J’avais 22 ans, je travaillais comme magasinier dans une grande surface de la banlieue marseillaise. J’étais fiancée avec Marlène. Elle travaillait depuis peu dans un bar, rue de la république. Nous devions nous marier dans 1 mois. Elle avait presque 19 ans.
Chaque mois, au sexshop, j’achetais la revue S, une revue qui traitait des couples et de l’échangisme. Je me masturbais en lisant cette revue. Nous n’avions pas de rapport avec Marlène. Elle était vierge. Le soir, souvent, je la raccompagnais chez elle, à la capelette, sur mon velo-moteur. Un samedi du mois de mai, nous étions invités à une boum, chez des copains à aubagne. Nous sommes partis en bus. Lorsque nous sommes arrivés, la fête était commencée. Nous avons retrouvé tous nos amis. Nous nous amusions et buvions. J’observais Marlène qui dansait. J’ai vu André, qui papillonnait autour d’elle. Ils ont dansé ensemble.
Le soir, vers 22 heures, j’ai dit à Marlène que nous devrions partir. Nous avons raté le dernier bus. J’ai téléphoné à nos parents, pour les prévenir. Nous dormirions chez notre copain.
Et nous avons donc continué la fête. Marlène était ravie d’avoir manqué le bus. Moi aussi.
En fait, nous nous sommes retrouvé à une dizaines de copains. Vers minuit, tous étaient rentrés chez eux. Seuls André, Marlène et moi, Omar et Kamel, qui habitaient aussi Marseille, sommes restés. André, continuait de danser avec ma fiancée et je remarquais qu’il la caressait avec un peu trop de douceur. Puis Omar a sorti des ’ joints ’ et nous avons fumé. Ensuite, nous étions tous les quatre sur le canapé et nous regardions Marlène, assise en face de nous, qui somnolait. André dit que j’avais de la chance et que j’avais ’ enlevé ’ la plus jolie de la bande. En somnolant elle nous dévoilait ses cuisse et même nous voyions sa culotte blanche.
Soudain, il se leva et s’approcha d’elle, il se pencha et regarda de près. Je lui dis de s’arrêter, que ce n’était pas bien. Il osa caresser sa cuisse. J’allais me lever pour l’arrêter, mais Omar et Kamel m’en empêchèrent. Ils me dire que j’étais ’ salaud ’ de ne pas les laisser profiter, sans mal, du spectacle. Je les laisser regarder l’intimité de ma fiancée. Je me mis à penser à la revue S et aux situations érotiques des couples et au voyeurisme. Je me mis à bander. La situation m’excitait. André, caressait les gros seins de Marlène. Une main au fond de ses cuisse, sans doute sur la culotte, touchant son sexe, et l’autre sur ses seins. Je me dis qu’elle allait se réveiller et le gifler. Elle bougeait, sa respiration était forte. André, l’embrassa et elle répondit à son baiser. Omar et Kamel ne comprenaient plus, ils me regardaient, moi, qui ne comprenais pas, non plus. L’alcool et les joints, sans doute. Marlène se laissait faire. André se retourna et regarda. Je restais impassible. Alors, il flirta avec ma fiancée, sous mes yeux. Il lui enleva son chemisier et sa jupe, elle se retrouva en slip et soutien gorge. Toujours les yeux fermés, elle ne dormait pas, pourtant. Il se déshabilla aussi et se coucha contre elle. Puis, il se leva et l’attira vers l’escalier, vers sa chambre, au premier étage. Nous les 3 autres nous ne bougions pas. Nous sommes restés là, plantés, sans un mot. Eux ont dit quelques mots en arabes. Au bout d’une heure, André est descendu. Le sourire aux lèvres, il a dit :
Putain de merde, elle était vierge ? mais alors, elle est chaude. Elle pleure, maintenant.
Qu’est-ce qu’on fait, dit-il égaré ?
Omar se leva et dit : On continue. Il se dirigea vers l’escalier et monta.
André se confondit en excuses, pour moi, mais ajouta qu’elle n’avait pas résisté. Nous attendions, pour savoir, si Omar allait se faire jeter. Ce serait le test, savoir, si nous avions fait une erreur ou si Marlène le voulait bien. Mais Omar ne revint que plus d’une heure plus tard, lui aussi. Simplement, il dit : Kamel, va y, elle a encore envie, c’est sûr.
Kamel resta longtemps. Nous nous sommes endormis, André et Omar, rassasiés et moi dans mes rêves de voyeurisme.
Au petit matin, André nous réveilla et nous demanda où était Kamel. Kamel n’était pas redescendu. Je suis monté voir dans la chambre. J’ai poussé la porte. Kamel et ma fiancée dormaient, elle était nue dans ses bras. Kamel, bandait, j’étais fasciné par son sexe qui était 2 fois plus gros que le mien. J’ai regardé, et je me suis masturbé, j’ai jouis dans mon mouchoir. Je suis descendu et j’ai dit : Ils dorment.
Plus tard, Kamel nous a rejoint, fier de lui, il a dit : La petite sera une sacrée salope, tu as de la chance Roger. Je l’ai baisée à fond, deux fois.
Je suis monté la voir. Nous avons pleuré, elle s’est excusée en disant qu’elle ne savait pas ce qui s’était passé. Nous sommes partis en nous promettant d’oublier tout ça.
Mais mois je n’ai rien oublié et tous les jours je me branlais en imaginant ma fiancée prise pas mes 3 copains.
Nous nous sommes mariés le dernier samedi de juin.
Nous nous sommes retrouvés dans notre chambre, chez nous, à Saint loup. Nous avions loué une petite maison.
Notre nuit de noces devait être magnifique. Je fit de mon mieux mais je ne pu la satisfaire, elle ne jouit pas. Alors, je débandais, et m’assis sur le lit en lui demandant ce qui n’allait pas.
Elle me dit qu’elle ne savait pas, que peut-être, je ne savais pas m’y prendre.
Sans réfléchir, j’ai téléphoné au bar, où je savais trouver Kamel, et sans explication je lui ai demandé de venir.
Lorsqu’il est arrivé, j’étais dans la cuisine et je lui ai simplement dit :
Ne pose pas de question et va dans la chambre, Marlène à besoin de toi.
J’ai attendu un moment, puis je suis allé voir. Ils s’embrassaient, elle caressait son sexe tendu.
Il lui a dit de le sucer, en lui donnant des conseils et lui maintenant la tête. Enfin il a dit voilà, c’est parfait, oui, comme ça, oui c’est extra, tu suces comme une reine, je vais faire ton éducation à toi et à ton mari. Continue, je vais jouir dans ta bouche et tu ne vas pas recracher, tu vas avaler mon foutre, tu as compris. Et il jouit, Marlène, garda la bite en bouche et avala les giclées de sperme, qui envahissaient sa gorge.
Il l’allongea sur le lit, lui écarta les cuisses et se mit à la sucer, lui aussi. Le déclanchement eu lieu, et ’ ma femme ’ jouit sous la langue de Kamel.
Il se mit en position, il la pénétra immédiatement et la baisa. Elle jouit plusieurs fois, sous son énorme bite. Elle pleurait, en serrant son amant très fort contre elle, qui jouissait, lui aussi.
Kamel se retira le sexe triomphant et luisant. Il me dit :
Tu vois, Roger, Marlène est une jouisseuse, mais il faut savoir l’exciter. Si vous le voulez je peux vous donner des cours.
Avant même que je ne réponde, elle dit oui, oui c’est ce qu’il faut pour Roger.
Nous avons parlé et nous sommes tombés d’accord, enfin ils sont tombés d’accord.
Durant un mois, Kamel, me donnerait des leçons. Je devrais regarder.
Kamel couchait avec Marlène tous les soirs, dans notre chambre, et je prenais mes leçons.
Il l’a sodomisée, et ma femme a pris goût à se faire enculer.
Nous vivions tous les trois ainsi. Eux faisant l’amour devant moi, qui regardait en voyeur.
Puis se fût le grand moment. Kamel me dit de faire comme lui, comme j’avais appris. Il nous regardait faire. Me donnant des conseils. Je pénétrais enfin Marlène, mais je trouvais un large trou béant. Elle jouit tout de même, sous les caresses de Kamel sur sa chatte. Je me retirait et présentait mon sexe à sa bouche où je voulais me répandre.
Nous fûmes tous les trois très satisfait.
Kamel nous laissa seuls, mais ce fut un désastre sexuel. Nous n’avons pas fait l’amour durant 15 jours. La crainte, la peur. Pourtant nous étions heureux, jusqu’au jour où Marlène m’appris qu’elle était enceinte.
Cela ne faisait aucun doute, ça ne pouvait être que de KAMEL.
Nous lui en avons parlé. Nous avons décidé de garder l’enfant.
Cela fait maintenant 10 ans que nous sommes mariés. Kamel vient régulièrement à la maison. Au moins 2 fois par semaines, dés fois il reste plusieurs jours. Marlène est heureuse et moi aussi, nous avons trois enfants. Les trois sont de Kamel, c’est évident. Les enfants l’appellent ’ tonton ’.