Vous êtes belle nue, offerte. Vous ne me voulez pas ? Jaimerais vous faire plaisir.

Et je pensais quelle ne me ferait pas de demandes particulièrement osées.

— Oui, jaccepterais si vous le voulez bien.

— Tout à lheure, voyons les clichés.

Nous choisissons les photos très grands formats. Je vais faire exploser mon audimat, cest certain : je suis totalement impudique, offerte, exhibée, donnée. Elle veut de moi, je moffre en prime à cette artiste. Elle menverra ce quelle me promet dans les jours qui viennent : je règle une petite fortune : mon prochain client va en avoir pour cher. Son domicile est juste en haut du studio.

Elle le ferme, me prend la main : nous allons chez elle. Je passe une nuit extraordinaire avec une vraie lesbienne. Jignorais presque tout, elle me lapprend. Jallais trop vite avec les femmes, je patiente maintenant. Je fais durer les caresses, les suçons, les lèches le plus longtemps possible. Moi-même je nen peux plus dattendre quelle me fasse jouir, mais cest si bon quand elle me fait partir, mieux quavec un homme aussi bien monté, aussi bien doué quil soit.

Je rentre chez moi : je nai pas perdu de temps. Jaurais les photos dans peu de temps. Je réfléchis à lemplacement, je rêvasse.

Mes photos en jettent chez moi. Je mexcite seule en me regardant. Jai encore des souvenirs trop frais de sa bouche, de ses mains, de son sexe. Je suis obligée involontairement de me satisfaire : je coule. Ma main seule suffit. Je me branle deux fois de suite.

Je reprends mes activités. Mon premier amant est bel homme. Nu, encore plus attachant. Je suis plus libre depuis que jexerce chez moi. Il a vue toutes mes photos. Il ne pensait pas que je sois si excitante. Je le tiens par la queue pendant quil fait le tour de mon exposition. Jaurais pu le masturber pour men débarrasser. Et son sperme alors ? Pendant quil regarde celle ou je suis penchée en avant, où je montre mon cul et le reste, je maccroupie à ses pied. Sa queue me plait quand elle est dans ma bouche. Je caresse les couilles, je les masse pendant que ma langue lèche son bout. Je passe le gland contre ma joue, je fais aller et venir ma tête ; il gonfle. Ca y est, il jette son sperme dans ma bouche. Cest le premier depuis plusieurs jours. Cest toujours aussi bon. Je navale pas : je le garde en bouche un bon moment. Je laisse filer dans ma gorge des petites gorgées. Que cest bon le sperme.

Il reste jusquà 20 heures. Je vais le faire jouir encore, pas dans ma bouche : mon con a besoin aussi de son jus. Je le suce encore pour le faire bander. Il a la forme, il est tendu encore. Tant mieux il peut me baiser.

Nous sommes allongés, ce net pas mon con, il veut mon cul. Allons-y pour me faire enculer. Jaime autant devant que derrière, avec une petite préférence pour le cul. Il me veut à plat ventre. Je naime pas trop. Je me couche sur le ventre, il vient sur moi, écarte mes fesses. Sa main cherche mon petit trou quil trouve assez vite. Je mouille encore pas mal.

Je me tartine le cul avec la cyprine. Il est sur moi, il pose sa queue, il force un peu, il entre ; mon cul souvre sous sa poussée, il entre, je prends mon pied. Il jouit, je jouis comme lui à cause de son jet de sperme dans lanus. Il en sort, se rhabille : à bientôt mon chéri.

Finalement jaime toujours les hommes. Je doutais à cause de la photographe. Je verrais bien : jai rendez vous avec une habituée, la femme dun avocat de Montpellier qui paie cher pour ce que nous faisons.

Je lattends avec sur moi une blouse transparente, vague, rouge. Elle arrive à son habitude pressée de je ne sais quoi. Elle attendra que jarrive à la fin de ma prestation quand elle partira encore frémissante de mes caresses.

Un long baiser commence notre amourette. Elle ouvre son sac pour me montrer ce quelle vient dacheter : deux godes magnifiques, vibrants, un pour son con, lautre pour son anus. Je pensais les essayer avec elle : non elle le fera chez elle avec son mari. Drôle de toquée.

En attendant je vais la baiser, la faire jouir, elle me rendra tout, je jouirais aussi. Cest ce quil y a de bien dans mon job : le plaisir partagé.

Je la fait déshabiller devant moi comme au cabaret. Ca lexcite, elle fait durer la chose un bon moment. Quand elle est nue, elle dapproche de moi pour se montrer de près. Je sens son odeur intime, jai envie delle, je ne me retiens pas, ma langue est sur elle, dans la chatte, elle cherche le clitoris. Ses mains me tiennent la tête pour me diriger. Elle sapproche encore, je peux atteindre son puits. Je lèche son intérieur.

Je bous de désir, je voudrais quelle aussi me caresse. Elle se tourne pour refaire ce que je lui ai fait la dernière fois. Elle se penche en avant : je vois son cul. Jécarte ses jolies fesses. Je peux passer la langue. Cest ce quelle attend. Je lèche le con, le fore avec la langue pour lentrer. Elle ouvre bien son anus. Ma langue va et vient en elle. Elle soupire, se laisse faire : elle jouit de ma caresse. Au début, je ne pensais jamais quelle aime jouir par le cul, je me trompais. Elle serre le bout de la langue à chaque contraction. Je passe ma main autour de sa cuisse, je vais sur la fente. Elle me donne son sexe sans problème puisquelle connait la suite : je vais lui masturber le con en y mettant deux doigts que je ferais aller et venir de plus en plus vite jusquà son orgasme final. Elle est gentille : elle me lèche rapidement. Cest bizarre, elle naime pas les 69 avec moi, avec son mari, je ne sais pas.

Avant de partir, elle regarde mes photos en détails. Elle se caresse devant moi, devant mes reflets. Elle se baisse un peu pour pouvoir entre deux doigts en elle. Dès sa jouissance, elle est habillée, elle part chez elle, se faire mettre certainement par son avocat de mari.

Il faut que je pense à changer de ville pour trouver un mari qui devra avoir plusieurs qualités : ne pas être curieux sur mon passé de presque pute, savoir me baiser, me lécher, menculer, me branler, se branler devant moi, et surtout avoir de largent. Beaucoup dargent. Jen connais un come ça à Mende doù je viens. Pourquoi ne pas y retourner ?

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