Je campais sur la Côte d’Azur près de Nice dans un camping situé à 2mn de la plage. J’avais une vingtaine d’année.
J’étais cloué dans cet endroit à la suite à une panne de voiture. Le coin était agréable mais manquait cruellement de distractions.
J’avais remarqué qu’un homme dans la soixantaine avait installé sa tente style canadienne non loin des sanitaires.
Chaque fois que je passais par là, il ne manquait pas de faire un geste amical à mon attention, agrémenté d’un large sourire.
Un jour, voyant que j’étais toujours seul, il s’approcha de moi et m’invita à une partie d’échecs ce que j’acceptais. Il était charmant et fit tout pour m’être agréable. Nous bûmes un apéritif et même plusieurs…. je me sentais grisé et plusieurs fois il posa sa main sur mon genoux, comme une caresse furtive. Je ne fis pas attention à ce geste que j’avais mis sur le compte de l’alcool. Je bus plus que de raison et voyant mon état il me proposa gentiment de m’allonger un moment dans sa tente en attendant que ça passe. J’acceptais et je m’allongeais sur le matelas, étendu sur le côté, en chien de fusil. Je m’endormis rapidement assommé par la chaleur et l’alcool.
Comme dans un rêve, je sentis une présence près de moi…. l’homme s’était lui aussi allongé à côté de moi et le bas de son ventre touchais mes fesses que j’avais bien rondes et larges. Je fis mine de ne pas m’en apercevoir, ce qui sembla l’encourager car la pression se fit plus franche et je sentais maintenant la dureté de son sexe volumineux entre mes fesses. Je continuais à faire comme si je dormais.
L’homme posa sa main sur ma hanche et m’attira délicatement vers lui. Je sentais son membre raide qu’il agitait en se frottant contre moi. Il était persuadé que j’avais senti son approche, que j’étais éveillé.
Il glissa sa main dans mon bermuda et me caressa, glissa ses doigts dans ma raie ce qui provoqua chez moi un frisson et un long soupir de satisfaction qui encouragea l’homme dans son entreprise, à aller plus loin.
Il sortit sa bite raide, pris ma main et la posa sur le membre chaud. Je sentais une envie monter en moi, je me mis à caresser délicatement le membre dur, à le branler du gland jusqu’aux couilles qui étaient volumineuses et velues, bien pleines. J’étais aux anges. C’était la première fois que je touchais un sexe d’homme et j’adorais, j’aimais me conduire comme une femme et l’homme le savait.
Il passa sa main derrière ma nuque, abaissa ma tête jusqu’à son gland rouge et lisse. Suce moi me dit il avec un ton autoritaire, suce moi bien salope!
Il poussa sa bite contre mes lèvres, les écarta et pénétra le gland doux et chaud. Je me mis à le téter, à tourner ma langue tout autour, comme quand on lèche une glace….je pris sa bite au fond de la gorge, bien au fond… il poussait à petit coup en gémissant de plaisir… il se retira, je le tétais encore, et encore.
Il sortit son sexe de ma bouche, me tourna sur le côté, baissa mon bermuda d’une façon énergique. Je me laissai faire, sous l’emprise du male qui avait introduit ses doigts dans mon anus et s’employait à le dilater largement. Je gémissais sous cette adorable caresse. Il mouilla ses doigts avec sa salive et mouilla copieusement mon anus bien ouvert. Je sentis qu’il poussait son gland doux contre mon anus et le l’aidais en écartant mes fesses de deux mains et les poussant vers son sexe dressé et dur. Je sentis qu’il introduisait son membre…. le gland passa et l’homme s’enfonça profondément d’un coup. Je me mis à gémir de plaisir et aussi de douleur. Mais mon compagnon se mit à me pistonner de plus en plus fort, de plus en plus profondément, et à chaque coup il m’arrachait un soupir. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque et ses mains rudes qui enserraient mes hanches comme dans un étau…. j’étais prise, bien prise comme une femelle, comme une chienne…
Soudain l’homme se retira, déplaça sa bite vers ma bouche, se branla devant ma langue et cracha de longs et abondants jets de sperme chaud dans ma bouche, sur tout mon visage. Je pris le gland dans ma bouche et me mis à aspirer les restes de ce sperme dont j’adorais l’odeur forte et le goût fort et épicé. Je me sentais une vraie salope, avec une nouvelle envie de me faire prendre fort.
Nous restâmes quelque temps enlacés, se caressant et se léchant. Des vacances qui s’annonçaient bien pensai-je.
Toutes les nuits je rejoignais mon homme pour des ébats torrides.